vendredi 16 novembre 2007

Retour en France, bientot

Dimanche je m'envole d'ici, ces jours-ci je fais des adieux. Je suis retournee a la place ou on fait des cracklaines, avec des nouvelles photos et j'ai recu encore cinq 'covrigi' comme ceci. Sinon, helas, je n'ai pas retrouve tous que j'avais pris en photos la semaine derniere.

Pleine des clients potentielles se sont presentes "et pas moi?" mais je n'y retournerai plus. Aujourd'hui en famille, demaine avec mon amie et dimanche tres tot, depart.

"As-tu entendu qu'en France c'est horrible, pas du circulation des transports publiques depuis trois jours." Ici meme un retard de quelques minutes parait une drame.

Ce matin je me suis rendu compte que j'ai circule a pieds un peu partout sans aucun probleme, je n'ai rencontre au fond que des gens sympa et de bonne volonte. Le reste des conclusions je vais tirer plus facilement de loin.

Je ne suis pas encore tout a fait partie (et je le voulais deja vite vite) et deja j'y pense avec nostalgie. Pas mal des choses se sont passes depuis mon derniere voyage, j'ai l'impression que tout va mieux depuis leur entre dans l'Union Europeenne.

J'espere, en France aussi, les problemes finiront rapidement, mais pour le moment je serai ravie (puisque je le peux) rester quelques jours chez moi. Helas, tous ne peuvent se le permettre.

3 commentaires:

  1. j'aime la note d'espoir de ton billet.
    Les gens qui ralent en France (je sais je ne suis pas génée en ce moment, mais dans le passé j'ai subi sans me retourner contre le grévites le sort commun, c'est à dire deux heures à l'aller et deux heures au retour de marche avec en 97 deux cannes) devraient réfléchir que la "réforme" en cours n'est qu'un prélude à ce qui va les atteindre eux

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  2. Aznavour a chanté "qu'il lui semble que la misère serait moins pénible au soleil", ce qui n'engage que lui. Je pense pour ma part qu'on sait se montrer plus généreux chez les pauvres que chez les nantis.
    Une idée que m'inspire ton récit de voyage, une idée qui n'engage que moi mais que j'ai eu déjà qand gamin on me faisait vendre des timbres "de bonnes causes", pour la recherche, tuberculose et autres maladies...
    Les familles pauvres avec enfants étaient plus généreuses que les couples bourgeois qui possédaient voitures.

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  3. chez nous on en fabrique aussi et on les appelle les bretzels ... pour le reste de ton billet bien sûr je l'ai lu et j'en retiens surtout que tu reviendras bientôt, bonne fin de séjour Julie !

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