vendredi 31 octobre 2008

Halloween a Londres

Ici, la fête de Halloween est une chose sérieuse, les boutiques en sont pleines des costumes, des accessoires, et il parait qu'un million des bonbons à offrir sont achetés pour les "trick or treat".

Des chiens interdits, des enfants devraient être accompagnés par un adulte, bien sûr il ne sera pas le cas à chaque fois.

Que des préparations, tant pour les costumes que pour les masques mais aussi pour indiquer qu'une maison est prête à les attendre.

"Mais n'allez pas frapper sur les portes des vieux et leur faire peur!" conseille un article dans le journal régional.

Ce soir!

En attendant, je suis allée prendre des photos dans des boutiques et presque acheté un masque m'ayant séduit. Finalement, je n'ai pas dépensé 5 livres dessus, mais je n'ai eu aucun problème de conscience de les donner pour un livre.

Toutefois, voilà mon masque "rouge", au moins, prise sur l'image.

London Halloween
Pour la réussir, j'ai dû faire deux images, puisque j'aimais la juxtaposition avec les deux masques différentes.

La noir était trop foncé quand le rouge était bien, le rouge trop pâle quand le noir était bien visible. En recopiant une partie de l'image sur l'autre, j'ai obtenu finalement mon image "tel que mes yeux l'ont vu".

C'est cela qui est important, n'est-ce pas?

On ne se laisse pas devenir esclave du caméra!

C'est possible, toutefois, que faisant d'autres ajustement sur le caméra j'aurais obtenu presque la pareil, qui sait. Je me donne le droit, en tout cas de jouer, filtrer, combiner, mes images, ne disant jamais "c'est la vérité, la caméra photo le prouve."

C'est MA vérité.

Tout comme les textes que j'écris. Tel que je les ressens, je les perçois. Tel que j'ai envie les raconter.

jeudi 30 octobre 2008

Une journée idéale

Que voudriez-vous faire, comment voudriez-vous passer votre journée idéale, votre journée rêvée?

C'était la question que j'ai lu ce matin et à laquelle j'ai tâché de répondre.

Certaines choses je n'ai pas pensée du tout, même si la question vous permet, dans la description d'une journée rêvée parfaite, d'aller n'importe où. Malgré le temps un peu plus froid, je n'ai pas envie d'être ailleurs qu'à Londres.

Me réveiller tôt le matin, comme d'habitude, et non, je n'aime plus prendre mon petit déjeuner au lit comme avant, et non, je n'ai pas besoin de quelqu'un non plus pour me l'apporter!

Un café et un petit pain au céréale, avant presque ouvrir les yeux, mais ces jours-ci, je les prends dans le salon. Encore mieux, un petit dej avec mon fils! Comme ce matin.

N'importe la nuit, n'importe le froid, n'importe que je n'ai pas eu le temps d'écrire le blog. Je me suis engagée, moralement, d'en écrire une chaque jour et le fait avec beaucoup de plaisir, mais non de l'écrire dès le matin.

Dès le matin, je fais maintenant mes trois pages, je vais nager aussi tôt, j'adore nager quand il n'y a presque personne d'autre dans le grand basin! Comme ce matin.

Hier, je n'ai pas eu le courage de sortir le matin, j'ai ratée mon réunion Weight Watchers, j'ai... enfin, non, hier n'était sûrement pas une journée rêvée. Mais ce matin, aussitôt après la visite chez mon fils j'y suis allée. J'ai même nagé avec plaisir! et un peu plus que d'habitude.

Quoique arrivera dans la journée plus tard, le début c'était bien comme mon rêve de matinée idéale!

Hier, en revenant, après que je me suis rendue compte que c'était trop tard pour ma réunion, j'ai pris la photo que voici des deux potirons rigolos dans la vitrine d'une boutique des fleurs. Avant hier, après avoir cherché longtemps dans la nuit et sous la pluie, le lieu de rencontre, après m'être perdue et allée au rond trois fois au moins, je les ai trouvé. Après une rencontre qui n'était pas du tout comme je l'avais imaginée, nous sommes allées dans un pub.

J'ai pris des photos dans le pub et je suis revenue contente. Ma passion satisfaite. Une fille magnifique venue d'Allemagne et un monsieur lisant dans le pub: on fait tellement des choses ici dans les pub, à côté d'un choppe de bière ou, plus rarement un verre de vin! Seule, je ne suis pas encore entrée dans un pub, même si je le pourrais, mais avec des copains, c'était fantastique!

J'ai même bu un peu de bière, qu'un d'eux m'a passé dans un verre. Et eux, pourtant photographes avec énormes caméras et grand équipement, n'avaient pas envie de prendre des images dans le pub.

Probablement, en Inde ou ailleurs, c'était plus amusant pour eux que dans un pub, qu'ici on fréquente comme en France les cafés. Pour passer un peu de temps, regarder un match en compagnie et, en demandant au bar, boire un petit (petit?) bière.

Le soleil brille dehors, il fait chaud à l'intérieur. Je me sens merveilleusement après 40 minutes de natation. Et je ne sens pas - pour le moment au moins - que mes capacités "intellectuelles" ont diminués avec l'âge. Je suis en train d'écrire. Communiquer.

Ma matinée déjà était idéale!

J'ai aussi la joie d'avoir été invitée regarder les feux Bonefire Night, samedi prochaine, le 7 novembre, ensemble avec d'autres. Il sera tout près sur le Heath permettant à voir très bien. Mais encore davantage je me réjouis d'une excursion que nous ferions ensemble avec quelques autres que je ne connais pas encore, à Rochester le 6 décembre.

Charles Dickens a écrit là les dernières temps de sa vie, et deux fois par an la ville fête Dickens, se déguisant avec costumes de l'époque et musique d'époque. Peut être bien, même des saveurs d'époque.

Je n'y suis pas et je ne sais pas du tout si ce jour-là serait ou non "idéale" pour moi, mais j'ai déjà le plaisir anticipé!

J'adore voyager, et une heure de train va nous prendre non seulement dans une autre lieu, près de la mer, mais aussi dans une autre époque!

mercredi 29 octobre 2008

Retour chez moi

Est-ce qu'on peut avoir plusieurs "chez moi?"

En mettant ce titre, soudain, je me suis rappelée que j'ai encore le sentiment que la petite maison de la région parisienne est aussi "chez moi" même si cela me parait de moins en moins.

Chez moi, ici, à Londres, je peux retourner de différentes manières. Cette image montre l'une qui longe tout près des immeubles et pas la rue. J'aime bien la prendre, je me sens plus près déjà, même si j'ai encore une petite chemin à faire, l'immeuble où j'habite étant à bout, et même là, seulement la deuxième entrée après le coin.

J'adore observer les traces d'automne autour de chez moi.

Je n'adore pas l'article de Times, lu très récemment, qui en prétextant parler de la différence entre les deux futurs présidents américains, ceci n'est pas mon affaire, parlait des vieux gens comme s'ils ne pouvaient plus apprendre!

Il affirmait même que nous avons les cerveaux diminué et rien de nouveau n'y pénètre plus! Enfin, c'était ce que j'avais lu du long article, scientistes à l'appuie.

Hélas, on peut tout prouver en utilisant certain généralisations!

Je sais bien que tout cela n'est pas vrai! Même s'il existe des gens âgés oubliant, n'apprenant plus, il existe tellement des jeunes aussi ayant cessé d'apprendre et évaluer dès très jeune âge!

Non seulement j'ai énormément appris depuis les dernières quatre ans, mais je n'ai jamais arrêté à apprendre. D'accord, tout doucement, mais je n'étais jamais rapide à piger.

Et mon arrière grand mère, à 94 ans, vingt de plus que moi maintenant, continuait à apprendre, être intéressée par ce qui l'entourait, ce qu'elle écoutait au radio, non, je proteste contre l'article. Différemment probable que les "jeunes" (quand devient-on 'vieux'?) mais nous avons tout à fait la capacité tant à apprendre que d'agir:!

Moins vite, moins précipité, mais je tâche de continuer mon chemin tout en essayant de continuer à regarder autour.

mardi 28 octobre 2008

Bonapartes a Watterloo

Hier, j'ai pris le bateau pour aller de Greenwich à Embarkment, centre Londres.

Au retour, en me promenant vers l'autre côté de la rivière, apprenant davantage sur le bord de la Tamise, je suis revenue finalement avec le train, de la station de Waterloo.

J'ai tombé sur le café restaurant "Bonapartes", à Watterloo!

J'aime bien la lumière verte que cette photo m'offre, c'est à l'intérieur de la gare centrale. Pour aller à Watterloo Est, d'où partait mon train, il y a encore un long chemin.

Le retour n'était pas fameuse, j'ai dû en plus attendre longtemps le bus une fois arrivée, et il faisait froid vers 11 heures de soir, mais la promenade au long de la Tamise la valait!

Entre Royal Festival Hall est le National Theatrer, non seulement un librairie (je me suis tenté et trouvé deux livres intéressants sur l'écriture) mais aussi des murs sombres pleines de graffitis, et bien sûr, pas loin, les magnifiques lumières et réflections de la nuit: quelques images à voir, les autres suivront demain.

lundi 27 octobre 2008

Il y a deux ans

Il y a deux ans, à Noël, vent de fin d'année à Argenteuil.

Je suis allée prendre des photos et j'ai prise quelques unes, entre autres d'elle qui s'était prêté volontiers à être prise. Je voulais aller leur donner les images, mais entre temps ils sont parties ailleurs.

Cette photographie est restée longtemps sur la carte mémoire, tombé sous le lit probablement.

Je viens le retrouver la carte, et j'ai pris quelques images en l'utilisant, ne sachant même pas qu'en même temps je retrouverai quelques images d'anciens temps.

C'est l'image qui m'a plu le plus entre les dix récupérés.

The objects he likesQuelle plaisir de trouver, de temps en temps, qu'on avait fait quelque chose me semblant bien, même après le passage de temps!

Hier, j'ai eu la visite de mes deux petits enfants (et mon fils et l'autre grande mère), mon petit fils a demandé l'appareil photo et pris quelques images "des objets que j'aime le plus chez toi" me dit-il. "Oui, mais seulement ici, dans la même pièce".

Il est allé quand même dans ma chambre, et avant que je me rends compte, il a pris cet image que j'aime beaucoup.

Il a vraiment "les yeux pour voir, observer" et de plus en plus déjà le talent et connaissances pour le montrer.

dimanche 26 octobre 2008

Londres - Paris et retour

Que des choses je n'es-je pas vécue en seulement quelques courtes journées! Départ de Londres, Blackheath Standard place à trois heures et 20, je dirais, milieu de la nuit, mais c"était déjà le matin pour moi, puisque je m'étais couchée très tôt.




Je n'ai vu de Paris que la rue devant la Gare de Nord, mon copain Michel m'a tout suite invité boire un café et ensuite plongé dans les métros (trois changement) pour arriver à mon bus direct vers Argenteuil.

Presque mon seule image "parisienne"
Arrivé chez mon ancien antre, je l'ai trouvé très sympathique, une fée est passée par là. Avec son mari, ils ont rangé les pièces que j'avais laissé un peu trop précipitamment, au milieu de la nuit, il y a trois mois.

Au fur est à mesure, j'ai découverte d'autres et d'autres attentions dont ma voisine m'a comblée, me rendant le séjour si crainte plus que agréable. Des draps fraîchement lavés remises à place, l'air de-humidifié et parfumé discrètement, une évier si propre que je n'ai eu pendant sept ans, une baignoire étincelant m'attendant à plonger dans l'eau chaude, à ne pas parler d'après mon arrivée!

Quelle bonne cuisinière et quelle famille accueillante, je me suis sentie même gênée d'autant d'attention, tout en me laissant être gâtée comme depuis très très longtemps je n'avais jamais été.

Non seulement, j'ai mangé à midi chez eux, et quelles repas en même temps légères et fraîchement préparés, pleine des choses que j'aime beaucoup, mais même de la soupe de légumes avec pâtes fraîches faites par elle dans un bol pour le soir, chez moi.

Elle est venu même avec moi pour me conseiller dans mes achats, et enfin, je ne peux pas décrire tout en détail, mais oui, je me suis sentie très chérie pendant ce séjour!

Et monsieur Wladislaw m'a reconduit avec son épouse jusque la gare de Nord, interrompant, je crains, leur repas de midi samedi pour que j'arrive à l'heure!



Impressions de marché à l'Argenteuil, à l'intérieur ou l'extérieur.
J'ai retrouvée ma branche d'automne, mais forte fatiguée déjà, en fait la branche coupée par mon petit fils n'est pas vécu, mais la pousse à côté commence à grandir.

Je suis allée voir mes copines de Weight Watcher's Argenteuil, ayant la joie d'avoir perdu quand même 22 kilos depuis septembre l'année dernière. Bon, les rayons de soleil rasants exagèrent, mais je les laisse faire.

Juste avant partir, une jeune fille passant, n'habitant pas loin, nous demande si on veut qu'elle fait une photo de nous: la voilà.

Une dernière souvenir sur papier, mais en fait la souvenir, inoubliable sera dans mon coeur surtout pour les milles petits attention avec lesquels mes voisins m'ont entourées, aucune photo ne pourrait jamais leur rendre justice.

La jeune fille nous ayant photographiée et, je crois, ses soeurs "moi aussi!".


Des Argenteuillais, nouvelle génération, très sympa toutes les trois.

La dernière image de ce matin, avec quelques fringues "extra" avec lesquelles je me suis gâtée moi-même et qui sont un plus, des choses que je n'avais jamais eu en soixante quatorze ans.

Je me suis amusée comme une gosse en les achetant et les photographiant aussi. Ainsi, au moins, quelqu'un pourras les voir.

"Le médecin aussi" me dit-elle. Non!

Ce n'est pas le médecin, mais pour mettre une sourire mystérieuse, de temps en temps sur mon visage.

Pour marcher un peu différemment, de temps en temps. Pour me rappeler à moi même que, même à 74 ans passées, je reste encore femme.

samedi 25 octobre 2008

Venir, partir

j'ai écrit une note qui a disparu, a l'arrivé je vais recommencer.

Juste pour dire que l'acceuil d'ici m'a laissé une chaude souvenir innoubliable.

vendredi 24 octobre 2008

A mon riythme

Je ne sais pas courir, me dépêcher, je n'ai jamais su d'ailleurs. Ni au propre, ni au figuré. Je sais m'accrocher, persister, j'avance doucement a mon propre rythme.

En tout cas, cela ne sert a rien à me comparer aux autres, plus rapides, plus talentueux, plus... que moi, la seule être a laquelle j'aime bien me comparer et moi même. Mesurer la distance parcouru, l'avance en photographie, ce que j'ai réussi à accomplir. Bientôt, quatre année de blog, 26 000 images publiées sur la site filckr, des copains rencontrés et d'autres qui, en commentant ou me demandant des questions, me donnent pleines des idées.

Pourquoi tu fais des photographies?

On me l'a démandé récemment, et depuis, je trouve des réponses différentes et nouvelles, chacune vraie d'ailleurs.

La photographie, comme jadis - et encore - l'écriture, est devenue une passion, une grande plaisir. Mais en plus, elle me permet de rencontrer des autres, parler ne soit que quelques instants. La photographie, m'a ouverte les yeux nettement plus grandes sur tout qui m'entoure. Depuis, je regarde beaucoup plus attentivement avec ou sans appareil photo, ce qui m'entoure. Les gens, les feuilles, tout qui est autour.

Je m'enfuis nettement moins en moi même ou dans les bouquins, même si certaines livres me permettent aussi une ouverture. Je voyage aussi à mon rythme. J'ai bien réussi à résoudre tout ou presque qui était en suspense, j'ai rencontré des gens extraordinaires, je n'ai pas "vu" Paris, cette fois-ci.

La procaine fois.

jeudi 23 octobre 2008

Retour

On n'ose pas souvent retourner en arrière, regarder ce qui était avant, pourtant des fois, c'est très agréable.

Je suis non seulement retournée en France, dans mon ancien antre, et avait été chaleureuselment entourée, non seulement ce matin pleines des mémoires des anciens départs m'ont expliquée mon départ un peu précipité il y a trois mois, mais je suis retournée ce matin à une réunion Weight Watchers, avec mon animatrice préférée, Fqbienne.

Quelle plaisir de se rappeller que j'ai réussi effectivement perdre 20, voir 21 kilos depuis l'automne dernière! Me rappeller à cette occasion la difficulté que j'avais de sortir de la piscine, au point que je n'oseais même pas y aller!

Mesureer le chemin parcouru peut être très bon pour le morqal. Je repartirai avec netttement plus de courage.

mercredi 22 octobre 2008

Bien arrivee!

Partiie de chez moi trés tôt, vers trois et 15 minutes, en prenant deux bus de nuit, je suis bien arrive et à temps a la gare et de là me voila a Paris, pour quelques jours.

Quelle chqnce d'avoir des voisins ultra sympa prépqrqnt mon qrrive et m'qcceuillqnt si bien!

Et moi, qui avais peur de retourner!

L'image vient encore du marche que j'ai découverte après avoir hier vérifié ma route avec les bus, puisque j'aime bien prendre des risques, d'accord, utiliser les bus de nuit, mqis avec mesure. Savoir quand meme où je mets les pieds.

Autant que possible.

En voulant ensuite aller voir un expo photo, qui n'étqit pas la, j'ai découverte un quartier et un marché sympa, pas très different de la France, finalemment.

Selon les quartiers, il y en a des diffferents. Comme des gens. aussi.

mardi 21 octobre 2008

Relations, contact

J'ai regardé mes dernières trentaine d'images, oui, la photographie me permet d'entrer en relation avec les gens.

Je ne me "cache" pas du tout derrière mon camera.

Je commence à ne pas les connaitre, mais on partent, eux et moi, tout à fait différement. Au début, il y a un certain méfiance, mais avec le temps, et en parlant, l'atmosphére se rechauffe.


DSC00957
Rien de plus évident que la femme qui était là avec ces deux filles, regardant d'abord avec méfiance ce que je fais, (et seulement maintenant que je vois que son mari regardait aussi, de loin, puis souriant timidement, vers la fin, en posant et pour finir, posant avec son mari, tout fier d'elle.
proud to be her husband
De sa femme, de l'image? En tout cas, j'adore son image tout contant parait-il de lui même. Non, de son épouse. Que elle était remarqué comme quelqu'un d'intéressante, je crois plutôt.

Jusque j'ai terminé à écrire ceci, j'espère que les images seront aussi entre "les dernières" au moins pour quelques jours.

Je pars demain à 4 heure de matin.

En sortant un peu avant quatre, j'espère arriver à temps pour rattraper mon premier train qui partent de Londres et arriver à Paris tout suite après neuve heures.

Une nouvelle aventure commence pour moi, un retour dans mon passé. Ce n'était pas si loin, pourtant, il me parait énormément éloigné, curieusement.

lundi 20 octobre 2008

Joie de vivre

J'ai eu une dimanche extraordinaire au Centre Londres, hier, rencontrant des gens fantastiques, autant au Royal Festival Hall, que plus tard, allant seule au Trafalgar Square et me faufillant au milieu de la foule, la plupart d'origine hindou.

Que de joie de vivre dans ces femmes, dont la vie ne doit pourtant être trop facile, ni ici ni, pour celles pas née en Angleterre, là.

Ceci est mon portrait préféré, je crois, mais c'est difficile à choisir, et je dois partir. Regardez les images à côté, eventuellement, cliquez sur un, pour une fois je suis fière (une fois?) de ce avec quoi je suis revenue. Et je porte toutes ses femmes, de enfant à plus âgé, dans mon coeur.

dimanche 19 octobre 2008

Happy Diwali!

Il y a l'année nouvelle juive, chinois, le Ramadan, et curieusement bien sûr, un peu après Noël, l'année nouvelle "pour nous". A Londres, on fête aussi, et sur la grande Trafalgar Place (aussi) la nouvelle année Hindous, Sikhs et Jains.

Comme dit le maire nouveau et blond de Londres, Boris Johnson, c'est une festival avec les thèmes de paix, de renouveau et coopération, où tous les différentes communautés sont invités.

Aujourd'hui, j'ai rendez-vous avec mon groupe portrait, à Royal Festival Hall, vers midi et demi, pour prendre des portraits en noir blanc, mais bien sûr, ayant découvert à travers un autre group sur ce festival hindous, je vais y aller et rester au moins autant, que mon énergie me le permet.

De trois vers quatre et demi, danses circulaires, tous sont invités. Ensuite, cérémonie des lumières. Puis danses des différentes styles. Et dire, que pour peu, si je n'aurais pas cherché "flickr" comme mot dans les Meetup groups, j'aurais manqué tout cela!

J'aurais voulu bien sûr, aller avec le group et visiter d'abord le temple au Nord de Londres, mais je ne pourrais pas cette fois, je vais donc y aller seule sur la place devant la Gallérie Nationale. Si par hasard j'ai de courage même entrer: il font des circuits spéciaux montrant la célébration et l'importance de la lumière en divers civilisations à travers les tableaux.

Non, je ne vais pas m'ennuyer ce dimanche!

Et hier, j'ai lu un roman fantaisie, tranquillement à la maison, mais j'ai fait aussi deux trois photographies pendant que j'allais demander un certificat de l'oculiste qui ne me l'avait pas donné. Ombres et lumière, aussi.
BW & color_0221nbBW & color_0218
Discussion très agréable avec l'homme qui nettoie nos rues et devant l'église encore plus: il est un membre assidue.
Color for the fall leaves
5 jours de festival, chacun avec sa signification.
1e, prière et offrands au dieu de abondance
2e, défait d'un roi ayant finalement libéré milliers des femmes
3e, illumination et le vrai Diwali, célébrant le retour d'un bon roi, départ de l'autre mauvais
4e, Nouvelle an Hindous, temps de réconciliation et pardon, (tout comme le Yom Kipur donc)
5e le jour des frères et soeurs, chaque frère prend de temps à visiter sa famille, ses soeurs.

Cela pour les Hindous.

Les Sikh expriment leur joi pour le retour d'un guru e n1620 que l'empereur avait mis en prison, en illuminant la route vers le temple dorée.

En tout cas, c'est le festival de bonne entente et lumière, dans laquelle, j'espère participer cette année si peu que cela soit, ici, à Londres, avant de me mettre sur le chemin et retourner pour quatre jours à Paris.

samedi 18 octobre 2008

Prendre avec sourire

Que c'est important de continuer à sourire, n'importe quoi la vie nous jette sur nos chemins!

Margo, administre les trois immeubles dans lesquels j'habite, actuellement. Toujours le sourire au lèvre et sympathique, elle aime aussi s'occuper des fleurs, ce qui n'est pas du tout son travail. Pourtant, sa vie est lourde.

Depuis une année, son mari pratiquement sans bouger, nécessite un soin comme un bébé, non seulement le porter au docteurs, mais même l'habiller.

Je les ai rencontré il y a quatre jours, il était sur une chaise roulant et tout courbé, à peine se rendant compte de ce qui se passait autour et ne répondant qu'avec les yeux quand on lui parlait.

Fall and shadows-2Margo continue à sourire à la vie, malgré tout. Je ne sais pas bien d'où elle prend cette force intérieure.

Je dois apprendre d'elle. Je tremble, depuis que j'ai appris hier que j'ai un début de cataracte et que un de mes yeux est devenu fort différente en vue que l'autre.

Je sais, je sais, ces jours-ci, même si un jour va devenir nécessaire, le cataracte s'opère, en général avec succès. Cela ne me rassure pas vraiment, pour le moment. La vue, c'est tellement importante pour moi!

En revenant vers la maison, l'arbre d'automne était inondé de soleil, ombre et lumière et tremblant sous le légère vent. J'ai pris une vingtaine des images de plus loin, de plus près, émerveillée.
Sun at fall-1
Je sens que mes ailes poussent, j'ai autant besoin de savoir que cela peut continuer encore. Au moins, un certain temps.
Fall and shadows-4
Je prendrai exemple de Margo, sans perdre mon sourire! M'amuser, prendre la vie à pleine dents. Tant que possible. Aussi longtemps, que je le peux.

vendredi 17 octobre 2008

Père et fils

Je suis sortie hier "chasser l'automne" encore et me régaler de ses couleurs, m'aérer aussi.

D'abord, je suis retournée à "ma branche, arbre d'automne": toujours pas de soleil. Peut-être vers midi? Ce n'est situé ni à l'est ni à l'ouest comme mes fenêtres, mais à Nord, c'est ainsi que je me suis rendu compte de la chance que j'ai avec mon appartement.

Après quelques photos vers haut, vers bas, en emportant un peu de l'automne avec moi, je me suis dirigée vers la Lande (heath), l'espace "vide" mais entretenue, soigneusement, même si une partie est fait de l'herbe soigneusement coupé et des bouts laissés en apparence naturelle.

Sur la route, j'entends parler français. Ce père et son fils allant au même direction que moi. Nous commençons à discuter, il n'habite pas loin, il est de Paris, mais à Londres depuis deux ans.

- Vous travaillez où?
- Je ne travaille pas. Depuis qu'il est né, je m'occupe de lui, il dit, montrant fièrement vers son fils. C'est ma femme qui travaille, ajoute-t-il. Et vous?

J'ai raconté un peu de moi, puis il m'a conseillé me promener au parc de Greenwich. Il n'y allait pas, lui non plus là ce jour, mais ils allaient visiter un copain de son fils.

Après leur départ, je me suis assise sur un banc à regarder l'espace vide devant moi, pratiquement impossible à rendre en photo. J'ai essayé en vaine. Tranquille, pratiquement plus personne ne passait par là à cette heure. J'ai pris encore une photo du banc avec mon ombre.

Au retour, j'ai discuté avec un ouvrier de construction, sympa et j'ai pris une photo de lui, puis encore des feuilles multicolores, dans les arbres, brillant de la lumière transparaissant ou par terre, pas encore ramassées, récemment tombés ou là depuis quelques jours.

Au début de l'automne, on les ramassait au fur et à mesure, maintenant, ils doivent attendre qu'il y en a plus qui s'accumulent. Heureusement, pour le photographe!

Je suis partie un peu troublée, je suis revenue revigorée - et avec une centaine d'images à traiter, à jouer.

Une question m'a été posée hier, par une lectrice nouvelle: pourquoi j'aime faire des photographies? Il y a plusieurs réponses possibles.

La première: elle me permet à m'exprimer. C'est une moyen d'expression supplémentaire. Elle me pousse à regarder le monde autour de moi avec plus d'attention. M'approcher des gens, leur parler davantage. Observer la nature et les interactions.

En plus, il ne faut pas être parfait dans le langage, grammaire, orthographie, pour l'utiliser. Quoique, avec le temps, j'ai appris que la photographie, les images, ont aussi leurs propres langage et règles. J'ai appris mieux composer, regarder d'où vient la lumière, m'en servir un peu mieux.

Pour moi, l'écriture et la photographie vont ensemble, se complètent l'un l'autre. Dans les temps, on mettait des dessins dans des livres, selon mon opinion, on mettra de plus en plus des images, dorénavant.

Tout ces arguments vient de ma raison, mais en fait, tout comme l'écriture, la photographie est devenue ma passion.

jeudi 16 octobre 2008

L'automne, où?

Ce mois, on chasse des ombres, dans le groupe Afterclass, mais je suis partie hier, vers la réunion Weight Watchers en chassant l'automne.

Que des merveilles découverte sur ma route!

Mais, mais, c'est quoi? Souvenez-vous de ma branche d'automne, me donnant tant de plaisirs (tant que mon petit fils ne l'a pas coupé l'année dernière)? C'est ma branche d'automne.

Est-ce la même?

Non, je ne suis pas encore à Argenteuil pour voir si la branche a repoussé, plus ou moins, mais je viens de découvrir, devant la maison voisine, la fenêtre d'une charmante demoiselle qui m'a vu en prendre des photos et m'a dit à travers sa fenêtre: "oui, c'est magnifique, n'est-ce pas?"
Fall hunting-110
C'est tout à fait la même espèce, sauf qu'il n'y a rien autour et qu'il a poussé, devenant un arbre. Il y a quelques années, quelqu'un a du décider le mettre là, mais j'ai l'impression que ce n'était pas la demoiselle qui habite maintenant là, ayant la fenêtre qui y donne;

En tout cas, dorénavant, chaque jour que je passerai, je regarderai plus près l'arbre, il était nuageux hier, mais je vais l'attraper un jour aussi sous soleil!

En attendant, j'ai trouvé aussi pleines des autres merveilles. J'ai pris, comme d'habitude plus de cent photos, entre autres cinq gens qui m'ont répondu "pourquoi pas, bien sûr, vous pouvez:!"

Une femme au Weight Watcher: sa fille va au même école que mon petit fils. Une dame âgée réglant la circulation à la sortie d'école; et bien sûr, quand je dis "âgée" c'est relative à moi: elle paraissait avoir au moins dix ans de plus! Une fille secrétaire à un garage avec des yeux bleu claire magnifiques, un garagiste ailleurs qui est prête a venir faire démarrer ma voiture et dans une heure ou deux y mettre un batterie.

Pourtant, pour une fois, c'était les feuilles d'automne qui ont dominé dans mes photos et, peut être même dans mon coeur.

Quand j'étais jeune fille, je comprenais pas bien pourquoi maman aimait tellement l'automne, aller dans un forêt, cueillir des feuilles rougissant. Comment on peut aimer tellement cette saison, je me demandais, alors.
Fall hunting-118
En fait, chaque saison de l'année, comme chaque période de notre vie a ses propres merveilles.

mercredi 15 octobre 2008

Preuve

J'ai rencontré lundi soir, en passant par le pont piéton deux charmante dames se photographiant l'une l'autre et je leur a offerte de prendre une image ensemble.

En plus, j'ai expliqué qu'en utilisant la flash lente elles peuvent faire pour qu'on voit tant elles tant ce qui est derrière, les lumière du quai appelé Embarcadere.

Elles étaient enchantées non seulement des deux images que j'ai pris d'elles, souvenir que l'une avait effectivement visité avec sa cousine Londres et vu ses illuminations, mais aussi d'avoir appris quelque chose nouvelle sur leur appareil, acheté il n'y a pas longtemps.

Aussitôt, elles ont offerte de prendre une image de moi, avec mon appareil Sony. La voilà, la preuve que j'y étais moi aussi, la preuve que je suis à Londres, la preuve que j'ai passé le pont piéton le nuit.

Plusieurs fois dorénavant!

C'est aussi de cette embarcadère que j'ai pris une fois le bateau mouche allant à Greenwhich. D'aun côté de pont se trouve le Royal Festival Hall, où je vais tous les lundis soir, et un peu plus loin la gare où on arrivait avant à Londres; de l'autre côté se trouve l'Embarcadère, la gare Cherring Cross et Trafalgar Square avec Musée National.

Je commence à connaître le centre de Londres!

Bien sûr, et heureusement, j'ai encore pas mal des découvertes à faire. Doucement. Lentement. Lundi soir à Londres, Mardi matin natation et promenade vers la maison à travers le parc de Greenwich, tout était merveilleuse, mais mardi soir je me suis effondrée de fatigue: je n'ai pas eu l'énergie d'aller à la rencontre de Bookcrossing (échange des livres gratuits) près de Watterloo.

Je me suis endormie, c'est une première, à six heures de l'après-midi pour ne pas me réveiller qu'à cinq ce matin!

Mais presque aussitôt réveillée, "j'ai pris le courage dans mes mains" et je me suis commandé des billets de train pour aller la semaine prochaine à Paris!

J'avais peur d'y retourner et ma voiture ne démarre plus, mais ca y est: mercredi matin j'arrive! Je me sens prête à affronter ce que j'étais avant, où je vivais avant. Mais aussi, ravie, revoir mes voisins. Mon jardin, ancienne jardin? Peut être, ma branche d'automne a encore conservée quelques unes de ces feuilles rouges.

mardi 14 octobre 2008

Lumières sur la Tamise

Comme chaque lundi soir, nous nous sommes réunis a la quatrième étage de Royal Festival Hall. Je trouve toujours fascinant que pendant que le concert a lieu à l'intérieur, on peut utiliser les divers halls comme on le souhaite. Ou presque.

Dans un coin, les gens lisent, dans l'autre bavardent. Encore un corridor plein des gens se liant à l'Internet à travers leur ordinateurs portables. Et nous, à notre disposition tables et chaises pour notre réunion.

C'était une réunion festive, moitié de chemin parcouru: six semaines depuis que nous travaillons utilisant les suggestions du livre Artist's Way. Si on fait abstraction de combien de fois elle met Dieu dans ses phrases, ses suggestions et exercices sont utiles

Nous avons commencé à nous connaître, faire confiance l'un à l'autre, et cette fois tous ont porté quelque chose produit par eux, quelque chose cher à leur coeur.

Un des hommes, nous a offert un CD avec musique joué par un bande dans lequel il participe: "comme dans ma jeunesse" il a dit. L'autre homme a apporté des objets qu'il créé, mais nous a aussi lu deux de ses poèmes. "Je n'avais dit à personne que j'en écris, autre qu'à trois ou quatre qui en écrivent aussi." Il est professeur d'autronautique et dirige notre groupe.

Une des filles a apporté un crochet qu'elle a fait depuis une semaine: "pour ma grand-mère". L'autre a préparé un gâteau au chocolat, mais nous a montré aussi le premier aquarelle qu'elle a dessiné enfant et le cahier où elle collectionne des dessins vêtements. "J'ai décidé à faire davantage comme dans ma jeunesse pas seulement comme mon métier me le demande."

J'ai porté des photos, quelques anciennes, d'autres neufs. "On voit une différence" m'a dit l'une d'elle. L'autre, après que j'ai parlé de groupe Afterclass et des ombres, a ressortie enfin le cahier qu'elle avait apporté: il contenait des photos d'ombres d'elle même, très réussis! Elle viendra les montrer a notre groupe flickr!

"Synchronisme " me dit-elle. Quand on a envie, quand on se met en route, quand on ose, quand on s'ouvre, les portes et possibilités s'ouvrent aussi. J'ai l'impression que nos réunions nous réussissent, d'une façon ou l'autre à tous.

A la sortie, j'ai pris de nouveau des photos de la rivière et ses lumières scintillantes, je vous en offre deux très courtes exemples, les seules vidéos que j'ai "tournée" entre une soixantaine des images que je n'ai pas même eu le temps encore à regarder.

Elle profite du soleil d'automne

Dimanche après-midi, j'ai regardé stupéfaite dehors. Entre les immeubles, il y a un bout de l'herbe et quelques arbres, et voilà ce que j'ai vu.

Cachée par le chapeau, je n'ai pas vu le visage, qu'importe!

La robe, la relaxation, le fauteuil vide à ce moment-là au moins, tout me paraissait comme un tableau!

J'ai pris rapidement mon appareil, ceci est pris en agrandissant cinq fois pour éliminer les immeubles qui l'entouraient. Ainsi, il ne reste que la pose de relaxation. Plus je regarde l'image, plus j'ai l'impression que si je l'avais demandé à poser, je n'aurais pas pu la placer mieux.

Plus tard, un homme âgé s'est assise sur le deuxième chaise longue, puis c'était elle qui est partie pour revenir en pantalon. Moi, qui aimais tellement sa robe! Et puis, elle a déplacé sa chaise, maintenant en ombre, pour une autre place encore dans le soleil.

Je ne suis pas sortie dimanche, mais c'était le cinéma, mon cinéma pour l'après-midi.

Bonne nouvelle! Ma belle-fille est venue en visite et depuis, l'encre de mon imprimante marche: j'ai même imprimé déjà cette image, renforcée!

Je voulais être en sa place! Etre si mince, si jeune, avoir une robe si belle, et en plus, oser me placer au milieu des immeubles pour faire la plage!

lundi 13 octobre 2008

Découvrir

En fait, le Musée Brittanique, contenant livres, statues et objets arrivés de tout le monde, a des innombrable salles et chambres. Jusque maintenant, autre les halles principaux, je ne suis entrée que dans trois ou quatre, et encore surtout la dernière fois.

Il faudra y retourner.

Chaque chambre peut révéler quelque chose d'autre. Samedi, en fait, voulant rester dans la lumière naturelle qui était sensé être la thème de notre rencontre cette fois-ci, je ne suis entré qu'une fois, prenant cette photo qui représente en fait pourquoi le musée est là.

Expliquer, écouter, comprendre.

La deuxième fois, j'ai bavardé avec la "vieille dame", ah oui, plus âgée que moi, et la troisième, je suis entrée dans la salle des pharaons en cherchant la sortie.



Tellement des choses se passaient dans les énormes salles d'entrée aussi! Entre autre, bien sûr, les gens venus de Portland je crois, habillées en authentiques (comme si) habits des chevaliers. Ils étaient sympathiques, de tous les âges, et très fier de poser avec des gens qui les demandaient.

De plus en plus les gens viennent avec leur caméra et ce qui se passe, laisser une trace, les intéresse autant si pas plus que ce qui trouvent des anciens temps. Puis, laisser une preuve qu'ils étaient bien là, qu'ils ont bien rencontré les gens vêtus comme autrefois.

Après un samedi mouvementé, je ne suis pas sortie hier que faire des courses. Je n'ai pas réussi, pourtant j'ai passé des heures à essayer, faire repartir mon nouveau imprimante Epson. Après des longues minutes, j'ai réussi lui mettre des nouvelles encres, qu'il refuse comme "pas authentiquement Epson"! On aura tout eu! Même une machine disant se que je dois faire, une fois acheté! Refusant m'obéir, repartir, imprimer.

Aucune idée, si l'encre était "authentique" ou non, je l'ai acheté en même temps que l'imprimante, on me l'a conseillée comme bon pour cette imprimante-ci.

Ah oui, que faire? J'avais envie le jeter par la fenêtre de mon deuxième étage. Heureusement, envie et fait, sont deux choses différentes. Mais au moins dans ma tête, l'imprimante volait déjà, hélas, vers ma voiture juste devant, tombait par terre, s'écrasait.

Vivement, mon imprimante Canon, en cinq ans ne me donnant aucun souci, autre bien sûr, que les encres assez chers qu'il fallait y mettre. "Les encres Epson sont non seulement moins chers mais de meilleur qualité" ah? Sauf quand c'est tellement non ergonomique (dure, difficile, non intuitive) de les mettre!

Vais-je apprendre un jour?