Je viens de lire dans un roman hier dit à travers la bouche de quelqu'un ayant pas mal vécu: la réalité d'une situation n'est jamais aussi importante que la perception qu'on a de cette réalité.
En relisant aujourd'hui, ce que j'avais écrit il y a dix ans sur les hommes ayant compté dans ma vie (publié aujourd'hui dans le Retro-Blog), je me suis rendu compte combien c'était vrai dans mes relations et souvenirs relativement à chacun d'eux. En plus, ce n'était pas ce qu'il m'ont fait, dit, ou ce que nous avons ou non fait, ou le temps passé ensemble qui les a rendu important dans ma vie, mais ce qui était dans ma tête, mon coeur, mon âme.
Est-ce "âme" est différent du coeur? je n'en sais rien, mais vous comprenez ce que je voulais dire. Ce ressentie qui a compté davantage que ce qui c'était passé, même si bien sûr les faits l'ont influencé - à un moment donné.
Quand on tient un rêve, on ne l'abandonne pas facilement.
Abandonner un rêve, c'est déjà mourir un peu...
RépondreSupprimerBravo pour tout ce que vous faites