Si je n'avais pas

Si je n'avais pas de l'appareil photo, et je ne me promenais pas avec partout, enfin presque toujours, je n'aurais pas observée les détails de ces fleurs en contre soleil.

Ce n'est pas tout a fait vraie.

D'abord, elles ont sautée dans mes yeux, et ce n'est qu'ensuite que j'ai réussi a rendre une partie de leur beauté a travers l'appareil photographique.

Mais les détails de pétales j'ai découvert a cause de la photo prise et de mon ordinateur ensuite qui l'a aggradit plus que l'original.

La même chose avec la littérature.

Si je n'étais pas intéressée par des histoires personnelles...

A cause de mon intérêt a les raconter devant le public et enseigner aux autres comment la faire mieux, j'ai relu un livre ancien que j'avais, sur les Essaies Personnelles. De la, un pas en plus pour acheter une gros volume des Essaies Personnelles, de Seneca a nos jours, que je viens de commencer a lire.

J'ai commence a lire l'introduction, tout ce qu'on dit peut s'appliquer aussi aux histoires racontes, presque tout.

Ensuite j'ai lu au milieu, un essai de Charles Lamb que je connaissais depuis enfance: son livre les pièces de Shakespeare racontées aux enfants était traduit aussi en hongrois. Il y a 200 ans, après 35 ans de comptabilité, pendant lequel il n'avait pas libre qu'un jour a Paques et un jour a Noel, une semaine l'ete, liberte qu'il utilisait a pleine, mais toujours pensant que cela passe trop vite, on lui a offert une pension a 2/3 son salaire. Il a ecrit cette pièce, enivrée de sa liberté, deux semaines a peine apres l'avoir commencee. En le lisant, on a l'impression que tout a ce qu'il l'utilise pourrait se passer aujourd'hui.

A cause que ce qu'il ecrit est très personnelle et profondément ressentie, les 200 ans s'envolent et Lamb parle de moi. De vous.

Ensuite, je me suis mise a lire le premier essai: Seneca a écrit en forme de lettre. Seneca est née a peu près en même temps que Christ, mais le ton de ses lettres est tellement personnelle, il me parle encore une fois, comme si c'était grand-mère (père) qui me conseillait et me parlais d'elle même.

Il écrit dans sa lettre (de loin, soi disant vers un jeune ami) qu'on peut travailler en n'entendant pas le bruit de dehors, si on est tout a fait absorbée. Ensuite, il décrit toutes les bruit qu'il entend du haut d'un Lieu de Bains, ou il habite pour le moment. Il m'a apportée tous les bruits, comme si j'y étais. A partir de soupir de masseur, le saut dans l'eau, le cris de vendeur de rue... presque une page de description me faisant voir et entendre ce qu'il était en train d'écouter... il y a 2000 ans. Il finit en disant "je voulais me tester, c'est fait, maintenant je peux chercher un lieu plus tranquille pour habiter."

Leurs voix personnelle, rend l'écriture intemporelle et, en même temps, me l'apporte en me rappelant mes propres sentiments et environnements.

Quand nous avons habités au 1e étage pres d'une marche, le bruit commençait a 5 heures, mais après quelques semaines, il ne me réveillait plus. Quand j'avais peu des vacances, je me promenais moi aussi enivrée pendant des heures pour en profiter, et ensuite, moi aussi je flânais en regardant les étales des livres.

Nous n'avons pas change autant en 2000, 200 ans!