J'ai bien mis mes souvenirs dans une collection de 300 images, mais j'ai tiré six pour ne montrer qu'une petite partie de tout ce que j'ai vécu (et vous l'avez vécu en grand partie avec moi) et tout qui était le plus important.
Le contredans, non mérité et le mensonge de policier de hier, ce n'est pas signifiant par exemple, même si sur le moment il ne m'a pas permis à bien dormir, mais le fait que mon petit fils de six ans, aditionne et soustract des grandes chiffres, l'est et hier j'ai eu donc une magnifique journée en jouant avec lui "la bonne paye".
Voyages, à la montagne et découverte des christaux de neigne grâce à mes amis, voyage à Londres décidé subitement et avec enfin, la visite de la National Gallery. Important.
Il y a tellement des bonheurs différents dans la vie!
Une été très chaude, mais entouré des petits enfants, et une belle automne, tant à la maison que le Bas Dauphinée: ah oui!
tant le plus grand, que le plus petit, aiment autant à lire (tout comme moi): grande joie! J'ai réussi à être pas mal avec eux, cette anée.
et, en plus la joie d'avoir crée et fait vivre ce group Afterclass, où, dorénavant plus de mille sept cents personnes du monde entier, ensemble, apprenons mieux les divers aspects de la photographie, en faisant des progrès, chacun selon son propre rythme.
C'est si important de se sentir utile!
Expérimenter, communiquer, tâcher de vivre pleinement. Prouver a soi et aux autres, depuis dix ans déjà
dimanche 31 décembre 2006
samedi 30 décembre 2006
Veux pour l'année qui arrive?
quand je pense à ma très riche nouvelle année 2006, et je regarde les nouvelles salières, puisque je ne mettrais jamais du poivre dans l'autre, je sais ce qui m'a manquée cette année,
et peut-être, très profondément en moi, même à mon âge, je le souhaite encore, et je me dis, qui sait, peut être l'année qui arrive?
ma tante avait soixante treize ans, quand elle a rencontré un vieux monsieur (au moins de dix ans plus qu'elle) au pas de marches de son immeuble : ils sont restés amis et ont même fait tous leurs vacances ensemble pendant douze ans ensuite,
j'avais quarante trois et j'étais seule et je me suis dis "je vais touver jusque 73, peut être moi aussi... sans imaginer que je pourrais une fois effectivement arriver à cette âge, bien sûr,
je n'ai pas dû attendre effectivement tant que cela, mais, oui, cette image me fait rêver malgré tout, sinon, probablement je ne l'aurais pas acheté, il ressemble un peu au statue de rodin en tendresse, je crois
et peut-être, très profondément en moi, même à mon âge, je le souhaite encore, et je me dis, qui sait, peut être l'année qui arrive?
ma tante avait soixante treize ans, quand elle a rencontré un vieux monsieur (au moins de dix ans plus qu'elle) au pas de marches de son immeuble : ils sont restés amis et ont même fait tous leurs vacances ensemble pendant douze ans ensuite,
j'avais quarante trois et j'étais seule et je me suis dis "je vais touver jusque 73, peut être moi aussi... sans imaginer que je pourrais une fois effectivement arriver à cette âge, bien sûr,
je n'ai pas dû attendre effectivement tant que cela, mais, oui, cette image me fait rêver malgré tout, sinon, probablement je ne l'aurais pas acheté, il ressemble un peu au statue de rodin en tendresse, je crois
vendredi 29 décembre 2006
Ils travail dans l'ombre
Il y a tellement des gens, travaillant dans l'ombre, derrière le rideau si on peut dire pour que les fêtes se déroulent agréablement pour nous, les autres.
Comme ces deux apprentis boulenger, se levant à quatre heure du matin pour qu'à sept heure, même le matin de noël, nous pourions avoir de pain et croissants frais et chauds.
J'ai réussi, avec Picassa, réunir ces quatre images, ensuite desaturer les deux apprentis, pour qu'on voit davantage "l"ombre" dans lequels ils travaillent.
Ils ne sont pas les seuls. Cuisiniers, muciciens, et tant d'autres artisans et métiers pour contribuer a faire les fêtes plus agréables. Je ne serais pas dans les cuisines, comme François, mais cette fois, je vais contribuer aussi un peu à la fin d'année et ses festivités, en prenant de nouveau des photos et en essayant de rendre la souvenir des fêtes un peu plus longs.
J'ai commandé des calendriers et des livres avec des photos faites au cours de l'année ou lors la noël de l'association dont j'ai photographié les enfants. Un peu, modestement, contribuer à ma façon. En même temps, j'ai été invité hier aussi à la diner de fin d'année des organisateurs!
Mon petit fils, toujours près de moi, quelle joie! et peu de temps pour venir vous rendre visite un à un, je promets de me ratraper et relire tous les notes dès que possible.
Je comprends aussi, ceux entre vous aillant mieux à faire pour le moment, comme moi, vous allez surement vous rattrapper plus tard.
La fin d'année est bien de s'en souvenir.
J'ai eu aussi la joie de recevoir un coup de fil d'une amie d'enfance, presque perdu se faisant de soucis pour moi. Nous ne recevons plus des belles cartes, ou moins en moins, mais des emails et des coups de fil! l'important de s'en souvenir et rester ou reprendre contact!
Comme ces deux apprentis boulenger, se levant à quatre heure du matin pour qu'à sept heure, même le matin de noël, nous pourions avoir de pain et croissants frais et chauds.
J'ai réussi, avec Picassa, réunir ces quatre images, ensuite desaturer les deux apprentis, pour qu'on voit davantage "l"ombre" dans lequels ils travaillent.
Ils ne sont pas les seuls. Cuisiniers, muciciens, et tant d'autres artisans et métiers pour contribuer a faire les fêtes plus agréables. Je ne serais pas dans les cuisines, comme François, mais cette fois, je vais contribuer aussi un peu à la fin d'année et ses festivités, en prenant de nouveau des photos et en essayant de rendre la souvenir des fêtes un peu plus longs.
J'ai commandé des calendriers et des livres avec des photos faites au cours de l'année ou lors la noël de l'association dont j'ai photographié les enfants. Un peu, modestement, contribuer à ma façon. En même temps, j'ai été invité hier aussi à la diner de fin d'année des organisateurs!
Mon petit fils, toujours près de moi, quelle joie! et peu de temps pour venir vous rendre visite un à un, je promets de me ratraper et relire tous les notes dès que possible.
Je comprends aussi, ceux entre vous aillant mieux à faire pour le moment, comme moi, vous allez surement vous rattrapper plus tard.
La fin d'année est bien de s'en souvenir.
J'ai eu aussi la joie de recevoir un coup de fil d'une amie d'enfance, presque perdu se faisant de soucis pour moi. Nous ne recevons plus des belles cartes, ou moins en moins, mais des emails et des coups de fil! l'important de s'en souvenir et rester ou reprendre contact!
jeudi 28 décembre 2006
Noël français, regard vers le monde
On a bien acheté des baguettes fraiches le matin de Noël, mais le jouet le plus apprécié était celui de la découverte de monde. En regardant le globe terrestre, les enfants avaient déjà pas mal des endroit à montrer, des pays par où ils ont passés. Puis apprendre les autres vers où ils iront la prochaine fois.
mercredi 27 décembre 2006
Il y a cent ans
Ma mère était née il y a cent ans.
Hélas, déjà à cinquante ans, elle s'est senti vieille. Et elle n'a pas vécu de voir son petit enfant naitre.
Il y a treize ans est né mon premier petit enfant: quelle joie! Je me souviens encore de la première fois que je le serais près de moi et nos premiers promenades. Que j'étais fière d'être devenue grand-mère!
Dorénavant, il devient adolescent.
C'était seulement il y a treize ans, mais à soixante ans j'étais aussi encore une épouse heureuse. Nous avons passé des agréables jours à la campagne ce printemps-là. Tout cela me parait si loin aujourd'hui.
Mais chaque jour, chaque période de notre vie à son propre charme.
Hier, nous avons passé des heures agréable avec mon plus petit petit fils.
Il a écrit et il a dessiné, en parlant (sans que je lui suggère en aucune façon) de ses deux mamies. A la fin, pour ne pas fâcher l'une d'elle, il a décidé d'ajouter quel dessin représentait l'une d'elles et lequel l'autre... mais en fait, peut être, c'était le fatigue d'utiliser le souris à main gauche qui a décidé surtout?
Aujourd'hui, nous allons essayer d'aller au cirque. Hier, nous avons déjà était par là et admiré les dromadaires. Non, mamie, ce n'est pas des chameaux, c'est des dromadaires!
Que des choses sait déjà ces jours-ci un enfant de six ans!
Il commence aussi à m'apprendre, très gentilement, les un et les une's. Non, c'est un œuf au plat, pas "une", mamie.
Hélas, déjà à cinquante ans, elle s'est senti vieille. Et elle n'a pas vécu de voir son petit enfant naitre.
Il y a treize ans est né mon premier petit enfant: quelle joie! Je me souviens encore de la première fois que je le serais près de moi et nos premiers promenades. Que j'étais fière d'être devenue grand-mère!
Dorénavant, il devient adolescent.
C'était seulement il y a treize ans, mais à soixante ans j'étais aussi encore une épouse heureuse. Nous avons passé des agréables jours à la campagne ce printemps-là. Tout cela me parait si loin aujourd'hui.
Mais chaque jour, chaque période de notre vie à son propre charme.
Hier, nous avons passé des heures agréable avec mon plus petit petit fils.
Il a écrit et il a dessiné, en parlant (sans que je lui suggère en aucune façon) de ses deux mamies. A la fin, pour ne pas fâcher l'une d'elle, il a décidé d'ajouter quel dessin représentait l'une d'elles et lequel l'autre... mais en fait, peut être, c'était le fatigue d'utiliser le souris à main gauche qui a décidé surtout?
Aujourd'hui, nous allons essayer d'aller au cirque. Hier, nous avons déjà était par là et admiré les dromadaires. Non, mamie, ce n'est pas des chameaux, c'est des dromadaires!
Que des choses sait déjà ces jours-ci un enfant de six ans!
Il commence aussi à m'apprendre, très gentilement, les un et les une's. Non, c'est un œuf au plat, pas "une", mamie.
mardi 26 décembre 2006
lundi 25 décembre 2006
Matin de noël à la campagne
Nous sommes allés acheter des baguettes fraiches, pour le petit déjeuner de Noël, dans la boulangerie de la petite village, à 160 km de Paris.
Le boulanger, ultra sympa, voyant cette image de lui sur l'écran de mon appareil, nous a ouverte son atelier de boulangerie.
C'était une merveilleuse façon de commencer Noël.
Mais hier soir, je suis arrivé chez moi tard, alors, j'envoie ces 26 images seulement maintenant. Suivez-moi!
Vous pouvez voir tout le processus ICI, et bien sûr nous sommes repartis avec les baguettes encore chaudes.
Le boulanger, ultra sympa, voyant cette image de lui sur l'écran de mon appareil, nous a ouverte son atelier de boulangerie.
C'était une merveilleuse façon de commencer Noël.
Mais hier soir, je suis arrivé chez moi tard, alors, j'envoie ces 26 images seulement maintenant. Suivez-moi!
Vous pouvez voir tout le processus ICI, et bien sûr nous sommes repartis avec les baguettes encore chaudes.
dimanche 24 décembre 2006
Rêver
En mars 1994, j'avais bien besoin d'un peu plus de courage et j'avais écrit dans mon journal (voir en Retroblog aussi), le chanson de Don Quichotte, je l'ai un peu modifié ce matin:
Rêver la rêve irréalisable
lutter la lutte impossible
supporter ce qui arrive
aller là où même le courageux hésite.
écrire un rôle inécrivable
prendre des photos impossibles
aimer même de loin, sincère, forte
continuer quand on est lasse.
Tendre vers l’étoile lointaine
même s’il n’y a que peu d’espoir
et n’importe combien ça parait loin.
Voilà, à quoi je vais penser, en écrivant mes veux pour l'année prochaine, en y mettant, j'ai commencé déjà faire ma liste, le veux de rencontrer les plus possible d'entre vous, allez vous voir partout où vous êtes ou vous recevoir et se balader par ici.
lutter la lutte impossible
supporter ce qui arrive
aller là où même le courageux hésite.
écrire un rôle inécrivable
prendre des photos impossibles
aimer même de loin, sincère, forte
continuer quand on est lasse.
Tendre vers l’étoile lointaine
même s’il n’y a que peu d’espoir
et n’importe combien ça parait loin.
Voilà, à quoi je vais penser, en écrivant mes veux pour l'année prochaine, en y mettant, j'ai commencé déjà faire ma liste, le veux de rencontrer les plus possible d'entre vous, allez vous voir partout où vous êtes ou vous recevoir et se balader par ici.
samedi 23 décembre 2006
Pour ceux qui ont le temps
Si vous vous sentez seule ou juste avez le temps de vous amuser, ces jours-ci, probablement ce n'est pas le cas pour la plupart de vous, heureusement, visitez Tranches de vie (mon photoblog) et allez jusqu'en bas de la page pour voir les divers choses qu'on peut faire avec des images, mais aussi, tout en bas une slide show fait avec les trois cent images qui me parlent de l'année que je viens de vivre.
Cette fois elles glissent (slide) effectivement!
Pour voir les photos glisser, il fallait que je laisse en format large et ce n'est qu'en bas de page qu'un blog est assez large pour prendre tout... j'ai dû la mettre tout en bas. J'ai bien voulu mettre tout en haut: pas possible, même avec le beta blogger pourtant si flexible. Enfin, cela ne va pas tout seul, au moins.
C'est si amusant de découvrir des nouvelles choses!
Cette fois elles glissent (slide) effectivement!
Pour voir les photos glisser, il fallait que je laisse en format large et ce n'est qu'en bas de page qu'un blog est assez large pour prendre tout... j'ai dû la mettre tout en bas. J'ai bien voulu mettre tout en haut: pas possible, même avec le beta blogger pourtant si flexible. Enfin, cela ne va pas tout seul, au moins.
C'est si amusant de découvrir des nouvelles choses!
Réussite, échec?
Est-ce ceci vous dit quelque chose?
J'étais hier a la dernière leçon de l'année de danse et mouvement de ma petite fille. La lumière n'était pas très bonne pour mon appareil et certaines des images sont sorties floues, trop claires ou trop foncés.
Je m'en suis habituée à ne pas jeter aussitôt celles considérées comme échec.
Que veut dire échec?
Quand quelque chose ne sort pas comment nous sommes habitués, à ce que nous nous attendions.
Heureusement, les attentes des uns et des autres sont si différentes!
Les groupes de site flickr, m'ont ouvert l'horizon aussi vers des "abstraits" plus ou moins, et l'image que j'étais prête à jeter, un peu seulement transformé pour le rendre plus forte et saturée, a été immédiatement un succès!
Et moi, qui était prête à la jeter!
Je suis devenue plus flexible depuis que je regarde les images faites par les autres et observe les réactions des uns et des autres. Des photos que je pensais très bien, ont obtenu des réactions tièdes voir inexistantes, et celle-ci, ajouté seulement, ou surtout pour une exemple pour la futur classe où je vais contribuer en janvier, a commencé aussitôt montrée, susciter d'intérêt.
Elle a même commencé à me plaire!
J'étais hier a la dernière leçon de l'année de danse et mouvement de ma petite fille. La lumière n'était pas très bonne pour mon appareil et certaines des images sont sorties floues, trop claires ou trop foncés.
Je m'en suis habituée à ne pas jeter aussitôt celles considérées comme échec.
Que veut dire échec?
Quand quelque chose ne sort pas comment nous sommes habitués, à ce que nous nous attendions.
Heureusement, les attentes des uns et des autres sont si différentes!
Les groupes de site flickr, m'ont ouvert l'horizon aussi vers des "abstraits" plus ou moins, et l'image que j'étais prête à jeter, un peu seulement transformé pour le rendre plus forte et saturée, a été immédiatement un succès!
Et moi, qui était prête à la jeter!
Je suis devenue plus flexible depuis que je regarde les images faites par les autres et observe les réactions des uns et des autres. Des photos que je pensais très bien, ont obtenu des réactions tièdes voir inexistantes, et celle-ci, ajouté seulement, ou surtout pour une exemple pour la futur classe où je vais contribuer en janvier, a commencé aussitôt montrée, susciter d'intérêt.
Elle a même commencé à me plaire!
vendredi 22 décembre 2006
Aie! des problèmes
Les nouveaux slide show que j'ai créé sont bien et marchent sur la site
et je voulais vous montrer demain une autre, mais il refuse ensuite d'être efachée! ce qui ont du temps et envie, peuvent aller dorénavant sur la site. Ce qui arrive quand on experimente avec des nouvelles chose: il faut les tester d'abord sur un blog test en divers conditions, pas aussitôt la servir à la "consomation" de ses copains. Ceux que j'ai mises sur le Tranche de Vie, marche bien...
et je voulais vous montrer demain une autre, mais il refuse ensuite d'être efachée! ce qui ont du temps et envie, peuvent aller dorénavant sur la site. Ce qui arrive quand on experimente avec des nouvelles chose: il faut les tester d'abord sur un blog test en divers conditions, pas aussitôt la servir à la "consomation" de ses copains. Ceux que j'ai mises sur le Tranche de Vie, marche bien...
jeudi 21 décembre 2006
Des joies partagées
En parcourant les photos postés dans les fils de discussion de ma groupe !afterclass!, voilà une qui m'a frappé aujourd'hui. J'ai attendu avec ma note, jusque on m'a donné la permission de le poster.
Sur la rue principal piétonnier de sa petite ville, c'est ainsi que Llyod le décrit, il va encore et de nouveau pour prendre des photos. Un amateur, qui a déjà pris plus de six mille images de la vie se déroulant au même endroit.
Bientôt, il aura même un expo montrant des photo des gens et des interactions dans la rue, la place, les boutiques, les cafés. Mais ce qui m'a poussée à vous montrer cette photo-là, est qu'elle montre si bien (et avec une construction et composition parfait) la joie des gens qui reçoivent et regardes leurs images.
Celle-ci, est fait par la femme de Llyod, (Briggate sur flickr, comme le nom de la rue où il va régulièrement). J'ai aussi sur le mur de ma chambre une photo de Charlotte regardant avec ravissement la photo que j'avais prise d'elle une semaine ou deux avant. C'est ainsi que j'aime la rappeler.
On me demande souvent, ici ou là "comment tu peux prendre des gens, et des inconnus en plus!" mais la plupart de temps, quand je leur montre, déjà sur l'écran de l'appareil numérique le résultat, ils sont ravis. Tant eux, que moi en les regardant s'épanouir.
Hélas, je n'ai pas trente six mains ni quelqu'un près de moi, pour prendre la photo de joie que je vois, qui m'enchante si souvent.
Tous ces gens dont j'ai pris le portrait, m'ont donné quelque chose d'eux même et un merveilleux souvenir, mais souvent, j'ai réussi à leur donner aussi quelque chose. De temps en temps, une photo. Et au moins, et c'est déjà je crois beaucoup, le sentiment d'être appréciés.
Qu'il soit le vendeur des fruits, rue Poteaux à Paris, ou le retraité allemande venu participer aux vendanges d'Argenteuil... et de nombreux autres inconnus, jusqu'alors, mais non plus étrangers.
Sur la rue principal piétonnier de sa petite ville, c'est ainsi que Llyod le décrit, il va encore et de nouveau pour prendre des photos. Un amateur, qui a déjà pris plus de six mille images de la vie se déroulant au même endroit.
Bientôt, il aura même un expo montrant des photo des gens et des interactions dans la rue, la place, les boutiques, les cafés. Mais ce qui m'a poussée à vous montrer cette photo-là, est qu'elle montre si bien (et avec une construction et composition parfait) la joie des gens qui reçoivent et regardes leurs images.
Celle-ci, est fait par la femme de Llyod, (Briggate sur flickr, comme le nom de la rue où il va régulièrement). J'ai aussi sur le mur de ma chambre une photo de Charlotte regardant avec ravissement la photo que j'avais prise d'elle une semaine ou deux avant. C'est ainsi que j'aime la rappeler.
On me demande souvent, ici ou là "comment tu peux prendre des gens, et des inconnus en plus!" mais la plupart de temps, quand je leur montre, déjà sur l'écran de l'appareil numérique le résultat, ils sont ravis. Tant eux, que moi en les regardant s'épanouir.
Hélas, je n'ai pas trente six mains ni quelqu'un près de moi, pour prendre la photo de joie que je vois, qui m'enchante si souvent.
Tous ces gens dont j'ai pris le portrait, m'ont donné quelque chose d'eux même et un merveilleux souvenir, mais souvent, j'ai réussi à leur donner aussi quelque chose. De temps en temps, une photo. Et au moins, et c'est déjà je crois beaucoup, le sentiment d'être appréciés.
Qu'il soit le vendeur des fruits, rue Poteaux à Paris, ou le retraité allemande venu participer aux vendanges d'Argenteuil... et de nombreux autres inconnus, jusqu'alors, mais non plus étrangers.
mercredi 20 décembre 2006
Février 1994, presque 60 ans
Je viens de publier aujourd'hui, l'entrée février 1994 de mon journal dans le RetroBlog. Je venais de recevoir la lettre de non reconduit de mon contrat de travail. Mon mari à peine sortie de l' hôpital, j'étais "avant tourner le coin".
Je ne savais pas ce qui sera, arrivera, ce que je ferais les années qui me restaient. J'espérais, je rêvais, j'imaginais. Je me suis dit, déjà, alors "tu trouveras de travail à faire, avec quoi t'occuper!"
Je n'ai pas arrêté depuis.
C'est vrai, que je passe, mais c'était ainsi tout ma vie, pas mal des heures à lire. Rêver. Ecrire. Mais d'une façon ou l'autre, j'ai toujours trouvé, depuis alors que faire. Oui, je n'avais que 60 ans et en fait, j'ai arrêté le travail "régulier, dehors, pour argent" et j'étais plus "perdue" sur le moment que je voulais admettre à moi même et même l'écrire dans mon journal.
Que faire?
D'un coup, je me suis retrouvée avec tant de temps devant moi!
Même avec mon mari, le ménage dont je me suis un peu plus occupé (pas trop), etc. je me suis retrouvée avec des heures en plus à ma disposition. Je m'en souviens si bien!
Assise dans mon lit, avec mon premier Macintosh portable, le petit, léger, tapotant sur le clavier, le dos calé avec un oreiller. Revoir ma vie avant de sauter. Ce n'était pas la première fois. Mais c'était la première fois que j'ai décidé à traduire mes journaux en français.
Au début, c'était pour mes enfants, ne parlant, ne lisant pas la langue hongroise. Puis, je me suis rendu compte que le texte pourrait intéresser d'autres. Et puis, les enfants, finalement, n'avaient pas envie de les lire, mais mes amies, des nouveau gens dont je faisais connaissance, oui. Et maintenant, j'ai presque 50% de ceux venant lire ce blog, de ma vie et ce qui est autour, jour à jour, qui vont lire entrée par entrée ce qui c'était passé jadis.
J'ai l'impression, que je n'ai pas travailler pour rien.
En plus, au fur et à mesure, je me suis rendu compte de mes lacunes, non seulement (mais aussi) en langue français, mais en général, dans l'art de l'écriture. Je me suis mise à les combler. Ecrire davantage. On dit que c'est aussi un muscle qu'il faut entrainer!
Je ne savais pas ce qui sera, arrivera, ce que je ferais les années qui me restaient. J'espérais, je rêvais, j'imaginais. Je me suis dit, déjà, alors "tu trouveras de travail à faire, avec quoi t'occuper!"
Je n'ai pas arrêté depuis.
C'est vrai, que je passe, mais c'était ainsi tout ma vie, pas mal des heures à lire. Rêver. Ecrire. Mais d'une façon ou l'autre, j'ai toujours trouvé, depuis alors que faire. Oui, je n'avais que 60 ans et en fait, j'ai arrêté le travail "régulier, dehors, pour argent" et j'étais plus "perdue" sur le moment que je voulais admettre à moi même et même l'écrire dans mon journal.
Que faire?
D'un coup, je me suis retrouvée avec tant de temps devant moi!
Même avec mon mari, le ménage dont je me suis un peu plus occupé (pas trop), etc. je me suis retrouvée avec des heures en plus à ma disposition. Je m'en souviens si bien!
Assise dans mon lit, avec mon premier Macintosh portable, le petit, léger, tapotant sur le clavier, le dos calé avec un oreiller. Revoir ma vie avant de sauter. Ce n'était pas la première fois. Mais c'était la première fois que j'ai décidé à traduire mes journaux en français.
Au début, c'était pour mes enfants, ne parlant, ne lisant pas la langue hongroise. Puis, je me suis rendu compte que le texte pourrait intéresser d'autres. Et puis, les enfants, finalement, n'avaient pas envie de les lire, mais mes amies, des nouveau gens dont je faisais connaissance, oui. Et maintenant, j'ai presque 50% de ceux venant lire ce blog, de ma vie et ce qui est autour, jour à jour, qui vont lire entrée par entrée ce qui c'était passé jadis.
J'ai l'impression, que je n'ai pas travailler pour rien.
En plus, au fur et à mesure, je me suis rendu compte de mes lacunes, non seulement (mais aussi) en langue français, mais en général, dans l'art de l'écriture. Je me suis mise à les combler. Ecrire davantage. On dit que c'est aussi un muscle qu'il faut entrainer!
mardi 19 décembre 2006
Je ne peux pas me taire
Ni me taire, ni ne pas réagir.
C'est la fête, la période de joies, mais tous ne se sent pas en fête. Comme cette jeune femme, une de mes liens dont je lis chaque jour les écrits, bousculé au milieu de la nuit, se réveillant avec un main sur sa personne.
Après une discussion collégiale prolongé trop tard, elle a offerte, naïvement et amicalement une des chambres vides à dormir à ce con. Ne sachant pas qu'il ne saurait comprendre, quand elle a dit et redit "NON !"
Ne sachant pas où aller, comment échapper. Comment lui faire comprendre, encore et encore: NON, je ne veux pas, laisse-moi en paix.
Devoir lui dire qu'il est marié, heureux papa d'un bébé, qu'il n'est qu'un copain pour elle. Enfin, faut-il de motif? Il ne faut pas de motif "valabe"! Quand c'est non, c'est non. Et c'est tout. L'autre n'a pas le droit d'insister, de continuer à tâter, de rendre vulnérable au milieu de la nuit, une femme seule, se sentant coincée de plus en plus et ne sachant plus comment éviter ce qu'on lui veut imposer.
Que c'est triste de se rendre compte encore que ces sales individus existent dans le monde autour de nous et des fois sous aspect des gens "sympathiques", en plus!
J'avais 25 ans de moins que maintenant, mes enfants en vacances. J'avais accueilli chez moi, un jeune homme, fils d'une cousine de mon ex, qui était de quelques année à peine plus âgé que mon fils. Je l'ai aidé, à son arrivé en France, comme je le pouvais. Nous nous entendions bien, enfin, c'est ce que je croyais. Je lui avais même prété ma chambre, mon lit, je dormais sur le divan du salon, comme d'habitude quand j'ai des invités.
Une nuit, je me suis réveillé avec frayeur: quelqu'un me touchait.
Il était en chaleurs.
J'ai dit non, mais cela n'a pas suffit. Il est reparti, puis revenu trois fois à la charge, essayant me convaincre, se penchant sur moi. C'était un grand gaillard jeune à l'époque, et j'ai eu vraiment peur: il va me forcer.
J'ai eu de la chance. En fait, relativement. Je suis restée seulement avec la peur au ventre et le sentiment horrible de ma vulnérabilité. Il n'a jamais compris pourquoi je ne le voulais pas, pourquoi j'ai dit non, pourquoi. Il a insisté, et après plus de vingt cinq ans, je tremble encore de horreur et de peur en me rappelant ces quelques minutes terribles de frayeur.
Je n'ai jamais pardonné, jamais pu oublier, ses quelques minutes "d'égarements". Pourtant, je réalise aujourd'hui, que j'ai eu de la chance. Peut-être, parce qu'il a dû se rappeler que je suis de sa famille, presque sa tante, peut-être aussi, il était plus respectueux finalement de l'autre, et qu'à la fin mon "non" est entré dans son esprit borné. Jusqu'à aujourd'hui, je ne me suis pas rendu compte de ma chance.
Oui, on peut vouloir avoir des rapports sans grand amour, oui, on peut choisir, désirer un peu de confort. Mais quand on dit, non, il faut qu'on comprend que c'est non!
Que c'est dur aussi, est-ce possible, de reconforter quelqu'un blessé, meurtri dans son âme!
C'est la fête, la période de joies, mais tous ne se sent pas en fête. Comme cette jeune femme, une de mes liens dont je lis chaque jour les écrits, bousculé au milieu de la nuit, se réveillant avec un main sur sa personne.
Après une discussion collégiale prolongé trop tard, elle a offerte, naïvement et amicalement une des chambres vides à dormir à ce con. Ne sachant pas qu'il ne saurait comprendre, quand elle a dit et redit "NON !"
Ne sachant pas où aller, comment échapper. Comment lui faire comprendre, encore et encore: NON, je ne veux pas, laisse-moi en paix.
Devoir lui dire qu'il est marié, heureux papa d'un bébé, qu'il n'est qu'un copain pour elle. Enfin, faut-il de motif? Il ne faut pas de motif "valabe"! Quand c'est non, c'est non. Et c'est tout. L'autre n'a pas le droit d'insister, de continuer à tâter, de rendre vulnérable au milieu de la nuit, une femme seule, se sentant coincée de plus en plus et ne sachant plus comment éviter ce qu'on lui veut imposer.
Que c'est triste de se rendre compte encore que ces sales individus existent dans le monde autour de nous et des fois sous aspect des gens "sympathiques", en plus!
J'avais 25 ans de moins que maintenant, mes enfants en vacances. J'avais accueilli chez moi, un jeune homme, fils d'une cousine de mon ex, qui était de quelques année à peine plus âgé que mon fils. Je l'ai aidé, à son arrivé en France, comme je le pouvais. Nous nous entendions bien, enfin, c'est ce que je croyais. Je lui avais même prété ma chambre, mon lit, je dormais sur le divan du salon, comme d'habitude quand j'ai des invités.
Une nuit, je me suis réveillé avec frayeur: quelqu'un me touchait.
Il était en chaleurs.
J'ai dit non, mais cela n'a pas suffit. Il est reparti, puis revenu trois fois à la charge, essayant me convaincre, se penchant sur moi. C'était un grand gaillard jeune à l'époque, et j'ai eu vraiment peur: il va me forcer.
J'ai eu de la chance. En fait, relativement. Je suis restée seulement avec la peur au ventre et le sentiment horrible de ma vulnérabilité. Il n'a jamais compris pourquoi je ne le voulais pas, pourquoi j'ai dit non, pourquoi. Il a insisté, et après plus de vingt cinq ans, je tremble encore de horreur et de peur en me rappelant ces quelques minutes terribles de frayeur.
Je n'ai jamais pardonné, jamais pu oublier, ses quelques minutes "d'égarements". Pourtant, je réalise aujourd'hui, que j'ai eu de la chance. Peut-être, parce qu'il a dû se rappeler que je suis de sa famille, presque sa tante, peut-être aussi, il était plus respectueux finalement de l'autre, et qu'à la fin mon "non" est entré dans son esprit borné. Jusqu'à aujourd'hui, je ne me suis pas rendu compte de ma chance.
Oui, on peut vouloir avoir des rapports sans grand amour, oui, on peut choisir, désirer un peu de confort. Mais quand on dit, non, il faut qu'on comprend que c'est non!
Que c'est dur aussi, est-ce possible, de reconforter quelqu'un blessé, meurtri dans son âme!
L'art et la joie des mouvements
Enseigner à danser, c'est déjà pas facile, mais en plus crééer des danses, imaginer les mouvements... et à la fin de tout cela, après avoir trouvé la bonne musique, les costumes adequats, montré maint fois les mouvments, changé quand c'était nécessaire, imaginé ce que cela donnera, laisser les enfants et adolescents à leur joie à s'exprimer.
Mais en plus, s'occuper à chaque âge de trouver quelque chose qui fascinera.
Sans s'arréter, finalement danser soi même aussi, pour montrer l'exemple, avec joie et humour à chaque âge.
Chapeau, le résultat des hésitations, temps de réflexion, vue à la répétions est là. Et tout cela en quelques mois seulement! Elles ont fait une magnifique travail. Je n'ai jamais réalisé, combien d'effort il faut pour faire une spectacle, créer et réaliser des numéros de danse et non seulement enseigner à danser.
Mais en plus, s'occuper à chaque âge de trouver quelque chose qui fascinera.
Sans s'arréter, finalement danser soi même aussi, pour montrer l'exemple, avec joie et humour à chaque âge.
Chapeau, le résultat des hésitations, temps de réflexion, vue à la répétions est là. Et tout cela en quelques mois seulement! Elles ont fait une magnifique travail. Je n'ai jamais réalisé, combien d'effort il faut pour faire une spectacle, créer et réaliser des numéros de danse et non seulement enseigner à danser.
lundi 18 décembre 2006
Premieres images, photorécit
Avec Photorécit 3 de Microsoft, c'est créé presque automatiquement, une fois qu'on lui montre quelles images on veut mettre, mais malgré tout, créer dure, c'est vrai. J'espère que celle-ci, combiné avec les vidéo clips, vous donne une idée de ce que j'ai vécu dimanche, début d'après-midi. Et ce n'est pas encore fini, mais pour moi, si. Au moins, pour aujourd'hui.
A demain!
Premier résultat, en vidéo
Je viens de travailler toute la journée, depuis cinq ce matin jusque maintenant, trois heures d'après-midi, voilà la premier résultat : trente clips vidéo tournées une à une, rassemblées dans une seule.
Ce n'est pas aussi facile, quand on en a beaucoup.
Moviemaker, me permettant à rester avec la resolution original, a bombé. Ceci est fait avec Premiere Elements de Adobe, qui est par loin trop sophistiqué et compliqué pour moi. Tel quel, ça marche, finalement. En attandant à faire mieux. Autre chose...
Ce n'est pas aussi facile, quand on en a beaucoup.
Moviemaker, me permettant à rester avec la resolution original, a bombé. Ceci est fait avec Premiere Elements de Adobe, qui est par loin trop sophistiqué et compliqué pour moi. Tel quel, ça marche, finalement. En attandant à faire mieux. Autre chose...
Magnifique spectacle
L'association Agora Argenteuil, a fait un spectacle magnifique et variée. A partir des enfants de cinq ou six ans, en passant par les moyens, puis les grandes filles, toutes ont dansé avec une chorégraphie sérieusement étudié et des costumes variés.
En plus, un clown, un père Noël, mais aussi un danse des mamans et un danse même un très amusant danse des papas! Puis, les profs se sont aussi produit.
De une heure et demi à six heures, je me suis bien amusée et fait presque quatre cent photos.
Bien sûr, il n'y a que quelques unes très bien, mais ensemble, elles rendent très bien l'atmosphère. Curieusement, c'est une des mes photos préférés: les mains de celui qui s'était occupé de la lumière et de la musique. Et puis, les mains du père Noël.
Mais à cause de la lumière changeant, d'intensité et de la couleurs, faire des photos des petites et plus grandes danseuses n'étaient pas si facile que cela.
Quatre heures de demi de "tournage et photos" n'est rien, comparé au travail que j'ai déjà fait et qui m'attend encore pour préparer à présenter tout cela. Non seulement trier, rectifier si besoin, mais aussi les mettre en diaporama, en faire des vidés, décider lesquelles montrer sur écran et lesquelles imprimer ou envoyer à tirer. J'aurai que faire les jours qui viennent!
En plus, un clown, un père Noël, mais aussi un danse des mamans et un danse même un très amusant danse des papas! Puis, les profs se sont aussi produit.
De une heure et demi à six heures, je me suis bien amusée et fait presque quatre cent photos.
Bien sûr, il n'y a que quelques unes très bien, mais ensemble, elles rendent très bien l'atmosphère. Curieusement, c'est une des mes photos préférés: les mains de celui qui s'était occupé de la lumière et de la musique. Et puis, les mains du père Noël.
Mais à cause de la lumière changeant, d'intensité et de la couleurs, faire des photos des petites et plus grandes danseuses n'étaient pas si facile que cela.
Quatre heures de demi de "tournage et photos" n'est rien, comparé au travail que j'ai déjà fait et qui m'attend encore pour préparer à présenter tout cela. Non seulement trier, rectifier si besoin, mais aussi les mettre en diaporama, en faire des vidés, décider lesquelles montrer sur écran et lesquelles imprimer ou envoyer à tirer. J'aurai que faire les jours qui viennent!
dimanche 17 décembre 2006
Que dire, aujourd'hui?
La fête des séniors et derrière moi, la fête avec les danses de filles et parents de la société Agora devant, il m'arrive ainsi de ne plus savoir que dire.
C'est extrêmement rare. D'habitude, j'ai trop à dire.
Ce qui est nouveau, c'est que d'un coup, grâce à ma belle fille j'ai des programmes pour noël, je vais même les accompagner dans le village où son père habite à une messe, qui n'aura pas lieu au minuit mais à huit heures de soir. Le lendemain, nous irons dans la famille de sa mère, n'habitant pas très loin de là.
Avec neige ou non, je vivrais ainsi avec eux des fêtes traditionnelles. Ensuite, j'aurai mon petit fils pour quelques jours: nous nous entendons fort bien. Journées bien remplis donc à partir de 24. Je vais essayer néanmoins à ne pas manquer un seule journée à ma "poste" même si je ne sais pas les heures quand je pourrais publier. J'aime venir et être présente, comme d'autres vont jour à jour à leur travail.
Pour moi, c'était toujours de la joie à travailler, maintenant aussi.
C'est extrêmement rare. D'habitude, j'ai trop à dire.
Ce qui est nouveau, c'est que d'un coup, grâce à ma belle fille j'ai des programmes pour noël, je vais même les accompagner dans le village où son père habite à une messe, qui n'aura pas lieu au minuit mais à huit heures de soir. Le lendemain, nous irons dans la famille de sa mère, n'habitant pas très loin de là.
Avec neige ou non, je vivrais ainsi avec eux des fêtes traditionnelles. Ensuite, j'aurai mon petit fils pour quelques jours: nous nous entendons fort bien. Journées bien remplis donc à partir de 24. Je vais essayer néanmoins à ne pas manquer un seule journée à ma "poste" même si je ne sais pas les heures quand je pourrais publier. J'aime venir et être présente, comme d'autres vont jour à jour à leur travail.
Pour moi, c'était toujours de la joie à travailler, maintenant aussi.
samedi 16 décembre 2006
Magie de matin et de soir
Le matin, pendant que j'attendais le bus, au contre jour, près de la Seine:
Le soir, en revenant, j'ai pris cette image à travers la vitre du bus qui s'était arrêté sur le pont à cause du feu rouge un peu plus loin.
Quelques images ensemble, prises le matin ou le soir du même jour
Comme à huit heures et demi, la lune était encore sur le ciel, à mon départ, jeudi, et les nuages roses encore du soleil qui tardait à apparaitre j'ai pris quelques images, émerveillée du cadeau que la nature m'offrait, en partant vers Paris.
Sans réussir à dépanner aussi bien qu'on espérait, je suis revenue néanmoins chez moi vers quatre et demi: le soleil se couchait justement. M'offrant un cadeau de nouveau, et me disant: rien n'est perdu, ta journée devient fructueuse si tu sais profiter ce que la nature t'offre.
Regarder, se délecter, tâcher prendre quelques images de la merveille vu. Revoir, partager. Te souvenir. T'en imprégner. Mieux voir.
Et peut-être, un peu mieux comprendre, et au lieu de regretter ce qui n'a pas réussi, Julie, te réjouir de ce qui est possible et à ta portée.
Le soir, en revenant, j'ai pris cette image à travers la vitre du bus qui s'était arrêté sur le pont à cause du feu rouge un peu plus loin.
Quelques images ensemble, prises le matin ou le soir du même jour
Comme à huit heures et demi, la lune était encore sur le ciel, à mon départ, jeudi, et les nuages roses encore du soleil qui tardait à apparaitre j'ai pris quelques images, émerveillée du cadeau que la nature m'offrait, en partant vers Paris.
Sans réussir à dépanner aussi bien qu'on espérait, je suis revenue néanmoins chez moi vers quatre et demi: le soleil se couchait justement. M'offrant un cadeau de nouveau, et me disant: rien n'est perdu, ta journée devient fructueuse si tu sais profiter ce que la nature t'offre.
Regarder, se délecter, tâcher prendre quelques images de la merveille vu. Revoir, partager. Te souvenir. T'en imprégner. Mieux voir.
Et peut-être, un peu mieux comprendre, et au lieu de regretter ce qui n'a pas réussi, Julie, te réjouir de ce qui est possible et à ta portée.
vendredi 15 décembre 2006
Slideshow: lumières de bd. Hausseman
On n'oublie pas qu'on est femme
Monsieur le Maire et Député de notre ville, dans son discours de bienvenu à la banquette des personnes âgées, disait que les hommes restent timides et les femmes coquettes à n'importe quel âge. Et au moins, dans la recherche des robes, coiffures, on pouvait le voir mercredi soir, qu'il avait raison. Nous étions toutes habillées, préparées, avec recherche.
D'ailleurs, femmes et hommes aussi. Ce n'était que cette dame le visage chaud mais fort âgé qui les cheuveux blondes portait une blouse un peu plus transparente, mais toutes les autres avaient fait une efforte évidente. Comme j'avais remarqué hier, même moi, pourtant ce n'était plus mon habitude. Ainsi au moins je n'étais pas différente, de ce point de vue des autres.
Est-ce que les hommes sont timides, restent timides à n'importe quel âge? En tout cas, ils le cachent bien. Hélas, il y avait moins des hommes âgés, venus dejeuner avec nous, et encore moins ayant envie de danser.
Qu'à cela ne tient!
Plusieurs entre nous, enhardies, dancèrent malgré tout. Moi, c'était le Tsatsatsa et le Qui sera, sera, les autres avec leurs copines. Hélas, j'avais bu un peu plus que d'habitude, ce qui n'est pas beaucoup d'ailleurs, mais cela suffit de tourner vite ma tête. J'ai dû arrêter valser rapidement.
Mais dans mon âme, je continue à tournoyer comme dans les rêves de jeunesse, à l'instar de la princesse et prince qui ont dansé pour nous, sinon à notre place. Rêver d'un main d'homme tenant chaleureusement le dos. Pas mal des couples les ont suivie d'ailleurs ensuite.
Oui, on reste jeunes dans l'âme, le coeur, longtemps après que les genoux lâchent, le peau change, le dos commence à se courber. Et tant qu'on reste jeune dedans... Il y a de la vie après soixante-dix ans.
Quelquefois, les images parlent davantage que les mots et phrases.
et puis
D'ailleurs, femmes et hommes aussi. Ce n'était que cette dame le visage chaud mais fort âgé qui les cheuveux blondes portait une blouse un peu plus transparente, mais toutes les autres avaient fait une efforte évidente. Comme j'avais remarqué hier, même moi, pourtant ce n'était plus mon habitude. Ainsi au moins je n'étais pas différente, de ce point de vue des autres.
Est-ce que les hommes sont timides, restent timides à n'importe quel âge? En tout cas, ils le cachent bien. Hélas, il y avait moins des hommes âgés, venus dejeuner avec nous, et encore moins ayant envie de danser.
Qu'à cela ne tient!
Plusieurs entre nous, enhardies, dancèrent malgré tout. Moi, c'était le Tsatsatsa et le Qui sera, sera, les autres avec leurs copines. Hélas, j'avais bu un peu plus que d'habitude, ce qui n'est pas beaucoup d'ailleurs, mais cela suffit de tourner vite ma tête. J'ai dû arrêter valser rapidement.
Mais dans mon âme, je continue à tournoyer comme dans les rêves de jeunesse, à l'instar de la princesse et prince qui ont dansé pour nous, sinon à notre place. Rêver d'un main d'homme tenant chaleureusement le dos. Pas mal des couples les ont suivie d'ailleurs ensuite.
Oui, on reste jeunes dans l'âme, le coeur, longtemps après que les genoux lâchent, le peau change, le dos commence à se courber. Et tant qu'on reste jeune dedans... Il y a de la vie après soixante-dix ans.
Quelquefois, les images parlent davantage que les mots et phrases.
et puis
jeudi 14 décembre 2006
Banquêt des Aînés
Belle organisation, si bien réfléchie par tant des gens y travaillant dans les coulisse la plupart. J'étais hier entre midi et cinq heures, à la fête de fin d'année pour les seniors (une des cinq) organisé dans notre ville année, par année.
C'est la troisième année que je participais, comme "plus de 70 ans": cent cinquantes entre les environ sept mille personnes âgés de la ville ont participés, tous habillés et préparés pour fête. Même moi! J'ai trouvé une jupe noir et une chemise festive acheté en Ecosse et porté pour la première fois, ainsi qu'un gilet noir et je me sentais "dans le ton" avec les autres.
Pour une fois, j'étais entre les plus jeunes.
Je n'avais 'que 72 ans' et des poussières!
Relativement à elle, par exemple, je me sentais "jeune". Quelqu'un avait d'ailleurs dit, on le sent tant que l'esprit reste jeune. Presque tous, hier midi et après-midi, ont manifesté leur esprit jeune, ou se préparant, s'habillant, se coiffant, ou plus tard, en dansant au milieu des tables.
En plus du repas, bon et léger, et des nombreux boissons comme il se devait en France avec l'appéritif, vin blanc, vin rouge, et champagne à la fin, dont j'eu l'impression que personne n'a abusé mais les plupart ont goûté, nous avons eu le droit à deux spectacles différents.
Les gossses de maternelle, et un couple de danseur des émissions television. Mais ce qui m'a impressionée le plus était ce jeune danseur, qui est resté ensuite danser avec les femmes âgés et qui le faisait de si bon grâce, pas comme une tâche ou un travail, mais comme si c'était une plaisir. Un jeune homme bien sympa, et plein de vrai humanité aussi.
Là, c'était le premier valse après son spectacle, ensuite ils sont revenus en "civil" mais continué à inviter des monsieurs et les dames qui voulait danser avec eux.
Beaucoup plus des personnes sur les pistes que l'année dernière, d'ailleurs, tant des couples, que, quand ce n'était plus possible, des copines. Pour quelques heures, nous avons rêvé, probablement. L'âme jeune.
Et pleine des gens sympa, mes voisins aussi. Le monsieur près de moi, avec sa femme ravissante encore, nous a raconté une histoire terrible, de ses trois années au camp de travail en Allemagne pendant la guerre.
Il avait réussi à se cacher trois mois, mais ensuite il a été rattrappé. Il avait 22 ans. En écoutant les détails terribles, je me suis rendu compte que j'avais eu beaucoup de chance, finalement.
Avant de partir, une heure plus tôt, comme six heures me paraissaient trop longues, je rencontre pour quelques seconds ce monsieur qui me dit: oui, prenez-moi, j'aime faire des blagues, raconter des histoires drôles.
Tant des gens rencontrés, tant des photos faites malgré la lumière qui n'était pas suffisant, dommage que tout n'était que fugitive, entre tous les femmes et hommes, je n'ai pas réussi à connecter assez avec personne pour les revoir et communiquer, comme je communique avec vous. Merci, d'être là au rendez-vous, de jour en jour!
C'est la troisième année que je participais, comme "plus de 70 ans": cent cinquantes entre les environ sept mille personnes âgés de la ville ont participés, tous habillés et préparés pour fête. Même moi! J'ai trouvé une jupe noir et une chemise festive acheté en Ecosse et porté pour la première fois, ainsi qu'un gilet noir et je me sentais "dans le ton" avec les autres.
Pour une fois, j'étais entre les plus jeunes.
Je n'avais 'que 72 ans' et des poussières!
Relativement à elle, par exemple, je me sentais "jeune". Quelqu'un avait d'ailleurs dit, on le sent tant que l'esprit reste jeune. Presque tous, hier midi et après-midi, ont manifesté leur esprit jeune, ou se préparant, s'habillant, se coiffant, ou plus tard, en dansant au milieu des tables.
En plus du repas, bon et léger, et des nombreux boissons comme il se devait en France avec l'appéritif, vin blanc, vin rouge, et champagne à la fin, dont j'eu l'impression que personne n'a abusé mais les plupart ont goûté, nous avons eu le droit à deux spectacles différents.
Les gossses de maternelle, et un couple de danseur des émissions television. Mais ce qui m'a impressionée le plus était ce jeune danseur, qui est resté ensuite danser avec les femmes âgés et qui le faisait de si bon grâce, pas comme une tâche ou un travail, mais comme si c'était une plaisir. Un jeune homme bien sympa, et plein de vrai humanité aussi.
Là, c'était le premier valse après son spectacle, ensuite ils sont revenus en "civil" mais continué à inviter des monsieurs et les dames qui voulait danser avec eux.
Beaucoup plus des personnes sur les pistes que l'année dernière, d'ailleurs, tant des couples, que, quand ce n'était plus possible, des copines. Pour quelques heures, nous avons rêvé, probablement. L'âme jeune.
Et pleine des gens sympa, mes voisins aussi. Le monsieur près de moi, avec sa femme ravissante encore, nous a raconté une histoire terrible, de ses trois années au camp de travail en Allemagne pendant la guerre.
Il avait réussi à se cacher trois mois, mais ensuite il a été rattrappé. Il avait 22 ans. En écoutant les détails terribles, je me suis rendu compte que j'avais eu beaucoup de chance, finalement.
Avant de partir, une heure plus tôt, comme six heures me paraissaient trop longues, je rencontre pour quelques seconds ce monsieur qui me dit: oui, prenez-moi, j'aime faire des blagues, raconter des histoires drôles.
Tant des gens rencontrés, tant des photos faites malgré la lumière qui n'était pas suffisant, dommage que tout n'était que fugitive, entre tous les femmes et hommes, je n'ai pas réussi à connecter assez avec personne pour les revoir et communiquer, comme je communique avec vous. Merci, d'être là au rendez-vous, de jour en jour!
mercredi 13 décembre 2006
Pourquoi?
Il y a tellement des curiosités dans la vie, non seulement celles mentionées dans le récit de Gelzy! Et ce n'est parce qu'on n'a plus trois ans, quand les gosses font pleuvoir des "pourquoi" en série, qu'on ne se demande plus, même après 72 ans: pourquoi?
Vous voyez ce petit chien?
Je l'avais appercu à la Défense, au milieu du tapis rouge mise entre les petites maisons montées pour les ventes de noël. Personne autour, il paraissait perdu. Snap! Mais, vais-je l'avouer? comme je n'adore pas les petits chiens (depuis un incident d'enfance) j'ai préféré montrer mes images avec les gens, les gens qui m'attirent et me passionnent.
Leurs expressions, leurs visages, leur tristesse ou joie de vivre. Parler avec eux, communiquer, passer quelques minutes ensemble et s'en souvenir à travers leurs photos.
Pour ne pas laisser les jeunes filles dansant au première plan, j'ai ajouté deux autres photos sur le tas de ma site flickr. Tout au-dessus ce petit chien.
Ce n'était que hier, et à mon étonnement, déjà 15 commentaires enchantés et 8 qui l'ont mis entre leurs favorits. Et moi, qui avait même hésité à le montrer.
Pourquoi?
Pourquoi cette photo attire tant d'attention alors que la magnifique sourire d'une jeune vendeuse en berêt rouge, ou le couple basque, que j'ai adoré et pensais une photo fort réussi, tout comme l'homme plus âgé, sérieux et dont le caractère sort de photos que j'avais pris, n'ont pas attiré presque aucun intérêt.
Pourquoi?
Peut-être, parce que chacun de nous est si différent, et chacun de nous est intéressé et aime autre chose?
Vous voyez ce petit chien?
Je l'avais appercu à la Défense, au milieu du tapis rouge mise entre les petites maisons montées pour les ventes de noël. Personne autour, il paraissait perdu. Snap! Mais, vais-je l'avouer? comme je n'adore pas les petits chiens (depuis un incident d'enfance) j'ai préféré montrer mes images avec les gens, les gens qui m'attirent et me passionnent.
Leurs expressions, leurs visages, leur tristesse ou joie de vivre. Parler avec eux, communiquer, passer quelques minutes ensemble et s'en souvenir à travers leurs photos.
Pour ne pas laisser les jeunes filles dansant au première plan, j'ai ajouté deux autres photos sur le tas de ma site flickr. Tout au-dessus ce petit chien.
Ce n'était que hier, et à mon étonnement, déjà 15 commentaires enchantés et 8 qui l'ont mis entre leurs favorits. Et moi, qui avait même hésité à le montrer.
Pourquoi?
Pourquoi cette photo attire tant d'attention alors que la magnifique sourire d'une jeune vendeuse en berêt rouge, ou le couple basque, que j'ai adoré et pensais une photo fort réussi, tout comme l'homme plus âgé, sérieux et dont le caractère sort de photos que j'avais pris, n'ont pas attiré presque aucun intérêt.
Pourquoi?
Peut-être, parce que chacun de nous est si différent, et chacun de nous est intéressé et aime autre chose?
mardi 12 décembre 2006
Avis aux amateurs
Assurez-vous une adresse, désirée, sur le nouveau beta Blogger. Maintenant, sans attendre. J'ai réussi ainsi de trouver l'adresse:
http://journalntime.blogspot.com/
Aie: c'est maintenant que je me rends compte, en copiant l'adresse ici, pourquoi j'ai réussi sans problèmes! journal intime était seulement dans mes yeux d'esprit, sur noir blanc il manquait un "i" que je n'ai pas observé! en réalité c'est à l'adresse "journalntime" puisque j'ai confondu dans mon hâte "l" et grand "I" que je croyais y avoir mise.
Enfin, je présume que c'est trop tard pour le changer... ainsi va la vie, quand on croit avoir réussi et se sent flotter sur les nuages, pour quelques instantes, pourquoi ceci ne peut durer davantage?
En tout cas, j'ai constaté ce matin la facilité de présentation de beta blogger pour montrer dans ordre divers ce qu'on vient d'écrire. Même si le dernière texte apparait en haut, (mais je pourrais mettre à la place une table de matières), j'ai pu dire simplement, que dans les "archives" rebaptisés Table de matières, je veux mettre les premières message en tête. En plus, en précisant qu'on ne montre qu'une message à la fois, cela permet à lire "en ordre", même si sur le blog ils sont les unes sur l'autre en ordre inverse. Et aussi, voir d'un coup tout qui appartient à une catégorie, chapitre, journal, en y mettant des mots clés. Ainsi tout "journal 1" va être montré ou affiché séparément, sans que je dois y travailler davantage.
On apprend à tout âge... si on persévère.
http://journalntime.blogspot.com/
Aie: c'est maintenant que je me rends compte, en copiant l'adresse ici, pourquoi j'ai réussi sans problèmes! journal intime était seulement dans mes yeux d'esprit, sur noir blanc il manquait un "i" que je n'ai pas observé! en réalité c'est à l'adresse "journalntime" puisque j'ai confondu dans mon hâte "l" et grand "I" que je croyais y avoir mise.
Enfin, je présume que c'est trop tard pour le changer... ainsi va la vie, quand on croit avoir réussi et se sent flotter sur les nuages, pour quelques instantes, pourquoi ceci ne peut durer davantage?
En tout cas, j'ai constaté ce matin la facilité de présentation de beta blogger pour montrer dans ordre divers ce qu'on vient d'écrire. Même si le dernière texte apparait en haut, (mais je pourrais mettre à la place une table de matières), j'ai pu dire simplement, que dans les "archives" rebaptisés Table de matières, je veux mettre les premières message en tête. En plus, en précisant qu'on ne montre qu'une message à la fois, cela permet à lire "en ordre", même si sur le blog ils sont les unes sur l'autre en ordre inverse. Et aussi, voir d'un coup tout qui appartient à une catégorie, chapitre, journal, en y mettant des mots clés. Ainsi tout "journal 1" va être montré ou affiché séparément, sans que je dois y travailler davantage.
On apprend à tout âge... si on persévère.
lundi 11 décembre 2006
C'était trop tard
Quelquefois, on n'a pas de courage de foncer, aller, faire. Et le lendemain, il peut être trop tard.
Ce qui vient de m'arriver.
Hier pourtant, j'avais avec moi les photos tirés pour les présenter aux marchands venus des divers coins de la France, mais en me sentant petit dans mes souliers, je me suis dit: "trop de monde, des clients dimanche, j'irai demain" - ne sachant pas que demain is sera trop tard.
Arrivant sur la rue centrale, je vois les cabanes en train d'être démontés. Toutes. Ah oui, on me dit, ce n'était que pour quatre jours, ils sont loin déjà, dans une autre ville. Je n'arrivais pas à y croire encore, mais j'étais trop tard. Je suis restée avec les photos "est-ce vraiment vous qui l'avez fait?" me demandait l'homme qui démontait, avec un ton curieux dans sa voix. Ce n'est pas grave. Mais dommage que je n'ai pas pu leur apporter de la joie, puis à moi le sourire de leur plaisir.
C'était trop tard.
Ne sont plus là, hélas, les gens non plus.
Heuresement, tout n'est pas trop tard dans la vie, et en retard, je suis allée demander à participer a une des fêtes des troisième âge dans notre ville organisé par la Mairie. Même étant en retard, je viens de recevoir une invitation pour mercredi midi. De midi, la fête va durer jusqu'à six heures!
- Mais vous pouvez partir avant si vous le désirez, me dit-on. Et n'oubliez pas de prendre l'invitation avec vous.
J'avais hésité à y aller, de peur de me sentir solitaire, tous les autres se connaissant les uns les autres. Mais en prenant mon appareil, je vais faire ce que je peux, et au lieu de me sentir seule, me dire que je créé des souvenirs. Pour moi, pour eux. Pour vous.
Mieux vaut tard, des fois que jamais, n'est pas?
Je me suis sentie très seule, là il y a un an, mais j'ai emporté avec moi, malgré tout des souvenirs. Comme celles-ci, par exemple.
De l'année dernière...
Ce qui vient de m'arriver.
Hier pourtant, j'avais avec moi les photos tirés pour les présenter aux marchands venus des divers coins de la France, mais en me sentant petit dans mes souliers, je me suis dit: "trop de monde, des clients dimanche, j'irai demain" - ne sachant pas que demain is sera trop tard.
Arrivant sur la rue centrale, je vois les cabanes en train d'être démontés. Toutes. Ah oui, on me dit, ce n'était que pour quatre jours, ils sont loin déjà, dans une autre ville. Je n'arrivais pas à y croire encore, mais j'étais trop tard. Je suis restée avec les photos "est-ce vraiment vous qui l'avez fait?" me demandait l'homme qui démontait, avec un ton curieux dans sa voix. Ce n'est pas grave. Mais dommage que je n'ai pas pu leur apporter de la joie, puis à moi le sourire de leur plaisir.
C'était trop tard.
Ne sont plus là, hélas, les gens non plus.
Heuresement, tout n'est pas trop tard dans la vie, et en retard, je suis allée demander à participer a une des fêtes des troisième âge dans notre ville organisé par la Mairie. Même étant en retard, je viens de recevoir une invitation pour mercredi midi. De midi, la fête va durer jusqu'à six heures!
- Mais vous pouvez partir avant si vous le désirez, me dit-on. Et n'oubliez pas de prendre l'invitation avec vous.
J'avais hésité à y aller, de peur de me sentir solitaire, tous les autres se connaissant les uns les autres. Mais en prenant mon appareil, je vais faire ce que je peux, et au lieu de me sentir seule, me dire que je créé des souvenirs. Pour moi, pour eux. Pour vous.
Mieux vaut tard, des fois que jamais, n'est pas?
Je me suis sentie très seule, là il y a un an, mais j'ai emporté avec moi, malgré tout des souvenirs. Comme celles-ci, par exemple.
De l'année dernière...
Une voix magique, trois minutes d'enchantement
Courez, allez lire, non, écouter Gelzy. Non pas chanter, cette fois-ci Peut-on dire mieux? Difficilement. Mais quand elle commence à raconter... il faut l'entendre pour jamais l'oublier. Quelle délice! Non seulement ce qu'elle dit, mais comment elle le dit.
Une parmis les autres
Une nouvelle semaine commence.
Mes petits enfants doivent s'habituer à des nouveaux lits, une autre arangement de leur chambre. Mon fils, terminer pleines des choses qui lui tombent sur la tête, avant la fin d'année. Ma belle-fille, ranger tout qu'ils ont sortis de la chambre des enfants, en plus de son travail quotidien dehors et dedans.
Et moi?
Que vais-je faire cette semaine?
D'abord, donner les photos que j'ai imprimé aux vendeurs de la rue principal, et montrer quelques images à travers le web, de ces danseuses se préparant pour le spéctacle de noël.
Que des choses ne peut-on faire avec quelques images! Ici, c'était une exemple. Découper une parmis quatorze autres qui dansent, et ensuite, utiliser Picassa pour ne laisser de couleur que sur son visage. J'ai l'impression que cela donne quelque chose assez intéressant et concentrant l'attention.
Cette nuit, il n'est que quatre heures, j'ai l'impression que tout va mal de nouveau: quelquefois, un rien me déprime. Heureusement, cela ne dure pas longtemps. Mais hier, il m'est arrivée une chose affreuse: je n'avais plus envie de faire des photos!
J'ai tellement besoin d'avoir de la passion, quelque chose qui me pousse, me préoccupe, prend mon temps, et surtout me donn un but! Avoir l'impression que je peut encore servir à quelque chose, moi, mais surtout ce que je fais.
Mes petits enfants doivent s'habituer à des nouveaux lits, une autre arangement de leur chambre. Mon fils, terminer pleines des choses qui lui tombent sur la tête, avant la fin d'année. Ma belle-fille, ranger tout qu'ils ont sortis de la chambre des enfants, en plus de son travail quotidien dehors et dedans.
Et moi?
Que vais-je faire cette semaine?
D'abord, donner les photos que j'ai imprimé aux vendeurs de la rue principal, et montrer quelques images à travers le web, de ces danseuses se préparant pour le spéctacle de noël.
Que des choses ne peut-on faire avec quelques images! Ici, c'était une exemple. Découper une parmis quatorze autres qui dansent, et ensuite, utiliser Picassa pour ne laisser de couleur que sur son visage. J'ai l'impression que cela donne quelque chose assez intéressant et concentrant l'attention.
Cette nuit, il n'est que quatre heures, j'ai l'impression que tout va mal de nouveau: quelquefois, un rien me déprime. Heureusement, cela ne dure pas longtemps. Mais hier, il m'est arrivée une chose affreuse: je n'avais plus envie de faire des photos!
J'ai tellement besoin d'avoir de la passion, quelque chose qui me pousse, me préoccupe, prend mon temps, et surtout me donn un but! Avoir l'impression que je peut encore servir à quelque chose, moi, mais surtout ce que je fais.
dimanche 10 décembre 2006
Réutiliser, différement
Sur le même événement, on peut "parler", le montrer de tellement des façons différentes. Je me demande, lequel est le plus "parlant"?
Un bout de danse
Vidéo envoyée par julie70
14 seconds de vidéo des gosses dansant pendant la répétition ou trois minutes des images "animées" automatiquement par "photo récit" de microsoft, lequel donne davantage des informations sur ce qu'on a vu?
j'avais combiné dans une autre, mais j'ai perdu cette version et pour le moment je n'ai pas le courage à le reconstituer, cela m'avait pris pas mal de temps à créer et surtout, enregistrer ensuite.
Ou alors, donner juste quelques images, séparés?
en groupe?
centré sur une seule?
Un bout de danse
Vidéo envoyée par julie70
14 seconds de vidéo des gosses dansant pendant la répétition ou trois minutes des images "animées" automatiquement par "photo récit" de microsoft, lequel donne davantage des informations sur ce qu'on a vu?
j'avais combiné dans une autre, mais j'ai perdu cette version et pour le moment je n'ai pas le courage à le reconstituer, cela m'avait pris pas mal de temps à créer et surtout, enregistrer ensuite.
Ou alors, donner juste quelques images, séparés?
en groupe?
centré sur une seule?
samedi 9 décembre 2006
Chocolats pour Noël
Bon appétit, pour la fin de l'année même les chocolats ont pris l'allure des sapins.
Et sur la rue centrale, pleine des bonnes produits venus de divers régions de la France.
Aujourd'hui, je suis retournée à l'Association Agora, fait quelques photos des filles pendant la répétition pour les danses modernes, spectacles qu'elles tiendront le 17 décembre.
Je suis la photographe atitré pour l'événement, aie! Je n'ai jamais fais des images (bonnes) pendant un spectacle: ce n'est pas facile, déjà à cause de la lumière. Mais en plus, comme elles vont bouger et danser tout le temps!
Qui peut me donner quelques conseils ou même, un coup de main?
Et sur la rue centrale, pleine des bonnes produits venus de divers régions de la France.
Aujourd'hui, je suis retournée à l'Association Agora, fait quelques photos des filles pendant la répétition pour les danses modernes, spectacles qu'elles tiendront le 17 décembre.
Je suis la photographe atitré pour l'événement, aie! Je n'ai jamais fais des images (bonnes) pendant un spectacle: ce n'est pas facile, déjà à cause de la lumière. Mais en plus, comme elles vont bouger et danser tout le temps!
Qui peut me donner quelques conseils ou même, un coup de main?
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