Paris - Nürnberg - Vienne - Komarna - Esztergom
J'ai fait une longue route et je suis presque arrivé á ma 1ere destination, prés de Budapest. Mais en admirant la magnifique cathédrale pres de frontiere Slovaque Hongrois (mais on le voit deja du pont traversant le Danube, oú se situe le poste de frontiere, mes yeux tombe sur l'entré de cette hotel : Internet!
Et me voila.
C'est la troisiéme jour que je suis sur les routes.
La première avait été passionnant.
Partie vers cinq le matin, il n'y eu des voitures sur ma route, mais j'ai du lutter avec le soleil qui se levait et tappait directement dans mes yeux. Je ne voyais rien.
Moi, contre le soleil.
Finalement, après des tatonnements, j'ai gagné : en levant mon cou vers en haut. Puis, heureusement, la route a tournée un peu, n'était plus directement á l'est.
Tout suite après, la frontiere allemande, je rencontre sur un air de repos, une groupe des hongrois de Slovaquie, une d'elle m'offre une bonne café turque. Puis, un peu honteux, me racontent qu'ils vivent en quémandant sur les routes.
Je suis partie avec leur adresses et des magnifiques photos, que je vous enverais quand possible. Ils étaient ravies qu'ils auront des photos. Finalement, c'est eux qui m'ont donné le café, de bon coeur et sans aucun contrepartie, que de l'appreciation et une bonne discussion.
Vers quatre heures, fatigue, je décide de ne pas pousser jusque Nürnberg. J'appercois d'une station d'essence où je me suis arrétée, une citadelle et une village au loin. Comment on y va ? Par la, puis trois fois a gauche. Ce n'était pas si simple, mais je suis arrivé traversant les champs et montant sur la coline. Magnifique!
Une vieille dame allemande, (oui, il y a plus que soi), me dit que c'est lá que le prince consort Phillippe est née. Apres des images, repas dans une fete, je trouve meme une chambre dans l'auberge : 30 euros avec petit dejeuner copieux.
Les lendemains ne chantent pas toujours : après une bonne départ, un cycliste me precédant pendant des kilometres, je tombe dans un emboutaillage monstre, les villes que je voulais visiter me promènent sans arrêt, et en Autriche, Linz, pas amical. Pas de place ni pour parquer, sinon cher, ni pour dorir, cher aussi.
Je continue et le police m'arrète.
- Qu'est-je fait?
- Venez dans notre voiture.
Et là on me demande : Papiers.
Il ne regard même pas.
- Vignette.
Je lui donne.
-Non, pas celui-ci, des autoroutes de Autriche.
Je lui montre, j'en avais acheté avant la frontiere.
- Il fallait le mettre sur le parbris, fit-il, sévère. C'est écrit sur le dos.
Finalement je suis partie, avec conseils oú dormir : il me conseille un lieu oú le hotel est pres de chemin de fers, bruit horrible chaque cinq ou dix minutes.
Aujourd'hui, levé vers quatre, j'ai bien roullé, passé par Slovakie juste un peu, quelques photos à Komarno qui moitié est ville hongrois et au-delà du pont de Danube devient Slovque, je longe la Danube en suivant les villages Slovaques et, passant le pont suivant, j'arrive ici, en Hnogrie. Esztergom a découvrir.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire