lundi 23 avril 2007

Le poids des images

Il ne faut pas beaucoup de couleur chaud pour attirer attention. Et quand on n'a pas le droit de "dire" qui est arrivé en deuxième position, on montre une femme rayonnante de bonheur passant et, presque aussitôt un homme bouru.

"Nous allons vous dire en dix minutes les résultats", disait au TV le journaliste hypochritement.

En fait, nous avons regardé les images et tout compris.

Que ne peut-on faire avec les images!

En revenant samedi du promenade avec Berlioz et sa compagne, et mes deux petits enfants à travers Paris (que j'ai préféré au périférique) je tombe dans emboutaillage rue de Rivoli.

Qu'à cela ne tient!

J'ouvre le vitre et je prends des photos des gens qui passent devant une boutique "coloré", six images. Chaque image dit autre chose. En voilà une d'elles.
Only women?
En la regardant, on dirait que ce n'est que des femmes qui passent et vivent dans cette ville. "Je l'ai vu, de mes yeux j'ai vu!"

Il faudra regarder une autre image, des autres images, qui disent, elles, chaqu'une une histoire différente.
Rue de Rivoli

Et celle-ci, qu'est-ce qu'elle vous dit?

Pas peur

2 commentaires:

  1. Des images temoins de la vie quotidienne, une apres l'autre.
    Merci Julie.

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  2. Des images d'un jour de printemps à Paris, une ville pleine de monde, les parisiens attendaient 20 h. Je suis prête à aller boire un café avec toi quand tu veux...

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