jeudi 30 juin 2005

Sur les routes, de nouveaux

Lundi, fin avec le dentiste et diner chez les parents d'Eniko. Mardi, j'etais sur la route, accompagne, jusque Budapest, de mon cousin Gabor. Merveilleuse passage, tot le matin, des chaines des montagnes Kiralyhago. Je mettrai des photos de maison.

Tres dur route suivie, en Hongrie traverse de Alfőld dans les chaleurs. Mon oncle aussi, se sentait etouffer de manque d'air chez lui, quand je suis arrivee.

Oui, de nouveau un clavier sans accents, sorry.

Mercredi matin je commence ma journee a la piscine, en face de maison des vieux oú sont oncle et tante, rempli de l'eau thermal : magnifique sensation de vacances. Puis le lecture d'un livre qui nous a secoue tous les deux, sur les périodes noirs de holocaust en hongrie et les essays des uns pour aider, l'indifférence des autres.

Vendredi, mon oncle tiendra une conférence sur son discours et visite de Kolozsvar : au début, je voulu y assister, mais cette nuit, j'ai compris qu'il préfere que je parte, sans oser me le dire et me voila, j'ai pris les devant partant aussitot que possible, vers cinq heures et demi, quand j'ai trouvé quelqu'un pour m'ouvrir la porte du cour.

Je suis de nouveau á Hotel Esztergom, cyberhotel, la ville Esztergomm, la meme ville d'entrée en Hongrie, il y a environ trois semaines. A travers Slovaquie, j'irai d'ici vers Autriche, j'espere retourner chez moi, bientot. J'aurai alors de temps pour lire les blogs des autres, mettre tous mes images, mais aussi, reflechir a cette voyage.

lundi 27 juin 2005

Scènes de Rue


Scènes de Rue
par Julie70.

J'avais rendez-vous aujourd'hui avec mon cousin, et en arrivant en avance sur la place centrale de la ville Cluj, je me suis placé dans un coin et fait une centaine des photos de rue, comme au revoir à ma ville ancienne.

C'était la première journée de bac ici, langue roumain, et aussi la dernière journée des examens de faculté. Plein des jeunes bien sûr passaient, repassaient, téléphonaient les résultats à leur parents ou amis, mais aussi quelques vieux comme vous pouvez voir. J'ai eu la joie en arrivant à la maison de voir que plus des cents photos sont bien sorties. J'ai du matérielle, pleine, pour raconter l'histoire de ce mois de juin, cette voyage.

J'aurai que faire à la maison.

Aussi, le décrire avec plus de détails et peut être ajouter un peu de ce que j'ai écrit dans mon journal, comme d'habitude.

Rire plein dents


Rire plein dents
par Julie70.

Fini, le dentist, je peux rire de nouveau sans en avoir honte plein dents. Et le tout, ne m'a pas coûté qu'environ une huitième de ce que me demandait mon dentiste français, très sympa par ailleurs. Puis-je dire que "j'ai gagné ainsi mon voyage?" C'est ainsi qu'on dépense, ce qu'on croit avoir gagné de "trop"...

Demain, avec mon cousin d'ici, je vais jusqu'à Budapest. Moi, revisiter mon oncle de 98 ans, lui, pour prendre de là l'avion pour Allemagne où le lendemain déjà il doit donner des cours de math en allemand.

Je vais retourner doucement, mais déjà, je suis contante, tant de mon voyage que de revoir mon ADSL et bien sûr, aussi mes petits enfants.

Fabrique près des champs


Fabrique près des champs
par Julie70.

Entre les collines et les champs, fabriques et cheminées noirs, ceci aussi encore fait partie, de temps en temps de paysages de ce pays, la Roumanie.

Et pas loin d'eux, une jeune couple, lui mi-nu, elle très décolté, revenant probablement de bord d'une rivière après plage.

Regarde la dame, dit la vieille


Regarde la dame, dit la vieille
par Julie70.

Ensuite, elle me regarda aussi, mais les enfants ont posé, sortie le doigt de la bouche : cette image est moins intéressant finalement.

J'ai eu une journée très fatiguant hier. Seulement 160 km mais quatre heures pour y aller, et au moins autant, par une autre route pour revenir. Mais cela vallait la peine.

Des églises entourés des murs, une manifestation nation roumain appercu, une messe entendu, des villes et maisons intéressants, une dimanche avec des paysans mouchtachus et des jeunes peu habillés revenant de plage, des jeunes allant à l'église en blue jeans et des dame aux chapeau, des tziganes aux grand chapeau noir et une exposition avec tableau de Titzian entre autres.

J'ai été deçu par la ville vers où j'allais, Sibiu, il est tout ravagé par "construction" à n'en pas finir de ses meilleurs et plus belles places, tant louées dans mon guide de Transylvanie, mais quelques belles maisons, sont déjà refaits et un jour le reste le sera aussi. L'expo Bruckner était intéressant, mais je n'ai rencontré qu'un seul couple des gens parlant allemand dans ce pays traditionnelle des szasz : ils venaiet de Allemagne en visite.

Par contre, Medias, ville pas prévu au début sur ma route, et aussi d'autres villages et ville rencontrés sur ma route d'aller et celle, différent, de retour, m'a offerte des magnifique suprises. Belles immeubles, gens sympatiques, plein des souvenirs et même images prises.

Les routes aussi. Hier, je n'ai eu pratiquement que très peu des trous et des fois je m'aurais cru en Allemagne ou sur une bonne route française.

Seged église protégé de moyen âge


Seged Protected Evangelic Church
par Julie70.

J'ai aussi rencontré plusieurs églises, très intéressants, entourés des haut et épais murs de protection, et dans un autre endroit, même des pièce où mettre les provisions pour les diverses familles pendant le siège. Transylvanie a eu un histoire mouvementé et c'était bien utile.

Medias, Jeune serveuse


Medias Serving to drink
par Julie70.

Par contre, cette jeune serveuse de Medias était ravie de poser, même plusieurs fois. Medias était une ville pas sur mon trajetoire au début, je suis très heureuse que j'y suis allée. Très intéressant et très bien entretenu. Fort belle centre aussi et des gens sympa.

Sauf, que le centre est interdit aux voitures d'ailleurs, et j'ai dû la faire au pied. Pas grave, sauf qu'il faisait chaud.

Pas moi !


Do not take me!
par Julie70.

Et il prend le baton pour vous frapper, ce monsieur à beau mouchtache n'était pas du tout contant que je l'avais photographié. Mais, j'avoue, je lui ai dit, que d'accord, je ne le prends pas. C'était en fait vrai, je l'avais déjà pris deux fois.

Soudain un chariot traverse


Soudain un chariot traverse
par Julie70.

On doit être prète à tout sur les routes de la Roumanie, pas seulement les agnaux, vaches, mais un chariot aussi peut soudain décider de traverser le chemin devant vous.

dernières images

Une vingtaine de mes dernières images en diaporama : clickez sur le titre

dimanche 26 juin 2005

Un coup de coeur

Je me suis permis cet aube de dimanche, malgré le coût pour mes hotes, de piocher un peu dans les blogs aimés, même si je n'ai pas osé les parcourir tous, comme d'habitude à la maison. J'en suis sortie, enrichie de nouveaux.

Les rues tranquilles de vendredi à Caire, la note pour la France et sans tenir compte des parties de Damien, le boum d'après le bac de Noam, et ensuite, un coup de coeur pour le poéme "un soir d'été" publié jeudi par Jaques, qui parle de l'aube et du bonheur fragile et d'en profiter de ce que nous pouvons, vivions. Allez la lire!

Allez les lire! Je pars avec vous dans mon coeur, mon âme et les vers qui me disent : ne restes pas enfermée seule dans la chambre, vas-y, sors, vis ! même si ces mots n'y figurent pas.

Pour combien de temps encore?

Pour combien de temps serait-elle là, sans être démoli ?
On le laisse encore, et d'autres, moins en ruine mais en très mauvais état, il parait, pour une affaire des gros sous, des intérets dont m'ont parlé à bas voix mes hôtes, qui eux, ont retappé leur maison avec un prêt de banque.
Il y a des très chouettes maisonettes aussi à Borszék et une grande hotel en hauteur, tous les maisons ne sont pas décrépis, mais il y en a pas mal, même si pas comme celle ci.
Allez la voir en grand avec un clic sur l'image. Je ne peux pas la mettre ici plus grand par égard à ceux, comme moi maintenant, qui ont une liaison lente à travers leur modem.

Je t'aime! je t'aime!

C'est bon d'être amoureuse, même quand on est remplie des doutes, je me souviens de cette époque décrit, non, vécue à travers mon journal de jeunesse. Et, comme par hasard, tout suite après, je pars en vacances et parcours les mêmes villes de Transylvanie, que je viens revisiter. Mais je ne suis pas encore arrivée là, ces notes arriveront en quelques jours.

Non, ce n'est pas par hasard. J'ai voulu revisiter les lieux maintenant, aller où j'étais à mes 23 ans la dernière fois. Non seulement les stations thermales et repos sont décrépits, pour le moment, je suis sure qu'on va les retapper, rouvrir, les faire revivre dans peu de temps, mais les forces de promenades ne sont pas les mêmes. J'aurais dû m'entrainer à marcher davantage.

Toutfois, je suis ravie d'avoir été, des photos prises, des paysages fantastiques rencontrés. Et, mes photos vont témoigner d'une époque, d'un point dans le temps, tout comme la photo prise à la maison d'une maison qu'on a démoli depuis. Je vais chercher la maison écroulé mais toujours là de Borszék, non encore démolie, le pire (et plus intéressante) jamais vue.

samedi 25 juin 2005

Je suis revenue


Vendeur de fromage
par Julie70.

Je suis revenue, pleine des images et sourires et des bonne mots d'elle, et plusieurs comme elles, roumains ou hongrois, femmes ou hommes, agés ou jeunes du marché.

Très tôt ce matin

Très tôt ce matin, je suis sortie sur le point de pieds de la maison, pour ne pas réveiller personne et j'ai été recompensé par une magnifique matinée.

Le soleil de matin rasant illuminait autant le canal que le petit Somes, rivières de mon enfance, dont les eaux brillaient de milliardes de lumières et rèfletaient les arbres des environs, et même des maisons nouveaux peints avec couleurs saturés, devenaient féériques et plus belles.

Je suis passée par "ma maison", fait aussi, encore, des photos de "ma fenêtre" : il n'y a "que" combien des années, depuis que j'y habitais? J'y était de 1940 à 1949, pendant mon enfance. Neuf années importantes de ma vie. Tellement des mémoires y sont liées avec cet endroit!

Puis, je suis arrivée à la marché centrale de Cluj avant huit heure. C'était déjà ouverte, mais les étales pas encore tous arrangés, et peu des acheteurs, plus de vendeurs, les pluspart venus des villages des environs. Dehors, les fleuristes "à la sauvette" je m'imagine, fleurs de champs, plus dedans, sur des étales, les roses et lys. Ensuite, les légumes, poivre et poivrons, aubergines et oignons. Roumains et hongrois, vendaient, j'ai parlé un peu avec plusieurs entre eux et bien sûr, fait aussi des photos, quelques portraits dont je suis pour le moment enchantée.

J'ai ajouté quelques images dans mon blog, je vous recommends de voir les autres, sur ma site photo à :
http://www.flickr.com/photos/joyoflife/sets/

Mais j'attendrai un peu, au début, je suis toujours conente des mes résultats, à la longue, mon appréciation change quelquefois. Des chapeaux de montagne, des foulards paysannes, des hommes et femmes de tous les âges, mais il y eu plus des gens âgés que jeunes entre les vendeurs. Quelques femmes, n'ayant que une poingnée de champignons ou une bouquet de fleur a vendre. D'autres, travaillant pour les grossistes probablement, vendant des tomates, dont il n'est pas encore le saison ici, parait-il.

J'ai acheté finalement un petit verre de bois à écraser des oignons, de fromage Telemea frais (j'en ai déjeuné) et, ceci était une erreur, quelques tomates pas très murs. Mais surtout, je suis partie avec une belle récolte des images et des souvenirs.

J'ai écouté parler le roumains sur les gens et sur ce que Dieu voulu ou pas faire : il a laissé les méchants, n'est pas, n'a pas tué Eve et Adam qui ont pêché! dit-il. Ainsi, il y a des bons et mauvais dans tous les nations, sans différence.

La dame hongroise, m'a raconté qu'elle avait acheté son foulars en Chehoslovaqui il y a longtemps, ravie que son foulard verts qui lui allait si bien me plait. Et j'ai discuté aussi avec mon hononyme, Julie, jeune vendeuse souriante, sur le mal de pays quand on parte ailleurs. Il y reste toujours quelque chose, et en plus, disait-elle, votre accent est bien hongroise d'ici.

Hélas, j'ai répondu, mon accent est ainsi, plus ou moins dans tous les autres langues aussi.

Juste some please

Sur la route vers le dentiste, j'ai fait la photo d'une jeune mariée, testant sa voile dans sa voiture, avant d'entrer chez le Mairie pour se marier, la cathédrale ortodoxe envahie devant par une énorme ballon faisant réclame d'une radio "libre" inconnue, puis après un petit café dans un bar de coin, j'ai rencontré mon dentiste. Il prétend que lundi, c'est vraiment fini.

Revenant, j'ai tombé sur le lac de ma jeunesse qui se trouve dans le parc près où j'avais habité. C'est là que j'avais appris à ramer et aussi, l'hiver, patiener. J'ai assisté à la récupération par une enfant se trouvant dans un barque d'une ballon bleu et admiré le reflet de l'immeuble près du lac, par où nous changions nos chaussures et mettions les patins. Aussi, pour louer de barque.

Somme tout, une matiée extrêment riche et un peu émouvante aussi pour moi.

Peut-être, demain, j'irai à Sibiu, ville "szasz", bâtie par ceux venant de l'Allemagne, même si là, il parait que même pas dix pour cent sont restés d'origine szàsz, le centre ville a conservé son aspect caracteristique. Après les villages et villes hongrois, roumains, il s'agit de voir aussi et de montrer aussi, ce caractère de Transylvanie. Tout cela fait partie d'elle.

Et hier, j'ai été quelques minutes à la cimitière juive, assez abandonné et mauvais état, sur certains des tombes est marqué aussi le nom de ceux massacrés en Auschwitz, hélas, des plusieurs dizaine de mille, il n'en reste plus il parait que trois cent vivant dans Cluj.

Entre eux, un de mes cousins éloignés, mais déjà, ses enfants, sont kalvinistes, née de mère chrétienne et mariés à l'église. Enikö, qui est kalviniste aussi, m'a raconté qu'ils se sont connus avec son mari à l'église, très jeunes déjà, aux études. Bientôt, elle va pour deux semaines, danser des dances populaires près de lac Balaton en Hongrie. Les contacts avec Hongrie sont forts, pas mal des jeunes vont aussi travailler là bas.

Bonne week-end à tous qui me lisent. Je me suis permis à utiliser davantage le modem étant samedi.

Espère trouver quelque chose à faire


Looking for some work in the market
par Julie70.

dans le marché, ce samedi, où j'y suis allée très tôt le matin, et fait plein des images et portraits. Ici, il écoute, l'autre lui dire ou expliquer.

Il y a beaucoup des vielles aussi, travaillant, vendant, fleurs ou quelques champignons ou oignons.

vendredi 24 juin 2005

Personne n'y faisait attention


No one notices but me
par Julie70.

Certains en jupe longues, les plupart en jeans, et elle en minijupe, mais tous attendaient la fin de la semaine, le bus, préoccupés seulement par leur propres problèmes.

Malgré tout, ce matin, le fils de mon cousin me dit : le weekend c'est dangeureux de conduire, parce qu'il y a trop des jeunes femmes intéressants à regarder...

Près de marché de dos


Près de marché de dos
par Julie70.

Venait-elle acheter ou vendre du lait ? J'ai aussi fait une photo gros plan de devant, mais celle-ci est plus parlant de loin avec tout cela dans ses mains et habillée comme si elle venait directement de village.

Il faut dire, que même dans les villages, pas beaucoup s'habillent dorénavant ainsi. Mais j'aime.

Tous ne porte pas des robes aussi intéressants, on voit plus de blue-jeans ou même des jupes courtes, mais cela fait plus dépaysée pour moi.

Je me voyais déjà partie

Je me voyais déjà partie demain matin vers Budapest, mais pas du tout. Ce qu'on peut croire aux dentistes... d'ailleurs tant mieux, à peine partie de lui, "à lundi après-midi pour vérifier", un des couronnes qu'il m'a mis a tombé. "Alors, venez demain matin".

Si lundi va bien, mardi je partirai quand même.

Enfants de maternelle roumain


Enfants de maternelle roumain
par Julie70.

Certains sont restés, malgré les vacances, à ce qu'on appellera "centre aéré" et entre eux, certains encore en blouse, conseillé mais pas obligatoire dans cette école maternelle où Eniko travaille.

Cela me rappelle des images anciennes, mais le reste, petits lits, etc. est comme un peu partout dans le monde.

Entrée Cluj


Entree 22Cluj-020
par Julie70.

Il y a de nombreuses comme cela, chaqu'une menant vers un cour différent les uns des autres, les uns très simples, les autres très soignés, les uns juste pour habiter, les autres vers les commerces.

Demain, si c'est vrai, je n'arrive pas à y croire encore je pars de Cluj et de Transylvanie vers la Hongrie.

Et, maintenant, on m'appelle pour le petit dej.

jeudi 23 juin 2005

Garer à Cluj-111


Garer a Cluj-111
par Julie70.

On peut garer sa voiture n'importe où et l'habitude est de le mettre sur le trottoire sans égard aux passants. Mais quand les passants passent, n'importe où, les voitures attendent avec patience par contre.

L'initiative privé abonde, des services et "boutiques" sans boutique, s'ouvre partout, à l'étage chez quelqu'un, au fond d'un cour en l'annoncant seulement par une annonce qu'il s'y trouve un coiffeur, phogographe, librairie, boutique d'informatique, change d'argent, notaire, n'importe quoi.

Et, on m'a dit, Cluj est la ville la plus riche de Roumanie, en voiture, et en général. Pas de "grand" riches comme à Bucarest, étallant leur nouveau argent, mais plein de petits entrepeneurs, travaillant et s'efforcant à faire face aux possibilités nouvelles offertes par la départ de communisme.

Roumains, hongrois, tous pareil. Pas de différence. Quoique j'ai trouvé un peu plus des hongrois dans les boutiques, mais c'est peut être une impression fugitive. Tous sont des "clujean" et cet esprit est le plus important que je sens ici.

Cet après midi, je me suis fait couper les cheveux, au fond d'un cour, dans un petit pièce, bien, pour... une euro et trente centimes. Seulement quantre vingt centimes pour messieurs.

Banc Nationalist 22 june Cluj


Banc Nationalist 22 june Cluj
par Julie70.

L'ancien maire de Cluj etait un nationalist roumain et pour montrer a qui appartient cette ville, il a fait repeindre tous les bancs publiques et ceux des creches aussi, en couleur de drapeux roumain.

Le nouvau maire les a fait repeindre en bordeau, dans les parcs, mais il reste encore des traces ici ou la.

Cela, je l'ai trouve sur la coline surplombant la ville, devant le grand hotel Bellevedere.

L'annee derniere, je me suis dit, quelle idee curieuse a mettre le drapeux national sous le C des gens. Mais en plus, ils detonnaient dans le parc, le couleur nouveux s'y integre parfaitement.

Il doit rester encore certains pourtant qui regrettent l'ancien, mais pas beaucoup le maire.

Etudiants


Kolozsvar21juin05 Students 2
par Julie70.

J'ai fait quelques photos quelques minutes avant d'aller vers le dentiste, près des maisons d'étudiants. Même si certains gens âgés, portent des chapeaux et des vêtements plus traditionnelles, mais pas tous, les jeunes, au moins, ici, sont comme partout ailleurs. Comme vous pouvez le voir ici. Pas de depaysement, comme dans les photos des gens de villages.

D'ailleurs, je dois avouer, que là aussi, surtout les gens âgés sont différents, portent encore des vêtements plus traditionnels, et même eux, pas beaucoup. Les habitudes s'internationnalisent partout. Hélas, il y a des lieu où la pauvreté reste et les habitudes avec depuis plus d'un siècle.

mercredi 22 juin 2005

Concierge 22Cluj


Concierge 22Cluj
par Julie70.

J'ai parlé par contre avec ce portier, hongrois, enchanté que je le prend en photo, il est même venu hors de la cour, au soleil, pour que je puisse mieux le prendre.

Pas de chance pour moi, ce photo là, est finalement la moins réussi : ce matin il y eu trop, beaucoup de soleil, ou alors il a bougé, ou ma main pendant que je lui parlait. Très bon contact comme vous voyez, mais c'est aussi quelqu'un d'enjoué de tout façon, ayant plaisir dans la vie, tel quel, tel qu'elle se présent pour lui.

D'une façon, ou d'une autre, il y a de la vie après soixante dix ans.

Femme aux Chapeau 22Cluj-050


Femme aux Chapeau 22Cluj-050
par Julie70.

Je n'ai pas parlé à cette dame, je ne sais rien d'elle, mais j'ai aimé son chapeau, je promets néamoins que je n'en publierai plus des chapeau, portés surtout par des gens agés ici.

"Covrigi" 22Cluj-017


Covrigi22Cluj-017
par Julie70.

J'en ai demand�� un en hongrois, et une jeune belle et en apparence intelligente femme, me dit : "ici nous sommes en Roumanie, parlez roumain, non hongrois !"

Mais le "perec" nom hongrois, ��tait n��amoins bonne march��, trente centimes et bonne et fraichement fait.

J'ai fait une photo de la jeune "pas pour internet, j'esp��re", "pourquoi pas, qu'on sache ce que vous avez dit". Elle ne dit rien.

Il n'y a rien d'ouvert, comme cela en g��n��ral, mais des probl��mes existent n��amoins.

Le portier, d'une universit�� hongroise me dit : fermez votre sac, il y a des fonc��s, pour ne pas dire gitanes, par ici ! et m��me une membre de famille m'avertit : les "gabor" sont des gitane comme il faut, bien et propre, les autres...

Les uns et les autres, comme disait un film que j'avais ador��...

Soleil du matin 22 Cluj


Soleil du matin 22 Cluj
par Julie70.

vers six heures et demi, centre ville

Kolozsvar21juin063


Kolozsvar21juin063
par Julie70.

et une petite maison genre paysanne perdu entre les HLMs du Cluj, pas au centre ville

Rumanian orthodox church


Rumanian orthodox church Cluj Romania
par Julie70.

Et voila la cathedrale orthodoxe roumaine se trouvant en face
Cluj Romania

Cluj, Roumanie


On top of opera house Cluj, Romania
par Julie70.

Cluj or Kolozsvar, l'opera bati pendant la periode hongroise encore, la cathedrale orthodoxe en face, pendant la periode roumaine deja, tous les deux sont beau, d'apres moi, et je ne dois retourner au dentist que vendredi

mardi 21 juin 2005

Une photo par Zoli


PhotosVidéos 086web
par Julie70.

Je les ai pris avec moi, Zoli et Irina pour la route entre Sovata et Cluj, ils sont aussi passionnés de photo, sinon plus, que moi, deux jeunes, homme et femme de 23 ans.

Zoli, m'a pris en flagrant delit de prendre la photo de près, dans un champs couvert des coqueliquots entre le blé, pendant que lui prenait le tête d'un cheval près d'eux.

Je termine aujourd'hui avec ceci, pour ajouter une note d'humour après mon dentiste, mais ce dernier n'était pas si mauvais souvenir non plus finalement. Quand même, c'était mieux de faire les photo des fleurs sauvages.

Le dentiste


Dentiste
par Julie70.

Il y a de la vie, même après un rendez vous d'une heure et demi chez ce dentiste, vraiment sympa et épouisée, mais j'en suis sortie entière.

Je me suis promenée heureusement avant, dans le quartier où sont les maisons des étudiants : je vous avez dit n'est-ce pas qu'ils y en a plus de 300 000 dans cette ville qui se gonfle l'automne avec leur venu.

Maintenant ils finissent leur derniers examens et partiront, d'autres viennent bientôt pour les examens d'entrée, c'est juste le mois de août que la ville parait bizzarement tranquille, me dit-on.

Il n'y a pas de différence entre étudiants d'ici ou de la france, je crois. Même jeans, ou jupe courtes, même vu trois se bronzant au soleil en monokini.

D'autres serrant leur livres tout près comme un trésor et d'autres, plus lointain, s'embrassant. Lentement, il commence même d'avoir certains, peu encore, ayant des voitures.

Et, si c'est vrai, vendredi j'aurai fini, au moins pour le moment mais j'espère pour longtemps, avec les dentistes, aussi sympa qu'ils soient.

Encore un homme au Chapeau de Cluj


hommeChapeau
par Julie70.

Rencontré hier pendant ma promenade, avant aller vers le dentiste

Cet hongrois du village


17juin052web
par Julie70.

porte un chapeau tout à fait différent encore, donnant d'ailleurs à ce portrait un air que j'adore (mais n'ai-je déjà mis ceci dans mon blog?) je ne peux pas relire même la mienne faut de temps internet pour le moment.

Demain, si possible, arrivent ceux de la ville, capitale culturelle de Transylvanie, Kolozsvàr en hongrois, Cluj en roumain.

ps j'ai corrigé un peu : aie les accents partant de certains sites internet!

Photo par Zoli


PhotosVidéos 071web
par Julie70.

Exemple de porteur de chapeau noir large, même si celui-ci était moins fier et jeune que celui vu aujourd'hui.

Remarqués surtout parce qu'ils s'habillent assez différement des autres. Sinon, tous les gens rencontrés sur les routes et en ville même ont été sympas ou au moins, neutres.

Chapeaux


DSC03630
par Julie70.

Maintenant je commence apprendre la différence : les chapeaux noirs à large bord sont portés par les tziganes, surtout ceux plus affluents, "Gabor Gabor" ils s'appellent souvent même. Les chapeaux de paille, en ville ou en campagne, surtout par les gens plus âgés. Les chapeaux verts, je ne sais pas encore.

Les jeunes, hongrois ou roumains, n'en portent pas, ni de chapeaux, ni des costumes traditionnelles : ils sont quand ils peuvent se permettre en blue jeans ou robes un peu comme partout dans le monde.

Les femmes tziganes, ont des jupes plissés et colorés, ceux qui peuvent se permettre y mettent presque dix mettre pour une.

En ville, les habits sont très variés, selon l'âge et d'où ils sont issus. J'ai fait hier une série de photos centre ville, mais aujourd'hui, je commence avec le dentiste.

Qui aime cela ?

lundi 20 juin 2005

Les grand parents plus riches


VersCluj158web
par Julie70.

toilette sans eau de dehors decore

Cluj Centre


Cluj Center
par Julie70.

Une rue construit en 1900, avec le deux cote des maisons identiques, et pas seulement les maisons de coin.

J'ai aime la campagne, je me sens bien dans la ville.

paysan hongrois me sourit


17juin052web
par Julie70.

et je lui a deja envoye ce photo
il y a encore plein, le plupart, qui travaillent le champ avec leur mains, jeunes et vieux

In small town


17juin064web
par Julie70.

Elle m'explique que les gens achetent des fleurs ce matin, a cause des fetes de fin d'ecole.

Mere hongroise de la postiere


Mercredi2e075web
par Julie70.

dans ce petit et beau village, les PTT se trouvent dans une piece d'une maison paysanne et la mere me dit : elle arrive bientot. Dans la cour, chariots, et hommes mangeant avant d'aller travailler avec le main dans les champs, mangeant le petit dejeuner traditionnelle : pain, oignon et gras de porc.

Deux jour plus tard, cela m'est servi, tres bonne, seulement le pain on ne le fait plus a la maison.

une paysanne roumain


Mercredi2e010web
par Julie70.

de Transylvanie, se plaignant de sa danture qui lui faisait trop mal pour le prendre travailler le mais

Villages de Transylvanie

Hier nous avons fait les 160 kilometres de Sovata vers Cluj, en huit heures, mais pas a cause des emboutaillages.

J'avais pris avec moi deux jeunes de la famille de mes hotes, aussi passionnes de photographie que moi et nous avons fait une voyage "photo", nous arretant de nombreuses fois. En plus, nous avons fait deux detours vers les deux villages ou se trouvaient les grand-parents de Zoli, le jeune de 23 ans qui a fait dix mille photos digitales en ses deux derniers mois.

Aucun de la famille n'avait pas de l'eau courant, mais l'un avait un toilette tres simple, dehors bien sur dans la cour, et l'autre l'avait decore avec tapis et posters de Harry Potter et mis meme des journaux pour lire!

Fait aussi des photos de paysannes roumaines que hongroises, des tziganes enfants ou belle jeune femmes. Une des femmes de 23 ans, avait deja trois enfants, l'ainee de huit ans et une tres belle maison. J'ai promis a un autre, homme de lui envoyer sa photo, lui, par contre avait une maison que nous nous demandions comment tenait encore debut.

Rencontre aussi avec une vache, vers la sortie de l'eglise d'une village, qui venait directement vers ma voiture, mais, a la derniere minute, il a fait un leger detour pour passer a cote.

Aussitot que je pourrai, je mettrai aussi des photos, je suis remplie des impressions d'une merveilleuse journee.

Aujourd'hui, promenade dans la capitale culturelle de Transylvanie : environ 350000 habitants et 35000 etudiants.

samedi 18 juin 2005

Je n'ai pas résistée

Je n'ai pas résisté, et j'ai bien fait, André vient d'écrire une note fort amusant sur les Parisiens de 17 juin, mais en plus que son blog est arrivé très lentement, pourtant sans images pour ce page, après l'avoir lu et décidé d'ajouter un commentaire, la ligne téléphonique c'est arrêté.

Très frustrant.

Je lui réponds donc ici, si le lien tient jusque je le sauve : les parisiennes, parisiens, bien sûr, tout comme lui, comme moi, sont différents et mêmes que nous. Ceux qui vont travailler et habitent au centre se dépêchent sans cesse, c'est pour cela que je suis devenue pendant 22 ans une parisienne de 18eme, où les gens prennent leur temps, presque comme s'ils n'était pas des "vrais" parisiens.

Le reste, suivra une autre fois, je dois sauver, rapidement, ceci.

Hier matin, je les avait rencontré


Pose devant une belle porte
par Julie70.

près d'un arrêt de bus, j'ai déjà envoyé à chacun leurs images, j'en ai fait séparément à chacun. Je suis un peu frustrée, non seulement à cause de retard sur les images et d'écrire dans mes blogs, celui-ci en particulier, mais surtout pour pouvoir lire, comme d'habitude ce que les autres ont écrit. On me permet d'utiliser cette ordinateur de ma hôte très gentillement, mais le prix de téléphone coûte, même samedi quand c'est un peu moins cher, je ne peux pas en abuser.

De ses trois, qui se connaissaient, l'un était de Tirgu Secuiesc, où je suis allée plus tard dans la journée, les autres du petit village dans lequel je les ai rencontré.

Ce matin, on m'a fait visiter un mine de sel, mais je n'ai rien vu que des gosses jouant sous la terre, il y avait balancoires, ping pong, tous les jouets habituelles d'un parc. Il parait que l'air salé de cette mine les fait bien, en tout cas c'est reputé être bon pour les poumons. Moi, je me suis enfermée dans une piège à gogo, et j'ai dû attendre le prochaine bus, vingt minutes pour en sortir. Ensuite, je me suis acheté de bon fromage et des tomates "vraies" et après quelques images, je suis retournée "chez moi". Heureusement, il pleut.

Demain, si tout va bien, retour vers Cluj, ma ville natale. Lundi, rendez-vous chez un dentiste. J'espère seulement que les "beaux jours" ne sont pas derrière moi...

vendredi 17 juin 2005

Dans la cour de la postière de Torocko


Dans la cour de la postière de Torocko
par Julie70.

A l'entrée, après la porte. La poste se trouve dans une maison paysanne traditionnelle, la postière est la fille de la famille et travaille à partir d'une petite pièce.

Hongroise chaise


Hongroise chaise
par Julie70.

Mais dans les maisons, il y a aussi des belles meubles paints, souvent.

Charette au milieu de la ville


Charette au milieu de la ville
par Julie70.

Charette tiré des magnifiques chevaux, fonce au milieu de la ville de Tirgu Mures, entre les HLM's, mais on peut les rancontres n'importe où sur sa route. Dans les villages ici, c'est encore le moyen le plus utilisé de communication. Même si les voitures arrivent de plus en plus aussi.

J'ai un fils, mais je dois travailler


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par Julie70.

j'y vais à pieds, je n'ai pas de taxi, comme vous

Rencontre avec les chevres sur la chaussée


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par Julie70.

Rencontres

A Torocko j'ai rencontré des femmes hongroise intéressantes, de là je suis repartie vers Borszék et Tirgu Mures, puis j'ai rencontré sur la route un troupeau de chevres, et des hommes roumains allant travailler dans les champs.

En arrivant à Sovata, fameux pour son lac chaud et salé, j'ai commencé à chercher une chambre pour la nuit. Et ne sachant plus bien comment parler, j'ai balbutié quelques mots en français. Et vous savez quoi ? Mon hôte était un français !

Sur la route des sapins, Strada Bradului, près du lac, mais un peu retiré pour avoir moins de bruit, il y a une maison d'un couple charmant, elle d'origine roumain, lui du Havre, qui m'ont acceuillis avec beaucoup de gentillesse, et m'ont même permis d'utiliser leur liaisons Internet.

Lavoir a Torocko


Lavoir a Torocko
par Julie70.

Au lavoir du centre village à Torocko, on lave bien sûr : des blue-jeans, mais aussi des tapis

lundi 13 juin 2005

De l'office de tourisme de Marosvasarhely

J'ai fait une tour interessante ce matin, Cluj - Torda - Torocko au milieu des montagnes, atteneint sur une route tres belle mais plein des trous. J'y ai fait des photos des femmes lavant encore au lavoir, mais nombreuses autres que j'ajouterai des que possible.

Torocko est fameux comme vieille siege des Unitariennes. Ancien mine de fer, ayant resiste longemps, il y a 150 ans, avec le bruit dont on croyait venir d'une grande troupe. L'auteur hongrois Jokai Mor, tres prolifique et populaire, y a place un roman Dieu est un. Il a fait une visite remarquable la.

Merveilleux route entre montagnes de 28 kilometre apres Turda, ira encore, mais on prend ensuite une route secondaire, plein plein des trous. Non que ce ne sera plus belle, si on pouvait regarder autre chose que les trous, pratiquement impossible d'eviter, malgre les serpentines qu'on fait. Pas de circulation, j'y est rencontre cinq voitures en environ 15 km, plus des gens se deplacant avec chariots tire d'un cheval d'habitude, mais aussi a pieds, allant travailler.

"Mon fils a de famille, je dois travailler, mais la route est longue. Vous avez du chance d'avoir un taxi", me dit une vieille femme hongroise.

"Je vais travailler le mais, mais sans dents, ils me derangent" dit une vieille roumain sur son chariot. L'un ou l'autre se sont laissées prendre avec grace, la derniére me demandant : je serais au tele ?

Apres avoir decidé a revenir sur le chemin plutot que suivre la route trouée, je suis arrivée apres 150 km dans la ville qu'on appelle, Tirgu Mures, ou, dans le centre ville, Marosvasarhely, moitié roumain, moitié hongrois. Tres belle ville, et polie : dans l'office touristique on me permet d'utiliser Internet sans aucun contrpartie.

Quelle différence, entre la petite village ultra intéressant, perdu dans les montagnes, avec leur maisons blanches et anciennes coutumes, la poste dans une vieille maison paysanne, et cette ville fleurissant, des tois des églises et maisons de centre en mosaique et internet a disposition.

Aujourd'hui Koloszvar

En Rumanian, elle s'appelle Cluj, rebaptise Cluj-Napoca, mais pour nous, il reste Kolozsvar. Toute la journee je suis libre de me balader selon mon humeur, et demain, mon cousin (3e degre) vient avec moi a Gherla / Szamosujvar et Iklod, lieu de naissance de Sidonie, ma grand mere et de Paula, mom arriere grand mere. A la derniere je n'y suis jamais allee, a premiere qund j'avais 12 ans. Je me souviens d'une derniere reunion familiale, avant que toute se dissippe, ici ou la, et un repas de soir sous violon joue par deux tzigans hongrois.

Avant midi, je suis retournee aux lieux de jeunesse, a moi puis celle de maman et oncle. Ensuite, un peu fatiguee, il fait d'un coup chaud ici, je me suis assise sur un banc dans le parc de ville, jadis j'y ai appris utiliser la byciclette. Un monsieur roumain de 87 ans y etait deja, avec le temps il s'est deride et nous avons tres bien discute et longtemps.

Je suis venu, centre ville et j'ai tombe sur cette cybercafe, mais il n'y a pas d'accents, de nouveau. En buvant un jus d'orange presse, je vous ecris aussi pour demain, quand je serai sur les routes.

Je n'irai plus à Bucarest

On s'imagine, on propose, puis quelque chose intervient. On doit être flexible.

Encore il y a deux jours, je me suis dit que je dois aller aussi à Bucarest et Mamaia (le bord de la mer Noir) pour voir ma meilleure amie, Alina. Je m'avouais, toute fois, que je n'étais pas, cette fois, pleine d'enthousiasme de faire les heures et kilomètres pour y parvenir, j'aurais mieux souhaité s'il c'était elle qui pouvait venir vers moi. Mais je ne voyais pas de l'alternative. Je l'aime, je sentais qu'elle avait besoin de moi, j'avais moi aussi besoin de bavarder avec elle à coeur ouvert.

Depuis hier, mes plans ont changé.

Elle "doit aller avec son mari qui a déjà réservé de place pour elle", mais aussi "socialiser" et nager des kilomètres. Je ne l'ai connaissais pas du tout un "animal social", donc c'est des mots venant de son mari. Je reconnais, que scientifique reconnu internationnalement, il a besoin de l'aide de sa femme, de temps en temps, dans les réunions scientifiques, cette fois, tenu au bord de la mer Noir.

"Nager, toi? Des kilomètres?" Quand je l'ai connu, elle avait plutôt peur de l'eau et ne savait pas nager du tout.

"Mais tu sais que j'apprends tous les jours sans cesse" me retroqua-t-elle. Mais ensuite, elle dit le mot magique pour moi "Je viendrai chez toi pour deux semaines en septembre."

"Non un mois!" je répondis aussitôt.

"Alors, tu ne veux pas venir me voir?" dit-elle, d'un ton fâché.

"Bien, viens trois semaine"

Après quoi, nous nous sommes éclatées à rire, tous les deux.

Quand et où et comment nous nous voyons n'est pas important. Je comprends le besoin d'une épouse de s'adapter aux besoins de son mari. Elle comprend mon besoin de se rencontrer. Le plus important, nous savons que nous nous aimons, n'importe quoi arrive et ce dit. Ca s'est le plus important.

dimanche 12 juin 2005

Marcher devient difficile


Crossing, walking difficult
par Julie70.

quand on a 98 ans comme ma oncle, ou même 95 comme sa femme, mais hier, il a prouvé que c'était possible et quand motivé, marcher, assis longtemps, parler en publique (et être applaudi), manger en famille sans faillir et visiter pour la dernière fois les lieux d'enfance et d'âge mur.

C'était très émouvante pour moi de le voir, et quoi qu'arrive, je suis très contante de l'avoir un peu encouragé à le faire.

C'est bien d'avoir de l'aide, comme lui, au besoin.

C'est curieux comme on peut se sentir jeune, des fois, en se comparant...

CyberCafé


VoyageJuinMeilleurs (37)
par Julie70.

A l'entré en Hongrie, Esztergàm, je me suis précipitée avec la première occasion de vous écrire, de là, mais le clavier hongrois me donnait pas mal des soucis... pardon.

Maintenant, au moins, le fils de mon cousin, m'a arrangé d'écrire avec mon propre portable PC