Tulipes de Pâques pour se souvenir

Il y a des jours de naissances, des mariages, de fin d'études a s'en souvenir. Puis, les premiers pas.

La première fois a l'école, au travail, dans un pays ou ville, mais aussi la première jour où l'on est devenue femme.

Les premiers pas sexuelles doivent être importantes aussi pour les hommes, pour les femmes peut être encore davantage. Et pas toujours faciles ou trop agréables, même si on réussi a en ajouter de romance par la suite.

J'avais achetée ces tulipes et je les avais photographiées l'année dernière, pour me dire: rappelle toi aussi des bon moments dans ta vie. Le même qui m'a causée tellement des frustrations pendant notre dernière vacances ensemble en famille, avant divorce au moins, m'a aussi apportée non seulement des joies mais aussi la possibilité de m'en sortir de la profonde désespoirs dans lesquels je me trouvais. Tant quand j'avais perdu mon travail et examens, interdit de tout travail et tout études dans la Roumanie Communiste, que pendant que maman mourait. Il était la.

Avoir été la, il m'a aidée á remonter la pente.

Faire l'amour c'est bien, avoir quelqu'un a côté de soi encore plus important dans les moments grises de désespoir.

De point de vue photographique, oui, je me rends compte, laisser de l'espace (ici presque rien) est important: une bonne leçon.

Heureusement, ce n'est pas cette photo que j'ai ajoutée au groupe de la Galerie.

Je suis rassuré : le nombre des visites commence a retomber. Moins de responsabilité et je vais me concentrer maintenant a préparer davantage mon prochaine récit. Sur mon père. Sur la nuit quand il l'ont pris. Sur quelques épisodes des sept mois pendant lesquels nous ne savions même pas s'il est encore en vie. "Ne demandez pas!" On nous a répondu, menaçant.

Je ne pourrais raconter beaucoup en 7 a 10 minutes. Ce n'est pas facile non plus de choisir. Éliminer. Tellement me revient cette fois, en pensant a lui cette fois, pas a ce qui est arrivée entre temps ou après avec moi. Parler de mon père davantage, j'ai décidée déjà. Comment, quand, où, c'est a voir.

"Humer les roses sur la route"

Après la journée bien remplie de Mercredi, au centre Londres visite de expo pour voir mon image sur le mur (oui, pas mes images, ils ont mise seulement une des trois) et avoir prise pleine des images des gens utilisant leur telephone portable, je reviens vers la maison.

Je m'arrête sur le chemin, presque chez moi.

Devant l'immeuble voisine, un rayon de soleil illumine ces fleurs sauvages, sous un arbre. C'est l'image préféré de ma fille! Elle vient m'écrire de l'autre côté de l'océan, combienne elle l'aime.

Oui, cela vallait la peine de s'arrêter, sortir mon petit appareil et même fatiguée, prendre une dernière image avant de rentrer chez moi.

Une photographie qui touche quelqu'un d'autre réveillant un écho, quelle plaisir!

Hier, j'ai visite la Galleries des Photographes

Au milieu de Londres près de Oxford Circle métro, dans un immeuble refaite et augmentée. Il faut descendre quelques marches pour y arriver.

A l'entrée, un écran montrant "nos" photos. Des sujets imposées, et les images choisis entre celles que nous avons proposées.

De trois sujets, un de mes images a été choisie: une vase des fleurs et tulipes devant la fenêtre, au bord de la fenêtre. Rapidement, j'ai aperçu une deuxième mais cela n'est plus revenu.

Néanmoins, 'je' suis exposée et sans coût pour moi. Une deuxième de mes photos va s'ajouter vendredi ou samedi, comme ils l'ont choisi pour parler du sujet dans leur blog.

En sortant, j'ai pris pas mal d'autres photos: que des gens intéressants et actives (pas mal avec leur téléphones) au centre ville!
Dans le métro j'ai réussi a dérider une femme d'origine arabe, elle portait une magnifique foulard bleu. Triste. Elle s'est rendu compte de la première photo et était enchantée. De triste, son visage est devenu rayonnante.

Oui, elle me dit, belle et en plus avec des layettes dessus. Vous savez, ceci parce que je suis... Avoir réussi tourner de abattue en enchantée cette femme âgée, presque autant que moi, c'était mieux que voir ma photo sur la mur de la galerie.

En tout, une très bonne journée.

Visitez, ma page Flickr, pour voir quelques dernière images. L'expo, le mur. Des visiteurs, des gens sur la rue, dans le métro, puis la nature près de chez moi. Ces derniers, je n'ai pas encore ajoutée, que deux de beaucoup. Une journée pleine des 'récoltes'.

Petit Déjeuner

On ne peut jamais savoir...

Il y a plusieurs groupes au site flickr, depuis le début c'était un de son attrait. J'avais formé certains et aussi adhéré a pas mal.

Depuis quelques semaines, j'ai adhéré au groupe "this is your photo" créé ensemble par le journal quotidien The Guardian et la Gallerie des Photos centre Londres. "Si vous consentez que éventeuellement, votre photo soit montrée sur le grand mur de la Gallérie.

Chaque semaine, nous avons eu une directive différente. Qu'y a-t-il sur le bord de votre fenetre? Photo d'un enterrement. Des gens fumant devant leur travail. La derniere était : petit dej chez vous.

Cette photo que j'ai ajouté hier, était utilisé pour en parler de cette dernière directive, dans le blog de Photo Gallerie, en plus, m'a apporté hier environ 6000 visiteurs regarder mes photos.

Je suis photographe amateur, mais passionée et bien contant autant d'avoir raconté 10 de comédie hier (même pour un petit audience) mais c'était sympa, que voir mes photographies utilisées, appréciées.

Depuis que je raconte des histoires (la prochaine lundi) et fais rire dans clubs, j'ai pris moins au coeur ma tache de phographe regardant la vie autour de moi, pourtant c'est aussi importante. Cela fait partie d'un tout.

Sans regarder autour, sans parler aux gens, sens sortir des fois, on peut raconnter seulement le passée. C'est mieux en tout cas vivre dans le présent, meme si le passé figure beaucoup dans mes récits.

Que devrais-je raconter lundi?

Deux choix. L'une comment je me suis retrouvée vieille dame comédienne entre jeunes garçons. Deuxième, perdue dans une grande ville à 15-16 ans et mon père arrêté se retrouvant parmi voleurs, pendant que nous n'en savions meme pas s'il vivait.

Lequel devrais-je raconter d'abord? J'hésite encore. J'ai créé les deux (dans ma tête au moins).

Canal Cafe Theatre

Retour a théâtre "Canal Cafe" près de 'Little Venise" : dimanche pour répétitions, lundi le spectacle.

Enfin, hier après midi, j'ai trouvée comment rendre mon récit plus intéressant: en ajoutant un vilain. J'avais une group avant, mais un seul, montrant son cu nu dans le photo de groupe (j'ai du couper moitié) quand ils ont posés avec moi. Ce n'était pas le même, mais une année plus tard, j'ai gagné contre le meilleur de groupe un concours comédie.

J'ai aussi,décidée une répétition.

'Ils m'ont regardée, étonnées et...'

Divers temps, j'ajouterai divers fins.

Au moins, le récit commence a prendre forme. Aujourd'hui je le raconterai a Rosie, une raconteuse des histoires venue de Écosse me visitant.

Chanteur, hier soir

Hier soir, je suis allée pas très loin de la station Old Street et Faringdon, pour raconter une histoire amusante dans une soirée de variétés.

Je me suis trouvée entre musiciens et changeurs.

Certains, on ajouté de l'humour, d'autres écrit des chansons attachants, encore d'autres chantés dans des styles différents.

En réalité, nous n'avons pas eu de public autre que nous mêmes, les peu qui ont descendus nous écouter, sont partis hélas à cause des premiers deux (j'étais la troisième). En tout cas, nous avons écouté les uns les autres, environ 15 présents et mon numéros a été apprécié et ils ont rit fort plusieurs fois.

C'est intéressant, j'ai essayé aussi certains phrases abandonnés et cette fois, c'était success. Comme quoi, tellement dépend de l'audience.

Par contre, je dois avouer (ils ne peuvent pas le savoir) que malgré que j'ai mise sur moi même le teeshirt avec visage et crème a raser (sous ma blouze) j'ai oubliée de raconter l'histoire, cette histoire qui me le faisait montrer. Repartie sans relever ce qui se cachait sous ma blouze.

Repartie, me rappellant l'importance de répétition avec spectacle. Meme si l'ont aimé, ils l'auront encore mieux aimé si je l'aurais utlisée.

Bien sûre, ce que l'audience ne sait pas, ne peut leur manguer.

Pleine des gens sympa (et un moins, qui se croyait comédien mais n'a pas réussi a faire un seul rire, par contre a ruspétait avant spectacle contre tous) . Ce n'est pas tout à fait vrai "pas de spectateurs" d'ailleurs. Ce garçon sympa, chanteur est venu avec deux copains et sa copine et un autre chanteur compositeur avec son frère.

J'ai davantage apprécié la musique et chants que les blagues des fois mauvais ou dur a comprendre de l'autre jour, et j'ai aussi prise quelques images sur le chemin.

Le déplacement, valait la peine et je suis a 70 gig humour ainsi en plus. Encore 7 pour atteindre mon but. Ensuite? On vera.

Hier, avec l'audience

Encore moi et ce que j'ai fait hier. montrée l'image cachée sous mon teeshirt.

De la pluie. Difficile de trouver le lieux, je suis partie d'abord dans le direction opposée. "Une heure de musique d'abord, on nous dit."

— Pouvons nous faire deux numéros avant?

Après négociations, les trois musiciens acceptent. Je demande de passer 'avant' moi aussi. On me met la deuxième.

Une table avec 15 au front: venus s'amuser. D'autres tables où on mange et boit. Est-ce que on donnera nos numéros dans les bruit des discussions?

Dans l'introduction, la jeune fille dit 'non' ce n'est pas cela a la femme en front, antagonisant l'audience. La faisant attendre pour sa version... Pas très différente finalement. Je comprends mieux l'idée des impros "Oui, et" au lieux de "Non, moi".

Ensuite un comptable mince et haute de stature, commence a raconter sur 'noirs, juif et homos' puis un blague sur portugais, ne comprenant pas bien l'anglais, et la table qui est venu s'amuser commence a intervenir, rouspéter, donner avis, et pratiquement pas des rires. Un four. Cinq long minutes pénibles, jusqu'en lui dit enfin, merci.

Mon numéro arrive.

Avant d'aller sur stage, j'établis un contact des yeux avec la femme en face, a qui on a dit 'non', un contact de sympathie.

Dans mes premiers phrases, j'ajoute : je suis sûre que vous, et je pointe a la table ayant fait bruit, vous n'allez pas attendre avoir 77 ans pour faire de la comédie ! Succès.

A partir de la, ils ont fortement ris et plusieurs fois applaudie a mes propos. Un très bonne contact s'étant établie entre nous. Leur rire ayant attirée ceux des tables plus éloignées, ils n'ont pas fait bruit, au contrer, ont participé aux rires.

Ensuite, a un moment, vers milieux, j'ai échangée le mot que j'utilise d'habitude pour 'satisfaire' avec celle que celle faisant auparavant le plus de bruit et observations a utilisée en pointant vers elle. Elle est tout a fait charmée. Quand son copain veux dire quelque chose vers la fin, elle ne le laisse pas: Pssssss !

Mon numéro, un réelle succès de début a la fin, et plusieurs me l'ont dit combien l'ont aimée. Le plus important sont des leçons sur l'interaction avec l'audience et ce que je peut en tirer pour moi, et pour enseigner aux autres.

Regardées avec sympathie, reconnaissant leurs suggestions, on en peut faire des copains qui seront dorénavant tout a fait et avec enthousiasme de votre côté.

L'inconnu

Ne pas savoir comment sera, une gig au milieux des variétés, quelque chose presque nouveau.

Woolwich est un quartier très mélangée, souvent avec des problèmes pas loin de moi.

J'y vais demain, soir a 8:15 je vais sur la stage, s'ils sont a l'heure. Cela ce passe, a Woolwich Arsenal, j'imagine une grande stage. Mais il se peut que c'est dans une petite lieux, a côté, on verra.

Depuis que j'ai décidée de aller jusque 77 gigs, (je suis a 69) pour célébrer le fait que j'ai commencée a 77 ans, je trouve facilement, je me rends compte que je commence a être connue. Dans ce milieu, bien sûre.

Comme ces jambes et salissures, on ne sais pas tout a fait ce que cela donnera. Et alors? La surprise peut être bon, sinon, je les mettrai aux pertes et profits.

A traverse ma fenêtre

Ce matin, ciel gris et puis il a commencé a pleuvoir, doucement. J(entends les gouttes tomber sur les bords de la fenêtre et de temps en temps, une grande goutte tombe.

Heureusement, pas dans mon cou.

Toutefois, cette après-midi, je vais sortir. Mais j'ai une grande parapluie.

On ne sais jamais ce qui plait comme photographie, cette aube prise il y a quelque jours de ma fenetre, en me réveillant vers cinq, quand le soleil se levait.

A cause d'un grand immeuble en face de l'autre côté, je ne vois pas le soleil se coucher, c'est aussi caché par des arbre en face. Maisa partir de salon, le matin devient souvent un spéctacle grandieux.

Ces jours, mes habituelles visiteurs à mes photos sont devenus 5000 et près de 6000 hier, au lieu de 1000 habituelles qui étaient déjà énorme. Je ne comprends pas bien pourquoi et ce qui a provoqué, mais je m'en réjouis.

Gagnes-tu de l'argent? m'a demandé la semaine dernière quelqu'un. Non. La joie de savoir que mes photographies sont regardés.

Je ne vais jamais oublier Marai, écrivain hongrois vivant en Californie, écrivant dans son journal : j'écris pour mon tirroir. Un certain temps, moi aussi, j'avais l'impression que je prends des photos "pour mon tirroir", les albums que personne ou presque ne regardera. Maintenant, je les sais exposés, regardés, des fois même aimées.

C'est déjà assez de recompense, de plaisir et de la joie continue.

Je me suis perdu hier soir

Tant mieux!

Il y a 4 ans, et trois ans, j'ai flâné á Depford et découverte ce restaurant dans un train désaffectée, dans un cour donnant sur la rue principale, près de l'église catholique.

J'étais convaincue, c'est lá que le spectacle de comédie a lieu. non. Alors où?

En me perdant, j'ai longée la rue principale High Street, et ramassée des nouvelles photos dont je suis très heureuse.

La comédie était dans la rue parallèle : rue de l'église. Voilà, quelques images de la rue principale de Depford, qui est d'ailleurs près - relativement - de chez moi.

Un moyen nouvelle de transport a Londres?

Ce perdre peut s'avérer vaillant la peine!



Bateaux et péniche coincée entre la rue et des immeubles. Derrière le camion de comédie.

Même si mon pied a d'autres opinions, ce matin encore.

De table a table

Notre animateur, de la soirée, pour raconter des histoires vraies, des vacances desatreuses, allait de table a table pour persuader certains de raconter leurs histoires.

Certaines, ont été préparés depuis longtemps, comme la mienne et celle de Simone et peut être au moins deux autres. Mais les autres se sont aussi décidés, et finalement, nous avons eu plus des volontaires que du temps.

Simone était la dernière avant pause et moi, la première après. Avec mon récit, que je croyais triste, j'ai réussi à la présenter d'une façon qui a fait rire plusieurs fois forte et j'ai eu une très forte applaudissement.

Une vieille dame parlant des temps, même si cela était il y a presque 40 ans, quand je essayais séduire mon mari, désirais me cacher avec lui sous le tente avant son départ, stupéfait et fait rire. Et apprécier.

Je crois que plus on est honnête, plus on attent les auditeurs, le plublic ou les lecteurs.

En plus, j'ai utilisé tout réaction venant d'eux pour orienter un peu la façon de m'exprimer. Et j'ai compris plus la force de les laisser contribuer. Ne pas tout dire, laisser ajouter.

Une très bonne soirée.

Scènes de rue

Photographier des scènes de rue, comme ceci met ensemble différents talents ou circonstances.

On doit être sur la rue, en général se baladant, flânant. Avec temps, ou prenant le temps de regarder autour. Avoir un caméra dans le main. Le reflex de l'utiliser rapidement quand une scène comme cela parait. Le courage ou toupet a prendre la scène. Le bon angle, qu'on peut rapidement changer et les yeux pour des détail. Éventuellement prendre plusieurs rapidement pour avoir la choix.

Le moment décisive n'est pas aussi facile que l'on croit.

Et même quand l'image n'est pas parfait, il reste une mémoire du moment ressentie. Et des fois, on a même la chance de prendre le doigt du policier pointant vers le comédien, probable coupable de ne pas avoir le permis?

Je me souviens si bien de cette promenade, prenant divers passant dans la rue, et plus tard des gosses jouant de cache cache dans la petite ruelle a côté.

Hier, je suis restée encore une fois chez moi. Mais ce soir je sors pour sûre, raconter mon histoire des vacances et espoirs détruits qui m'a conduit a tous mes meilleurs vacances suivants.

S'arrêter sur le chemin

Au lieux de me dépêcher vers la réunion, je me suis arrêtée. Récompensée par la diversité des ces deux immeubles centre Londres. Leur âge, couleurs, style différent, pourtant la juxtaposition enchante au lieu d'offenser.

Je me suis arrêtée de sentir les roses sur le chemin. Au figurée.

Hier, je ne suis pas sortie, mais j'ai eu un Toastmaster qui voulait mon aide pour améliorer son discours humoristique. Ensuite, il m'a conseillée dans le récit que je prépare pour lundi.

Le matin, le soleil tombait sur les deux petits fleurs violets. Enchantée, j'ai pris une dizaines des images. En allant de plus en plus près et vers le centre.


Très grands ou très petits, que des merveilles en plus je découvre depuis je me suis passionnée par la photographie!

Images réveillent des mémoires

Deux, ce n'est pas mal d'être ensemble. De mon album: 2.

Argenteuil: Halloween. Deux gosses 'frères' entre dans le cour.

Paris 19ème les écoliers sortent ensemble de classe, nous parlons.

Marrakech, rencontre de deux Marocains âgées, prise de loin.

Un couple, venant de loin admirer les toits de Paris, sur les marches de la butte Montmartre: "Je peux? Oui." Et ils me sourient.

Moi, il y a 52 ans: magie de bébé dans les bras et de bonheur avec lui (photo par le heureux papa).

Des bretons au marche avant Noël, Argenteuil. Je n'ai pas réussi a le faire sourire, elle par contre...

Que des souvenirs!

Ces jours, beaucoup sont venus regarder mes photos, mais même si ce n'est que moi qui regarderais, quel plaisir de les avoir pris et de les revoir!

Bouquet a l'entrée

Encore une fois, felicitations à moi même.

Imitiez-moi!

Non pas à me feliciter moi mais vous taper souvent sur l'épaule: bien fait.

Nous avons tous besoin de plus de confiance alors, nous pouvons aussi être nettement plus sympa avec des autres.

Et pourquoi attendre que les autres les disent?

Et quand les autres les disent, les noter, s'en souvenir, l'utiliser pour que cela dure longtemps.

Ce matin, j'ai prise photo des vingt petit papiers sur lesquels les opinion sur ma dernière discours de vingt minutes figurent.

Et en plus, je les ai recopié en texte aussi.

Ils ont prise la peine d'écrire, que c'était amusant et inspirant et qu'ils ont apprise. Chacun a sa façon. Cela me donne plus de courage de continuer sur ma voie.

On n'a jamais assez ou trop!

Quand on en a assez de courage, en plus pas besoin de tâcher mettre sur terre l'autre - cela arrive aussi hélas, mais je ne dois pas oublier: c'est ceux qui ne sont pas sure d'eux même qui le font ainsi. Me dire: la pauvre fille...

Hélas, la première réaction est de rendre et punir, la deuxième réaction est de fuir loin. Finalement, je n'ai rien fait. J'attends voir ce qui se passe sans réagir.

Me mettant aux autres tâches.

Que de diversité!

Voilà quelques unes des images découverts hier dans flickr, venant de partout de monde.

Australie, Angleterre, Roumanie. Puis d'autres sous le mer, reflétée dans l'eau ou volant dans le vent.

Que de l'émerveillement a les regarder!

Je fait tant de voyages partout dans le monde, en suivant les divers photographies prises des uns et des autres!

En même temps, je prépare mon numéro comique pour demain et le récit de mes vacances désastreuses de mes 41 ans.

L'année après, mes vacances n'étaient plus préplanifiées a l'issue de moi! Nous avons fait avec ma fille, alors 13, les tour de l'Angleterre et Écosse, a notre rythme.

En comparant les deux, comme le lundi avant j'ai racontée celle fait après mon divorce, (bien en réalité séparation puisque les papiers officiels ont durée), je peux mieux analyser les avantages venant de cette misérable vacance passée a côté d'une magnifique lac, attendant, sans pouvoir m'en aller, jour a jour, heure a heure presque, que mon mari qui m'a laissée lá après juste une demie heure de 'préavis' revienne.

Au lieux d'une semaine il a resté deux. Ma voisine italienne dans le camping convaincu, qu'un mari était seulement mon imagination.

Et aussitôt revenu le dernier jour des vacances, il m'a donnée le volant: conduis. Embouteillages monstres de 31 août. On avançait très lentement. Aussitôt réveillait, monsieur se met a hurler: tu n'as pas avancée plus? Je savais que t'es bonne a rien. Sors!

Je ne voulais même plus rentrer dans la voiture voyant son rage. Quand il a commencée a m'y forcer, j'ai dit la première fois: continue ainsi, je divorce!

Mais j'avais encore trop peur, même si j'était dorénavant convaincue qu'il n'y a pas d'autre issue. Une semaine après notre retour, j'ai trouvée par terre, devant le WC, la lettre qui me permettra de divorcer. Écrit par sa maîtresse et discutant les variantes des plans d'avenir.

Oui. Ce n'était pas agréable d'attendre son retour moitié de nos vacances, même dans un lieu agréable, mais a la fin, cela m'a aidée a me décider enfin: assez.

Deux vacances effectivement, si différentes. Après, personne ne les décidait a ma place!

Julie, faisant rire. Et plus.

J'avais tremblée hier matin.

J'avais mal au ventre l'apres- midi.

Mon cœur battait très fort le soir, avant parler.

20 minutes c'est longue.

Finalement, il parait que ce n'était pas assez long. Même si je n'ai racontée, dit tout, j'ai fini sans une conclusion assez fort, de nouveau, en quelque seconds avant vingt minutes.

20 minutes c'est long si l'audience ne s'amuse pas. J'ai réussi de tenir l'audience enchantée, amusée et inspirée pendant tous le temps.

Maintenant je sais, je pourrais raconter presque la même - en fait les mêmes - histoires pendant trente minutes.

Mon 'discours' aurait entrée en 20 sans compter les rires. Ils ont beaucoup rit et assez longtemps, pendant lequel, bien sûre, je devais m'arrêter. Attendre le rire passer, je m'y suis habituée, pas de problème, mais cela est sortie du temps total des textes.

Conclusion? Confidence en moi: je peux! Je suis capable de parler 20-30 minutes en public tout en les amusant. Les tenant accroché. Plus. En même temps, leur donnent des choses a retenir, apprendre.

Encore plus important, les inspirer. Leur donnant courage qu'ils peuvent eux aussi. Leurs donnant quelques outils de comment faire. Inventives a commencer.

J'avais racontée mon parcours en Toastmasters, comment j'ai appris parler en faisant rire, avec exemples concrets. Et leur secret. Les échecs et les raisons du succès.

Exemples de comment tragédie fait rire. Exemples de comment mes frustrations et pro les font rire. Inventive de s'ouvrir et aller en profondeur pour trouver de contact avec les autres.

'Maintenant je ne vais plus hésiter, j'y plonge!' Quel joie d'entendre ceci, comme résultat!

Experience French

Hier, j'ai ending visitée un club Toastmasters que je me suis proposée depuis longtemps. Cela s'appelle Expérience French, et c'est surtout en Français, mais pas exclusivement. On parle aussi en anglais.

C'était très sympa!

Le président, a demandée d'abord si il y en a dans l'audience qui ne comprends du tout français, ensuite a ouvert la réunion en français. Le MC, maîtres des cérémonies ou Toastmaster de la soirée, a parlé ensuite en Anglais. Les discours, trois excellents, étaient en français ! J'ai appris des nouvelles expressions mais aussi davantage sur ceux qui ont parlées et sur La vie d'une Napolitaine. Des meurs et habitudes et raisons, racontées d'une venant de la. Et aussi sur les raisons de danser Salza et ou cela peut mener. Tous les trois, ont ajoutés pas mal de humour !

Après avoir entendu des 'évaluations' il n'y a pas un mot plus facile pour cela, la troisième partie était des réponses improvisées. J'ai gagnée le premier prix de la soirée avec ceci, en racontant ma vacances  en Angleterre avec ma fille, les premières vacances après mon divorce. (Premier divorce, mais cela je n'ai pas dit, deux minutes n'est pas assez pour 'tout' raconter.)

Je me suis rendu compte des avances que j'ai fait pour raconter des histoires et faire rire, comme j'avais racontée de ces vacances déjà il a presque cinq ans dans le club de Greenwich. Et oui, même en français, j'ai réussi a faire rire. J'en suis restée ravie! D'autant plus que plusieurs m'ont dit: je voudrais entendre davantage sur ses anecdotes.

Pas maintenant, mais je vais les décrire aussi dans ce blog.

En revenant chez moi, j'ai fais le lien entre ma dernière vacance, assez désastreuse, avant divorce (séparation, comme le divorce officiel dure) et celle-ci, la première après. Vacances arrangées sans ma coopération et consultation et vacances où moi et ma fille nous avont été maître de ce que nous faisions. Personne ne décidant pour nous! Regardant de cette perspective, ces vacances deviennent encore plus précieuses. Plus on plonge, on développe, on dévoile, plus intéressant cela devient. Je crois.

Que de différence entre être mise dans des conditions sans être consultée et agir dessus, et devenir maître de sa destinée. Les deux vacances soudaine sont presque des métaphores, quoique concrets de avant et après! Merci pour cette sujet qu'on me l'a offerte, qui d'un coup m'ouvre tant des portes et apporte tant des histoires et compréhension nouvelles!

Rafael, le président du Expérience French fermais son discours disant : on ne peut pas deviner tout les bénéfices qu'une décision peut apporter. Il avait tellement raison!

Bonnes années 70 !

Le jour est arrivée, Notre amie Grimimi Sue a 70 ans.

Elle va entrer dans cette journée convaincue: il y a de la vie après 70 ans. Et pas n'importe qu'elle vie.

En arrivant a 70 on laisse derrière soi nos jeunnes années, mais aussi des soucis d'élever des enfants, des nombreuses heures de travail pas toujours agréables, les problèmes de paraître responsable et sérieux.

Nous prnons, autant que possible responsabilité de notre propre vie. Nous laissons un peu de nos désirs de jeunesse ressurgir, un peu des rêves se réaliser.

On peut de nouveau expérimenter, tester, aller au delà de ce qu'on croyait 'pas pour nous', et découvrir avec enchantement qu'on est capable non seulement de ce qu'on espérait, mais même des faits jamais rêvées.

Vive les années 70 et suivantes!

Oui, des fois les genoux nous rappelent notre âge, quelques dents tombent, les rides se creusés, et alors?

On apprends a faire avec ce qui est tout en allant en avant. Avec sourire et courage.

Bonne anniversaire!

Un plat de cerises et d'autres images

Vendredi, mon fils et petit fils sont venus me voir et manger de pizza. J'avais préparée un, tout chaud sortie du four.

J'ai aussi préparée le livre de 100 pages avec mes photos que j'avais reçu récemment.

Aussitôt arrivés, avec d'autres pizzas, mon fils a nettoyée la table pour faire place et manger. Bien.

Une fois tout pizza consolée, sauf une partie du mien, 'trop croustillant' j'ai ressortie le livre des photos.

Ces plats des cerises, me rappelant ma mère m'offrant des cerises a mes anniversaires au réveil, était l'un des images que mon petit fils a préférée, et le corridor sous l'hôpital qui 'fait peur' et les marches de Montmartre en brouillard.

Pour ceux qui ne les connaîtrons pas les voilà. Ils sont aussi favoris des pas mal d'autres gens. Tous les deux ont une histoire.

Vue plus que 12000 fois, transformée en gris de couleurs pour mieux rendre le sentiment ressentie, j'allais vers un examen médical que je craignais, dans le sous sol de l'hôpital d'Argenteuil. Personne avec moi, personne autour et loin, au delà de la porte m'attendait un tube dans lequel on allait me mettre avec du bruit fort. Examiner, non pas ma tête aussi dans le tub, mais le genoux.

Ce ne s'est avéré grave, même si le bruit dans le tube est effrayant. Mais plusieurs ont ressenti le même sentiment que moi, en y allant. Ma photo a réussi je crois transmettre mes craints.

Tôt le matin, je suis montée sur la butte Montmartre. Brouillard. Je ne pouvais pas prendre les toits de Paris. Mais j'ai attrapée les marches presque disparaissant dans le brouillard. 'Seulement' 8000 ont vu cette photo, mais 80 l'ont mise par mis leur préférés et des visiteurs de différent parts de monde m'ont écris pour précisions, où ils peuvent le trouver.

Ce matin, j'avais réussi d'acheter dix écharpes de Paris, cadeaux pour ceux de Londres qui ont manifesté de la chaleur envers moi. La dernière écharpe je l'ai offerte il n'y a pas longtemps. Et hélas, j'ai perdu la mienne le mois dernière. Mais le souvenir, reste.

Des images préférés se font suit a des hasards, mais ce n'est pas une hasard d'avoir son petit caméra toujours avec soi. Non plus, de s'arrêter quand on sent qu'il y a quelque chose a exprimer.

Nouvelles tâches

Mardi j'ai participé a une réunion des 'formation des officiers' pour tout la divison B de Londres. Une Area contient 5 clubs, une division 5 Areas. Comme je commence mon activité de Assistant de Gouverneur de Divison, responsable pour Éducation et formation, jusque fin Juin l'année prochaine.

Me voilà photographiée avec la troupe des responsables, 'dans l'équipe'.

Faisons une photo joyeuse maintenant! Tellement plus réussie que celle d'avant!

Une nouvelle expérience pour moi, faire partir d'une équipe que je ne connais pas encore bien, a côté de la division où j'ai travaillée pour cinq ans. Comme il y a 3 divisions a Londres maintenant, j'ai voulu connaître et faire connaître l'importance des récits dans les discours, aussi dans les autres. Ce serait une belle occasion. Déjà, trois clubs, dont les présidents j'ai rencontrée mardi, m'ont invitée aller chez eux.

Depuis mardi, nous avons un autre dans notre équipe qui a acceptée aussi a nous joindre. Une année intéressante devant moi.

Même si l'atelier de raconter des histoires est un but très intéressante, ainsi que de parler de plus en plus longtemps (tout en amusant et inspirant), faire partie des dirigeants d'un équipe donne un challenge (défi) en plus.

Je ne savais en juillet que vais-je faire: me voilà avec pleine ! En plus, je me suis décidée a me joindre au club Toastmasters français, pour m'obliger a parler en public aussi en français. Je ne serais pas la seule en parler avec accent, lá. Mais pour le moment, je crains comment je réussirai.

Juste avant partir vers Londres, j'avais organisée a Paris, dans un café de 18e un spectacle variété, et mon numéro Le Nez, n'a pas réussi a faire rire. Tiens, je devrais commencer avec cela, depuis, j'ai appris des trucs pour amuser! En plus, c'est une histoire avec message. J'en ai parle a l'époque dans ce blog, je me rends compte, même deux fois!

À bientôt. Et oui, il y a de la vie après 70 ans! Même a l'approche de 80.

Hommage á André Kertesz de Julie Kertesz

Il est arrivée a Paris vers 1925 et devenu l'un des photographes de renom. Copain avec Mogliani, il a fait des photos de... Ses lunettes sous l'escalier, un peu 'a la Mogliani'

Vers 1928 il a était dans un village éloignée de la Savoie pour un reportage et livre qui ne s'est matérialisée que longtemps après son décès.

André Kertesz, avec sa simplicité et humanité et regard chaleureux vers les gens, a toujours été mon idéal et 'maître'

Un des photos a fait aussi sensation: un fourchette sur un assiette. A l'époque, personne avant lui ne pensait que cela peut être un sujet de photographie.

En attendant que mon rendez-vous arrive, a qui je devais montrer comment on coupe le superflue d'un photographie, j'ai prise un yoghourt glacée au chocolat: servie sur une assiette ovale. Pour une raison curieux, l'assiette ovale, jurée, est devenue ronde dans chaque image. Même celle-ci, je crois.

En tout cas, cette cuillère et assiette me rappellent André Kertesz, fuit ensuite a New York, où il n'a jamais réussi a s'adapter.

Finalement, qu'elle chance que je me sens si bien aussi a Londres qu'à Paris!

Je n'écris pour rien, quel bonheur!

Bientôt, ils seront dix ans que j'écris, matin après matin, une note ici.

De sept, a cinquante, puis cent dix, ces jours-ci d'après les statistiques environ deux cent vient les lire, jour après jour. Mais les chiffres signifient rien. Ce qui important est de tâcher de donner un peu de courage a un ou deux qui me lisent. Si cela réussi, non seulement j'aurais prouvée a moi même : Il y a de la vie après 70 ans, mais j'aurais le sentiment d'avoir servie a quelque chose.

J'ai reçu hier un commentaire. Vos commentaires sont toujours un cadeau précieux pour moi. Cette fois encore davantage. La voilà.


" J'aurai 70 ans le 12 août. Je peux dire, sans me tromper, que j'ai appris beaucoup sur le sujet.
Tu m'as inspirée une nouvelle façon de penser, de regarder en avant même si on se retourne parfois et tellement d'autres choses...

J'écrirai un billet et j'aimerais citer cette petite phrase qui fait fuir mes pensées négatives. « Il y a de la vie après 70 ans » et bien sûr en mettant le lien. 

Que la réponse soit OUI ou NON, je te remercie.

Doux bisous et tendres câlins,
Grimimi Sue"

N'oubliez pas, de lui souhaiter toute la bonheur a 12 août ! Vous trouverez, sa blog et email a coté, a droit entre mes blogs que je lis. Mais aussi, en commentaire de ma note de hier sur Dauville.

Je suis restée très humble et très heureuse en même temps, d'avoir pu inspirer 'regarder en avant' ! Quel encouragement pour moi, pour continuer.

Hier, pour la première fois dans mes clubs, j'ai parlée pour vingt minutes, et j'ai réussi a les faire rire et amuser en même temps que inspirer que ce n'ai jamais trop tard a commencer de regarder avec les yeux des comédiens. Un monsieur qui est sorti en même temps et attendu a même station de bus, m'a dit : vous avez tellement d'énergie. Il ne savait pas tous les heures de découragement, des doutes de moi, de fatigue, entre les réunions et les écrits et discours.

L'énergie vient et passe, puis on accumule des nouvelles fois. Recevoir une tel commentaire, des tel lignes, comme ceux de Sue, remplie de nouveau la fontaine!

Deauville, fascination

Un jour, il y a six ans : j'avais pris mon petit fils a la mer. Vent, sable, ciel blue.

L'eau était froid, mais il a crée une collection des coquillages et moi prise des images des sports et mouvement.

Puis, d'un coup, nous nous sommes sentis fatiguées. J'aurais voulu rester encore une journée, mais mon petit fils a décidée: maintenant retournons.

Cette année, sauf en Ayr, Écosse pour un matin pluvieux, je n'ai pas vu la mer. Les images de Deauville et souvenirs de la mer Anglais m'ont donnée envie d'y retourner, ne serait-ce que pour un jour, quelques heures en Août.

Derrière la gare

La façade est pas mal, l'autre côté moins belle mais intéressante.

A partir du jardin, de ma famille, on peut entendre les annonces quand le train arrive. La route vers le bus me prenant vers chez moi, enfin vers le bus qui me dépose pas loin, m'offre l'inverse de la façade.

Aujourd'hui, dans le blog flickr, ils ont montrée des Éléments de architecture.

Voilà, de plus près ce qui m'a fascinée. Le toit, la vue de derrière. Heureusement le zoom m'a permis de la prendre.

Il y a quelques années, ce chat sur mon toit ne m'amusait pas: il m'a fait peur avec le bruit de ses pas.

Maintenant, je suis heureuse de l'avoir attrapée, au moins sur la photo. Établie dans le grenier, elle a fait des petits, pleines des chatons, et ce n'était pas si agréable. Même si les chatons étaient mignons.

Il y a des toit et des toit. Ici, dans un relativement grand immeuble, les chants des oiseaux de matin me manquent. Mais par contre, le soleil pénètre dans le salon, des les premières heures et m'offre des magnifiques levé de soleil avant.

Oú ira mon bateau?

Pas tres loin, mais un peu plus quand même.

Ce matin fatiguée, j'ai mal dormi.

En tout cas, je n'irai nul part en bateau, plutôt a pieds ou en bus. Au pire, avion.

Mes pas m'emportent pas a pas, lentement, même si d'autres croient que je courre sans cesse.

Trois jours a la maison de nouveau.

Je me prépare a sortir demain, parler après demain. Déjà, y penser me fatigue.

L'énergie reviendra.

Equipe des responsables, division B

Division gouverneur au centre, Area Governeurs autour

Division B était le division original, tout Londres, avant que la ville soit séparée en trois division à cause qu'on a eu trop des clubs qu'un ne pouvait (avait le droit non plus) a gerer.

Maintenant, au Ouest c'est L pour "Londres", le B sont les clubs au centre surtout, mais de Sud à Nord, puis mon "ancien" division K à l'Est.

Je vais commencer, j'ai déjà commencée, comme vous voyez dans la photo que j'ai prise et dans laquelle je n'y suis pas encore, travailer avec eux.

Imaginer des choses à rendre plus amusant et plus educationelle en meme temps, les vingtaine des clubs pour les environ 500 membres toastmasters. Et organizser des "trucs" educatives, ateliers, réunions, concours.

Non, je ne vais pas les organizer, proposer, inspirer, aider à paraitre. Inspirer.

Enfin, c'est le plan ou le souhait. La réalitée, on vera au fur et à mesure.

Par hasard

J'étais photographe 'officielle' hier a une conférence réunion. Observateur.

J'ai appris et rencontrée pas mal et observée un peu comme une mouche sur le mur. Mais ce qui est dans ce photo me parais le plus amusante!

- T'as des belles chaussures!
- Merci.

Et elle les a bougée. Le main d'un collègue arrangeant un câble est arrivée dans l'image par hasard. En fait, il étais vis-a-vis, testant un ordinateur et un programme.

Observer, c'est toujours intéressant. Et des fois, il y a des surprises amusantes!

Le cult de comedy, West Ham

Je la croyais très éloignée, mais en revenant je me suis rendu compte: ce n'est pas loin de chez moi.

Sous les lignes ferrées, une petite salle pour de la musique et comédie. Nous étions quartes a faire rire hier soir. J'ai l'impression: c'était moi qui avais obtenus les rires les plus solides et rapprochées. Qu'elle plaisir!

Quand cela marche comme hier, l'audience réagit si bien, tant aux lignes anciennes que nouvelles ou celles modifiées, on s'en sort enivrée! Et je n'ai bu que de l'eau: il a fait très très chaud hier soir.

A cause de cela peut être, l'audience est arrivée presque une heure en retard: l'organisatrice pensait déjà qu'elle va annuler. "Mieux tard que jamais!"

J'ai modifiée, mon texte, ajoutée aussi davantage de mimic, et mouvement. La lumière et micro étaient aussi bons et cela a vraiment bien marchée hier.

A répéter.

Raconteur des histoires

Hier soir, la dernière fois adieu aux ceux conduissant les 5 clubs de Area dont je me suis occupé pendant une année.

J'ai utilisée l'occasion, pour essayer la méthode Judy Carter:

° Effrayer l'audience: vous avez une problème
° Leur dire ma solution pour la résoudre
° Raconter une histoire (personnelle, imagée, mais dont la héroïne n'était pas moi, mais la Area Governor qui me remplace: mon adjoint de l'année dernière)
° Rappeller les leçons a tirer du récit
° Plan d'action : maintenant

La fin était un peu trop rapide et je ne suis pas arrivée 'maintenant...' Le temps de parole étant passée. Mais celle a qui j'ai demandée me dire l'opinion, m'a dit : je vais pas oublier la neige et la délégation et... Etc. Le récit a porté ses fruits de nouveau. Mes points subtils vont aussi passer. Et j'ai élevée aussi la réunion 'à une autre niveau plus générale' en même temps.

Je suis plutôt contante de hier et aussi la joie que tellement m'accueillent. Adieu.

Ce soir, je vais dans un nouveau bar variété pour faire rire. Et a partir de demain, je commence mon nouvelle charge, 'ailleurs'. J'appelle ceci, 'je m'étire'. Je ne délaissera pas tout a fait les anciennes mais je ne serais plus a leur disposition comme avant.

J'ai d'ailleurs dit hier soir. "Organisez-le, je vous conseillerai, mais je ne vais plus m'occuper á l'organiser." Cette année, c'est leur tour a bosser, a prendre le temps, a s'en occuper. Il s'agissait de l'atelier de raconter des récits.

J'en ferais, moi, mais probable en 'tout Londres' non seulement pour ces cinq clubs.