Expérimenter, communiquer, tâcher de vivre pleinement. Prouver a soi et aux autres, depuis dix ans déjà
mardi 22 décembre 2015
Brassens, Quand on est con, on est con
Je viens de découvrir, amusante et si vraie!
J'ai aussi écouté "l'auvergnat" : savez-vous une bonne vidéo de cela?
lundi 21 décembre 2015
Avec un peu de créativité
Que faire?
Montrer le temps, minimum vert, près du fin jaune, maximum rouge, n'est pas amusant.
D'habitude.
La semaine dernière, ma collegue a démontrée que cela peut être, utilisant, par exemple un citron jaune. Cette semaine, c'était mon tour.
J'ai trouvé une pomme rouge, une pomme vert.
Jaune? Jaune? Fnalement, c'était une pomme de terre. J'avais avant, trouvé des cartons, des dessins, des tissus, mais des fruits et vegetable... tellement plus amusants!
J'étais très déprimée quelques jours, après avoir appris mon intervention nécessaire, pour après Noël, tout à fait "dans moi" et me lamentant. Il a suffit d'un collegue qui m'a écrit "maintenant, parle utilisant le manuel Basic Training écrit par Ralph Smedley (j'ai une copie publiée en 1943).
Je me suis remise à travailler, comparer les different versions, celle de 1943 et 1956 publiée, celle de 1977 que j'ai utilisé la première fois, celle d'aujourd'hui, que je viens de terminer la 3e fois. En fait, le nouveau programme qui va arriver dans une année ou deux, et tout à fait dans l'esprit de fondateur des clubs Toastmasters!
Et bien sûre, nous le citons toujours "on apprends mieux pendant qu'on s'amuse!"
Montrer le temps, minimum vert, près du fin jaune, maximum rouge, n'est pas amusant.
D'habitude.
La semaine dernière, ma collegue a démontrée que cela peut être, utilisant, par exemple un citron jaune. Cette semaine, c'était mon tour.
J'ai trouvé une pomme rouge, une pomme vert.
Jaune? Jaune? Fnalement, c'était une pomme de terre. J'avais avant, trouvé des cartons, des dessins, des tissus, mais des fruits et vegetable... tellement plus amusants!
J'étais très déprimée quelques jours, après avoir appris mon intervention nécessaire, pour après Noël, tout à fait "dans moi" et me lamentant. Il a suffit d'un collegue qui m'a écrit "maintenant, parle utilisant le manuel Basic Training écrit par Ralph Smedley (j'ai une copie publiée en 1943).
Je me suis remise à travailler, comparer les different versions, celle de 1943 et 1956 publiée, celle de 1977 que j'ai utilisé la première fois, celle d'aujourd'hui, que je viens de terminer la 3e fois. En fait, le nouveau programme qui va arriver dans une année ou deux, et tout à fait dans l'esprit de fondateur des clubs Toastmasters!
Et bien sûre, nous le citons toujours "on apprends mieux pendant qu'on s'amuse!"
dimanche 13 décembre 2015
Traditions de Noël et fêtes de fin d'année
Gateaux tradition Hongrois et Roumanie pour les fêtes fin d'année |
Ce matin, j'ai participée à une réunion mondiale, de Australie Europe Amérique et Ouest de Canada, et Sud et West, Dubai et Philipines, representées par une 15aine des membres de notre club. "Collective" comme on s'appelle pour le moment.
Nous avons eu des récits sur traditions divers et leurs importance.
Laurainne, originale d'une petite ville (village?) de Colorado, nous a raconté ses fêtes dans la froid et près des montagne de sa jeunesse. Partie travailler à Dubai, elle a créé des nouvelles traditions là pour ses enfants et voisins. Un sapin créé dans le jardin des boites paints en vert!
Pour moi, c'était l'arbre de Noël et ses bonbons - je n'ai réussi à retrouver d'aussi bons et fondants depuis longtemps. Plus tard, j'ai tâchée réunir famille pour repas, et lentement, je n'ai plus eu pour qui faire décorer un sapin. Ces jour-ci, j'ai une mini sapin, à l'entrée, plus petit que ma main...
J'aime toujours, fêter n'importe comment, me souvenir. Et aussi du fait que j'ai recu mon première journal pour Noêl de mes dix ans (et demi). 71 années depuis... et j'écris toujours, même si j'ai eu plusieurs cahiers.
lundi 7 décembre 2015
Les détails: entrées, portes ici
Les détails montrent l'atmosphère et recréé des memoires. Ces portes divers, prises and lieux très éloignés les uns des autres, me transportent rapidement où j'étais et recrée en moi le souvenir.
La première était prise en Riga, au début de l'année. Des entrées menant vers autres entrées ou cours au centre ville, dans les vieilles cartières.
La deuximème a Trocko, une petite ville perdu au milieu des montagnes de Transylvanie, où je suis allée en 2006. Que des souvenirs! La route pour y arriver était épouvantable, comme si les authorités Roumains n'auraient pas voulu que beaucoup découvre cet endroit très Hongrois où un des premières églises Unitarien était créé. Je me suis assise près de la vielle dame et nous avons bavardé un moment.
Une matinée tôt, j'ai monté vers en haut de Grenada, en 2010, ces portes et murs m'ont attirée attention.
Nous avons bavardé a Orzazate, Morrocco, devant le café pub, avec ce jeune qui parlait bien français, je crois en 2007, un de mes dernières voyages en partance de Paris.
La dernière photo dit "Grenade" mais je m'en souviens d'un similaire prise en Sicille.
En les regardant, je me rend compte que j'ai voyagée pas mal ces dernière 11 années et que je ne dois pas prendre un immeuble connu ou même un portrait me souriant, une photographie d'un détail recréee la place et memoire des lieux. Est-ce vous dit à vous aussi des choses? Probablement, très différents de ce que je ressens, c'est normale.
J'ai créé ce matin un album flickr avec une 50ène des portes différentes.
vendredi 4 décembre 2015
Est-ce derrière moi?Par
Avec imagination, on peut faire tant des choses!
C'est une photo trouvé ce matin fait pas un de mes contacts flickr: celebrant l'anniversaire d'une publication étudiant.
Moi, je suis "après" les opération: un pensement sur le nez et des soutures dans le gyngie. Dermato et dentist... mais, ce qui est pour moi le plus important pour le moment, je n'ai pas mal. Douleur me fait peur. J'étais presque paniquée il y a quelques jours.
Maintenant, je sais que même si je saigne un peu, cela passe et quelques médicaments arrêtent le douleur. En allant à l'hopital du centre Londres, j'ai prise pleines des images.
J'esperais revenir avec taxi, mais je n'ai pas réussi. Finalement, c'était métro bus et pieds. Comme je n'ai pas osé bouger mon genoux gauche, ce matin, c'est le genoux que j'ai sentie et pas le dents ou le nez... Hurrah!
Et une jeune femme 'décoré" comme un sapin
C'est une photo trouvé ce matin fait pas un de mes contacts flickr: celebrant l'anniversaire d'une publication étudiant.
Moi, je suis "après" les opération: un pensement sur le nez et des soutures dans le gyngie. Dermato et dentist... mais, ce qui est pour moi le plus important pour le moment, je n'ai pas mal. Douleur me fait peur. J'étais presque paniquée il y a quelques jours.
Maintenant, je sais que même si je saigne un peu, cela passe et quelques médicaments arrêtent le douleur. En allant à l'hopital du centre Londres, j'ai prise pleines des images.
J'esperais revenir avec taxi, mais je n'ai pas réussi. Finalement, c'était métro bus et pieds. Comme je n'ai pas osé bouger mon genoux gauche, ce matin, c'est le genoux que j'ai sentie et pas le dents ou le nez... Hurrah!
Et une jeune femme 'décoré" comme un sapin
samedi 28 novembre 2015
vendredi 27 novembre 2015
Ne pas s'arrêter, malgré...
Les photos sont anciennes, prises un 1 Mai au bord de la Seine, quand j'ai admiré les danseuse continuant le Can Can sous la pluie et l'audience regardant sous parapluie.
C'est l'esprit que nous devons avoir aussi.
Ne pas s'arrêter. Ne pas fermer nos frontières. Ne pas laisser les méchants gagner.
C'est l'esprit que nous devons avoir aussi.
Ne pas s'arrêter. Ne pas fermer nos frontières. Ne pas laisser les méchants gagner.
lundi 23 novembre 2015
Raconter aux gens des différents parties du monde
Avant moi, c'était Susan: elle a raconté la lutte d'un de ses amis contre le feu avec son équipe. Elle parlait de Virginie, USA
Après moi, c'était Vivane, elle a raconté une histoire folklorique avec morale, de Malésie: ici sur l'image on la voit. Le temps, était donné (ici vert signifie temps minim arrivée) à partir de Sud Africa et l'images on a pu voir de sud à nord, de est a west, Australie et Canada, à travers Europe.
Comme si c'était dans notre chambre, ville.
Au milieu, c'est moi qui a raconté sur les difficultés de transition, cette fois, après mon doctorat allant en Amérique à l'âge 43 et mes premiers pas, là-bas. C'est magique d'avoir 17 ou 18 personnes, chacun de l'autre part du monde à écouter, voir, rencontrer à la fois.
"Bonne soir" a commencé Carole, conduisant la réunion à partir d'Australie. A Londres, comme en Allemagne, c'était le matin. Début de l'été en Malésie, et hiver déjà au Canada.
Oui, j'ai encore pas mal à apprendre, je n'ai pas encore utilisé des images pendant mon récit. Toutefois, j'ai utilisé une cuillère et une photo à un moment donnée. J'apprends, à chaque fois.
Après moi, c'était Vivane, elle a raconté une histoire folklorique avec morale, de Malésie: ici sur l'image on la voit. Le temps, était donné (ici vert signifie temps minim arrivée) à partir de Sud Africa et l'images on a pu voir de sud à nord, de est a west, Australie et Canada, à travers Europe.
Comme si c'était dans notre chambre, ville.
Au milieu, c'est moi qui a raconté sur les difficultés de transition, cette fois, après mon doctorat allant en Amérique à l'âge 43 et mes premiers pas, là-bas. C'est magique d'avoir 17 ou 18 personnes, chacun de l'autre part du monde à écouter, voir, rencontrer à la fois.
"Bonne soir" a commencé Carole, conduisant la réunion à partir d'Australie. A Londres, comme en Allemagne, c'était le matin. Début de l'été en Malésie, et hiver déjà au Canada.
Oui, j'ai encore pas mal à apprendre, je n'ai pas encore utilisé des images pendant mon récit. Toutefois, j'ai utilisé une cuillère et une photo à un moment donnée. J'apprends, à chaque fois.
vendredi 20 novembre 2015
Une maison, deux appartements
Beaucoup des maisons à Londres ont à l'interieur deux appartements, mais avec des portes d'entrés séparées et, bien sûr, de couleur différent, comme ici, vitraille différent aussi, chacun à l'impression de vivre seul dans sa maison.
Le sol d'entrée est souvent aussi avec dale différent, pour mieux encore montrer sa différence, et, souvent, il y a un déparation entre les deux - ici il n'y a pas.
Je suis descendu la semaine dernière revenant de dentiste et j'ai admiré ces différences.
Le sol d'entrée est souvent aussi avec dale différent, pour mieux encore montrer sa différence, et, souvent, il y a un déparation entre les deux - ici il n'y a pas.
Je suis descendu la semaine dernière revenant de dentiste et j'ai admiré ces différences.
mardi 17 novembre 2015
dimanche 15 novembre 2015
vendredi 13 novembre 2015
C'est arrivée hier
Chausures et canne : couleur feuille mortes |
D'abord, je me suis réveillée très tôt.
J'ai le temps de me plonger dans le web, je me suis dit. Il y a tant à faire! Mes copains de Facebook, les photographies de Flickr, mes notes...
Je me suis rendu compte à 9h, après presque 4 heures, que j'aurais déjà dû partir vers le dentist.
Vite! Je sais m'habiller rapidement, mais pas de marcher vite. J'ai prise ma cane avec moi, cette fois-ci, puisque le dentiste, une elle en fait, est en haut d'un petite coline que je dois grimper après avoir descendu du bus.
Enfin, à la station de bus: "aussitôt, le bus 422 arrive" me dit l'affiche. Ouf.
Je suis entrée dans le bus et le bus est partie: c'était le bus 386 qui n'allait pas où je devais aller. J'ai dû rester 7 stations et attendre qu'on arrive à Greenwich où les deux bus se croisent et pris, finalement, le bus 422 dans l'autre direction, pour arriver à la station d'où je devais commencer à grimper.
Arrivée à plus de demie heure de retard.
"Je ne sais pas si j'aurais le temps de finir" me dit la dentiste, d'habitude, tu arrive en avance. Elle n'était pas interessée de mes aventures, et je n'étais pas prête de raconter que j'ai oublié le temps en surfant l'internet.
Finalement, elle a fait fini le dent, sans douleur pour moi, au très peu. J'ai dû payer, pas mal, pour le travail des plusieurs visites et j'ai recu un prochaine visite, en six mois.
Je suis sortie, pas trop heureuse.
Pouf, une arbre magnifique "maple japonais" je ne sais pas comment s'appelle, feuilles rouges et brillants dans le soleil. Tout a changé d'un coup. Je suis descendu la colline lentement, oubliant ma cane et mes genoux, prenant dizaines des photos divers, fasciné non seulement par l'automne, mais par les maisons très britaniques. La plupart, divisées par deux appartements, 'maisons' et chacun essayant de démarquer sa spécificité du voisin. Les dalles de l'entrées, les mozaic des portes, les couleurs de porte d'entrée, et ainsi de suite.
Le bus est arrivée, en bas de la coline et je suis arrivée dans ma rue. Continuant avec les merveilleux feuilles d'automne. Il n'y a rien interessant dans les trois batîments longs, mais le chemin m'a offert encore des joies, ainsi que les arbres d'automne brillant dans le soleil.
Le matinée est fini, bien sûr, plongée dans le web et mon ordinateur: 111 photos à regarder, inspecter, mettre sur Flickr, Facebook. Il était 2 heures d'après-midi, quand je me suis réveillée: je n'ai pas prise encore mon dejeuner.
Oups! Je dois partir.
Arriver à temps au lecons de gym dans l'eau...
jeudi 12 novembre 2015
mercredi 11 novembre 2015
Faire rire, Enseigner, Raconter
Bouquet après performance |
Tous, j'y travaille et prépare avec joie.
Une auquelle j'ai mise énormément d'énergie, parceque c'était ma première 1h solo et en plus filmé pour une émission télévisé futur, bien. L'audience alas apporté par la productrice, sympa mais pas tout à fait "réelle, payant".
J'ai réussi à me lier avec eux, les faire rire, même inspirer quelques uns, mais même si je ne l'ai reconnu qu'après, j'étais pas non plus aussi détendu comme d'habitude.
Je me suis convaincue que je peux faire une heure, faire rire plus de 12 minutes et raconter plusieurs récits aussi. Et ma jambe a oublié pour cette heure qu'il existait, m'ayant obéi sans se faire savoir.
La deuxième était 22 minutes pendant laquelle j'ai raconté avec humour mes déboires avec les premières 7 discours en 2009, devant des invités et nouvelles membres de mon club Toastmasters. Masterclass! a dit celle qui devait en parler. Pas mal, oui, mais l'audience est là surtout pour juger et en réfléchir. Ils ont réagit, mais timidement en général.
La troisième, Lundi avec Spark London j'ai eu la joie d'une audience, pleine la salle, très réactive! C'était une plaisir de leur raconter, faire éclater de rire, voir comment ils m'ont tous regardé ensuite. En même temps que faire rire, je les a touché, ému aussi, plusieur sont venus "puis-je t'embrasser" dans la pause. C'était merveilleux de raconter à une telle audience!
En fait, Comédie, Enseigner, Raconter, tous sont utiles; aident les uns les autre à progresser, et tous me permet de "vivre" pleinement.
mardi 10 novembre 2015
Voyage dans le temps et espace
2007 Voyage à Transylvanie: Brad et Hunedoara |
En regardant les images prises ces jours-ci mais des années anciennes, que des memoires reviennent!
Ceci, mise en haut ce matin, me rappelle mon voyage de Bucarest à Bran (chateau de l'inexistent Dracula) à travers les Carpathes, et arrivé à la festival de Hunedoara, où nous avions été invités.
Sagesse, la vieille dame de milieu me dit : "oui, c'est bien de vivre des longues années, tant que cela ne fait pas trop mal!"
vendredi 6 novembre 2015
"L'ennième chance", je prépare une nouvelle récit
Je suis en train de préparer ma prochaine histoire, pour lundi.
On m'a demandée de raconter encore une fois mon récit d'il y a 6 ans: comment je suis arrivée de Paris à Londres et mes premières découvertes et impressions. Comment je me suis retrouvée, bien et oui, j'ai trouvé ici mon ennième chance.
Ici, j'ai assamblée 36 photos qui racontent les débuts, accompagnerais peut-être ce que je dirais. Mais c'est trop des photos donc je ne pourrais en utiliser que 5 ou 6 en 7 minutes... on vera. Vous pouvez les parcourir sur place en clickant sur la flêche droite.
La photo de la petite fille sur une boite, parlant et courageuse, je l'avais mise sur le parbrise interne de ma voiture pendant la traversée de Eurotunnel pour m'encourager.
jeudi 5 novembre 2015
L'audience
Oui, en parlant avec des membres de l'audience après le spectacle me donne toujours la vraie raison pourquoi vaut tout l'effort.
J'ai réussi à les amuser, mais aussi les inspirer.
Et tellement d'énergie circule entre moi et l'audience pendant la spectacle!
Hier, j'ai parlé 20 minutes dans mon club et ils ont beaucoup aimé, ont été motivés et instruits, mais ce n'est pas la même chose comme une spectacle, un récit, un gig devant inconnus, ou praticement, inconnus. Ils en apportent un plus, sans "évaluer" les détails. En fait, j'ai besoin des deux.
J'ai réussi à les amuser, mais aussi les inspirer.
Et tellement d'énergie circule entre moi et l'audience pendant la spectacle!
Hier, j'ai parlé 20 minutes dans mon club et ils ont beaucoup aimé, ont été motivés et instruits, mais ce n'est pas la même chose comme une spectacle, un récit, un gig devant inconnus, ou praticement, inconnus. Ils en apportent un plus, sans "évaluer" les détails. En fait, j'ai besoin des deux.
mercredi 4 novembre 2015
Cela vaut la peine
Après une heure sur la scène.
Autant Aiefa que Pat, qui m'ont aidé à recupérer, sont venues me voir sur scène. Pat avec sa fille.
Ma petite-fille aussi, a tellement rigolée! Et sa maman, qui avait été là aussi il y a cinq ans, quand j'ai raconté une des histoire que j'ai dit, un peut différement cette fois.
Préparer une spectacle d'une heure entière seule sur la scène, pas facile, mais cela vallait la peine. Je me suis rendu compte que je peux faire differents choses et l'audience participe et aime. J'ai trouvé de nouveau materiel aussi. Et peut-être, même serais invitée à nouvelles endroits pour raconter, faire rire.
Autant Aiefa que Pat, qui m'ont aidé à recupérer, sont venues me voir sur scène. Pat avec sa fille.
Ma petite-fille aussi, a tellement rigolée! Et sa maman, qui avait été là aussi il y a cinq ans, quand j'ai raconté une des histoire que j'ai dit, un peut différement cette fois.
Préparer une spectacle d'une heure entière seule sur la scène, pas facile, mais cela vallait la peine. Je me suis rendu compte que je peux faire differents choses et l'audience participe et aime. J'ai trouvé de nouveau materiel aussi. Et peut-être, même serais invitée à nouvelles endroits pour raconter, faire rire.
lundi 2 novembre 2015
Est-ce qu'elles disent une histoire?
Voilà quelques autoportraits, pourquoi pleurer? Mieux vaut en rire de toute ce qui arrive.
Certaines, prises en 2004, il y a onze ans, puis suivant les années, mais pas tout à fait exactement.
Je lève mon chapeau, je jouais déjà. Je me permettais à mettre une peruque et un chapeau retrouvé pleine de la poussière. J'ai commencé aller nager, de nouveau, après 70 ans, avec cheuveux au vent.
La troisième image prise le jour de mon 52e anniversaire d'être devenu femme. Oui, j'avais commencé tard, quelques mois seulement avant 25, mais je me sentais encore femme après 70. Avec un petit camera un peut tout faire, même des image dans la baignoire. Aie! Que-ce-que j'ai fait? Cette image de jour de mauvais cheuveux en grise et la deuxième plus populaire de mes images en Flickr. En plus, elle est la plus commentée aussi.
En deuxième rang, encore une avec mousse, puis déjà à Londres, préparant un récit et faisant des faces. Retournée pour quelques semaines en France, j'aime beaucoup cette image me disant "j'espère". Préparant l'histoire sur mon nez, qui finalement, n'a pas été coupée. Et rigollant après que mes cheuveux en ont été coupés trop.
En troisième, sont des images des problèmes qui arrivent avec âge (et même pas toutes) en commenceant avec celle que je montre dans mes spectacles de comédie: avec crème à raser. Ensuite l'image après opération de cataract, j'ai dû dormir ainsi pendant un temps pour proteger. J'ai dû aussi mettre un crème spéciale pour eviter des prochaines cancer de peau sur mon front, cela a brûlé plusieurs semaines et bien sûre m'a retenue chez moi. Dans mon acte de comédie je dis "manquer trois dents de devant, que c'est mignon à 7 ans! mais pas a 77. Et alors? On ne dois pas marcher dessus. Dans mon album "quelques autoportraits" (selfies) j'ai aussi des images sur moi avec béquilles. Mais ici, j'ai finie avec une me préparant aller faire rire.
Je regards en arrière, me préparant au tournage de film de demain. Oui, j'aime l'audience, mais non, pas spéciellement être filmée. On vera ce que cela donne et si je réussi à les faire rire. Combien j'ai réussi. C'est la première fois que je serais seule sur la scène, personne avant ou après.
mercredi 28 octobre 2015
Pleines des choses devant moi
1. J'ai une semaine très tranquille, mais très pleine aussi: je prépare un tournage de télé sur stage pour Mardi prochaine. Revois mes textes pour faire rire l'audience qui vient spéciellement pour "rire"...
Comme on me donne beaucoup de temps je revois à cette occasion plein de materiel écrit, depuis 2009, puis 2011 et ensuite. Une fois toute ressemblée je dois les mettre dans une ordre à m'en rappeller, puis répéter...
2. Et la semaine après, un récit de comment je suis arrivée à Londres et comment je l'ai trouvé.
Au moins, les deux envois des taxis pour me prendre et ensuite vers la maison...
En fait, c'est une plaisir de retrouver de l'ancien écrits - utilisés ou non. J'ai plusieurs grands cahiers remplis de materiel et aussi ce que j'ai lu et noté.
Comme on me donne beaucoup de temps je revois à cette occasion plein de materiel écrit, depuis 2009, puis 2011 et ensuite. Une fois toute ressemblée je dois les mettre dans une ordre à m'en rappeller, puis répéter...
2. Et la semaine après, un récit de comment je suis arrivée à Londres et comment je l'ai trouvé.
Au moins, les deux envois des taxis pour me prendre et ensuite vers la maison...
En fait, c'est une plaisir de retrouver de l'ancien écrits - utilisés ou non. J'ai plusieurs grands cahiers remplis de materiel et aussi ce que j'ai lu et noté.
Ecran de 26 octobre, avec moi le jour j quand ma fille est née et avec elle, a trois mois - plus deux photos de Tallinn, Estonie et deux photos de près de mon immeuble. Deux, disent plus je crois qu'une seule.
lundi 26 octobre 2015
La raison de ce blog
J'ai commencé pour prouver à moi même, et peut-être un peu aux autres : Il y a de la vie après 70 ans.
Pour dix ans, la vie trouvée, vécue, malgré toutes ces difficultées a dépassée ce que j'avais pensée.
Passant le cap de 80, la même question se pose à moi, peut-être avec un peu plus d'appréhension.
Ayant reçu ce commentaire, je me dis "cela vaut vraiment la peine de la continuer!"
----------
Corinne Brangé a ajouté un nouveau commentaire sur votre article "1h toucher et enseigner - et faire rire à Tallinn" :
Bonjour, il y a quelques années j'ai commencé à suivre votre blog, dans lequel vous nous démontrez de manière éclatante qu'il y a de la vie après 70 ans. Et puis la vie, les enfants ... j'ai fait d'autres choses. Ce soir, je triais mes vieux favoris sur internet et je suis tombée sur le lien vers ce blog. J'ai cru vous avoir perdue. Quelle émotion de constater que votre énergie, votre curiosité, votre humanité sont restées intactes. J'ai 47 ans et je garde l'espoir, grâce à des personnes telles que vous, que la vie vaut d'être vécue intensément. Je vous en remercie grandement.
--------------
Merci Corinne! Merci de m'écrire et comprendre: je peux encore donner un peu d'espoir, courage quand il faut.
Je me souviens, vers 47 ans, je me suis dis "je suis trop vieille pour cela..." pourtant je suis devenue amoureuse deux ans plus tard. Je me souviens, vers 47 ans, j'ai dû changer ma profession, aimant finalement mieux la nouvelle et utilisant ce qui m'a fait réussir dans la première, plus découvrant en moi des nouvelles forces. Je me souviens, après avoir entendu à 35 "trop vieille pour dancer" : après 47 j'ai dancé de nouveau.
J'ai un récit en anglais "Mistaken Identity" dans mon blog "CompetentCommunicator" racontant, cette période de 47 ans, juste une partie, comme en 10 minutes on ne peut pas tout dire.
Corinne, vous me donner de l'ailles et enive de raconter ici, davantage. L'approche de 50 ne m'a fait pas peur, puisque je n'ai pas eu le temps de penser à l'âge, tellement d'autres problèmes sont venus.
J'ai dû changer de pays, trouver où vivre (23 ans ensuite Montmartre, Paris) trouver comment gagner ma vie, apprendre un métier nouvelle (achat et ventes des produit informatique personelles), tomber amoureuse et après trois ans me débarasser de poids qu'il est devenu, et - bien, le reste est déjà "après 50"...
Oui, pas ces jours-ci, comme je prépare une émission televisée filmée dans huit jours avec audience, dont une partie entrera dans un film sur l'âge où six entre nous vont figurer finalement. Après, je me mettrai de créer des nouvelles récit utilisant ma vie. A cause de vous, Corinne.
Pour dix ans, la vie trouvée, vécue, malgré toutes ces difficultées a dépassée ce que j'avais pensée.
Passant le cap de 80, la même question se pose à moi, peut-être avec un peu plus d'appréhension.
Ayant reçu ce commentaire, je me dis "cela vaut vraiment la peine de la continuer!"
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Corinne Brangé a ajouté un nouveau commentaire sur votre article "1h toucher et enseigner - et faire rire à Tallinn" :
Bonjour, il y a quelques années j'ai commencé à suivre votre blog, dans lequel vous nous démontrez de manière éclatante qu'il y a de la vie après 70 ans. Et puis la vie, les enfants ... j'ai fait d'autres choses. Ce soir, je triais mes vieux favoris sur internet et je suis tombée sur le lien vers ce blog. J'ai cru vous avoir perdue. Quelle émotion de constater que votre énergie, votre curiosité, votre humanité sont restées intactes. J'ai 47 ans et je garde l'espoir, grâce à des personnes telles que vous, que la vie vaut d'être vécue intensément. Je vous en remercie grandement.
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Merci Corinne! Merci de m'écrire et comprendre: je peux encore donner un peu d'espoir, courage quand il faut.
Je me souviens, vers 47 ans, je me suis dis "je suis trop vieille pour cela..." pourtant je suis devenue amoureuse deux ans plus tard. Je me souviens, vers 47 ans, j'ai dû changer ma profession, aimant finalement mieux la nouvelle et utilisant ce qui m'a fait réussir dans la première, plus découvrant en moi des nouvelles forces. Je me souviens, après avoir entendu à 35 "trop vieille pour dancer" : après 47 j'ai dancé de nouveau.
J'ai un récit en anglais "Mistaken Identity" dans mon blog "CompetentCommunicator" racontant, cette période de 47 ans, juste une partie, comme en 10 minutes on ne peut pas tout dire.
Corinne, vous me donner de l'ailles et enive de raconter ici, davantage. L'approche de 50 ne m'a fait pas peur, puisque je n'ai pas eu le temps de penser à l'âge, tellement d'autres problèmes sont venus.
J'ai dû changer de pays, trouver où vivre (23 ans ensuite Montmartre, Paris) trouver comment gagner ma vie, apprendre un métier nouvelle (achat et ventes des produit informatique personelles), tomber amoureuse et après trois ans me débarasser de poids qu'il est devenu, et - bien, le reste est déjà "après 50"...
Oui, pas ces jours-ci, comme je prépare une émission televisée filmée dans huit jours avec audience, dont une partie entrera dans un film sur l'âge où six entre nous vont figurer finalement. Après, je me mettrai de créer des nouvelles récit utilisant ma vie. A cause de vous, Corinne.
lundi 19 octobre 2015
1h toucher et enseigner - et faire rire à Tallinn
Peut-être, maintenant, je peux me dire "Il y a de la vie après 80 ans" aussi, après le succès hier matin de mon heure d'atelier comique à Tallinn, Estonie.
Ici, avec Raido qui organiser les ateliers, trois fois une heures une après autre: d'abord la mienne, puis une sur raconter des histoires et un troisième sur les citations. Tous Dimanche matin, après avoir passée une journée entier des Histoires comiques "contest" - entre ceux venus de Norvège, Hollande, Finnlande, Lituanie, Latvia, et bien sûr, de Estonie, pays d'acceuil. Tous "Toastmasters" pour voir qui gagne et qui ira à Prague en Novembre.
La diversité de ceux présents était grande puisque non seulement ils venaient des pays différents, mais certains sont arrivés dans ces pays à partir d'Espagne, Affrique, Amérique, etc.
D'autant plus important mon succéss de les inspirer et les enseigner et les faire rire.
Dans la photographie, avec Raido, l'homme qui a décidé m'inviter: il est aussi venu me prendre de l'hotel le matin et m'a juste envoyé quelques mots de nouveau sur le success de mon atelier.
La femme, était dans l'audience, elle s'était précipitée vers moi à la fin "tu as changée ma vie! je m'y mettrai maintenant: j'hésitais." Elle m'a dit d'autres choses ensuite, les yeux plaine des larmes et chaleur. C'est pour cela que nous racontons des histoires, drôles ou non: pour toucher la vie d'une personne présent.
Oui, il y a eu ensuite d'autres, venus vers moi. Un garçon concurant le jour avant avec sa note "je vais appliquer ce que tu nous a appris! regards, j'ai pris des notes de tout." L'autre "j'aurais le courage de essayer, m'y mettre à comédie". Un autre, "maintenant, je ferais aussi un atelier dans mon pays, utilisant..." Un autre "j'irai non seulement participer, mais jouer du Standup Comédie en divers pays". Et ainsi de suite. Plus encore, leur regard vers moi a changé, c'était devenu très chaleureux.
Oui, ils ont ris à lignes que je leurs ai donnée comme exemple, à certaines beaucoup plus que d'autres. Et je vais noter lesquels, intéressant. Ils ont écouté les récits avec émotion et attention. A la fin, demandé des questions, puisque j'avais du temps encore. Ils ont aimé mes réponses aussi.
Oui, mon heure, la première enseigner la comédie, a réussi au delà de mes espérences.
vendredi 16 octobre 2015
Vendredi, j'ai montée sur la colline de Tallinn
23 images de promenade de Vendredi, cette fois, j'ai prise ma canne d'aller vers haut, puis - plus difficile après les cailloux du haut, vers en bas.
En haut: le parlement et vis-à-vis l'église russe Orthodox, et des maisons chic, comme à Buda. La plupart au moins. Un étroit trottoire plus facile et le reste... mais je suis arrivée.
Elle est arrivée en chaise roullant, poussée par son mari, heureuse de poser.
Porte cochers les uns après autre, en haut - comme ma ville, Kolozsvàr. Mais des maisons comme à Buda(pest).
Ici, lien vers l'album Vendredi à Tallinn
https://www.flickr.com/photos/joyoflife/albums/72157659516919340
jeudi 15 octobre 2015
Tallinn, capitale d'Estonie
Ceci sont des images prise aujourd"hui, hier j'en ai prise autant.
Oui, je peux marcher sans cane, même si après mon dos et un peu aussi mes jambes protestent. Et alors?
Vous pouvez voir clickant un a un ou aller a Flickr pour d'autres...
Ce matin, après un café poudre apporté avec moi, je suis entrée dans le café élagante d'en face, et pas chère du tout, j'ai prise un express et un croissant. A midi, c'était un petit resto Thailandaise, sous un lieu de massage, presque cachée, mais c'était super! Service et aussi le repas, et encore une fois très resonable.
J'ai eu un peur atroce: je croyais avoir perdu un de mes deux cameras. Après une heure, je l'ai trouvé dans la poche de mon pantalon! Quelle idée de l'avoir mise là? Heureuse, je me suis offerte le repas "chinois" pardon, Tai, en souvenir d'un autre repas solitaire chinoise après avoir obtenu un diplome.
samedi 10 octobre 2015
Greenwich park
Après avoir bavardé, dejeunée, elle est partie - pour m'appeller ensuite: "il fait merveilleux dans le park de Greenwich, veux-tu venir?"
C'était une promenade fantastique avec des chataigners - marroniers en tout leurs couleurs!
Voilà le lien vers l'album des quelques photos prises:
https://www.flickr.com/photos/joyoflife/albums/72157657325140333
Mon camara maintenant permet aggrandissement
mais aussi des photos prise au loin...
ou en regardant en haut des différences
Le temps était magnifique aussi! Et A. m'a aidée marcher sans cane plus normalement.
Tant que j'ai pu.
C'était une promenade fantastique avec des chataigners - marroniers en tout leurs couleurs!
Voilà le lien vers l'album des quelques photos prises:
https://www.flickr.com/photos/joyoflife/albums/72157657325140333
Mon camara maintenant permet aggrandissement
mais aussi des photos prise au loin...
ou en regardant en haut des différences
Le temps était magnifique aussi! Et A. m'a aidée marcher sans cane plus normalement.
Tant que j'ai pu.
mercredi 7 octobre 2015
A apprendre
Nouvelle camera photo - je suis en train de la découvrir. Complexe, mais j'ai l'impression nettement meilleure que celle que j'utilisais. Dans le pénombre de l'après-midi, des feuilles d'automne partout - même sur une voiture dans la rue. Je m'arrête, zoom et voilà.
J'ai vu hier une version intéressante et amusante de pièce de theatre "importance of being earnest" de Oscar Wilde. La tante joué par Hercule Poirot de Television, les autres sans changer leur genre. Centraines très très bien, par exemple, le prêtre. Cecily, Algernon.
Le plus interessante était combien le public s'est amusé en rian à haute voix souvent!
vendredi 2 octobre 2015
L'automne est arrivée
Au lieu de humer les roses sur le chemin, j'attrappe des feuilles - non pas "mortes" encore.
En revenant du dentiste, j'ai prise ces deux, toutes les deux belles et très différents, tant en forme qu'en couleur.
J'ai eu de la joie, les photographier sur différents fonds aussi, seuls ou ensemble.
J'avais très peur d'aller au dentiste, sortir des nerf ce n'est pas la joie. Mais elle m'a anesthesié bien et ce n'est que après-midi, en me réveillant de ma sièste que j'ai sentie Aie! prise rapidement medicament contre douleur à 14h, je me suis rendormie et j'ai manqué d'aller à ma réunion où j'avais voulu y être hier. C'est la vie.
Au moins, aujourd'hui, ca va mieux, même si tout n'est pas encore derrière moi. Deux rendez-vous encore avant que la couronne soit posée. Et qui sait pour combien long?
Bonne nouvelle, en tout facçon: j'ai mes billets pour aller en Estonie, Tallinn sa capitale.
Je me prépare, même si pas assez, pour y offrir une heure sur "Comédie pourquoi et comment?"
En revenant du dentiste, j'ai prise ces deux, toutes les deux belles et très différents, tant en forme qu'en couleur.
J'ai eu de la joie, les photographier sur différents fonds aussi, seuls ou ensemble.
J'avais très peur d'aller au dentiste, sortir des nerf ce n'est pas la joie. Mais elle m'a anesthesié bien et ce n'est que après-midi, en me réveillant de ma sièste que j'ai sentie Aie! prise rapidement medicament contre douleur à 14h, je me suis rendormie et j'ai manqué d'aller à ma réunion où j'avais voulu y être hier. C'est la vie.
Au moins, aujourd'hui, ca va mieux, même si tout n'est pas encore derrière moi. Deux rendez-vous encore avant que la couronne soit posée. Et qui sait pour combien long?
Bonne nouvelle, en tout facçon: j'ai mes billets pour aller en Estonie, Tallinn sa capitale.
Je me prépare, même si pas assez, pour y offrir une heure sur "Comédie pourquoi et comment?"
vendredi 25 septembre 2015
Un jour, notre tour arrive
Quand j'ai prise la photographie de vieux monsieur traversant avec sa canne à Paris, je l'ai admiré: il sortait pour s'acheter une bagette et le journal. Lentement, il traversait.
C'était en 2006: j'étais "jeune" et ne pensais pas qu'un jour, moi aussi.
Cette semaine, je suis sortie enfin sans ma canne: je me rehabitue lentement à marcher de nouveau.
Maintenant, j'admire la jeune fille qui passe rapidement tout en parlant dans son téléphone mobile, et ne pense pas du tout qu'entre temps elle marche.
jeudi 24 septembre 2015
Julie Kertesz: Video 5' en anglais
Oui, c'est vrai que je ne suis pas revenue depuis longtemps.
Madame la barronne, tout va bien... connaissez-vous la chanson?
Une periode un peu bas, ne voyant pas ce qui sera devant moi.
Cette film a été réalisée début printemps.
C'est sur mes différents activités, disant "ne vous enfermez pas dans un seul boite".
Aussi disant "l'histoire peut changer la passée" - comme cela dépend comme vous le racontez. "Humour aide a rendre plus léger ce qui arrive. L'inspiration "si elle peut, moi aussi". J'ai découverte après 77 que je peux être amusante aussi. Nous tous le pouvons. Nous avons tous un récit à dire."
Hier, pour la station ITV1 tournage d'une autre film sur les secrets de la vieillesse, qui sera diffusé en Juin prochaine. Interessante et fatiguante, le producteur a été bien contante - et je suis revenue épuisée.
Plus important: j'étais nomée Ambassadeur pour un program d'éducation futur dans le cadre de Toastmaster clubs pour 6 clubs autour de moi, une charge qui prendra des années. Interessante et quelque chose à regarder vers avant.
mercredi 5 août 2015
Les surprises de Web, blog, Facebook
Ce blog, m'a apportée beaucoup. Entre autres, une weekend près de Reine, quand je me sentais bas.
Le blog anglais, un weekend au campagne anglais, dans une autre famille jeune et aussi très acceuillante.
Je venais de publier dans le Facebook un photo des fruits, nectarines divers très savoureux mais durs à porter à la maison de marché. Revenant de nage, j'avais passé par le marché de Lewisham... et pour trois sous presque d'un coup je me suis trouvée avec trop à porter. Mon genoux "bon" a porté la charge sur les marches de mon appartement, aie!
Deux heures plus tard, un coup de fil.
"Je voudrais venir te voir!"
N'ayant pas rencontrée Aeifa originaire d'Irlande, un Toastmaster dans un club où je n'allais plus depuis trois ans, c'était un surprise - très bonne surprise.
Elle est venu me voir, le jour où toute ma famille était loin et en vacances, le jour où je me sentais, de nouveau "abandonée". Oui, j'ai 81 ans et je peux bien vivre seule et aller vers des autres et sortir, mais... oui, nous avons je crois toutes, tous, nos moments où la solitude si chere pèse.
Elle a proposé d'aller nager ensemble, et nous sommes allées. Elle a proposé à bavarder aussi et nous nous sommes connues mieux. Surtout, elle a demandé "de quoi tu as besoin?"
J'avais dit "du pain" au début, mais je me suis acheté de pain en revenant de la piscine.
J'aurais dit "quelqu'un pour... " non, ce n'était pas ça non plus.
Finalement, sa question était la plus grande cadeau. J'ai besoin de sortir davantage. J'avais besoin de question pour trouver une réponse et j'ai attendu deux jours à trouver la réponse à la question. Sortir, exercer mes jambes, peser sur mon genoux gauche, ne pas me laisser lire et... utiliser le web, blog, Facebook jusque mon compote de nectarine brulle, jusque je suis en retard à auqa gym, jusque je perd le courage de marcher.
Des fois, une question - et une questionnement - peut apporter des miracles.
Et vive l'Internet, blogs et Facebook!
Le blog anglais, un weekend au campagne anglais, dans une autre famille jeune et aussi très acceuillante.
Je venais de publier dans le Facebook un photo des fruits, nectarines divers très savoureux mais durs à porter à la maison de marché. Revenant de nage, j'avais passé par le marché de Lewisham... et pour trois sous presque d'un coup je me suis trouvée avec trop à porter. Mon genoux "bon" a porté la charge sur les marches de mon appartement, aie!
Deux heures plus tard, un coup de fil.
"Je voudrais venir te voir!"
N'ayant pas rencontrée Aeifa originaire d'Irlande, un Toastmaster dans un club où je n'allais plus depuis trois ans, c'était un surprise - très bonne surprise.
Elle est venu me voir, le jour où toute ma famille était loin et en vacances, le jour où je me sentais, de nouveau "abandonée". Oui, j'ai 81 ans et je peux bien vivre seule et aller vers des autres et sortir, mais... oui, nous avons je crois toutes, tous, nos moments où la solitude si chere pèse.
Elle a proposé d'aller nager ensemble, et nous sommes allées. Elle a proposé à bavarder aussi et nous nous sommes connues mieux. Surtout, elle a demandé "de quoi tu as besoin?"
J'avais dit "du pain" au début, mais je me suis acheté de pain en revenant de la piscine.
J'aurais dit "quelqu'un pour... " non, ce n'était pas ça non plus.
Finalement, sa question était la plus grande cadeau. J'ai besoin de sortir davantage. J'avais besoin de question pour trouver une réponse et j'ai attendu deux jours à trouver la réponse à la question. Sortir, exercer mes jambes, peser sur mon genoux gauche, ne pas me laisser lire et... utiliser le web, blog, Facebook jusque mon compote de nectarine brulle, jusque je suis en retard à auqa gym, jusque je perd le courage de marcher.
Des fois, une question - et une questionnement - peut apporter des miracles.
Et vive l'Internet, blogs et Facebook!
vendredi 31 juillet 2015
Amitié
Hier, c'était la journée internationale d'amitié.
Une des mes photos, prise a Marakech, Maroc, a été choisie l'illustrer par Flickr! J'étais ravie et j'ai passee une heure à rassembler un album Amis. Voici quelques unes des 22
Une des mes photos, prise a Marakech, Maroc, a été choisie l'illustrer par Flickr! J'étais ravie et j'ai passee une heure à rassembler un album Amis. Voici quelques unes des 22
mardi 28 juillet 2015
Ce matin, mix des photos et leur récits
Sur mes murs, deux paintures datant de l'année 1948 juillet.
J'avais 14 ans et mes parents ont décidé d'aider un peintre habitant dans la maison des artistes dans le park pas loin de nous. Il est venu chez nous et il a peint la jeune fille aimant lire, près du mirroir, moi, et ils m'ont permis en même temps de choisir un autre painture qu'il avait déjà fait.
En bas de "ma" painture deux photos de moi dans des moments heureux de ma vie: au début de mon mariage et avant un rencontre à Providence, Rhode Island. 27 ans et 72...
A côté pour ne pas oublier, les nuages grises qui arrivent à chaque fois. Oui, peut être, ils ne durent pas éternellement, et le vent les chasse du ciel, mais dans la vie, leur temps parait nettement plus long.
La pluie sur des coquelicots et les fruits sur l'arbre vert sur fond de herbe brullé par l'absence d'eau, sont récents. Je vous laisse vous dire, me dire un récit de ce qu'elles signifient. En tout cas, j'aime leur couleur et j'aime me rapprocher des fleurs et des gens. Même si cela ne se termine toujours bien. En tout cas l'émerveillemnt et les bonnes moments restent.
mardi 21 juillet 2015
Publié il y a dix ans
Butte Montmartre, 23 ans de ma vie
Quand je suis revenue d'Amérique, après trois ans, en 1980, j'étais décidé à trouver un appartement à Paris, en ville et pas banlieu comme avant: mais où? Je ne connaissais bien la ville. Avant, j'étais venu juste pour des petits visites ponctuelles, de Eubonne, de Gif sur Yvette, de Ham ou même de Saint Didier sur Chalaronne où j'avais vécu.
J'ai décidé d'aller chaque jour dans un autre quartier. Je prenais le Figaro tôt le matin, je regardais ce qui était dans mes prix, (et des fois pour m'amuser même hors de mes prix) et j'y allais me promener, regarder le logement, quand il n'y avait pas trop grand queue déjà. De arrondissement en arrondissement, logement sombre ou sans chauffage, quartier froid ou trop cher, je suis ainsi arrivé rue Mercadet, près de la Mairie de dix huitième.
D'un coup, j'avais l'impression à me retrouver "chez moi", dans la ville de mon enfance Kolozsvàr.
J'ai décidé d'aller chaque jour dans un autre quartier. Je prenais le Figaro tôt le matin, je regardais ce qui était dans mes prix, (et des fois pour m'amuser même hors de mes prix) et j'y allais me promener, regarder le logement, quand il n'y avait pas trop grand queue déjà. De arrondissement en arrondissement, logement sombre ou sans chauffage, quartier froid ou trop cher, je suis ainsi arrivé rue Mercadet, près de la Mairie de dix huitième.
D'un coup, j'avais l'impression à me retrouver "chez moi", dans la ville de mon enfance Kolozsvàr.
Encore aujourd'hui, je ne sais pas d'où vient l'analogie, peut être parce que je n'ai pas ressenti là la frénésie habituelle, les gens ne courrent pas mais plutôt marchent lentement. L'atmosphère des lieu m'attira et à partir de là, je ne cherchait plus que autour de rue Mercadet.
Les deux premiers appartements étaient chers, mais en plus, sans lumière, sans assez de lumière disons, avec un autre immeuble juste en face mais trop près. En plus, j'avais appris que si je n'arrive pas assez tôt, je n'ai pas la choix et ne suis pas prise en considération même. Cette fois, je suis allée deux heures d'avances.
Rue Mont Cenis?
Les deux premiers appartements étaient chers, mais en plus, sans lumière, sans assez de lumière disons, avec un autre immeuble juste en face mais trop près. En plus, j'avais appris que si je n'arrive pas assez tôt, je n'ai pas la choix et ne suis pas prise en considération même. Cette fois, je suis allée deux heures d'avances.
Rue Mont Cenis?
Bien, c'est près de la Mairie, près de rue Mercadet, ça va. Mais le vingt-cinq? Les numéros montaient, montaient, et moi aussi les marches. Oh, c'était tout en haut après les derniers. Navré, j'ai constaté, que même deux heures d'avance, j'étais la deuxième. Un jeune homme me précédait déjà.
Nous avons attendu.
Nous avons attendu.
La femme de l'agence est arrivé avec un retard de demi heure. Bien, venez, vous deux. Ensemble, nous avons monté au premier étage, mais... par la fenêtre, une fois entrée, cela paraissait le quatrième! Un parc en bas,du lumière, de la vue. Les deux petits pièces m'enveloppaient avec amitié. Je veux ca!
Tant pis, qu'il n'y a pas vraiment des pièces séparés, tant pis, que la cuisine est minuscule, tant pis, qu'il n'y a pas qu'un coin douche! J'ai lutté pour l'avoir, triché même un peu disant que j'ai un bon travail alors que je venais arriver. Donné un papier en anglais pour le prouver. J'ai habité là vingt deux ans.
Pour ma société aussi, j'ai choisi (après avoir été menacé d'expulsion à cause de travail à domicile) pas loin. Près de marché Poteaux pour une année, rue Duc derrière la Marie ensuite. C'était devenu vraiment mon quartier, ma ville, mon dix huitième.
Il a fallu des années que j'admette que en face, sous la butte, vers Moulin Rouge et Pigalle, c'est aussi mon quartier, c'est aussi mon dix huitième. D'abord, Abesse et son marché qui m'ont conquis et la petite place en haut entre Place de Tertre et Abesse plein de même chateigner que le parc de Kolozsvàr. J'y venais m'assoir sur un banc et lire. Rêver.
Puis de marchand en marchand, je descendis vers Moulin Rouge et lentement, je m'habituais à la diversité de cette merveilleux arrondissement. Un bon marchand des livres antiques (fermé hélas depuis) près de Moulin, une boutique pour faire des copies ou imprimeur, près de rue Clignancourt, les marchands des tissus, vers Saint Pierre.
Tant pis, qu'il n'y a pas vraiment des pièces séparés, tant pis, que la cuisine est minuscule, tant pis, qu'il n'y a pas qu'un coin douche! J'ai lutté pour l'avoir, triché même un peu disant que j'ai un bon travail alors que je venais arriver. Donné un papier en anglais pour le prouver. J'ai habité là vingt deux ans.
Pour ma société aussi, j'ai choisi (après avoir été menacé d'expulsion à cause de travail à domicile) pas loin. Près de marché Poteaux pour une année, rue Duc derrière la Marie ensuite. C'était devenu vraiment mon quartier, ma ville, mon dix huitième.
Il a fallu des années que j'admette que en face, sous la butte, vers Moulin Rouge et Pigalle, c'est aussi mon quartier, c'est aussi mon dix huitième. D'abord, Abesse et son marché qui m'ont conquis et la petite place en haut entre Place de Tertre et Abesse plein de même chateigner que le parc de Kolozsvàr. J'y venais m'assoir sur un banc et lire. Rêver.
Puis de marchand en marchand, je descendis vers Moulin Rouge et lentement, je m'habituais à la diversité de cette merveilleux arrondissement. Un bon marchand des livres antiques (fermé hélas depuis) près de Moulin, une boutique pour faire des copies ou imprimeur, près de rue Clignancourt, les marchands des tissus, vers Saint Pierre.
C'est "mon dix huitième", tel que je l'ai retrouvé, après m'avoir dû pratiquement m'enfuire septembre 2001, trois ans plus tard, en 2004 septembre, quand j'ai fait plein des photos. Surtout photos des gens, qui y travaillent et vivent. Comme hier, un peu.
Mais hier, après seulement une heure, je suis revenue chez moi, dans mon banlieu d'Argenteuil. Vrai, un peu triste. Des gens que je rencontre ici, pas mal, ne sont pas ceux de là. Je n'arrive pas avoir le même contact et le contact est important.
- A Londres, j'arrive d'avoir le contact avec beaucoup des gens plus facilement. -
lundi 20 juillet 2015
Eternelle étudiante
Trois photos, trois memoires mais ensemble, elles me parlent davantage.
C'était il y a 11 ans l'anniversaire de 70e année. Je suis allée avec un appareil Olympus prêté par mon fils près de marché Notre Dame Argenteuil. La première fois dans ma vie, j'ai regardé vers haut de l'arbre et prise en photo. J'étais fascinée. Et je me suis sentie moins seule.
C'était prise presque en même temps, mais l'objet date de quand j'étais 38 et passais en famille à travers Yougoslavie, de France vers Roumanie en vacances. Je travaillais toute l'année tout en recommencant à étudier - pour qu'à l'âge de 43 finalement, j'obtiens un doctorat-ès-science à Paris. J'ai admiré ce cigale et mon mari me l'a acheté tout en ajoutant sarcanicement, "c'est comme toi, regarnde toujours vers haut - une éternelle étudiante". Je regards cet objet et oui, même à 81 je continue à étudier. Non pas pour obtenir un diplome mais oui, je continue à regarder vers haut...
Il y a tellement de première fois!
La troisième photographie m'a rappellé: "julie, tu n'as pas commencé à vivre ou prendre des photos en 2004... puisque voilà une prise au marché d'Aix-le-Province, pendant une conférence d'Autobiographie. Déjà, t'étais passionée de photographie.
Des photos prise en "juillet" des diverses années m'ont rapportées ces souvenirs.
Peut-être aussi ensemble, elles disent plus qu'un par un.
Je continue d'aprendre, plus de demi-vie plus tard. Continue d'avoir des "première fois" aussi. Continue d'être passionée, même à 81 ans.
Nous ne changeons pas tant que cela dedans.
vendredi 17 juillet 2015
Le ciel est toujours là pour nous
Je suis sortie de la réunion seule, attendant que celui qui me conduissait en voiture sort aussi. Il a tardé, cela m'a décidé de prendre mon camera et regarder autour. Regarder les nuages dans le ciel.
Avec le ciel, nous sommes jamais seuls, vraiment seuls - les nuages ou leur couleur peuvent nous rassurrer, comme jadis, au début de mon premier divorce "tu auras encore des joies"! Et c'est vrai.
mercredi 15 juillet 2015
Feu d'artifices d'activité
Je n'ai pas été à Paris pour le feu d'artifices
Mais je peux me l'imaginer, et c'était publiée.
A la place, j'ai ma propre final de "feu d'artifices" ces jours-ci. En activités, pour fêter mon 81 année.
Vendredi, à la piscine et aqua gym. Aie! Mes bras s'en plaignent encore. "Bien, grand mère! bon pour toi"
Samedi, un rencontre sympa et une très longue et intéressante réunion centre Londres, ensuite j'ai prise quelque photos avant revenir chez moi.
Dimanche, le jour, dans un park, réunion pour raconter des histoires, les uns aux autres, et en meme temps ils ont célébrée mon anniversaire! Mes deux petits enfants aussi là et ont aidé! Ma belle fille (et même mon fils pour une heure) - je me suis sentie très entourée par toutes et tous.
J'ai recu des ballons multicolors ici sur des lavandes - ma petite fille les a mis là pour la photo
J'ai aussi raconté deux récits très divers, mais surtout j'étais inspirée écoutant ceux des autres.
Lundi, nord le Londres, loin, et dix minutes pour faire rire un public des "performers" surtout ceux qui parraissaient avant et après moi étaient présents. Une femme m'a suivie jusqu'à la station de bus "j'ai vraiment aimé tellement, je dirais à mon amie qui vouldrait aussi..."
Mardi, assisté à un autre gig, près de chez moi, il a plu en revenant mais alors?
Ce soir, je parle dans mon club "Cela vaut la peine!" titre.
Oui, mes jambes ne sont pas très heureux mais finalement me portent vers où je veux et quelques médicaments m'aide à leur fermer la guele pour un temps. Les muscles se reformeront, ou se fortifieront avec temps.
Et demain, c'est un autre jour.
Peut-être, le 7e quand on se repose?
Mais je peux me l'imaginer, et c'était publiée.
A la place, j'ai ma propre final de "feu d'artifices" ces jours-ci. En activités, pour fêter mon 81 année.
Vendredi, à la piscine et aqua gym. Aie! Mes bras s'en plaignent encore. "Bien, grand mère! bon pour toi"
Samedi, un rencontre sympa et une très longue et intéressante réunion centre Londres, ensuite j'ai prise quelque photos avant revenir chez moi.
Des très sympa "toastmasters" copains après la réunion |
Dimanche, le jour, dans un park, réunion pour raconter des histoires, les uns aux autres, et en meme temps ils ont célébrée mon anniversaire! Mes deux petits enfants aussi là et ont aidé! Ma belle fille (et même mon fils pour une heure) - je me suis sentie très entourée par toutes et tous.
ici avec l'organisatrice des récits dans le park (mais j'ai pleine des images de là) |
J'ai recu des ballons multicolors ici sur des lavandes - ma petite fille les a mis là pour la photo
J'ai aussi raconté deux récits très divers, mais surtout j'étais inspirée écoutant ceux des autres.
Lundi, nord le Londres, loin, et dix minutes pour faire rire un public des "performers" surtout ceux qui parraissaient avant et après moi étaient présents. Une femme m'a suivie jusqu'à la station de bus "j'ai vraiment aimé tellement, je dirais à mon amie qui vouldrait aussi..."
Prise de bus un très long trajet paraissait pas finir |
Mardi, assisté à un autre gig, près de chez moi, il a plu en revenant mais alors?
Ce soir, je parle dans mon club "Cela vaut la peine!" titre.
Oui, mes jambes ne sont pas très heureux mais finalement me portent vers où je veux et quelques médicaments m'aide à leur fermer la guele pour un temps. Les muscles se reformeront, ou se fortifieront avec temps.
Et demain, c'est un autre jour.
Peut-être, le 7e quand on se repose?
dimanche 12 juillet 2015
Encore une année, meilleure j'espère
Encore une année c'est passée, lentement et pas facilement.
L'année dernière du 12 Juillet ma fille, mon fils, ma belle fille et petits enfants ont été ici, mais moi, je pouvais à peine marcher avec deux béquilles.
Hier, je suis sortie au centre Londres et oui, de nouveau je suis en train de marcher. D'accord, j'utilise encore ma cane et je vais fort lentement. Mais je peux sortir! D'accord, je ne suis pas jeune mince et en robe rouge comme cette femme, mais je me suis sentie entourée hier.
Une très bonne journée, bonne réunion et rencontres avec des gens fort sympas. Et cela va continuer toute la semaine! Je sortirai tous les jours. Bon temps, mauvais temps, soleil ou pluie.
jeudi 9 juillet 2015
Beauté près de chez moi
samedi 4 juillet 2015
Vivre, quand même
mardi 30 juin 2015
lundi 15 juin 2015
Riga, adieu
Souvenirs de Riga et de mes jours là bas.
Lundi, arrivée tard a Riga.
Mardi, visite de vielle ville - très belles maisons, dur marcher sur des pierres.
Mercredi, vielle ville puis marché centrale.
Jeudi, conférence TEDxRiga - repos pour les pieds.
Vendredi, rues de "nouvelle art et Corbustier" pas mal de marche avec une nouvelle copine
Samedi, aller à la mer, kilometre pour y arriver du bus et revenir en train.
Dimanche, arrivée à Londres.
Je dois encore digérer le tout et cela va prendre pas mal de temps. Les maisons étaient intéressantes et j'ai prise pleine des images mais bien sûre, comme d'habitude, c'est l'inatendu qui reste en moi. Et même sur les images les plus frappantes. Le visage des deux vendeuses au marché pleine de sympatie et chaleur, ma copine de Toastmasters me montrant une porte painte cachée, l'écran installé devant la théatre que hélas personne presque ne regardait, une jeune femme avec pleines de ballons allant vers une célébration sur la rue approchant, s'arrêtant un instant pour la photo.
Le vieux russe avec qui nous avons parlé seulement avec visage et gestes. Le canal et petit parc entre la circulation et le vieux Riga. La femme qui m'a dit avec délice "c'est un gateau au mangue, miam" à la patisserie, elle avait choisie deux pour déjeuner, nous avons pas parlé les mêmes langues non plus. Mais il ne faut pas savoir parler pour s'entendre. Le sable fin sur mes pieds après avoir enlevé mes chaussures. Le petit table de madame WC sous les arbres, à côté de laquelle je me suis assise à l'ombre pour me reposer en revenant de la mer. Les deux dames qui j'ai demandé m'aider à monter dans le train (très hautes marches et plusieurs) qui m'ont attendu à l'arrivée pour m'aider de nouveau.
Oui, mes jambes sentent que je les aient utilisé plus que d'habitude. Mais j'ai pu.
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