dimanche 16 avril 2006

Il y a toujours de l'espoire

une fenêtre qui s'ouvre, quand tout parait ferme et noir, j'ai trouve un autre peintre de confiance et les affaires avancent. Il va meme reparer cette fenêtre que j'aime tant dans le logement, d'ailleurs la seule digne de ce nom.

Il y a encore trop a faire, je ferai ce que je peux cette fois-ci, mais j'apprends tellement sur les gens et les cadeaux (vrais ou empoisonnes) et comment la vie se déroule dans ce pays de contrastes, cette ville de très riches, bien portants, modestes et tres pauvres. Les différences sont beaucoup plus grands ou plus voyants qu'en France ou Amérique.

Les comportements, je commence a un peu mieux comprendre.

En tout cas "francaise" ou étrangère veut dire qu'on a des sous et qu'on peut demander davantage de nous, de moi. Je dis "je suis de Cluj" quand je peux...

Transylvanie est une autre contre pour ceux de Bucarest et venus des régions de Oltenie ou Moldavie, puisque c'était si longtemps Austro-Hongrie, les gens ont une morale et comportement diffèrent (aussi une culture très différente, d'après moi) et, même Alina dit "parlent si lentement" - mais travaillent plus et sont tiennent davantage ce qu'ils promettent.

Je suis bien ici, mais je suis (au moins) Transylvanienne.

Je commence a penser enfin a revenir vraiment "chez moi" en France, dans ma petite maison assez sombre pres de Paris, et mon petit jardin qui doit fleurir dans mon absence. En fait, je suis francaise, je me sens bien a chaque fois partout presque ou c'est ma maison, mais je ne me suis jamais sentie vraiment "chez moi" a Bucarest, ou j'avais pourtant habite de 15 a 27 ans.

Maintenant, avec cette logement qui n'est meme pas la mienne, je me sens presque...

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