Quand j'ai prise la photographie de vieux monsieur traversant avec sa canne à Paris, je l'ai admiré: il sortait pour s'acheter une bagette et le journal. Lentement, il traversait.
C'était en 2006: j'étais "jeune" et ne pensais pas qu'un jour, moi aussi.
Cette semaine, je suis sortie enfin sans ma canne: je me rehabitue lentement à marcher de nouveau.
Maintenant, j'admire la jeune fille qui passe rapidement tout en parlant dans son téléphone mobile, et ne pense pas du tout qu'entre temps elle marche.
En effet quand on est jeune on ne réalise pas que notre tour va venir, c'est quand les bobos commencent à arriver qu'on sait qu'on vieilli.
RépondreSupprimerEn effet quand on est jeune on ne réalise pas que notre tour va venir, c'est quand les bobos commencent à arriver qu'on sait qu'on vieilli.
RépondreSupprimerhé oui… tant de choses qui paraissaient naturelles ..
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