C'est passagère

Le mois dernière, j'étais assise près d'une belle jeune femme à dejeuner. Nous avons commencé à parler.

Je ne me souviens pas comment c'est arrivé, parler des hommes dans ma vie.

- Moi, je me suis arrêtée après que le premier m'a causée telle detresse.

- S'arrêter? Parque la premiere fois (ou deuxième ou troisième) n'a pas été "le prince", l'homme des rêves? j'ai répondu. Cela vaut la peine, même si cela ne dure pas.

- Tu crois?

- Je sais.

C'est tellement fantastique de tomber amoureux! D'aimer, tous les début et tremblements et se sentir si vivant!

Oui, même si cela ne dure que des mois, ou même des fois une seule nuit. Ce plaisir, quand on se laisse emporter, vaut la peine.

Je n'ai pas ajouté alors, comme beaucoup d'autres choses dans la vie dont on peut se réjouir même si pas durables!

Comme les couchers de soleil. Ce coucher de soleil hier après-midi, regardé de ma fenêtre, attrappé en trois images, c'était très passager. Pourtant, j'étais enchantée à la regarder.

Il vient, il passe. Un autre reviendra.

Ce n'est pas parce que un homme, une femme, quelqu'un nous a causé a la fin de chagrin qu'on doit renoncer à la joie de tomber de nouveau amoureux.

Le mois dernier, nous nous sommes séparés après qu'elle est venu me dire "tu as changé ma vie". J'espère.

Je ne veux pas changer la vie, en fait. Mais si je réussi à éléver un écho, une souvenir, un peu de courage dans quelqu'un cela vaut la peine de m'exprimer. Ecrire, raconter.

Merci, Kat, pour la commentaire de hier!