Cela vaut la peine de se perdre, n'est pas? Je ne me suis pas perdu avant-hier pour rien! Voilà sur quoi je suis tombée.
Hier matin j'y suis retournée. Admirer. Le prendre en gros et en détail.
C'est une toile grandeur nature, crée et mise en oeuvre pour le groupe Athem, l’audace de l’architecte Antoine Locqueville et à l’inspiration du plasticien Pierre Delavie. Vous pouvez l'admirer pendant 2007, tant que leur siège social est en rénovation.
"Sur la toile imprimée de la photographie grandeur nature de l’immeuble authentique, les perspectives déraillent, les fenêtres gondolent, corniches et balcons se tordent".
Ce n'est pas peint sur le mur, mais un toile fixé sur du bois.
En regardant le petit personne, une femme passant à côté de la première image, vous pouvez imaginer un peu de sa grandeur.
Quand on prend des chemins et sentiers non prévus, la vie peut nous réserver des délices.
Expérimenter, communiquer, tâcher de vivre pleinement. Prouver a soi et aux autres, depuis dix ans déjà
lundi 30 avril 2007
dimanche 29 avril 2007
Musée Rodin in Paris 7e
En face des Invalides, dont le coupole doré respendissait hier dans le ciel bleu, le musée Rodin.
Il y a soixante ans, maman m'a emené à une conférence sur l'art de Rodin où cette statue a été longuement expliqué. Les pieds en relatif repos, de plus en plus énergique et tendant vers haut ensuite.
Combien elle aurait voulu pouvoir les voir de ses yeux à Paris! Elle parlait bien français et connaissait la ville et ses musées des livres. C'est pour elle que je suis allée hier au musée Rodin, au lieu de chercher les gens dans les rues de 7e arrondissement ou autour du tour Eiffel.
J'ai trouvé maman, là bas, mais attristée par son sort, je suis revenue me sentant très seule.
Peut-être aussi, en me rappellant ce que j'ai ressentie la première fois quand j'ai visité le musée et contemplé le Baiser, que d'après moi on devrait nommer Tendresse. Un jour, quand j'étais très malheureuse avec mon premier mari. "Alors ça existe!"
Je me suis perdue en revenant et j'ai tombé devant 39 avenue George V, une maison paint ou couvert de toile halucinant. La battérie de mon appareil ayant été épuisée, je dois y retourner.
Toute la maison parait onduler! et pourtant ça tient. "Ce n'est qu'un peinture" j'ai entendu dire par quelqu'un le regardant à son copain. Mais l'art peut exprimer tellement!
Il y a soixante ans, maman m'a emené à une conférence sur l'art de Rodin où cette statue a été longuement expliqué. Les pieds en relatif repos, de plus en plus énergique et tendant vers haut ensuite.
Combien elle aurait voulu pouvoir les voir de ses yeux à Paris! Elle parlait bien français et connaissait la ville et ses musées des livres. C'est pour elle que je suis allée hier au musée Rodin, au lieu de chercher les gens dans les rues de 7e arrondissement ou autour du tour Eiffel.
J'ai trouvé maman, là bas, mais attristée par son sort, je suis revenue me sentant très seule.
Peut-être aussi, en me rappellant ce que j'ai ressentie la première fois quand j'ai visité le musée et contemplé le Baiser, que d'après moi on devrait nommer Tendresse. Un jour, quand j'étais très malheureuse avec mon premier mari. "Alors ça existe!"
Je me suis perdue en revenant et j'ai tombé devant 39 avenue George V, une maison paint ou couvert de toile halucinant. La battérie de mon appareil ayant été épuisée, je dois y retourner.
Toute la maison parait onduler! et pourtant ça tient. "Ce n'est qu'un peinture" j'ai entendu dire par quelqu'un le regardant à son copain. Mais l'art peut exprimer tellement!
samedi 28 avril 2007
On l'oublie
Un président part, personne ne parle de lui.
Pourtant.
Avant de devenir président, il était le Maire de Paris. On ne voulait pas de son candidature. Il n'était pas "investi ou soutenu" par un parti. Il a déclaré qu'il n'en a pas besoin, pour être candidat a la présidence. Et, je ne l'oublie pas non plus, tous ne l'ont pas soutenu, aidé. Loin de là d'ailleurs.
Chirac a eu le courage dès le début à se lancer dans la lutte presque seul. Que c'est différent avec celle sur laquelle un vieu partie d'autre siècle et tout son apparture pèse.
Avez-vous vu l'éphorie qui suivit son élection, tout cette jeunesse sur les Champs Elysées?
La dernière fois que je l'ai vu a la télévision il disait à l'équipe de footbal français "il ne faut pas gagner à tout prix, le tout est d'avoir lutté." Un deuxième position n'est pas si mal. (Enfin, il a fait tout pour qu'ils ne soient pas trop découragés.)
Peut être bien, tout qu'il a dit et fait pendant tous ces années n'est pas excellent, mais la France ne s'en sorte si mal du tout.
Jeudi matin nous avons parlé politique et élections dans le métro. En France on peut parler librement. A haut voix. Chacun a dit son opinion. Nous étions cinq a discuter ensemble. Chacun avait déjà l'opinion bien formé. Une dame a dit: je vote avec celui qui me parait plus fort.
A la fin, je me suis rendu compte (ou je l'ai aussi dit) que je ne suis pas vraiment devenue française après plus de quarante ans:
Je ne rouspète pas assez contre tout.
Pourtant.
Avant de devenir président, il était le Maire de Paris. On ne voulait pas de son candidature. Il n'était pas "investi ou soutenu" par un parti. Il a déclaré qu'il n'en a pas besoin, pour être candidat a la présidence. Et, je ne l'oublie pas non plus, tous ne l'ont pas soutenu, aidé. Loin de là d'ailleurs.
Chirac a eu le courage dès le début à se lancer dans la lutte presque seul. Que c'est différent avec celle sur laquelle un vieu partie d'autre siècle et tout son apparture pèse.
Avez-vous vu l'éphorie qui suivit son élection, tout cette jeunesse sur les Champs Elysées?
La dernière fois que je l'ai vu a la télévision il disait à l'équipe de footbal français "il ne faut pas gagner à tout prix, le tout est d'avoir lutté." Un deuxième position n'est pas si mal. (Enfin, il a fait tout pour qu'ils ne soient pas trop découragés.)
Peut être bien, tout qu'il a dit et fait pendant tous ces années n'est pas excellent, mais la France ne s'en sorte si mal du tout.
Jeudi matin nous avons parlé politique et élections dans le métro. En France on peut parler librement. A haut voix. Chacun a dit son opinion. Nous étions cinq a discuter ensemble. Chacun avait déjà l'opinion bien formé. Une dame a dit: je vote avec celui qui me parait plus fort.
A la fin, je me suis rendu compte (ou je l'ai aussi dit) que je ne suis pas vraiment devenue française après plus de quarante ans:
Je ne rouspète pas assez contre tout.
vendredi 27 avril 2007
Paris rencontres
D'abord, je parle avec une ancienne gardienne de paix de la Mairie, protestant derrière la Mairie de Paris tout en lisant un roman de suspense de Nora Roberts, auteur que j'aime beaucoup. Je lui parle de quelques uns de ses autres livres.
Mon promenade de hier a bien commencé.
Je voulais prendre des photos en Paris 5e, mais le plus près pour descendre était Hotel de Ville et de là, j'ai traversé les ponts à pieds pour aller vers Maubert et le marché où jadis je me rencontrais avec mon amie Stéphanie.
Elle me manque tellement!
La première fois que je me suis rencontré avec elle, dans le café de coin, j'étais juste après ma séparation de mon premier mari et épouvantée d'un rencontre que j'avais fait.
"Il faut tu experimente, apprendre ce que c'est et ce que ce n'est pas ton kilo de sucre" me dit alors Stéphanie. Je suis partie, moins catastrophé de ce que j'avais fait. Et plus tard, continuée à experimenter. Apprendre ce que j'ai besoin, d'un rencontre, d'un homme.
Ai-je jamais appris?
Peut-être. Aujourd'hui, je dirais "bon communication et estime", bien, cela en plus du reste...
Une autre fois, elle me raconta ce qui s'est passé là pendant la guerre et comment elle a du devenir resistante et même enceinte porter des armes d'une endroit à l'autre. Mais aussi d'un marchand qui lui laissait des choses à manger sous les detritus après le marché quand les juifs n'avaient pas le droit de faire leur marché.
Que des souvenirs, dans ce coin!
J'ai trouvé une dame sympa âgé habitant pas loin et attendant son fils, Stéphanie m'a manqué encore plus.
J'ai trouvé aussi sur le chemin, une groupe des jeunes arrivés à Paris de Chine, un couple venant d'Australie (24 heures de voyage! me dit-il), et oui, quelques marchands très sympa aussi.
Beaucoup de communication avec les autres.
Et quand les Chinois ont commencé à me bombarder avec leur caméra, je me suis sentie comme une vedette! Je comprends mieux maintenant comment certains des gens prises par moi se sentent et pourquoi certains me disent "merci" ensuite. Je le savais avant, mais ce n'était pas la même chose que le sentir.
Tous les lieux avaient des souvenirs liés à eux. Découvrir sur soi et le passé et aussi découverte, mais aussi ce connecter avec des gens si différents les uns des autres. Nous avons quelque chose en commun (autre que le besoin de communiquer) : nous adorons Paris. Le couple arrivé d'Australie, à côté l'un de Chine et l'autre de Suède.
Mon promenade de hier a bien commencé.
Je voulais prendre des photos en Paris 5e, mais le plus près pour descendre était Hotel de Ville et de là, j'ai traversé les ponts à pieds pour aller vers Maubert et le marché où jadis je me rencontrais avec mon amie Stéphanie.
Elle me manque tellement!
La première fois que je me suis rencontré avec elle, dans le café de coin, j'étais juste après ma séparation de mon premier mari et épouvantée d'un rencontre que j'avais fait.
"Il faut tu experimente, apprendre ce que c'est et ce que ce n'est pas ton kilo de sucre" me dit alors Stéphanie. Je suis partie, moins catastrophé de ce que j'avais fait. Et plus tard, continuée à experimenter. Apprendre ce que j'ai besoin, d'un rencontre, d'un homme.
Ai-je jamais appris?
Peut-être. Aujourd'hui, je dirais "bon communication et estime", bien, cela en plus du reste...
Une autre fois, elle me raconta ce qui s'est passé là pendant la guerre et comment elle a du devenir resistante et même enceinte porter des armes d'une endroit à l'autre. Mais aussi d'un marchand qui lui laissait des choses à manger sous les detritus après le marché quand les juifs n'avaient pas le droit de faire leur marché.
Que des souvenirs, dans ce coin!
J'ai trouvé une dame sympa âgé habitant pas loin et attendant son fils, Stéphanie m'a manqué encore plus.
J'ai trouvé aussi sur le chemin, une groupe des jeunes arrivés à Paris de Chine, un couple venant d'Australie (24 heures de voyage! me dit-il), et oui, quelques marchands très sympa aussi.
Beaucoup de communication avec les autres.
Et quand les Chinois ont commencé à me bombarder avec leur caméra, je me suis sentie comme une vedette! Je comprends mieux maintenant comment certains des gens prises par moi se sentent et pourquoi certains me disent "merci" ensuite. Je le savais avant, mais ce n'était pas la même chose que le sentir.
Tous les lieux avaient des souvenirs liés à eux. Découvrir sur soi et le passé et aussi découverte, mais aussi ce connecter avec des gens si différents les uns des autres. Nous avons quelque chose en commun (autre que le besoin de communiquer) : nous adorons Paris. Le couple arrivé d'Australie, à côté l'un de Chine et l'autre de Suède.
jeudi 26 avril 2007
Rencontre
Vers la fin de mon promenade en Paris 2e, j'arrive près de l'église Saint Eustache. De la musique. Connue mais jouée lamentablement.
Un vieux couple. J'écoute.
Je demande si je peux prendre une photo. Ils disent oui, avec accent. Je leur donne quelque chose, je fais deux photos et ensuite, je ne sais même plus comment, nous commençons à parler - en roumain.
Ils sont venus de la Roumanie pour un mois, pour arrondir les fins de mois. "On ne peut pas gagner beaucoup là et puis, nous sommes vieux".
- Et avant?
- Il y eu des hauts et des bas, me dit-il. Nous avons très bien gagné jusque mon fils n'a pas essayé de s'en aller. On l'a attrapé à la frontière, il a fait de prison. Et nous, la Securitate s'est pointé chez nous, puis nous a suivie. Nous n'avons plus travailler comme avant.
Je me suis assis près d'eux et nous avons discuté d'eux, de moi aussi. De ma chance d'avoir rencontré Elena Ceausescu et perdu travail, avoir été interdit de continuer mes études. Puis, sortie à cause d'elle. "Maintenant, je devrais la remercier" j'ai dit, et ils le comprennent si bien.
Leur fils vit en France depuis 1989, la fin du communisme en Roumanie. Eux ils viennent de temps en temps pour faire un peu plus d'argent. "Nous repartons à la fin du mois" me dit-il, me voilà le numéro de téléphone de mon fils, il peut vous faire un prix spécial, moins cher si vous avez besoin qu'il joue. (Pendant que les enfants que j'ai réussi à faire inviter de Hunedoara vont danser des danses populaires ici.)
Je repars, je les laisse travailler - je prends deux dernières portraits de chacun d'eux séparément. Ils continuent à jouer lamentablement, les gens passent et leur laissent une pièce.
Je monte les marches vers le métro et me retourne. Elle m'adresse encore de loin une chaleureuse sourire.
Un vieux couple. J'écoute.
Je demande si je peux prendre une photo. Ils disent oui, avec accent. Je leur donne quelque chose, je fais deux photos et ensuite, je ne sais même plus comment, nous commençons à parler - en roumain.
Ils sont venus de la Roumanie pour un mois, pour arrondir les fins de mois. "On ne peut pas gagner beaucoup là et puis, nous sommes vieux".
- Et avant?
- Il y eu des hauts et des bas, me dit-il. Nous avons très bien gagné jusque mon fils n'a pas essayé de s'en aller. On l'a attrapé à la frontière, il a fait de prison. Et nous, la Securitate s'est pointé chez nous, puis nous a suivie. Nous n'avons plus travailler comme avant.
Je me suis assis près d'eux et nous avons discuté d'eux, de moi aussi. De ma chance d'avoir rencontré Elena Ceausescu et perdu travail, avoir été interdit de continuer mes études. Puis, sortie à cause d'elle. "Maintenant, je devrais la remercier" j'ai dit, et ils le comprennent si bien.
Leur fils vit en France depuis 1989, la fin du communisme en Roumanie. Eux ils viennent de temps en temps pour faire un peu plus d'argent. "Nous repartons à la fin du mois" me dit-il, me voilà le numéro de téléphone de mon fils, il peut vous faire un prix spécial, moins cher si vous avez besoin qu'il joue. (Pendant que les enfants que j'ai réussi à faire inviter de Hunedoara vont danser des danses populaires ici.)
Je repars, je les laisse travailler - je prends deux dernières portraits de chacun d'eux séparément. Ils continuent à jouer lamentablement, les gens passent et leur laissent une pièce.
Je monte les marches vers le métro et me retourne. Elle m'adresse encore de loin une chaleureuse sourire.
mercredi 25 avril 2007
Il vivra toujours
En 1662 on a fait de lui cette peinture, pleine de vie. Son visage et sourire spécial, ce quelque chose qu'on le sent exprimer, restera pour nous, reste à travers des siècles.
Peut être, quelques images aussi qu'on prend des gens, quand on réussi à bien rendre leur caractères, quelque chose d'eux plus que le sourire, une expression spécial, reste aussi. Ainsi, certains se rendent compte et sont heureux d'être choisis pour une photographie.
Un peintre fantastique (et je ne saurais même pas vous dire qui) mais j'ai pris cette image au musée Carnavalet, Paris 3e lors ma flanerie. J'ai été tout suite attirée par son expression. Et ma petite fille voyant la photo aussi. J'ai une grande plaisir de entendre laquelles des photos lui plaisent spéciallement. En plus, elle dit pourquoi.
Qu'il serait merveilleux d'être capable de prendre des portrait comme cette peinture.
Mais quelquefois, je réussi à prendre une expression même passagère., comme celle-ci, près des Halles. Qui sait, même dans le 5e où j'hésite encore y aller je pourrais découvrir ou rencontrer quelque chose insolite ou une visage fascinante.
Peut être, quelques images aussi qu'on prend des gens, quand on réussi à bien rendre leur caractères, quelque chose d'eux plus que le sourire, une expression spécial, reste aussi. Ainsi, certains se rendent compte et sont heureux d'être choisis pour une photographie.
Un peintre fantastique (et je ne saurais même pas vous dire qui) mais j'ai pris cette image au musée Carnavalet, Paris 3e lors ma flanerie. J'ai été tout suite attirée par son expression. Et ma petite fille voyant la photo aussi. J'ai une grande plaisir de entendre laquelles des photos lui plaisent spéciallement. En plus, elle dit pourquoi.
Qu'il serait merveilleux d'être capable de prendre des portrait comme cette peinture.
Mais quelquefois, je réussi à prendre une expression même passagère., comme celle-ci, près des Halles. Qui sait, même dans le 5e où j'hésite encore y aller je pourrais découvrir ou rencontrer quelque chose insolite ou une visage fascinante.
mardi 24 avril 2007
Vie de village à Paris
Hier je suis allée me ballader en Paris 4e.
Au lieu d'atterir métro Saint Paul, comme j'avais planifié, je suis sortie près de pont Marie. Attirée par le fleuve et l'île Saint Louis (aussi dans le quatrième arrondissement), je me suis d'abord promené dans l'île. On le dit très cher, mais il y a plusieurs immeubles très dételiorés aussi.
Ensuite, j'ai descendu jusque la Seine et assise sur un banc de pierre, j'ai lu un peu, tout en regardant les oiseaux virevolter dans le ciel et les bateaux des touristes passer à tout alure.
Puis, passant devant l'hotel de Sens fermé encore, et cherchant la rue Saint Paul d'où démarrent plusieurs passages, je tombe sur l'homme dont vous voyez, lisant un journal dans la porte de son boutique des livres antiques.
J'ai pris deux images avant d'oser le demander. Il a dit oui, à mon étonnement, et en replongeant lire aussitôt.
J'ai demandé le chemin vers la rue Saint Paul à la dame qui faisait la circulation près de l'école et l'hotel de Sens, et une photo ensuite. J'ai fait une heureux ce jour, "mon ami habite loin et ne m'a jamais vu encore dans cette uniforme". Elle m'a donné l'adresse et nous avons bavardé plus longtemps.
Elle m'a raconté aussi qu'elle visite un vieux monsieur qui le paint, dans la maison de retraite pas loin de là. Et justement, le monsieur arriva. Une autre photo.
Et dire que Paris est grande... en fait, dans certaines de ses parties sont comme des villages où les gens se revoient et se connaissent.
Au lieu d'atterir métro Saint Paul, comme j'avais planifié, je suis sortie près de pont Marie. Attirée par le fleuve et l'île Saint Louis (aussi dans le quatrième arrondissement), je me suis d'abord promené dans l'île. On le dit très cher, mais il y a plusieurs immeubles très dételiorés aussi.
Ensuite, j'ai descendu jusque la Seine et assise sur un banc de pierre, j'ai lu un peu, tout en regardant les oiseaux virevolter dans le ciel et les bateaux des touristes passer à tout alure.
Puis, passant devant l'hotel de Sens fermé encore, et cherchant la rue Saint Paul d'où démarrent plusieurs passages, je tombe sur l'homme dont vous voyez, lisant un journal dans la porte de son boutique des livres antiques.
J'ai pris deux images avant d'oser le demander. Il a dit oui, à mon étonnement, et en replongeant lire aussitôt.
J'ai demandé le chemin vers la rue Saint Paul à la dame qui faisait la circulation près de l'école et l'hotel de Sens, et une photo ensuite. J'ai fait une heureux ce jour, "mon ami habite loin et ne m'a jamais vu encore dans cette uniforme". Elle m'a donné l'adresse et nous avons bavardé plus longtemps.
Elle m'a raconté aussi qu'elle visite un vieux monsieur qui le paint, dans la maison de retraite pas loin de là. Et justement, le monsieur arriva. Une autre photo.
Et dire que Paris est grande... en fait, dans certaines de ses parties sont comme des villages où les gens se revoient et se connaissent.
lundi 23 avril 2007
Le poids des images
Il ne faut pas beaucoup de couleur chaud pour attirer attention. Et quand on n'a pas le droit de "dire" qui est arrivé en deuxième position, on montre une femme rayonnante de bonheur passant et, presque aussitôt un homme bouru.
"Nous allons vous dire en dix minutes les résultats", disait au TV le journaliste hypochritement.
En fait, nous avons regardé les images et tout compris.
Que ne peut-on faire avec les images!
En revenant samedi du promenade avec Berlioz et sa compagne, et mes deux petits enfants à travers Paris (que j'ai préféré au périférique) je tombe dans emboutaillage rue de Rivoli.
Qu'à cela ne tient!
J'ouvre le vitre et je prends des photos des gens qui passent devant une boutique "coloré", six images. Chaque image dit autre chose. En voilà une d'elles.
En la regardant, on dirait que ce n'est que des femmes qui passent et vivent dans cette ville. "Je l'ai vu, de mes yeux j'ai vu!"
Il faudra regarder une autre image, des autres images, qui disent, elles, chaqu'une une histoire différente.
Et celle-ci, qu'est-ce qu'elle vous dit?
"Nous allons vous dire en dix minutes les résultats", disait au TV le journaliste hypochritement.
En fait, nous avons regardé les images et tout compris.
Que ne peut-on faire avec les images!
En revenant samedi du promenade avec Berlioz et sa compagne, et mes deux petits enfants à travers Paris (que j'ai préféré au périférique) je tombe dans emboutaillage rue de Rivoli.
Qu'à cela ne tient!
J'ouvre le vitre et je prends des photos des gens qui passent devant une boutique "coloré", six images. Chaque image dit autre chose. En voilà une d'elles.
En la regardant, on dirait que ce n'est que des femmes qui passent et vivent dans cette ville. "Je l'ai vu, de mes yeux j'ai vu!"
Il faudra regarder une autre image, des autres images, qui disent, elles, chaqu'une une histoire différente.
Et celle-ci, qu'est-ce qu'elle vous dit?
dimanche 22 avril 2007
A voté!
Jeune Argenteuillais après son 1e vote, très fier qu'il a plus de dix huit ans déjà et heureux de se faire photographier. C'est seulement sa mère qui était peut être encore plus fier de son fils.
En allant dans le bureau de vote tranquille, j'ai rencontré des voisins, connus, qui comme moi sont allées (avant moi ou après) tôt à voter. "Merci pour les photos" dit l'un, "mon chauffaux m'a laissé tomber et cela a couté cher a réparer" dit l'autre, mais j'ai rencontré et parlé avec trois autres aussi. Une dame me dit, "vous êtes si jeune! j'ai déjà 87 ans".
J'ai rencontré une jeune magrébaine tout en noir sortant des urnes et un vieux monsieur d'origine chinois, et un vieux couple se tenant le bras, et oui, heureusement tous peuvent voter en France, beau pays démocratique et ouverte nous ayant tous acceuillis.
J'étais très heureux que Guiscard a permis le vote dès dix huit ans, ce jeune a été à l'école communale, même où on tenait les votes, même où il venait de voter. Nous sommes sortis ensemble.
Belle matinée!
En allant dans le bureau de vote tranquille, j'ai rencontré des voisins, connus, qui comme moi sont allées (avant moi ou après) tôt à voter. "Merci pour les photos" dit l'un, "mon chauffaux m'a laissé tomber et cela a couté cher a réparer" dit l'autre, mais j'ai rencontré et parlé avec trois autres aussi. Une dame me dit, "vous êtes si jeune! j'ai déjà 87 ans".
J'ai rencontré une jeune magrébaine tout en noir sortant des urnes et un vieux monsieur d'origine chinois, et un vieux couple se tenant le bras, et oui, heureusement tous peuvent voter en France, beau pays démocratique et ouverte nous ayant tous acceuillis.
J'étais très heureux que Guiscard a permis le vote dès dix huit ans, ce jeune a été à l'école communale, même où on tenait les votes, même où il venait de voter. Nous sommes sortis ensemble.
Belle matinée!
samedi 21 avril 2007
Quelle différence!
Quelle différence entre la vie place de Cairo du deuxième arrondissement où je me suis arrêtée avant hier boir un express et regarder les négociants négocier, les travailleurs transporter ou attendre qu'on les appelle.
La vie semblait au ralentie hier autour de la mairie de 3e arrondissement.
Presque jusqu'au musée de Carnavalet tout bas, en 3e à partir de la Mairie, pas seulement peu des gens sur la rue mais aussi presque pas des voitures, je me serais cru dans une autre époque.
Des fois j'étais seule au milieu de la rue étroite et m'étonnais quand soudain un moto voulait passer - attention, ils passent à tout vitesse.
Rues étroites, et une tranquillité!
Même les marchés "sans vie", vides ou sans clients. Quelques gens sorties devant les immeubles pour fumer, un ou deux couple de touristes revenus de musée Picasso en train de boire un café. La calme total.
J'ai rencontré des hommes et femmes sympa, là aussi. C'est une écossaise sympa en visit chez sa fille. Et ce chauffeur livreur devant la Mairie m'a même demandé:
"Pour qui vous me prenez?"
Il était ravi d'être prise pour quelqu'un "digne" d'être photographié. Il avait un visage sympa et encore plus quand j'ai répondu "pour vous".
Et voilà ce qu'on peut voir quand même de temps en temps à Paris, non seulement dans les affi ches: une belle jeune femme coquette et élégante.
Et le musée Carnavalet, gratuit, vaut la visite! J'ai pris des images jusque je n'en pouvais plus, je vais y revenir. Vous pouvez voir les images par arrondissement, sur ma site flickr.
Partie à huit heure et demi cette fois, finalement je suis revenue, (épuisée mais ravie) comme d'habitude seulement vers trois heures. Prise par la tourbillon des rues tranquilles.
La vie semblait au ralentie hier autour de la mairie de 3e arrondissement.
Presque jusqu'au musée de Carnavalet tout bas, en 3e à partir de la Mairie, pas seulement peu des gens sur la rue mais aussi presque pas des voitures, je me serais cru dans une autre époque.
Des fois j'étais seule au milieu de la rue étroite et m'étonnais quand soudain un moto voulait passer - attention, ils passent à tout vitesse.
Rues étroites, et une tranquillité!
Même les marchés "sans vie", vides ou sans clients. Quelques gens sorties devant les immeubles pour fumer, un ou deux couple de touristes revenus de musée Picasso en train de boire un café. La calme total.
J'ai rencontré des hommes et femmes sympa, là aussi. C'est une écossaise sympa en visit chez sa fille. Et ce chauffeur livreur devant la Mairie m'a même demandé:
"Pour qui vous me prenez?"
Il était ravi d'être prise pour quelqu'un "digne" d'être photographié. Il avait un visage sympa et encore plus quand j'ai répondu "pour vous".
Et voilà ce qu'on peut voir quand même de temps en temps à Paris, non seulement dans les affi ches: une belle jeune femme coquette et élégante.
Et le musée Carnavalet, gratuit, vaut la visite! J'ai pris des images jusque je n'en pouvais plus, je vais y revenir. Vous pouvez voir les images par arrondissement, sur ma site flickr.
Partie à huit heure et demi cette fois, finalement je suis revenue, (épuisée mais ravie) comme d'habitude seulement vers trois heures. Prise par la tourbillon des rues tranquilles.
jeudi 19 avril 2007
Ressemble à Bové
et il était avec les colleurs des affiches près des Halles, d'ailleurs des colleurs sauvages (mettant leurs affiches partout sur tous les autres) mais ultra sympa, "oui, vous pouvez prendre des photos" - mais s'il vous plais, prenez aussi en montrant les affiches.
Aujourd'hui, c'était le 2e arrondissement. Pour le moment 20 images de 300 prises.
J'aurais voulu descendre métro Sentier mais il aurait fallu changer à l'Opéra et la station était fermé. Je suis donc "entré dans Paris" à Strassbourg Saint Denis.
Rue Saint Denis, autre que les femmes, a pleines des passages intéressants et des milliers des grossistes des vetements avec des vitrines les unes plus belles que les autres. Les passages ne sont pas aussi "belles" mais pleines de vie! Je m'y suis senti moins un visiteur qu'un voyageur et tout à fait à l'aise, même quand une des p. m'a envoyé dans un trou sordid "c'est monument historique" ou une dame dans une passage "extra" qui ne m'a pas enchantée.
Par contre, le passage Caire et celles d'autour, un régal!
Puis, je suis entrée dans le marché près des Halles bordés d'ailleurs davantage maintenant par des restaurants. Sans me fatiguer autant que hier, j'ai fait double d'images.
Je voulais parler de politique, mais je n'ai pas vraiment envie. Ce qui m'a stupéfiée était que tous les candidats sans exception ont déclaré "rien ne va pas ici" et on changera. Bien sûr, chacun à sa manière. D'ailleurs, le plupart entre eux ne parle qu'en gros mots sans détails, et... bon, je ne dirais plus rien.
Je suis redevable au colleurs d'affiches qui m'ont donné l'occasion de deux photos dont je suis bien contante et à tous qui m'ont permis aujourd'hui de prendre leurs portraits de près en me souriant, et souvant même me parlant.
Dans le 2e arrondissement, je me suis sentie ajourd'hui "dedans" et pas en regardant de dehors, même si c'était une ballade photo surtout, mais aussi de découverte, redécouverte. En 1980 j'avais travaillé quelleque mois chez un grossiste des vêtements dans ce quartier, lui faisant un programme de facturation sur son Apple II.
C'est resté des bonnes souvenirs.
Aujourd'hui, c'était le 2e arrondissement. Pour le moment 20 images de 300 prises.
J'aurais voulu descendre métro Sentier mais il aurait fallu changer à l'Opéra et la station était fermé. Je suis donc "entré dans Paris" à Strassbourg Saint Denis.
Rue Saint Denis, autre que les femmes, a pleines des passages intéressants et des milliers des grossistes des vetements avec des vitrines les unes plus belles que les autres. Les passages ne sont pas aussi "belles" mais pleines de vie! Je m'y suis senti moins un visiteur qu'un voyageur et tout à fait à l'aise, même quand une des p. m'a envoyé dans un trou sordid "c'est monument historique" ou une dame dans une passage "extra" qui ne m'a pas enchantée.
Par contre, le passage Caire et celles d'autour, un régal!
Puis, je suis entrée dans le marché près des Halles bordés d'ailleurs davantage maintenant par des restaurants. Sans me fatiguer autant que hier, j'ai fait double d'images.
Je voulais parler de politique, mais je n'ai pas vraiment envie. Ce qui m'a stupéfiée était que tous les candidats sans exception ont déclaré "rien ne va pas ici" et on changera. Bien sûr, chacun à sa manière. D'ailleurs, le plupart entre eux ne parle qu'en gros mots sans détails, et... bon, je ne dirais plus rien.
Je suis redevable au colleurs d'affiches qui m'ont donné l'occasion de deux photos dont je suis bien contante et à tous qui m'ont permis aujourd'hui de prendre leurs portraits de près en me souriant, et souvant même me parlant.
Dans le 2e arrondissement, je me suis sentie ajourd'hui "dedans" et pas en regardant de dehors, même si c'était une ballade photo surtout, mais aussi de découverte, redécouverte. En 1980 j'avais travaillé quelleque mois chez un grossiste des vêtements dans ce quartier, lui faisant un programme de facturation sur son Apple II.
C'est resté des bonnes souvenirs.
A la découverte de Paris 1e
J'ai décidé de prendre Paris comme un voyageur et le découvrir arrondissement par arrondissement. Hier, j'ai visité plus de moitié de 1e et découverte les cours et galléries (passages) dont je ne savais rien encore.
Avec 4 billets (bus métro) et moins de trois euros pour une bonne tarte poulet légumes, comme dépense, j'ai marché tant que mon genoux et dos m'a averti "suffit". Après plus de 150 photos, je suis restée avec une vue nouvelle sur la première arrondissement. De Concorde passant par le Palais Royal (où j'ai sortie du métro) jusque Chatelet, de la Seine jusque rue Saint Etienne, la 1e arrondissement offre pleine des choses intéressantes.
J'ai cherché la nouvelle, l'insolite, les coins moins connus, sans toutefois pu m'empêcher de m'assoir près de l'eau qui coule autour de la Pyramide de Louvre ou traverser le parc de palais Royal (le premier lieu où j'ai commencé à faire des photos en 2004).
C'est dans cette restaurant que j'ai rencontré en 2004 mon 1e groupe de photo.
Ne ne sais pas si cela vous plait, mais j'ai fait des progrès depuis 2004;
Aujourd'hui, je "ferai" le 2e arrondissement.
Et inutile de vous dire, je n'ai pas eu le temps ou la force de m'appitoyer sur moi même!
Avec 4 billets (bus métro) et moins de trois euros pour une bonne tarte poulet légumes, comme dépense, j'ai marché tant que mon genoux et dos m'a averti "suffit". Après plus de 150 photos, je suis restée avec une vue nouvelle sur la première arrondissement. De Concorde passant par le Palais Royal (où j'ai sortie du métro) jusque Chatelet, de la Seine jusque rue Saint Etienne, la 1e arrondissement offre pleine des choses intéressantes.
J'ai cherché la nouvelle, l'insolite, les coins moins connus, sans toutefois pu m'empêcher de m'assoir près de l'eau qui coule autour de la Pyramide de Louvre ou traverser le parc de palais Royal (le premier lieu où j'ai commencé à faire des photos en 2004).
C'est dans cette restaurant que j'ai rencontré en 2004 mon 1e groupe de photo.
Ne ne sais pas si cela vous plait, mais j'ai fait des progrès depuis 2004;
Aujourd'hui, je "ferai" le 2e arrondissement.
Et inutile de vous dire, je n'ai pas eu le temps ou la force de m'appitoyer sur moi même!
mercredi 18 avril 2007
Paris, révisitée
Je ne vais pas rester m'apitoyer sur moi! Je devais trouver quoi faire.
Dans le groupe afterclass, on prépare un mois de Voyageurs. Mais bien sûr, on peut aussi voyager sans aller très loin, tout est question de comment on s'y met. J'ai décidée à re-découvrir Paris, arrondissement par arrondissement.
J'ai commencé par la première arrondissement, qui s'étant de la place Concorde jusque Châtelet, de la Seine jusqu'aux Halles. J'ai commencé me promener à milieux, du métro Place Royal Louvre, lieu où nous avons fait les premières photos dans ma classe en 2004. Mais je ne m'y suis arrêté là, j'ai découverte plusieurs Galléries (Passages) les unes plus intéressantes que les autres.
Avec sept euros pour le voyage et le repas de midi, j'ai surtout utilisé mes jambes, dos, et tout l'attention. Pas de temps à penser à rien d'autre! Partie à dix heures, revenue à trois après-midi, il est sept heures et je n'ai pas encore fini à revoir toutes les 180 photos prises aujourd'hui, mais j'ai déjà mise sur flickr les premiers 30 (départ, Louvre, 1e partie du Palais Royal).
Je ne savais pas qu'on pouvait voir dans l'ouvre à travers une vitrine!
J'espère que je pourrais finir le projet: quelqu'un de Paris est prêt à y contribuer? J'ai ouverte une groupe "paris par arrondissements" ce soir.
Les arcades du passage appellé Gallérie Vivienne
Dans le groupe afterclass, on prépare un mois de Voyageurs. Mais bien sûr, on peut aussi voyager sans aller très loin, tout est question de comment on s'y met. J'ai décidée à re-découvrir Paris, arrondissement par arrondissement.
J'ai commencé par la première arrondissement, qui s'étant de la place Concorde jusque Châtelet, de la Seine jusqu'aux Halles. J'ai commencé me promener à milieux, du métro Place Royal Louvre, lieu où nous avons fait les premières photos dans ma classe en 2004. Mais je ne m'y suis arrêté là, j'ai découverte plusieurs Galléries (Passages) les unes plus intéressantes que les autres.
Avec sept euros pour le voyage et le repas de midi, j'ai surtout utilisé mes jambes, dos, et tout l'attention. Pas de temps à penser à rien d'autre! Partie à dix heures, revenue à trois après-midi, il est sept heures et je n'ai pas encore fini à revoir toutes les 180 photos prises aujourd'hui, mais j'ai déjà mise sur flickr les premiers 30 (départ, Louvre, 1e partie du Palais Royal).
Je ne savais pas qu'on pouvait voir dans l'ouvre à travers une vitrine!
J'espère que je pourrais finir le projet: quelqu'un de Paris est prêt à y contribuer? J'ai ouverte une groupe "paris par arrondissements" ce soir.
Les arcades du passage appellé Gallérie Vivienne
Les hauts et les bas de la vie
"Tu m'as donné la musique" - quoi de plus beau à dire à sa femme? J'étais aux anges et je buvais autant ses paroles que sa musique. Ne doutant pas tout ce qui va suivre.
En réalité, je commence à me rendre compte qu'il m'a donné d'une certaine façon l'écriture. Et je lui dois beaucoup pour cela. Pendant mon première mariage, je n'avais presque pas écrit de journal, ou si peu.
Non que je n'écrivais pas avant (et publiais davantage qu'après avoir rencontré François) mais en encouragant et pas défendant à noter nos dialogues, nos vies, il m'en reste des témoignages que je n'aurais pas eu autrement.
Et même dans les moments pires, plus tard, il n'a rien dit voyant que je notais ce qu'il disait. Peut être d'ailleurs, qu'il était si sûr que tout ce qu'il disait était "parole d'evanghile?"
Tout va bien autour de moi et des promenades intéressantes en perspective, je me suis fait coupé les cheuveux (et un perm) hier, pris des belles macros des fleurs, mais je sens une inquétude que je n'arrive pas à éloigner. Comme c'est vrai qu'on support mal le futur incertain! on le craint davantage.
"---"
C'est des photos de "avant" et "après" mais j'aime tellement plus le vrai sourire enchanté d'avant que celle forcé d'après. Avant, c'était après la promenade au traces de Renoir.
Finalement, j'ai fait une tel quel montrant ce que je ressens. La voilà.
Il faudra rapidement que je trouve un moyen d'en sortir, m'occuper des autres, prendre la joie de tout qui est positive dans ma vie au lieu de continuer à m'appitoyer sur moi même.
En réalité, je commence à me rendre compte qu'il m'a donné d'une certaine façon l'écriture. Et je lui dois beaucoup pour cela. Pendant mon première mariage, je n'avais presque pas écrit de journal, ou si peu.
Non que je n'écrivais pas avant (et publiais davantage qu'après avoir rencontré François) mais en encouragant et pas défendant à noter nos dialogues, nos vies, il m'en reste des témoignages que je n'aurais pas eu autrement.
Et même dans les moments pires, plus tard, il n'a rien dit voyant que je notais ce qu'il disait. Peut être d'ailleurs, qu'il était si sûr que tout ce qu'il disait était "parole d'evanghile?"
Tout va bien autour de moi et des promenades intéressantes en perspective, je me suis fait coupé les cheuveux (et un perm) hier, pris des belles macros des fleurs, mais je sens une inquétude que je n'arrive pas à éloigner. Comme c'est vrai qu'on support mal le futur incertain! on le craint davantage.
"---"
C'est des photos de "avant" et "après" mais j'aime tellement plus le vrai sourire enchanté d'avant que celle forcé d'après. Avant, c'était après la promenade au traces de Renoir.
Finalement, j'ai fait une tel quel montrant ce que je ressens. La voilà.
Il faudra rapidement que je trouve un moyen d'en sortir, m'occuper des autres, prendre la joie de tout qui est positive dans ma vie au lieu de continuer à m'appitoyer sur moi même.
mardi 17 avril 2007
Il y a toujours plus petit que soi
Il y a toujours plus petit que soi, comme il existe des gens ayant plus des soucis aussi. Heureusement, il y en a aussi qui sont très heureuses, comme Danielle qui vient m'écrire. Elle vient se marier "trouver celui à qui elle était destinée" et me dit, que les hauts et bas de ma vie, lus dans mes divers journaux, l'ont aidé à prendre le courage qu'elle avait déjà en elle, et continuer dans sa vie assez mouvementée, elle aussi. "Si toi, à n'importe quelle âge..."
Les pissanlits de mon jardin que Aben conseillait à irradiquer (j'en ai laissé certains) sont assez petits, mais il y a des fleurs nettement plus petites dans mon jardin.
j'ai essayé de prendre les petites fleurs bleus de plus près, et voilà,
la camera fait découvrir une mini fleur blanche que je n'avais pas observé à l'ouil nu, elle parait comme une marguerite, mais je crois que vous pouvez imaginer comment elle est minuscule.
Relative à tout cela, et pris de près, le pissenlit parait géant
J'en ai ramassé un pissanlit et je l'ai pris sous different angles et contre fonds des couleurs divers. Cette humble fleur deviennent ainsi une vedette.
Les pissanlits de mon jardin que Aben conseillait à irradiquer (j'en ai laissé certains) sont assez petits, mais il y a des fleurs nettement plus petites dans mon jardin.
j'ai essayé de prendre les petites fleurs bleus de plus près, et voilà,
la camera fait découvrir une mini fleur blanche que je n'avais pas observé à l'ouil nu, elle parait comme une marguerite, mais je crois que vous pouvez imaginer comment elle est minuscule.
Relative à tout cela, et pris de près, le pissenlit parait géant
J'en ai ramassé un pissanlit et je l'ai pris sous different angles et contre fonds des couleurs divers. Cette humble fleur deviennent ainsi une vedette.
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