J'habite un complexe des appartements, et pour rien au monde je ne voudrais pas habiter une maison. Seule? Couper de l'herbe? M'occuper de chauffage?
Une fois dans ma vie, j'ai loué une maison à côté de Washington. Que de problèmes dans la seule année. "Jamais plus!" je me suis dis.
Bien, c'est vrai qu'à Argenteuil, j'ai habité de nouveau pendant sept ans un petit maison, à part, au fond du jardin, mais c'était seulement deux pièces en fait. Et oui, j'ai assez négligée au moins la plupart de temps, le jardin. Oui, j'ai eu aussi problèmes avec l'eau qui coulait du toit. Oui, oublions.
Mais l'eau qui coulait dans le salon est inoubliable, c'était tout au début que j'ai ouverte ce blog. D'un coup, plusieurs commentaires, me donnant courage, me faisant sentir, même de loin, que je n'étais pas seule.
L'appartement que j'habite au deuxième sans ascenseurs - pas de problème sauf quand j'ai des courses à monter - est lumineux. Tranquille. J'adore!
C'est aussi à 5 minutes d'un coin avec pleines des bus. Pas de métro ou train près, il faut y aller avec un des bus dans la direction souhaitée.
C'est aussi à quelques pas seulement du près "Heath" séparant cette partie de la petite ville (tout en étant partie de la Grande Londres) de l'autre partie. C'est en hauteurs de Greenwich, une pleine couverte de l'herbe l'où on vient avec des cerf volants. Au beau temps, au loin, près de la gare et église, des gens couchés sur l'herbe.
De mon côté, un banc, pas tellement des gens. De l'herbe à la perte de vue, presque. Dans le vent, l'été, l'herbe bouge, ondule, est vivant.
Quelques fois par an, c'est d'ici que les marathons partent, on installe des cabines pour un ou deux jours. Comme il y a de la place, souvent aussi les feux d'artifices partent pas très loin d'ici, mais en fait, surtout de l'autre côté de près aussi.
Je devrais sortir plus souvent en profiter. De temps en temps, je descends du bus plus tôt qu'au centre et je passe par un petit chemin le près jusque de chez moi.
Un petit boite postale caché se trouve au bout de ma rue. Je n'y a pas déposé des lettres que rarement. Avant hier, je me suis apperçue que c'est presque tout caché par la végétation. C'est près d'un autre petit chemin, passant entre jardins, débouchant dans une autre rue.
Horrible souvenirs: un jour, des jeunes ont battu puis inconscient mis un autre jeune dans une voiture et ont allumé le feux. Pendant longtemps, ce chemin était fermée pour "instructions". Sinon, c'est un petit chemin tranquille ou presque personne ne passe.
Et ensuite, je me rends compte que la lampadaire est encore allumée: c'est presque midi.
Autre que les joggeurs et l'homme qui ramasse des detritus dans le prés, je n'ai rencontré personne d'autres le jour des photos des coquelicots.
(Ces photos ont été prise sur ma route de retour).
L'herbe qui bouge dans le vent, oui, c'est merveilleux - et je ne dois pas aller loin pour l'admirer.
Il a plu deux jours, ce matin le soleil est revenu, je sortirai de nouveau.
Une fois dans ma vie, j'ai loué une maison à côté de Washington. Que de problèmes dans la seule année. "Jamais plus!" je me suis dis.
Bien, c'est vrai qu'à Argenteuil, j'ai habité de nouveau pendant sept ans un petit maison, à part, au fond du jardin, mais c'était seulement deux pièces en fait. Et oui, j'ai assez négligée au moins la plupart de temps, le jardin. Oui, j'ai eu aussi problèmes avec l'eau qui coulait du toit. Oui, oublions.
Mais l'eau qui coulait dans le salon est inoubliable, c'était tout au début que j'ai ouverte ce blog. D'un coup, plusieurs commentaires, me donnant courage, me faisant sentir, même de loin, que je n'étais pas seule.
L'appartement que j'habite au deuxième sans ascenseurs - pas de problème sauf quand j'ai des courses à monter - est lumineux. Tranquille. J'adore!
C'est aussi à 5 minutes d'un coin avec pleines des bus. Pas de métro ou train près, il faut y aller avec un des bus dans la direction souhaitée.
C'est aussi à quelques pas seulement du près "Heath" séparant cette partie de la petite ville (tout en étant partie de la Grande Londres) de l'autre partie. C'est en hauteurs de Greenwich, une pleine couverte de l'herbe l'où on vient avec des cerf volants. Au beau temps, au loin, près de la gare et église, des gens couchés sur l'herbe.
De mon côté, un banc, pas tellement des gens. De l'herbe à la perte de vue, presque. Dans le vent, l'été, l'herbe bouge, ondule, est vivant.
Quelques fois par an, c'est d'ici que les marathons partent, on installe des cabines pour un ou deux jours. Comme il y a de la place, souvent aussi les feux d'artifices partent pas très loin d'ici, mais en fait, surtout de l'autre côté de près aussi.
Je devrais sortir plus souvent en profiter. De temps en temps, je descends du bus plus tôt qu'au centre et je passe par un petit chemin le près jusque de chez moi.
Un petit boite postale caché se trouve au bout de ma rue. Je n'y a pas déposé des lettres que rarement. Avant hier, je me suis apperçue que c'est presque tout caché par la végétation. C'est près d'un autre petit chemin, passant entre jardins, débouchant dans une autre rue.
Horrible souvenirs: un jour, des jeunes ont battu puis inconscient mis un autre jeune dans une voiture et ont allumé le feux. Pendant longtemps, ce chemin était fermée pour "instructions". Sinon, c'est un petit chemin tranquille ou presque personne ne passe.
Et ensuite, je me rends compte que la lampadaire est encore allumée: c'est presque midi.
Autre que les joggeurs et l'homme qui ramasse des detritus dans le prés, je n'ai rencontré personne d'autres le jour des photos des coquelicots.
(Ces photos ont été prise sur ma route de retour).
L'herbe qui bouge dans le vent, oui, c'est merveilleux - et je ne dois pas aller loin pour l'admirer.
Il a plu deux jours, ce matin le soleil est revenu, je sortirai de nouveau.
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