Je voulais me promener hier au centre, il faisant tellement beau de nouveau hier debut de l'apres midi! L'entree centrale au metro, tellement detruit: je ne comprends pas pourquoi d'un cote on construit et peint, d'autre cote on laisse certaines choses tellement se deteliorer!
Et meme sur le centre de la ville!
Ici, seulement le chien pouvait monter, sinon, il fallait prendes les marches un peu plus loin.
En plus, comme vous voyez, il n'est laisse beaucoup de place pour les passants, les voitures gares sur le troitoir, meme centre ville, en face de parking de la Theatre National.
Mais des stands des fleurs partout, et ici, pres de la Faculte aussi des kiosques avec livres, d'ailleurs la grande librairie n'est pas loin non plus, il faut seulement reussir a passer le grand boulevard. Toutfois, ce n'est pas la, mais dans plusieurs petits antiquariats, que j'ai trouve quelques livres de Mihai Sebastian, que je cherchais, dont les lectures plus tard rentree, m'ont de nouveau seduit et m'ont fait reflechir.
On croit avoir des temps difficiles maintenant, rien relatif aux annees quand je suis nee!
Mihail Sebastien, jeune laic d'origine juif, pressentait le deferlement contre juifs venir (deja certains journaux se dechainaient), il pressentait meme le manque d'humanite que le comunisme pourait apporter. Il a vecu le premier par la suite et le relate dans son journal, il est mort par conte en 1945 et n'a pas vecu le proces dans lequel ces copains ont ete accuses d'etre alle (avec lui) a la montagne, non pas pour respirer le bon air et avoir du bon temps, mais pour comploter!
Tous les myseres des dernieres 70 annes me sont revenus en lisant seulement comment tout a commence, a travers son magnifique plume et quelques notes de l'editeur (dans les volumes recement publies).
J'avais ecrit deja une fois (je crois) de ses pieces de theatre, Le jeu a la vacance et l'Etoile sans nom, je les relis et vois plus de profondeur encore que jadis, quand, deja, je me sentais dedans en les lisant!
Vous vous souvenez? En vacances, on n'a pas besoin de montre, du radio, de tenir compte comment le temps passe et ce qui se passe ailleurs!
passionnnant ton reportage sur Bucarest. je dis aux Pierre de venir visiter
RépondreSupprimerpassionnnant ton reportage sur Bucarest. je dis aux Pierre de venir visiter
RépondreSupprimerah! Julie comme tu nus fais voyager non eulement dans l'espace, mais aussi dans le temps et dans l'iconosphère! Merci
RépondreSupprimerj'aime ce billet, et la vie qui y passe, avec des fleurs, des livres, de la mémoire, des êtres humains
RépondreSupprimerChanceuses que nous sommes, nous tes lecteurs et lectrices de partir à la découverte de Bucarest, sans même avoir à se déplacer.
RépondreSupprimerProfites bien de ton voyage et merci de nous partager tout cela.
Bon vendredi et bisous de ta p'tite cousine du Québec. xoxox
presque tous les jours (un peu moins actuellement) je passe te voir, te saluer et apprécier tes billets, un vrai plaisir autant lorsque tu es là-bas qu'ici !
RépondreSupprimer