La fille rencontre la premiere fois, est une des descendants encore portant le nom de la famille, habitant a Bucarest - je lui avait donne la fleur pour la placer.
Merveilleuse journee d'automne, soleil est arbres jaunes et rouges, les tombes les plupart recouvertes des feuilles jaunes - en religion orthodoxe on ne va pas au cimitiere debut novembre, ainsi nous avons rencontres peu des gens.
Sur la croix derrire celui-ci, c'est ecrit des gens qui y reposent depuis plus de 160 ans, date d'environ 1860. Une petite porte ferme une lumiere qui ne doit jamais s'eteindre, pres de tombe familiale, cela aussi c'est une habitude, meme si je ne l'ai pas vu a tous les tombes.
Voila a qui etait la tombe intitianelement, helas, on ne se souvient plus meme de son nom, mais son portrait est sur le haut du croix.
L'eglise dans la cimitiere Belu du Bucarest, pas si loin de la tombe.
Automne, debut novembre au cimitiere Belu.
A cause de la presense des neuveu et sa fille, je n'ai pas eu le temps de m'atterir, nous avons parles plutot des anciens temps. Il a 50 ans, je l'ai connu quand il en avait cinq. Que de temps est passe depuis!
à mon retour, revenir te lire et m'en réjouir...
RépondreSupprimerLieu de recueillement, les cimetières sont aussi, et pour moi surtout, les livres de notre histoire. Ils nous disent d'où l'on vient, nous prévienne d'où l'on va...
RépondreSupprimerNotre vie est un maillon dans une éternité
qu'il reste encore de cette jeune femme trace de sa beauté c'est peut-être un hasard, c'est surement dû à la fidélité des rites à ce qui fait la vie vivable
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