vendredi 30 novembre 2007

Que lumière soit!

Le mois décembre je vais tenir une classe sur la lumière et ses divers influences sur une image photographiée. Il y aura tellement a dire!

Heureusement, d'ailleurs c'est cela qui m'a donné l'idée, j'avais lu juste avant de partir en Roumanie un livre de Freeman, grand experte photo sur ce sujet.

Non seulement la quantité de la lumière, du jour ou de nuit, en soleil ou en ombre, latéral ou contre-lumière, sa mesure et modifications, mais aussi le chaleur ou froideur, couleur de la lumière qu'il faut prendre en considération.

Oui, nous pensons que la lumière est "blanc" et le percevons souvent comme telle, mais en fait des fois c'est bleuatre à cause du ciel ou orangé même rouge lors lever et coucher, il change suivant des murs a côté lequel on se trouve et en général, il y a tellement a dire et montrer!
Museul Satului Bucuresti-63
Lumière du jour et son utilisation.
As you like it-7
Lumière artificiel et ses utilisations.

Il y aura ce mois aussi les lumières des bougies, au début du mois du Hanoukkah, vers le fin de Noël, et puis toutes les illuminations des fêtes autour de nous par ici.

La qualité de la lumière est différent selon que le cien est ouverte ou couverte, selon le grandeur des nuages et la poussière, en haut des montagnes ou aux tropiques. Je vais essayer tout au long de ce mois qui arrive " jetter de la lumière" sur ce sujet dans mon groupe d'études. J'aurais que faire!

jeudi 29 novembre 2007

Il ne neige pas chez nous


et il ne va pas neiger bientôt, mais près de Hunedoara, dans les montagnes de Transylvanie, les Carpathes, il a neigé déjà vers mi octobre: c'était féérique!

Heurts

Elle était si sympatique! Et si malheureuse aussi. Une des membres de conseil de la mairie de Hunedoara, enseignant travaillant une norme et demi pour gagner davantage et veuve depuis peu d'années.

Sans vouloir, juste en parlant à un moment donné plus avec l'autre (on nous a affecté a chaque délégation deux pour s'occuper de nous) je n'avais heurté. Dommage.

Les relations entre des gens sont tellement fragiles.

Je n'ai pas voulu heurter non plus hier, une entre vous, qui vient me lire. J'ai pourtant mis son prénom en évoquant ce que je me rappellais qu'elle m'avait dit et en commentant, puisque depuis qu'on me l'avait dit, j'y pense souvent. "Ne prends pas son nom en vain dans ta bouche" - elle a raison. J'aurais du dire "quelqu'un" ou alors y mettre un prénom, n'importe lequel, d'autre. Il n'avait aucun importance pour mes propos.

J'ai été heurté hier, pourtant je ne me sens pas heurtée. Peut être, parce que depuis des années, personne n'a pas hurlé sur moi. J'étais trop étonnée, stupéfaite, surtout que c'était en plein entre gens et sans raisons.

D'accord, il s'était sentit débordé. Il aura pu me dire "vous me donnerez les papiers une autre fois, quand ils seront mises en ordre". C'est tout. Au lieu de cela, il a commencé à hurler que c'était innacceptable, et dieu sait encore quoi d'autre. Mais tellement fortement, que dans la pièce a côté on l'a aussi entendu, et peut être même dans la rue, pas loin de là.

Que c'est bien que je ne dois plus supporter qu'on me crie dessus, que c'est bien que je n'ai plus un mari ou qui que ce soit d'autre, sentant le droit pour me crier dessus! Avec ou sans raisons.

Oui, j'aurais pu faire des additions aux centimes près, si j'aurais su lesquels des papiers les mettre et lesquels non, mais qu'importe tout ceci.

Dommage pour ceux qui doivent supporter des tels débordements.

Ensuite, pour se venger que j'ai provoqué ses cris - n'est pas, c'était ma faute- il s'est mis a prouver que je suis incapable de pas mal des choses. D'accord. Je suis, probablement. Je ne suis pas bon a tout. Du bon volonté j'ai, mais souvent ce n'est pas assez. C'est possible.

Je suis sortie et je suis revenue un peu émue, avec ces hurlements encore dans mes oreilles, en pleine permanence électorale en plus, mais surtout une énorme soulagement "je n'ai plus a supporter des cris de personne!"

Je pourrais éviter toujours, celui qui m'a crié dessus hier, mais je n'aurais pas pu éviter mon propre mari. A-t-il jamais crié ainsi sur moi? Oui, d'ailleurs, soyons sincères, c'était ainsi que je l'avais rencontré la première fois: il est venu hurler devant notre stand pendant une exposition.

En tout cas, il m'a reproché des tas des choses, c'est sure. Cris ou non, l'ex parait si loin que je ne m'en souviens même plus de ses hurlements. C'est aussi un soulagement en soi, ne plus se souvenir. Commencer à se souvenir des bonnes choses qui étaient entre nous, des bonnes moments et pas des mauvais.

Oui, mon mari avait crié de temps en temps, en tout cas il parlait fort et sans arrêt souvent, et sans tenir compte de qui l'entend et quoi pense de ce qu'il dit, puisque bien sure, n'importe quoi il disait, il avait raison. Il avait toujours raison. C'était "ça et pas autrement". Et c'est toujours l'autre qui est dans le tort. Comme disait mon premier mari: "je ne t'aurais pas frappé si toi..." Mais que c'est loin tout cela! Ce n'est que ce qui c'était passé hier qui les a un peu remonté à la surface.

Quand je me suis énervée la dernière fois assez pour crier sur quelqu'un?

C'était après que mon petit fils a disparu et puis j'avais réussi à le retrouver, après que dans ma tête toutes sortes de scénarios se sont passées les unes après les autres, de ce qui aurait pu lui arriver. Je lui avais demandé pardon par la suite, mais je crois qu'il m'en veut toujours un peu.

Je ne lui en veux pas a celui qui a hurlé sur moi hier.

Cette incident m'a fait comprendre combien je suis heureuse de vivre seule et indépendante et de ne plus devoir supporter des mauvais comportements envers moi. N'importe les raisons invoquées.

Cela m'a aussi appris de ne pas oublier que des heures de travail, des journées de fatigue, des bonnes volontés, peuvent tous s'en aller en fumée et ne plus compter d'un moment à l'autre. C'est la vie.

mercredi 28 novembre 2007

Notre vérité

J'avais un week-end trop tranquille à Bucarest et je suis entrée dans une librairie. En fait, je voulais acheter un cadeau, mais ils n'ont pas voulu ouvrir le livre sous cellophane plein des images de Roumanie. Alors, à la place j'ai acheté le roman En mille morceaux de James Frey, traduit en roumain.

Curieux, épais, sans aucun tiret de dialogue, écrit au temps présent. Mais bien sûr, il y en a pleines des dialogues et des lignes très courtes aussi dedans. Je n'ai pas pu le laisser, je n'ai plus eu envie de sortir, tellement sa lecture me fascinait.

Que de force il faut pour sortir d'une addiction, quel qu'il soit!

Je n'ai pas fumé, je ne bois pas que rarement, et je n'ai jamais essayé des drogues, mais j'ai eu des symptômes de manque moi aussi une fois. J'avais envie tellement de m'enfuir, retourner! Toute suite! Je tremblais, fiévreusement. Je voulais revenir sur tous mes décisions.

Non, ce n'était pas lors de ma séparation de mon mari, trop des choses se sont passés alors le dernier temps pour me donner envie de retourner, c'était lors que j'ai quitté Paul avec qui j'avais dormis blottis tout près pendant trois ans. En réalité, c'était ce qui me manquait. Pas lui. N'importe que c'était, n'importe que je suis allée jusque San Francisco pour m'en échapper, j'avais envie de prendre l'avion aussitôt et retourner à quelque chose que je savais mauvais, très mauvais pour moi.

Je tremblais d'envie.

Alors, le livre de James Frey je le comprenais, je le comprends très bien.

Hier soir, j'ai commandé son deuxième livre, celui sur son amitié. Sur le web, j'ai trouvé sa version en anglais mais aussi en français. Ces deux livres sont traduits en beaucoup des langues. J'ai aussi trouvé des discussions sur la véridicité de ses propos.

Est-ce important?

Les américains, journalistes surtout, ont trouvé qu'en le lançant comme un Mémoire, il avait trompé des millions des lecteurs. Millions! Lecteurs. En fait, qu'importe? Chacun a sa vérité, sa vérité interne, différente de ce qui est la vérité de l'autre, des autres autour de lui.

Qu'importe de quel façon s'était donnée le mort l'une, combien des jours de prison a fait l'autre, en quel façon on lui a sorti ou non des dents, était-il un aussi grand héros qu'il parait dans son livre. "C'était l'homme que je percevais dans ma tête!" se défendit-il lors d'une émission télé dans laquelle d'autres journalistes en profitant de succès de son livre se sont pris à démontrer des points où ce n'était pas "tout a fait vrai".

Un livre doit avoir des points haut, des points bas, un héros qui attirant, nous rendre courage dans la vie. Une vérité émotionnelle, sinon nous sentons faux. Frey est un très bon écrivain, avant son roman il écrivait des scenarios des films. Je n'ai pu dormir, je ne suis pas sortie de l'appartement, tant que je n'ai pas terminé son livre.

Micheline m'avait reprochée une fois que j'utilise des moyens dans mon blog pour attirer des lecteurs, que je ne décris pas la vérité de l'autre côté. Et alors? Chacun sa vérité. En plus, oui, je voudrais bien avoir des lecteurs et tant consciemment que inconsciemment, j'utilise des techniques des écrivains que j'étudie depuis des années.

Tout comme Frey, n'ayant bien sûr ni son expérience horrible ni son tallent, je décris ma vérité.

Ce que je croyais dans l'instant pour mon journal, ce dans lequel crois quand je l'écris dans le blog jour à jour. Pas LA vérité (comme disait jadis mon mari: "c'est LA vérité, il faut que tu le sais") mais MA vérité. J'espère, en moi-même que cela correspond en quelque chose avec votre vérité. Qu'une façon ou une autre mes lecteurs s'y retrouvent, le comprenne, s'y inspire.

Qu'ils ou qu'elles prennent courage d'en sortir. Sortir d'une situation qui n'est bon pour eux. En cela je suis la même que James Frey. Pour moi, après toutes ces attaques, il est devenu un héros plus attirant encore. Non, ce n'est pas une lecture facile, mais tellement forte - et inoubliable. Une lecture qui vous secoue, mais vous montre aussi l'étendu le l'amitié et cela à travers tout l'échelle sociale acceptable ou non. Combien comptent certaines paroles. Je ne sais pas quand j'aurais le courage à reprendre, relire de nouveau.

Mais je suis toute prête pour l'arrivé de son deuxième livre qui doit arriver bientôt.

mardi 27 novembre 2007

Argenteuil, 31 août 2001

"Julie, laisse aller"
(fragments de Retroblog d'aujourd'hui)

Oui, je l’ai beaucoup supporté. Fini.
Souvent, j’étais heureuse.
Souvent, il m’humiliait et je lui trouvais des excuses. C’est fini.

Julie, laisse aller!
Lui.
La maison.
Tout ce qui était.
Tout qui n’est pas toi.

À la sortie de l’affaire être celle que j’étais avant.

Comment ?

Laisser aller.
S’éloigner.
Écrire.
Voyager.

Préserver ce à quoi, ceux à qui je tiens le plus et ne pas s’accrocher au reste.
Laisse aller.

Maigrir. Soigner ma peau. Mes os.
Nager. Marcher. Ne pas s’enrailler !

Julie, souviens-toi qu’un lever de soleil, des nuages roses, une étoile qui pâlit lentement, un ciel s’éclaircissant progressivement peuvent te donner une telle joie! Tout à l’heure j’ai aperçu dans le miroir de la porte mon visage, le sourire enchanté. La même que François avait photographié jadis. Un lever de soleil (vu de la fenêtre de chez mon fils) peut provoquer donc le même enchantement. Hurrah! Ma solitude commence bien.

J’essayerai de trouver un logement d’où l’on peut observer, avoir de la joie de lever de soleil.
Je ne vais pas m’ennuyer seule. Il y a tellement de choses à faire!

J’ai un bon livre.
De bonnes idées.
De nouvelles résolutions.

Qu’est-ce que je veux ?

Une vue vers l’est - éventuellement.
Calme, sûrement.
Chauffage centrale et gaz, si possible.
Ascenseur
Baignoire
Lumière

Place pour mes livres
Pour le fauteuil
Pour une table
Pour un lit d’une personne

Chercher un logement est une possibilité de visiter, de découvrir Paris. Hurrah!

Laisser aller.
Ce n’est pas facile, mais possible.

Ce n'était pas si loin de maintenant... pourtant il me parait que je l'ai écrit dans une autre vie.

Qu'est-je obtenue de ce que je voulais alors?

Pas la vue vers l'est ni la lumière ni chauffage centrale ou ascenseur.
Je n'ai pas réussi maigrir non plus, je ne me suis pas promené ou aller nager assez non plus.

J'ai obtenu à vivre dans le calme, avoir de la place pour (presque) tous mes livres, une grande baignoire et du gaz pour me baigner, me chauffer; cuisiner, un petit jardin sympatique.

Un lit de deux personnes dans lequel je dors seule depuis. J'ai voyagé pas mal, merci, et j'écris tous les jours depuis. Je me suis mise a la photographie.

Je n'habite plus à Paris, mais même sans cela j'ai découverte la ville quartier par quartier mieux qu'avant. Quelquefois nostalgique, mais surtout de l'idée de 'partage ma vie avec quelqu'un', discuter (mais pas disputer) - en général je supporte très bien ma vie solitaire depuis lors.

Seulement six années? J'ai fait tellement, j'ai vécu tellement depuis!

lundi 26 novembre 2007

Spectacle a Hunedoara

Entre plusieurs choses vues a Hunedoara, l'une était les luttes médiévaux par les Chevaliers de Hunedoara, groupe formée il n'y pas si longtemps, mais ils étaient bons et amusants en même temps.

Et que de l'imagination!

Dans un coin, un vrai porc entier était en train de rôtir, dans l'autre, ils offraient une sorte de soupe que je n'ai pas osé goûter, mais le maire adjoint qui était avec nous l'a apprécié.
Au milieu, des luttes et des grimaces "t'es fini!" quand l'un réussissait a faire tomber l'autre: une vraie ballet.

J'espère les revoir en Argenteuil, nous aussi avons une journée médiéval par an. Hélas, la dernière fois il pleuvait à vers. Il a plu aussi pas mal a Hunedoara, mais ce jour-là, le soleil était avec les chevaliers, au rendez-vous.

Les mêmes chevaliers, mais aussi des filles habillées a l'ancienne, attendaient devant la mairie de Hunedoara avec le clé de la ville dans leur main à remettre au président de la Roumanie, qui lors notre visite là était venu pour quelques heures aux journées de Hunedoara et donné un discours a la Mairie.

Les chevaliers étaient courageux, mais le président davantage: après le discours sur l'Europe et son nouveau traité signé, dans la petite salle de conseil de la Mairie, et déjà vers le soir, avec presque pas de lumière, il a descendu dans la rue devant la mairie et entré au milieu des centaines des gens l'attendant là!

Tout le monde voulait lui serrer le main et se bousculait autour de lui. Je n'ai regardé que de la fenêtre de vice-maire vers en bas, en admirant le courage de ce président courage que je n'aurais pas eu. Plus tard, on m'a dit qu'il fait souvent ceci et les roumains l'apprécie beaucoup comme "un des leurs".

Par contre, les journalistes souvent rouspétent contre lui : il parait il s'est même plaint qu'on ne parle pas assez de ce qu'il dit sur l'Europe. "Qui est interessé par l'europe?" disait au télévision un jeune journaliste, bête, a mon avis, expliquant qu'ils programment seulement des choses avec beaucoup d'audience. Vous pouvez deviner le niveau de son discours et sa chaine... et ses grimaces!

Maintenant "tout est permis" se disent beaucoup en abusant aussi de ce "tout" ou l'utilisant bêtement, mais la démocratie n'est pas appris d'un an à l'autre et probablement, étant tellement souffert de la tyrannie c'est naturelle que pendant un certains temps ils tombent (heureusement pas tous) de l'autre côté. Souvent, ayant des discours qui ne passeront jamais par ici, injuriant les uns ou les autres par exemple et heurtant aussi. J'espère seulement que les mauvais grains vont tomber et les bons rester.

Je dois dire, qu'étant loin, je n'ai rien entendu de ce Traité Européenne signé en octombre: j'espère qu'on l'a mieux expliqué en France. Je sais seulement, par le président Roumain qui a assisté a sa signature et le trouvait très important, qu'on en a plus parlé ici.

dimanche 25 novembre 2007

C'est Noel!

Bien sûr, ce n'est pas encore le jour de Noel, mais dans les boutiques, ici le grand magazin centre Argenteuil, le Noël est déjà arrivé.

Comme il me faut un projet photographique, après avoir terminé mes promenades arrondissement par arrondissement à Paris, j'ai décidé de traquer la saison des fêtes à Paris et autour.

Hier, j'ai sorti exprès pour cela, même si je devais aussi acheter du café et du lait. Je me suis aussi offerte un microphone pour trois euros, dorénavant je pourrais parler si quelqu'un (d'habitude mon fils et ma belle fille) m'appelle sur GoogleTalk.

J'ai eu de la chance. Pendant que je prenais cette image, en regardant en haut, dans le rayon jouets, mon regard est tombé vers en bas.

Pour ce petit Noel était déjà arrivé effectivement et il se servait, en portant vers le milieu des paquets plus grand presque que lui. En plus, sa maman m'a laissé faire des photos, lui a même demandé de s'arrêter me regarder. Un second, il l'a fait, mais trop préoccupé a s'arrêter longtemps.

Des ballons rouges, des robes rouges, des jouets rouges. Pour le moment, le vert n'était pas au rendez-vous, et dans mes photos, je l'ai retrouvé seulement indiquand la sortie.

Certains n'aiment pas cette saison "trop commerciale" mais la fête et la fête, pour ma première sortie j'ai eu de la chance avec cette famille qui s'y préparait déjà.

La mère regardait un jouet en haut, je ne sais pas si le petit va aimer (bien sûr!) mais peut être elle aura aimé l'avoir quand elle était gosse et maintenant elle peut l'offrir à son enfant.

Le père était préoccupé a remettre les jouets que le petit sortait, tant pis, l'enfant allait un peu plus loin et en sortait un autre. Quelle amusement!

Un peu plus loin, cet ours polaire attendait preneur, alas, mes petit enfants ont grandi: le plus grand aura 15 ans ce Noel! Mais quand il était bébé, mon mari (il aimait offrir avant devenir horrible) avait acheté un énorme panthere blanche: il est encore parmi leurs jouets préférés. A l'époque le péluche était plus grand que le bébé. Enfant, après enfant se couchait dessus, jouait avec.

Un autre fois, le Noel, nous sommes allés tous en Amérique et nous avons passé les fêtes ensemble, ma fille qui habite là et ses trois garçons, mon fils et ses deux enfants, bien sûr leurs conjoints et moi. Mais aussi la famille de mon beau-fils. Et l'année dernière, j'étais avec la famille de ma belle-fille.

Qu'on se réunit ou non, Noël reste une belle fête et même si je passe la journée, des fois, toute seule chez moi, il y a tellement des joies et des choses intéressantes autour. En tout cas, pleine des nouvelle photographies a faire.

samedi 24 novembre 2007

Les dernières jours

En même temps que je me promène ces matins d'hiver ensoleillé dans les rues d'Argenteuil et me prépare pour la saison des fêtes a venir (j'ai déjà une première invitation pour faire des photographies), en même temps que je vous prends avec moi en Roumanie et revois les images de ses rues et les gens de ses marchés, je suis obligée de replonger dans les dernières jours de mon mariage.

Replonger dans l'enfer.

Obligée? Je me sens obligée envers mes lecteurs présents et futurs. Tous, toutes, qui un jour pourraient passer par quelque chose similaire. Sinon, pour pouvoir leur dire ensuite que on peut en ressortir.

En regardant la date, il ne me parait pas si loin que cela: fin aout 2001. Est-ce que c'était vraiment moi qui a dû supporter tout cela? Bérangère, il y a juste une semaine décrivait dans son blog, une émission télévisée dans laquelle une dame d'apparence distinguée racontait sa vie sm. Des émissions comme cela qui font certains d'autres dire "c'est normale, c'est la norme" et tâcher de l'imposer a leur conjoint en disant "mais tous les français vivent ainsi!" En disant et croyant, puisqu'ils l'ont vu sur la télé que c'est la norme et pas l'exception.

Je n'ai pas ris.

Je me suis souvenue de ce mari qui s'était enragé contre moi, non parce que je ne voulais vivre ainsi (heureusement, il n'en était pas question de cela), mais parce que je ne voulais reconnaitre que c'était la norme, que son affirmation "la grande majorité des français vivent ainsi" était valable, quoi que puisse dire les sites qui veulent le prouver (ou, ce que je ne savais pas encore à l'époque, la femme qui lui avait mis cela dans la tête pour le monter contre moi).

C'était une étape dure dans ma vie, très difficile a supporter. Etait-ce seulement il y a six ans? J'ai de la peine a croire! Tellement c'est passé depuis. Mais en passant par le bas, je vais aussi décrire comment j'en suis sortie.
"C'était une étape dure de ma vie a passer et probablement aussi assez intime comme me l'avais fait remarquer quelqu'un, mais je pense a celles ou ceux qui doivent passer par des choses similaires, les récits qu'on n'est pas seule est si bienvenue dans ce cas! Alors, je continue, je vous emmene avec moi a travers 'monts et vallées'."
J'ajoute une note tous les jours à mon Retro blog et je lis les statistiques: plus de trente personnes le suivent jour a jour, cela m'encouragait déjà savoir que je ne parle pas dans le vide et me disait "on jour..." mais ce matin j'ai recu dans mon email, par où je suis vos commentaires jour a jour, quelques lignes personelles de Sarah, qui ont signifié encore plus pour moi que les chiffres.
"Que tu as raison Julie!que de gens doivent vivre ça bien caché au depart des oreilles des autres... et apres aussi ca deborde des murs de la maison!

en tout cas je devore ce que tu ecris, car tu nous partage quelque chose de personnel mais en même temps moi je m'y retrouves aussi! continue Julie et tes remaques sont importantes aussi... gros bisous Sarah"
Merci Sarah! tes paroles, tes mot me donnent courage a continuer et traverser cette période difficile pour moi.

Ce n'était pas seulement dur a la vivre, c'était aussi douleureux de le transcrire, il y a quelques années déjà dans un texte Word, de le relire. Et maintenant, jour a jour, je suis obligée de relire la dernière note avant de le publier. Que je veuillle ou non, cela me replonge et remonte a la surface des mots et événements anciennes m'ayant heurté et me fatiguent encore, jour a jour.

Il n'y a plus beaucoup! je me dis chaque matin, bientôt tu en sortiras! oui, mais...

Ensuite, arrive la période difficile de rupture, et refaire une vie nouvelle, mais ceci sera déjà la remonté vers la surface. Pour le moment, jour a jour, je suis en train de suffoquer. Pendant que je vous parle de Bucarest, un grand sentier en construction ou des chapeaux avec une grande sourire ou que je traque la lumière et photographie une mure baignée de soleil, un peu de moi reste encore plongée dans le passé. Vivement que cela finisse! Heureusement que c'est derrière moi.

On dit que tout mauvais qui arrive mène a quelque chose de bien, et j'y crois profondément. J'apprécie tellement plus le jour d'aujourd'hui ainsi et ma vie telle quelle maintenant.

En plus en relisant Sarah, en pensant aussi a la façon qu'un récit lu dans une autre de mes périodes difficiles m'avait aidé moi, et a quelqu'un qui peut être un jour pourrait en tirer courage, je me dis "ce n'était pas pour rien." Analyser, le dissequer, je ne le peux encore, pour cela il faudra attendre encore que d'autres années passent.

vendredi 23 novembre 2007

Voyages, differences

Pendant ou après une voyage, nos yeux s'ouvrent, regardent autrement. Nous nous appercevons des choses qu'autrement nous aurions passés a côté sans lui donner l'importance, presque sans les voir.

Je n'étais pas très heureuse d'avoir été obligé à rester six semaines en Roumanie, mais avec le temps, j'étais obligée d'observer plus en plus des choses, certaines différentes, d'autres ressemblant d'ici.

En revenant, je vois aussi davantage.

Voilà une porte, pas si loin de moi, en route hier matin vers mes petits-enfants pour récupérer ma voiture restée près de chez eux. Le soleil de matin, que je continue a traquer, illuminait cette porte du "Moderne Cinema". J'adore ce nom! Il me donne envie de rêver, déviner comment cela a dû être a son ouverture, quand ses propriétaires ont décidé lui donner ce nom.

Cela fait plus des années que je suis habitant de l'Argenteuil que cette porte et entrée sont en train de se rouiller, mais la lumière de soleil d'hiver en y tombant les rendaient encore plus intéressantes.

A Bucarest aussi, je dirais même encore plus, le temps des cinémas est passé, remplacé par centaines des chaines de télévision: on regard les films chez soi. Pourtant...

Que de souvenirs "aller voir une film" arrivée en ville récement. Trouver un billet. Aller avec qui? La première en couleur! La première film français! Jean Gabin, dans un film inoubliable pour moi. "Ils font semblant, je me suis dit, ce n'est pas possible qu'un chauffeur de poids lourds a un frigidaire chez soi!"

Il a fallu beaucoup des années pour que les télévisions et les frigidaires entre dans les maisons "ordinaires" en Roumanie. Maintenant, on leur prix diminué, on achête comme des petit pains, les boutiques sont pleins des acheteurs. Chacun veux avoir sa maison ou appartement, aussi.

Bucuresti monday (9)
Quand je suis passée devant cette cinéma d'été au centre Bucarest, je me suis dit "dommage". Mais je parie presque qu'il sera utilisé, sinon au cinéma a autre chause plus rapidement que le "modern cinema" de ma ville.

Après la guerre, ou était-ce avant? beaucoup des français portaient des basques, des chapeaux specifiques, ceci est un baguette a la main était comment on les imaginait. Maintenant, c'est les femmes de Bucarest qui les portent un peu partout, fièrement.

Comme les jeans, ils font partie des choses "modernes" des choses "européenes" ou "occidentales" avec quoi on s'imagine plus "moderne". Vous pouvez d'aileurs voir sur mon portrait d'hiver, même moi j'en ai un dorénavant, recu de la tante de maman qui en a une dizaine dans son armoire. Chacun, probablement pour différent occasions.

En pensant en arrière, avec quelques jours, je commence à réfléchir à tout ce que j'ai vu et observé, avec mes yeux habitués de la France, de Paris et ses banlieux, en y allant. Ou l'absence des choses. Par exemple: pratiquement pas vu des motocyclettes sur les routes.

Il faudrait plusieurs jours, voir semaines, jusque je puisse moi même absorber et comprendre tout ce que j'ai appris, tout ce que j'ai observé là bas, volontairement ou involontairement.

En tout cas, il me permet a voir le monde autour de moi, ici, déjà autrement.

jeudi 22 novembre 2007

Soleil après la pluie

Si on attend assez, il y a toujours du soleil qui ressort après une longue, interminable période de pluie. De la joie qui arrive quand le coeur parait asseché trop longtemps.

Depuis que je suis retournée, il pleuvait. Quand il ne pleuvait pas, le ciel était fermé par les nuages grises. Un cours que je prends me disait: "sortez et faites des photos en utilisant les diverses orientations du soleil.

Quel soleil?

Hier matin, le soleil était au rendez-vous.

Rapidement, je me suis habillée et sortie acheter du lait, bien sur a pieds, et en emportant mon petit appareil photo avec moi.

Traquer le lumière.

Malgré que c'était déjà dix heures, l'ombre était encore "long".

J'ai traqué la lumière diffus dans mon jardin et les gouttes de pluie de la nuit présents encore sur les feuilles.


mais aussi les rayons de soleil faisant briller sles branches d'automne d'un voisin

En regardant en haut, j'ai découverte un magnifique sapin pas si loin de moi, jamais vu auparavant, attendant le noel et me faisant rêver

et dans un autre jardin non loin du shopping, des magnifiques roses toujours belles, même après ces quelques jours autour de zero degrés celsius dehors.
Elles étaient près d'un mur de béton et défendus des intrus par des piques - ce qui m'a rappellé un magnifique opérette de ma jeunesse.

La lumière projetant de l'ombre sur le mur, m'a fait cadeau de cette image, mon image.


En retournant, même les gouttes de pluie sur le parbris d'une voiture me parlait du soleil qui maintenant y projetait pleines des couleurs - bien sûr, un peu plus tard les aurait fait disparaitre, évaporer dans l'air. En tout cas, après la pluie, le soleil même projette des choses différents, les couleurs plus vives aussi, je crois.
Cela vaut la peine vraiment de patienter, attendre, et puis aussi de regarder autour de soi, même quand on va acheter du lait. Que des choses découvertes seulement parce qu'on m'avait poussé à traquer la lumière!

mercredi 21 novembre 2007

Maintenant...

Est-ce une rêve, est-ce un cochemare?

C'est le chateau flottant ou le chateau hantée, c'est l'oeuvre de ma petite fille. Ce n'est pas le chateau de Drakula de Transylvanie: comme il n'a pas existé, il ne peut avoir de chateau.

L'originale se trouve, en mauvais état mais pas déformé ainsi en Normandie.

"Mamie, prenons une image pour et déformons-le!"

Ensuite, nous avons pris une des autoportraits de mamie et lui avont tiré le nez, lui avons déformé la bouche, les yeux et allongé l'oreille.

Après elle, c'est moi qui a continué la déformation: si déjà...

"Maintenant prenons une de moi!"

Arrivée a une ancienne photo d'elle, au lieu de la déformer, elle a voulu lui mettre des belles bordures avec des fleurs tout autour. Et moi, j'en ai fait une en y ajoutant une seule fleur: la voilà.

C'était une journée bien pleine .

La beauté et l'horreur finalement ne sont pas si éloignés l'un de l'autre, nous avons cotoyé les deux sur l'écran, la palette et la chambre noir digital aussi admettent l'un comme l'autre. Chacune d'elles descend en nous et en resort quelque chose bien profonde.

mardi 20 novembre 2007

Craquer un pretzel

Detail sur dents pour web et blogPrendre la vie pleine les dents - il y a quelque chose comme cela, mais nous les vieux (d'accord, seniors, troisième âge, tout ce que vous voulez) n'avons plus toujours la possibilité de le faire.
Il suffit de si peu...

Avant de partir j'avais un seul dent de devant qui bougait, mais cela m'empêchait a manger normalement, maintenant je peux le faire. Je pense aussi a ma belle-mère, elle n'avait presque pas de dents depuis que je la conaissais et son visage était rudement déformée par cela.

En plus, cela d'après l'experience de mon ex (dont je suis en train de parler maintenant dans le Retroblog), et qui n'avait plus que trois dents quand je l'ai connu et des belles proteses après trois ans de connaissance, avoir de dents comme il faut aide aussi mieux parler et chanter, non seulement mieux manger. Et bien sûr, donne une visage plus agréable a regarder.

Non, je ne suis pas encore arrivée là, même si les quatre dents que vous voyez sur la photo, surement en tout cas ceux du bas ne sont plus les miens. Oui, ma petite fille avec qui je vais passer la journée de grêve d'aujourd'hui ("je veux être avec mamie Julie, depuis longtemps je ne l'étais plus") n'a pas des dents non plus: il lui manquait ce printemps au moins les mêmes quantre devant. "Mais ils repoussent, pour eux" me disait la dentiste qui aime s'occupper surtout des enfants.

"Par contre, vous avez mis votre pouce dans votre bouche, enfant" me dit-elle.

Ah oui. En lisant le journal de ma mère (Julie de 2 a 4 ans), le seul retrouvé et pas publié, j'ai appris qu'elle avait tout essayé pour m'en dissuader, même, en obéissant le docteur (sadique) a mettre un bois lié a mon bras le nuit pour que je ne puisse porter la main jusque ma bouche. Alors, bien sûr je pleurais des larmes améres et promettais de ne plus la faire, mais maman ne restait pas avec moi tout la nuit...

Je pense avec plaisir encore a ma pouce, c'est tellement agréable a la suçer!

Enfin, a cause de cela mes dents du bas ne sont pas très visibles et il a fallu que je fais un mouvement spéciale de ma bouche pour les montrer et photographier. Bien sûr, on les voient aussi quand je ris à pleines dents, sauf que depuis un temps hélas cela ne m'arrive plus, en tout cas pas souvent.

Avec cette note, le chapître dents des gens âgés est terminé chez moi.
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Si vous êtes arrivés jusqu'ici, je vous offre un apperçu de comment on fabrique des bretzels (covrigi) frais dans une boutique au milieu d'un halle du marché Obor a Bucarest, Roumanie.

D'abord, les femmes pétrissent la pâte et lui donne ensuite la forme habituelle. Puis ce jeune homme courageux, près du fourneaux chaud les met, les sort. Et quelqu'un d'autre encore les vend. Les gens attendent pour les avoir tout chaud.




Et c'est bon et craquant. A y mordre à plein dents!

lundi 19 novembre 2007

Courage en face de la vie

Eva, la cousine de ma mère est d'environ dix ans plus âgée que moi, donc autour de 83 ces jours-ci, elle m'a avouée vendredi lors ma visite que c'était en arrivant a 80 qu'elle a eu le plus de difficulté, ce sentant trop vieille d'un coup.

A ma dernière visite, elle m'a demandé de lui prendre quelques photos pour envoyer a son frêre cadet habitant loin d'elle. Voila celle que j'ai prise a la fin: une femme regardant vers la lumiére et une visage pleine des espoires et de la jeunesse. Mais chacun de nous a tellement des facettes différentes! Je ne crois pas qu'un seule nous représente bien.

At Eva-02 variation en gris
Dans cette autre photo, faite avant, plus formelle, on voit encore son âge (surtout sur ces mains) et elle avait dû penser ici encore aux années qui sont passées (parce que ensuite, elle a sourit de nouveau), mais on voit aussi sa dignitée et c'est une de ses aspectes aussi. Puis, en regardant vers la lumière, on devine nettement davantage de ce qui est a l'intérieur d'elle, de nous - a n'importe quelle âge. L'enfance et jeunesse, les espoires et le chaleur aussi.

Oui, il y a de la vie même après 80 ans, pas seulement après 70!

C'est une telle plaisir de pouvoir écrire de nouveau ma note a partir de mon lit, dès mon réveil! La maison c'est bien rechauffée, toutes mes vieilles emails sont lus sinon encore répondus ou résolus, mais que de travail m'attend maintenant, heureusement.

dimanche 18 novembre 2007

Dimanche matin sur le BlueAir

Me voila, heureuse d'être sur la route et arriver bientôt a la maison.

J'étais gâtée: mon fils m'attendait a l'aéroport, ma belle fille a fait chauffer la maison et ramassé mon courrier.

Aprés un détour pour voir les petits-enfants, me voila a la maison. Je regarde rapidement: aucun courrier urgent (que ma belle fille n'aurait résolue). Sans même défaire ma grande valise, j'ouvre mon PC pour acceder au Web et vous écrire - enfin avec accents.

Signal excellent! Mais le lien ne se fait pas.

Courrier
Finalement, après avoir tout essayée, je déconnecte tout et le modem enfin repart comme il faut, le courrier arrive et je peux envoyer des image et écrire. Hurrah!

Je pourrais maintenant dormir un peu (je suis partie de l'appartement de Bucarest vers 5 heures du matin et le nuit vérifié chaque heure qu'il n'est pas encore 4 et je ne dois pas me lever.

Maintenant, bientôt, je pourrais passer davantage de temps avec chacun de vous, et aussi quelle plaisir de pouvoir passer de temps avec mes petits enfants!

A bientôt, a partir du demain, je pourrais faire mes rapports sur tout ce que j'ai vécu en Transylvanie et a Bucarest mais aussi offrir des images de par de chez nous.

vendredi 16 novembre 2007

Retour en France, bientot

Dimanche je m'envole d'ici, ces jours-ci je fais des adieux. Je suis retournee a la place ou on fait des cracklaines, avec des nouvelles photos et j'ai recu encore cinq 'covrigi' comme ceci. Sinon, helas, je n'ai pas retrouve tous que j'avais pris en photos la semaine derniere.

Pleine des clients potentielles se sont presentes "et pas moi?" mais je n'y retournerai plus. Aujourd'hui en famille, demaine avec mon amie et dimanche tres tot, depart.

"As-tu entendu qu'en France c'est horrible, pas du circulation des transports publiques depuis trois jours." Ici meme un retard de quelques minutes parait une drame.

Ce matin je me suis rendu compte que j'ai circule a pieds un peu partout sans aucun probleme, je n'ai rencontre au fond que des gens sympa et de bonne volonte. Le reste des conclusions je vais tirer plus facilement de loin.

Je ne suis pas encore tout a fait partie (et je le voulais deja vite vite) et deja j'y pense avec nostalgie. Pas mal des choses se sont passes depuis mon derniere voyage, j'ai l'impression que tout va mieux depuis leur entre dans l'Union Europeenne.

J'espere, en France aussi, les problemes finiront rapidement, mais pour le moment je serai ravie (puisque je le peux) rester quelques jours chez moi. Helas, tous ne peuvent se le permettre.

jeudi 15 novembre 2007

Coin de rue a Paris

non, je n'y suis encore arrivee mais bientot, ceci seulement pour dire qu'il me tard d'etre a la maison et me promener par les rues de Paris.

Ce matin, je voulais retourner au Cyber 'non-stop' decouverte hier, c'etait fermee, alors je me suis rabatue sur celle habituelle.

J'espere que bientot j'aurais mon billet.

Hier, la derniere rendez-vous chez mon dentiste. Voila comment j'ai du approcher l'entrance.
Street repare Bucarest style-11
Sauf que a mon entre il n'y avait que trois bois pour passer. J'aurais du la prendre comme mauvais augure?

J'ai pris des photos-souvenirs, en tout cas c'est plus agreable que d'etre sur la chaise.
At dentist-05
L'assistante tres sympa, je vais lui envoyer sa photo, c'est elle qui entre deux a un email.
At dentist-09 v cadre
Mais la dentiste, autrement tres sympa venait de decouvrir que les deux dents sur lequels on a pose le bridge on des caneaux supplementaires, caches et nombreux qu'elle n'a pu atteindre.
At dentist-18 cd
Elle etait bien preoccupee, en se trouvant bien sur pleines des excuses. J'espere que je n'aurais pas des problemes dans la futur, pour le moment mes dents sont beaux et mon sourire aussi et je peux manger sans problemes.
At dentist-20 aie
Voila l'avantage des photos "candides" pris a l'improviste: en le regardant ce matin je ne suis pas si rassuree que cela. Croise les doigts, on dit? Touche le bois? J'espere pour le mieux, quand meme et des problemes aurait pu surgir aussi en France, d'ailleurs je ne comprends pas encore bien la probleme.

Pour le moment, tout va bien et je retourne, enfin, bientot.

mercredi 14 novembre 2007

Jour de soleil aujourd'hui

en plus, j'espere que tout sera monte une fois pour tout et j'espere aussi, quoique ce n'est pas sure encore, que ce dimanche je serai de retour.

Il fait beau et froid en meme temps aujourd'hui, certaines fuites sur la toit et salle de bain ont ete repares le matin, j'espere qu'il tiendront - au moins pendant la neige qui arrivera par ici bientot.

Deja, le week-end derniere, des Bucarestains sont alles skier et faire de la luge sur les Carpathes envoisinants, ils ont eu jusque demi metre de neige la.

Tout fini bien, j'espere toujours et rapidement maintenant, s'en aller c'est bien, revenir encore mieux.

Museul Satului Bucuresti-44
C'etait samedi derniere, a Bucarest, pendant que la neige tombait sur la route vers la Transylvanie: heureusement que nous sommes passes auparavant.

mardi 13 novembre 2007

Les rues de Bucarest

Les rues de Bucarest n'ont plus des grands trous qu'il y a quelques annees, au milieu de la chaussee, mais elles sont toujours et partout (presque) en constant reparation.

Ici vous voyez le trou que je dois passer depuis une semaine pour aller dans le bloc de la dentiste (avant les reparations etait sur la route et empechaient le bus de stationner.

Quelques jours apres, ils ont mis un bout de bois a travers, mais j'ai preferre de sauter, il ne me paraissait pas tres solide et il etait assez etroit.

Reparations partout-2
Voila, a cote, ce n'est pas nettement mieux. Quand ce n'est pas la canalisation c'est d'autres reparations et quand tout parait bien sur la chaussee, des voitures stationees barrent d'un coup le passage et il faut se faufiller pres des voitures sur la route pour les contourner.
Garer en Roumanie
Bien sur, les vraies 'dames' ne marchent que peu et rarement sur les rues par ici, pas comme moi. Elle ont une voiture avec ou sans chauffeur, une femme de menage qui porte pour eu dans la cimitiere les cadeaux qu'elles veulent offrir, au pire elle telephone pour une taxi.

Je vois quand meme une diversite des gens aussi en metro (2 lei deux billets, environ 30 centimes euros une) ce qui parait beaucoup et le metro n'est pas vraiment aglomere ou en bus, en tram qui eux sont assez aglomeres. Jeunes et vieux, et habilles tres diversement.

Certaines fraichement coiffes et fardes, la plupart avec beaucoup de recherche, des bottes de plus en plus et des chapeau divers. Hier, un vent froid m'a decide d'acheter un bonet pointu noir pres du metro du marche, pour environ 1,3 euros. C'est agreable et bien chaud! Auparavant, j'avais regarde dans une boutitque et ils vendaient des chapeau avec 10 a 50 euros.

Bien sur, une dame se fait faire des chemises de soie naturelle seulement et ne porte que des chaussures du peau naturelle, des manteaux de fourrure et pas de matiere synthetique. Et, probablement - surement - non plus des chapeau a 1 euros la piece. Pourtant c'est bien chaud!

Aujourd'hui, je vous ecris enfin avec 'tout mes dents' meme si tous ne sont pas 'naturelles'... ou de l'origine, le sourire y est.