J'ai de nouveau des lunettes!

Pas seulement une paire mais deux! Des lunettes pour lire et aussi des lunettes pour l'ordinateur (qui d'habitude est plus loin).

Je n'arrive pas à y croire, quelle différence avoir des lunettes après tous ces mois fait. Non seulement je peut voir des toutes petites lettres d'un livre, mais je ne dois pas agrandir le contenu d'un email ou blog non plus.

A partir d'aujourd'hui, je peux de nouveau lire des livres et pas seulement de contenu Kindle.

L'été dernière, j'avais acheté des livres à étudier et je n'ai pas pu terminer même pas les lire. A partir de maintenant, de nouveau une autre vie!

Oui, j'ai dû attendre, des longs mois, oui, j'ai dû utiliser le moins possible mes yeux et cela m'a manqué pas mal, oui, j'ai trouvé des remplacements et comment faire, mais dès aujourd'hui...

Ces lunettes sur la photo sont anciennes, photo datant de six ans. Le visage aussi. Je suis plus heureuse ces jours-ci, en tout cas plus souriant! Mais les lunettes sont presque les mêmes. A l'époque je ne savais pas quelle chance j'avais de pouvoir lire sans problème.

Sortie d'école Argenteuil, 2007

Aujourd'hui, j'ai suivie un lien pour voir qui a utilisé une photo de 'sortie d'école" - ci dessus quelques unes rassemblées dans un album. Un blog journalistique français! Ils ont mis la source mais sans lier, comme je demande, à ma photographie, pourtant ce n'est pas difficile!

Mais avec cette occasion, des photos chéries sont ressorties de nouveau de presque 50 000 que j'ai sur ma site flickr. Et j'aime bien celle qu'ils ont utilisée, même si cela aurait été mieux s'ils me demande la permission, ou au moins, font un lien vers ma site. Au moins, ils ont mis la titre et l'auteur (mon nom)!

De quoi je me plains encore?!

Avec mes petits enfants

Ce soir, j'etais - et je suis encore, avec mes petits enfants. Sur cette ordinateur, un Mac portable blanche, pas de clavier française.

Je ne les avais pas vu depuis quelques semaines, Qu'ils grandissent vite, tous les deux!

Aujourd'hui, c'est la dernière journée avec les vacances des Pâques, Pas des leçons, donc hier soir. Chacun a pu se reposer après l'école, a sa façon. Elle, avec cette ordinateur, lui avec un livre puis télévision. Moi, j'avais apporte mon petit Kindle.

Oui, nous avons été aussi ensemble et ma grande petite fille, 13 ans bientôt, a préparée les pattes, chauffe la ratatouille, mon petit fils a apporte le dessert et offert des fruits. Tous les deux m'ont longuement embrassée, ils savent comment je me régale avec eux tout près de moi.

Ce matin, ma belle fille viendra faire des courses avec moi.

Je suis gâtée!

On apprend toujours

Chaque fois je vais dans un club comique, j'apprends quelque chose.

Hier, je suis allée Ouest de Londres, bus, train train, bus. Clapham Jonction. Mais les deux trains ont été rapides et courtes. Nous étions presque seulement ceux qui était au programme, pas beaucoup. Fauteuils bien commodes.

Malgré que j'étais passé le 4e de 15, je suis restée jusqu'à la fin.

Soudain, on m'a donné plus de temps que j'espérais! Je me plains à chaque fois que 5 minutes n'est plus assez, j'ai appris que 7 est suffisant, quand il n'y a pas beaucoup des gens et le rire ne dure pas longtemps. Je n'ai pas encore - surtout, je n'ai pas bien apprise encore, dix minutes de matériel!

Il faut bien réfléchir ce qu'on souhaite.

Maintenant, à moi, de préparer plus sérieusement à éteindre mon numéro. Réfléchir chaque phrase, chaque mots, apprendre les paragraphes et leur trouver une place naturelle, pour que au spectacle il arrive comme si c'était dit "sur le moment".

Bonne leçon!

Sinon, c'était agréable, bien accueillie, numéro bien reçu. Pas toujours facile d'écouter certains cochonneries trop même pour moi. Enfin, des goût...

Je suis revenue, avec seulement deux bus et pas fatiguée. Et une vidéo qu'on va m'envoyer (par amitié).

Baloons bleus, taxi rouge et bleu

Il y a tellement à voir et observer au centre Londres!

J'ai eu le sentiment ce matin que j'y suis allée hier presque pour rien, enfin pour être sur le stage cinq minutes, recevoir des rires pour ce que je dis, je suis partie à 5 1/2 l'après-midi, revenue chez moi autour de minuit!

Autre que la route d'une heure et demi aller, une heure retour, avec deux bus (et attente pour les bus), une heure à attendre que le spectacle fini, puis trois heures d'écouter les autres!

J'étais passée presque vers la fin.

Pas mal, mais pas la même chaleur que la semaine dernière. Je réussi à faire rire, mais maintenant, je dois changer mon matériel, prendre des nouvelles risques, pour la rendre plus intéressante pour moi même.

Je n'ai pas réussi à me connecter autant avec les autres comédiens, ni avec les filles près de moi, qui ont partie avant que mon tour arrive. Seule, quatre heures, même si on écoute plus de moitié les autres, c'est long!

Voilà quelques images prises avant d'entrer dans le club. Un taxi coloré. La vie de rue, près d'un station de train Liverpool. Aie! Ma batterie m'a délaissée, juste quand la fille au ballons rouge a posé avec une grande sourire et son copain.

La photographie me procure encore beaucoup de plaisirs, pas la délaisser!

Ce soir, je vais à l'Alchimiste, à l'autre bout de Londres, au moins une heure et demi distant d'où je vis. Revenir, va me paraitre encore plus long, probablement, même si la circulation est meilleure.

Je me demande, "cela vaut la peine?" mais quand je me sens bien où je vais, la réponse et "oui."

Que des violettes!

Il y a deux ans, j'ai aperçue quelques violettes près de nos immeubles. Il y a une année, il y eu davantage.

Cette année, nous sommes presque "inondées" des violettes! Elles sont très belles dans l'herbe et il y en a tellement! On peut avoir beaucoup de joie les regarder, les photographier, c'est encore une autre histoire. Pas facile de tout.

Elles sont très petites et il y en a tellement! Comment faire?

Une façon était de prendre les parterres des violettes, points bleus sur vert et les renforcer un peu. Ensuite, j'ai tâché d'en prendre seulement quelques unes de près ou en zoom. Finalement, me pencher les prendre plus à leur niveau, pas du haut.

Voilà quelques images, que j'ai ainsi prise hier, en revenant de l’oculiste.

La première est celle tout à fait transformée avec l'aide de photoshop elements. Hier, je ne suis plus sortie l'après-midi, j'ai joué avec les images prises.

Photographie en quelques minutes, transformations en plusieurs dizaines. En m'occupant d'autre chose, des idées arrivent aussi pour mon numéro comique.

On verra le futur, en tout cas, paraître sur le stage et être avec l'audience, communiquer avec eux, c'est enivrant. Mais m'absorber dans les détails d'une image, c'est aussi tellement prenant!

Tulipes fanées sous soleil

J'ai prise encore une fois mes tulipes fanées en photo, de toutes les angles, sous le soleil entrant par la fenêtre.

Alas, le même soleil fatigue de nouveau mes yeux et je ne me suis décidée à fermer de nouveau mes volets. Enfin, ce n'est pas des volets, en Angleterre.

Mais à la fin de la semaine j'aurais des nouvelles lunettes! J'espère que mes yeux fatiguerons moins. Et le docteur m'a conseillé à ne pas sortir sans lunettes de soleil.

J'espère, que ce n'est que momentanée.

Autrement, mes yeux vont bien, il m'a dit, avant de prescrire les lunettes pour lire et pour l'ordinateur. C'est assez ennuyeux d'avoir les yeux fatiguées.

Enfin, la vie va ainsi. "Tout" ne peut jamais être parfait. Ma famille va bien et ma santé ça va aussi, et mes parutions comiques ne souffrent, ni de mon âge, ni de mes yeux. Alors...

Je continue d'écrire

Pendant que j'écris depuis 7 années maintenant dans ce blog, en fait, je suis entrée dans le 8e déjà, je continue néanmoins aussi mon journal intime.

Mes cahiers, se remplissent un à un, même si plus lentement.

J'écris pas mal des choses sur mes blogs, l'un en anglais, maintenant aussi jour à jour, et même à Facebook directement des fois. Je raconte des histoires aussi et des blagues.

Je reste néanmoins fidèle à mon journal.

Je ne crois qu'il est intéressant, de le publier, passer surtout le temps à recopie! Je m'exprime si bien direct!

J'ai aussi besoin de me parler à moi même encore de temps en temps.

Une habitude prise depuis que j'ai eu dix ans, ne s'interrompe pas d'un coup, même si d'autres moyens d'expressions arrivent et se superposent.

Chaque lieu et chaque moyen offre différent façons et miroirs, sur la vie.

Mes récits sont plus sur le passée, même si la dernière était sur l'année dernière, mes blogs sur ma vie jour à jour, plus privé ici et plus public en anglais. L'humour? Une mélange de passé et présente pas si lointaine.

Merci pour la constance! comme dit la chanson de Gelzy sur les bloggeurs et les visiteurs de son blog. Vous écrire, m'enchante de jour à jour, depuis mes 70 ans!

A n'importe quel moment....

Nouvelles photos de mes tulipes desséchées, pas fanées en fait.

Oui, il y a de la vie, même après.

Mon calendrier est très remplie déjà, d'ici à mi Mai! Je crois même que début mai je vais trouver quelques jours pour Paris! Revoir mes voisins, d'Argenteuil, visiter la Butte où j'ai habité jadis. Qui sait quoi d'autre?

L'important est que je vis. Je végète bien des fois, des jours, des heures, mais ensuite, je me mets sur la route de nouveau.

Bien sûr, après une réussite, un rencontre avec une audience inconnu où j'étais si bien accueillie, je me sens rechargé d'énergie.

J'ai aussi prise 36 nouvelle images des dernières moments de mon bouquet des tulipes.

Et, dans un mois, on prendre un nouvelle vidéo de ma performance. Qui sait, peut être un jour, même en Français...

Ce qui change

Je viens de lire un article dans un journal. Depuis la sortie massive des Kindle et autres lecteurs de livres électroniques, la quantité des livres erotique et romances érotiques a augmenté sensiblement.

50% d'eux sont vendus déjà 'electroniques' a la place de livre.

Bien sûr!

Beaucoup moins entre nous veut avoir un livre qui pourrait entrer dans la main des enfants ou, petits enfants. En plus, ce sont des livres, souvent, si pas toujours, jetables.

Commander un livre en plus, l'avoir après moins d'un minute, le lire, l'oublier ou, même, si cela ne nous plait après lecture le sortir de l’appareille, affaire de nouveau des seconds. Pas besoin de le mettre à la poubelle!

Eh oui, en lisant cette article, je me suis dit, je ne suis pas la seule d'avoir acheté et lu des livres que je n'aurais pas fait auparavant...

Les prix aussi. Il y a de plus en plus des livres au dessous de 3 ou même 2 euros! Nous hésitons moins a essayer un auteur nouveau, et si il ou elle nous plait, commander l'un après l'autre d'autres livres du même. Dans tout genres.

Je viens de découvrir un auteur écrivant des délicieux livres ayant comme personnage principale une maman détective devenue vampire!

Si un de ses livres n'aurait pas été proposé à 0 euros, gratuit, je n'aurais jamais lu les autres de ses livres et je n'aurais jamais pensé non plus qu'un livre étrange peut m'enchanter.

Finalement, la bonne écriture ne dépend tant du sujet. L'attrait de livres gratuit peut nous mener, par le nez... ou la curiosité. Nos habitude de lecture changer.

Non seulement à cause de médium, à travers laquelle on lit, mais aussi, ah oui, des façon à nous inciter en offrant au prix bas ou gratuit certains. On click sans penser trop, ce n'est qu'ensuite qu'on se rend compte. Les minuscules sommes s'additionnent aussi. Le livre devient dizaines, bientôt centaines.

Certains poussiéreux dans un recoin perdu presque de l’appareille, encore plus hors vu que ceux tout en haut de nos tirroirs.

Quelle soirée!

J'hésitais sortir, ce n'était pas sûre que je passerai, de toute façon.

Perdre quatre heures, aller et retour et attente, juste pour paraître, éventuellement pour cinq minutes? A 5 heures, Alina m'a appellée: je pars, et toi? "Il est tard" je lui ai répondu. Elle me dit "je vais te réserver une place! Viens!"

Je suis partie. Arrivée avec le train assez tôt, je me suis perdue autour de Picadilly. Tellement des bars, des théâtres, des lieux d'amusements.

Je cherchais "Comedy Bin ou Lion's bin comedy club" - personne ne le connaissait. "C'est près de théatre Apollo!" Oui, j'étais à Apollo, mais où est le Lion's bin? En fait, j'aurais du demander et regarder "Rumba"! Et oui, ce n'est qu'en sortant après le spéctacle de comédie que je me suis rendu compte: c'est la première place où j'ai paru, qui des autres soirs est une spéctacle avec des "filles" et enfin, j'avais comprise le pourquoi du présence sur le podium de truc autour dequelle probablement les filles se tortillent...

Finalement, je suis arrivée juste a temps, quand la porte s'ouvrait justement pour s'inscrire faire un numéro.

"Tu fais un numéro comique?"

"Oui."

"Bien."

J'en étais!

Lentement, la place c'est remplie. Non pas un, mais deux copains avec qui j'avais appris en Mai, sont arrivés aussi. Je ne me sentais plus seule. Ils étaient contant me revoir. Et moi, de pouvoir enfin faire mon numéro. Tous les autres me regardaient avec curiosité, une femme âgée, jouant de la comédie?

Il y a eu quelques jeune femmes, pas beaucoup, la plupart de l'audience jeune et chaleureux. J'ai réussi à bavarder avec les uns et les autres, comme je le fais à chaque fois que je peux. Ainsi, je ne joue pas aux étrangers, tout à fait. Et, ils réagissent différemment, après m'avoir parlé.

Mes copains sont passés au début, moi au milieux de la deuxième partie. Quelle succès! Combien des rires fortes et venant de tous! Quelle plaisir!

Tous m'ont félicité aussi à la fin et d'un coup, m'ont regardé différemment. Je ne suis pas allée pour rien. Et il parait qu'on commence à parler d'une dame âgée dans les circuit des comédie, des débutants, au moins. Je n'ai pas perdu quatre heures, d'ailleurs partie à 5 arrivée à la maison vers 11, c'était nettement plus, mais ces minutes avec audience riant à gorge déployée, valait tout ce temps! Ce matin, je suis encore enchantée et Alina, ma copine qui m'avait incité à la dernière minute d'y aller, a pris en vidéo sans me dire. J'aurais même une souvenir vidéo de mon numéro et des rires!

J'ai passé le cap de 22 fois sur la scène comique, je ne vais les compter davantage. Hier soir, fait partie des trois soirées meilleures  J'ai réussi à faire rire partout, mais là, davantage encore.

Mes deux copains étaient aussi bien, en faisant de progrès avec leur numéro. Alina parle des difficultés d'être mère des gosses. Guny, parle des difficultés d'être "bien" avec les femmes et joue le timide qui se fait avoir, parce qu'on avait découverte qu'en fait, il était... marié. On a eu pas mal des bons numéros, même si pas tous, mais plus que d'habitude! Et j'avais compris davantage de ce qu'ils disaient les uns et les autres. C'était un lieu sympathique et avec un bon présentateur aussi.

En allant vers la gare, les lumières de Londres sur le chemin. Londres et magique!

Souvenirs de Toulouse

Mon amie, Stephanie, 20 ans plus agée que moi, vivait dans une petite village, Mirepoix sur Tarn, près de Toulouse.

Elle y était allée pour pouvoir sculpter sans déranger ses voisins.

Hélas, avec le temps, je crois que le poudre qui sortait de ses pierres pendant qu'elle sculptait, sans prendre assez de précaution, dans sa passion de sortir ce qu'elle voyait avec ses yeux d'esprit de la pierre, l'a non seulement rendu de plus en plus aveugle, mais est ensuite allée à son estomac.

Ajouter à cela, le mort de sa fille, et elle a rendu l'arme. Elle me manque!

J'étais habitué à la rencontrer. D'abord, à Paris, dans un café ou lors une longue promenade. Elle a tellement compté pour moi! Elle m'a tellement apprise! Tellement encouragée!

Plus tard, au téléphone. Je savais que je pouvais m'ouvrir à elle et elle m'écoutait (et me conseillait - des fois malgré moi) à chaque fois.

Elle était une femme exceptionnelle, Stéphanie.

Stéphanie et "lui"

Je suis allée souvent la visiter, en passant chaque fois par Toulouse.

Plus tard, avec mon futur mari et a la fin avec mon futur ex.

Lui, avait passé une grande partie de son enfance à Toulouse et m'a montré 'son Toulouse' à lui. Et oui, ce n'ai pas celui qui grandit davantage en hauteur qui était le plus grand et exceptionnelle... mais à l'époque, j'étais "prise".

Revenant, la première fois de Mirepoix vers Toulouse, nous sommes tombés sur une petite marché. C'est là que nous avons osé à nous acheter un chapeau, chacun de nous!

Nous nous sentions d'un coup tellement jeunes et, oui, nous étions aussi enivrés de bonheur.

Toulouse, horrible drame, me rappelle tellement des mémoires.

Plaisirs de ce matin

Depuis une semaine je regards mes pommes durs "à cuire" et finalement, ce matin, je les ai mise dans le four.

Les plaisirs ont démarré avec l'odeur qui a parfumé mon appartement. Ensuite, les couleurs, ma salive déjà a commencé, j'ai sentie les pommes même avant d'en goûter, puis me délecter de la première.

Ce n'est pas si difficile finalement, de se faire des plaisirs!

Opération réussi pour moi, ce matin.

Canal Café Theatre

Elle est la propriétaire, du théâtre, tel que j'avais comprise. Quelle sourire chaleureuse et timide!

Samedi, j'étais dehors à partir de six, et je vois que je n'ai rien écrit, ceci est à la place.

Le soir, jouant avec les images prises, mais aussi fatiguée, je ne me suis pas rendu compte que le matin, à cause de départ rapide, je n'avais rien mis sur ce blog.

Voilà, ce que j'aurais dû mettre, hier. Tant Joanna, producteur des éventements importants, qui m'encourage souvent, aimant mes récits, que cette autre jeune femme, quelle plaisir de connaître, et même, être appréciée par elles!

Cela a valu la peine!

12 heures dehors, c'était beaucoup hier, de 6 h le matin à 6 heures de soir.

Je n'ai regretté de l'avoir fait.

Le matin, une réunion des dirigants de Sud Est de Toastmasters dans une petite ville, Reigate, à une heure de Sud de Londres. Rencontre des visages connus, et bons souvenirs. J'ai mieux comprise ce qui va se passer dans le futur et comment tout cela fonctionne.

L'après-midi, un atelier de raconter des histoires et rencontre avec d'autres. Certains ayant raconté déjà, d'autres, se souvenant de moi et mon histoire raconté, encore d'autres pour faire des plans de futur.

Je vois lentement, le futur de dessiner et des nouvelles "challenges" arriver.

Je vous offre mes tulipes

Que de joie!

Au début, je me suis offerte des belles tulipes, à côté des fruits et légumes. Ensuite, a la maison, je les admire sur la table. Le lendemain, je les prends en photo. Quelques heures plus tard, je les améliore, enfin les photos pas les tulipes qui continuent à être belles. Le soir, je les mets sur ma site photo, puis je vous les offre à vous.

Prises des divers angle et sur divers fonds, et certains, changées avec photoshop. Chacun a sa façon, me parait belle, maintenant. Plus tard, peut être viennent la critique... pour le moment, la joie de me l'avoir offert, la joie de pouvoir les offrir.

Brouillard et froid ce matin

Brouillard épais et 5° ce matin.

C'est ainsi que je me sens aussi intérieurement.

Que vais-je faire?

Je ne ressens pas l'envie "ardente" d'aller faire rire, même plus de raconter, ou aller dans une réunion de mes clubs.

Je sais que vers midi, le brouillard va se relever, il sera, parait-il, 18° même dehors. Mais mon état de hibernation, va-t-il se dissiper ?

J'ai expliqué mardi soir, à un jeune m'écoutant avec admiration mes raisons d'aller raconter dans divers clubs comiques et audiences, la même chose ou presque de nouveau et de nouveau, et toute ce que j'ai apprise et peux encore apprendre et comprendre à travers cela.

C'est vrai, c'est vrai, bien sûr.

Pourtant, quelque chose manque, pour le moment.

Je suis bien allée hier, sans avoir pour une fois de place fixe, dans un club près de centre, une heure aller, une heure et demi retour. Plus, le demi heure d'attente pour savoir s'y j'aurais une place. Finalement, on m'a dit "pas maintenant".

Entre temps, j'ai rencontré d'autres comiques que j'avais vu et avec qui j'avais parlé la semaine dernière. Le cercle de ceux allant d'un club à l'autre n'est pas si grand et avec le temps on commence à connaitre davantage.

J'étais en retard de dix minutes, assez probablement que mon nom soit mis tout en bas de la liste, mais j'avais l'impression de tout façon, que le "compère" n'avais pas mise mon nom du tout, même au bas de la liste. Tant pis.

Tant pis des trois heures perdus.

Rien n'est perdu!

Une expérience en plus, même si je suis revenue fatiguée et un peu écœurée. Ce qui enquête, était que j'étais plutôt contente, "je pourrais continuer le roman commencé!" je me suis dit.

Je voudrais ressentir de nouveau la flamme! Va-t-il revenir?

La nature va changer, le beau temps reviendra, le soleil surgira. Dans quelques heures. Mais mon envie d'apparaître en public, mon plaisir qui l'accompagne, la flamme intérieure, va-t-elle aussi?

Trois tulipes d'Argenteuil

Je regardais les photographies prise autour de Paques, au butte Montmartre. Que de souvenirs!

Trop, pour ce matin, tôt.

A côté d'eux, voilà trois petits tulipes, 'du voisin parti', tulipes qui ont sortie 'sans patron' pour la dernière fois.

Le nouveau voisin les a négligé, les fleurs près du cloture sont disparues.

Non! Elles ne sont jamais disparues, puisque les voilà.

Ce qu'on a mis, d'une façon ou l'autre dans la mémoire, restent. Pardurent.

Qu'ils soient racontés, décrits, photographiés, ils restent et passent de l'un a l'autre.

Des fois, ils peuvent disparaître de vue, de mémoire, de coeur même, pour un temps, mais blottis, ils attendent leur moment à surgir.

Et de nouveau, les voilà.

Plus loin ils ont disparus, plus fortement ils nous frappent, nous touchent. Et que des mémoires reviennent avec eux!

Calendrier

Cette photo a été prise il y a trois ans et fait partie du calendrier créé il y a deux ans.

Cette année, je n'en ai pas créé.

J'ai acheté un livre double grand, avec pleine de place à écrire, tout ce que je dois faire, où je dois aller, et quand.

Il se remplit, de plus en plus.

Hier, d'un coup, je ne le retrouvais plus.

Comme je savais où et quand je devais aller hier, et ma tête était plus sur ce que je dirais, je me suis dit "demain".

J'ai été parmis les trois choisis à aller dans la prochaine étape de compétition, hier soir.

Ensuite, revenue chez moi, j'ai cherché le calendrier de nouveau. Partout. Sur les sofas et tables et dessous.

Rien.

Finalement, je me suis souvenue: Samedi j'ai eu chez moi mon "second" du club, pour lui apprendre des choses. Lui montrer. Elle avait un calendrier similaire à moi!

Je viens de l'appeller et dix minutes plus tard, elle m'appelle! Oui! Il est chez elle!

J'ai presque entré en panique de nouveau. Je dois avoir tout cela écrit ailleurs aussi, ne pas dépendre avec tous mes rdv futurs importants sur un seul cahier.

Bon leçon.

Vais-je pouvoir faire quelque chose de comique avec ceci? J'espère, un jour. Pour le moment, je dois me tranquiliser. Je ne suis pas devenue (encore) gaga. Tout simplement, je ne peux pas trouver quelque chose où il n'est pas!

Heureusement, j'ai une bonne mémoire des gestes et je me suis rappellée quand elle écrivait Samedi dans son cahier, ressemblant à la mien, sur ma table. Une mémoire visuelle des gestes.

Et oui, hier, j'ai gagné la droit d'aller à la prochaine étape, même si je n'étais pas la première. J'étais parmi les trois qui continuera les compétitions, en Mai.

Competition ce soir

J'y vais pour finir mon cycle de 20 comédies. Mais le soir est aussi dans un club de comédie, un bar restaurant, pas très loin de chez moi. Le plus près jusque maintenant.

Hélas, c'est aussi une soirée de compétition.

Je hais les compétitions. Sauf, si j'y gagne. Alors, je dis à tous "je suis surprise!" et je me dis "j'étais la meilleure."

Cette paragraphe que vous venez de lire, est la dernière trouvé pour faire rire. Peut être même je vais l'utiliser ce soir.

Je ne serais pas seule, non plus. Un des derniers nouveaux membres de mon club viendra avec deux copains, et aussi le président d'un autre club qui était il y a deux ans mon mentor, mon conseiller.

Même au milieu de la nuit, je me suis réveillée, en répétant mes lignes, mon début modifiée. Tout modification est dur à apprendre, pour moi. En plus, une fois sur la stage, il doit paraitre comme si je le disais naturellement, à l'instant.

J'aurais aussi, un mec rencontré dans le cours d'écriture comique, fini hier, il a dit hier qu'il va travailler a la porte ce soir, vérifiant si tous qui entrent ont payés, mais il sera là pour écouter voir mon numéro.

Jamais encore tant pour m'écouter!

Je dois vraiment être bien cette fois et finir en brio mes 20 apparitions. Non, je ne me demande à gagner la compétition, juste être entre les cinq premiers et surtout, faire rire.

Comme je me suis tourmentée cette nuit, ce matin je suis fatiguée. Je dois dormir l'après midi et ne pas prendre tout trop au cœur. D'habitude, je n'ai de l’appréhension qu"à la dernière minute.

Au moins, je ne m'avoue pas en avoir. Mais ce matin, cela parait plus important. D'où l'anxiété supplémentaire qui nuit d'ailleurs s'il ne disparaîtrait pas sur la scène. Heureusement, une fois sur le podium ou sous les feux des réflecteurs, devant l'audience, je ne pense plus à moi.

Hier nuit, je me suis souvenue que c'était ainsi aussi dans ma jeunesse. Lors des examens, tout ce que j'avais jamais lu, su, appris, revenait, et l'anxiété ressentie avant d'entrer dans la salle d'examen disparaissait. C'est cette propriété qui doit m'aider probablement sur la scène aussi. En plus, j'aime vraiment l'audience!

Or, dorré, ouf., cette fois, ça y est.

Ceci avait été prise aux Jardin de Bagatelle, les portes d'entrée, dans le parc de Versaille.

Je cherchais, "or, dorée" dans mes images, pour illustrer le niveau "or" que j'ai atteint hier, sur l'échelle éducative de Toastmaster.

"Comptetent communicator" quand on finit les premières dix tâches. Communicateur Avancé Bronze, dix tâches de plus de deux livres différents, chacun ayant 5 tâches et discours à faire.

Ensuite, Communicateur Avancé Argent, non seulement deux livres et dix discours supplimentaires, mais deux éducatives en plus.

Et maintenant, après encore dix autres et un atelier sur "travail en groupe" j'ai récu hier, le titre "Communicateur Avancé Or".

Il y a tellement des discours et récits derrière moi, maintenant, et tout cela depuis début 2009 quand j'ai commencé.

Quoi maintenant?

Je vais tâcher d'appliquer tout ce que j'ai appris, créer et conduire des ateliers. Aider les autres à grimper l'échelle plus rapidement, surtout à apprendre à mieux raconter et tenir le public absorbée.

J'ai quand même le droit, de m'arrêter pour quelques heures ou jours et faire la fête, ma propre fête.

Je sais que hélas on ne reste jamais assez longtemps dans les nuages, mais cela n'empêche pas d'être heureuse quand on a atteinte un but qu'on s'est posé à soi.

Derrière moi, toujours la mémoire d'une fois, quand après six rudes années, on m'avait empêchée avoir de diplome, à la dernière minute, dans la Roumanie Communiste.

En quelques jours ou semaines, je vais recevoir ma diplôme, maintenant, une diplôme "dorée"...

Memoires

Des photos peuvent être bonnes ou non, techniquement, mais tellement des images que j'avais prise, me parlent.

York, la première conférence Toastmastes a laquelle j'avais assisté, m'a aidé à comprendre la structure de l'organisation, à participer, me sentir impliquée.

Pourtant, la plus forte moment, était voir cette couple âgée, se tenant la main, et le bonheur de réunion sur leur visage.

Je regards ces mains, je tremble. Va-t-il jamais quelqu'un tenir ainsi mes mains? Etre si heureux de me revoir? "On reste ensemble!" ils m'ont dit, et "oui, prends nous en photo."

Je ne les a plus rencontré, mais ils ont resté dans mon cœur.

Se pencher vers le public

C'est l'image que j'aime le plus, dans mon dernière vidéo. Je penche vers le public, établissant davantage de contact.

Leur disant quelque chose "entre nous". Dans ma comédie, aussi, de temps en temps, je chuchote presque disant quelque chose "secret". Entre nous.

Et cela marche!

Ma fille vient m’appeler: "mamie, tu ne vas pas utiliser ces mots-là! pas toi!" Puis, à plus bas voix vers ceux présents: "mais elle n'est pas ici!"

Je me suis souvenue cette nuit. Dans ma jeunesse, j'étais bonne aux examens. Je me rappelais, tout ce que j'ai jamais lu ou appris. Pleine de appréhension avant l'examen, une fois en face des professeurs, j'étais tout à fait là et j'arrivais à tirer de moi le maximum;

Je crois, que le secret est ceci: être à ce moment tout à fait là. En face de public aussi. Cela doit m'aider devenir d'un coup, naturelle, aussi. Me rappeler ce que j'avais préparé.

Ah oui, je n'ai jamais réussi, sans beaucoup de préparation. Et cela m'avais toujours pris du temps. Pas comme mon amie, géniale, qui apprenait d'un coup.

Enfin, chacun a d'autres talents. Ensuite, il faut bosser aussi. Heureusement, j'aime bien bosser.

Repos bien mérité

Quelques images des vidéos que j'ai prise Lundi, lors la soirée dans laquelle 5 entre nous avons raconté nos histoires sur "change". Enfin, en ligne, vous pouvez regarder aussi les vidéos et histoires, en anglais, de Flavia, Windi, Richard et moi.

Hier, soir, j'ai fait une courte atelier de discussion sur le travail en équipe, et avec ceci, j'ai obtenu finalement, la titre "Advanced Communicator Gold", la plus haute dans Toastmaster, pour communication.

Tout cela derrière moi, aujourd'hui, j'ai pu me reposer.

J'ai dormi longuement, l'après midi, et regardé le lancement de nouveau I-Pad. Très attirant! Hélas, Steve Jobs, bravado manquait, même si le produit est extra, il aurait trouvé cette extra quelque chose, pour rendre mémorable.

J'ai plaine des Clubs Comiques dans mon calendrier, lundi sera mon 20e, mais malgré tout j'ai l'impression, pour le moment, que tout ce qui était plus dur est derrière moi. Et, ils sont bien passés. Je peux dorénavant, continuer plus relaxée.

Lisant dans le métro

De plus en plus des gens lisent dans le métro, pas un journal gratuit seulement, de cela il y en a énormement dans les métros de Londres, pas un livre gros et lourde, j'ai vu épatée ceci aussi, mais de leur appareil numérique.

Certains lisent Kindle, comme cette femme, avec une couverture rouge, spéciale.

Je lis de mon Kindle à la maison et de plus en plus. Pendant des semaines sans "vrai livre", les semaines après mon opération de cataracte, je ne lisais qu'à travers Kindle, où je pouvais agrandir les lettres autant que nécessaire.

Je lis encore, mais moins.

C'est pas si facile à revenir ou sauter des pages ou paragraphes. Non pas regarder rapidement, ce qu'on a souligné.

Je lis de romans, j'ai plus de cent déjà dans le minuscule Kindle, mais je n'ai pas arrivée - encore en tout cas - étudier avec. Les deux ou trois livres que j'ai acheté, attendent toujours. Je n'arrive pas à 'apprendre' ainsi, pour cela j'ai toujours besoin de "toucher", souligner avec stylo, aller et revenir.

Je dois toujours me faire faire des lunettes à lire, livres, blogs des copains. Mais sur l'ordinateur, on peut aussi agrandir, la plupart de temps. Mes yeux, fatiguent rapidement, je crois à cause de réflexion sur l'écran de mon PC. Pas de reflets sur le Kindle, I pad, etc.

Le même jour, un chinois regardait un film assis près de moi, sur son I-phone! Ou une autre truc de même acabit. Dans le métro!

Tout cela est arrivé si rapidement!

Heureuse, ce matin

Hier soir, j'étais la première a raconter une histoire, sur la 77e année de ma vie. C'était un succès.

J'ai réussi à faire rire, où je le voulais, à chaque fois. J'y est mise aussi de suspense et drama.

Tous, m'ont dit, après que j'étais très authentique, comme une conversation, même si bien sûr, c'était bien préparé pour effets et images à paraître dans l'esprit de l'audience.

J'étais encore plus contente, que trois autres nouveau venus à ce théâtre, étaient ceux ayant suivie mon atelier des récits personnelles. Ils étaient, après, eux aussi aux anges, croyant à peine qu'ils avaient réussi à raconter sur la stage d'un vrai théâtre.

C'est la culmination de mon travail depuis Novembre, et rêve depuis presque une année.

Je suis heureuse donc comme ce poisson, aie! ne sachant pas qu'il y a une mur devant lui, bientôt. Va-t-il casser la tête dedans? Va-t-il réussir à passer devant ou derrière? S'arrêter à temps?

Dans les images peints sur le pont qui travers des lignes de chemin de fer, où j'étais la dernière Samedi, tous ces possibilités sont là, une après les autres.

Est-ce dire : attention? Ou montrer, qu'on peut aussi passer autrement, qu'en buttant la tête droit dans le mur!

Ils on plus de courage, maintenant!

Mon dernier note, long, a disparu. Alors, j'écris en direct ici, pour être sure, que je n'écris pour rien.

Voilà, après la répétition générale, Windy d’Indonésie, .Flavia, parent élevant seule son fils et travaillant en même temps, et Richard, qui a construit son entreprise de construction offrant le 10% en plus "toujours 110%". Avec Steve, ancien policier de Scotland Yard et moi, nous serons 5 de mon club à raconter des histoires au théâtre ce soir.

Windy, "confessions d'un ancien joueur", Flavia, sur comment le livre de Dostoievky lui a changé la vie. Et Richard, sur sa phobie de parler en public, comment c'est arrivée et comment il l'a vaincu. Steve, pas dans cette image, va parler de comment il a réussi donner confiance à son fils adoptive en lui offrant une cerf volant. Moi, je vais parler de mon dernière année, des hauts découvrant mon côté comique et bas avec mes yeux et l’opération. Et la découverte soudain de mon "oueil comique." Regarder le côté comique de ce qui arrive.

Le spectacle de ce soir, devant une publique payant, va clore mon effort de la création de l'atelier de histoires personnelles. D'un côté, m'apprendre ce que nous devons y ajouter encore, d'un autre, me comblant de bonheur d'avoir pu aider et encourager d'autres.

Seule

D'abord, j'étais dans un atelier de "suivie" intéressant, mais on n'a pas suivie ce qu'il nous avait dit d'avance.

J'ai préparé du matériel, pour rien.

Non, pas pour rien, je verrais plus tard à quoi cela peut servir! Même si ce soir je ne sais pas.

Ensuite, dans un resto, où on racontait des histoires. Enfin, des anecdotes. Des trucs. Des inventions.

Pas ma tasse de thé.

En plus, comme trois copains se sont assis près de chez moi, en bavardant ensemble, je me suis sentie seule, comme cette perce neige, même entouré des autres.

Je ne regrette pas y être allée, au moins, je ne vais pas regretter que je ne suis jamais allée. Il m'avait bien dit "ce n'est pas ce genre des histoires..." mais je n'avais pas cru.

Moi, j'admets, toutes sortes des histoires, il n'y a pas de "vraie histoires" - et les autres. Enfin.

Ce soir, je suis revenue de nouveau, crevée de fatigue.Je fais trop, je dois ralentir! C'est dur de relentir!

Faire le mieux

Je ne sais pas comment on l'exprime mieux en français. En anglais on dit: si la vie vous offre un citron (lemon), faites avec de la limonade!

C'est à dire, prenant une situation, tirez le mieux possible d'elle.

Nous nous sommes rencontrés trois, lors la nuit de comédie jeudi, trois qui avait fait le cours de comédie ensemble.

Pierre la Poule, par son nom de scène à Londres de la France depuis 15 ans, et Sonia, qui parle aussi fort bien français, mais est d'origine espagnole.

Nous avons fait le plus des clubs de comédie, relative aux autres, pour le moment.

Pierre la Poule, Julie et Sonia avant spectacle du Comédie a Tooting.

Voilà les observations de Sonia, après avoir lu mes lamentations sur ma propre performance et quelques observations, sur les leurs. Traduction de l'anglais, par moi.

"Quoi qu'il en soit amis de Comédie'- oui, la nuit dernière a été difficile - les niveaux d'énergie en général étaient très bas et Ed, le compère a fait de son mieux mais il ne pouvait pas vraiment les élever. En outre - il y eu trop de comédiens et pas assez des membres de l'auditoire nouveaux à notre matière. J'ai entendu au moins deux comédiens qui ont joué aussi la nuit, j'étais la dernière fois (environ 3 semaines il ya) et bien sûr, je ne les a pas trouvé drôles.

Pas d'excuses - et c'est la chose la plus excitant de ce voyage. Pour être en mesure de jouer au mieux des capacités, peu importe comment le public - comme David T. Jones (PhD) a dit: lors de notre atelier comique: toute peut être drôle aussi longtemps que vous le croyez vraiment.

Julie - vous étiez super. Je pense que vous avez resserré votre contenu, le faisant plus concentré. Bon matériel.

Je n'ai pas remarqué que vous auriez mélangé vos lignes du tout. Merci de vos commentaires sur moi, tenant le micro en cachant part de mon visage.

Pierre la Poule - bien bien que vous avez recommencé (croyez-moi il faut beaucoup d'effort et du courage) vous aviez eu le public dans la paume de votre main (dans un premier temps) - mais ce n'était pas une foule heureuse."

Voilà ce que Sonia nous a écrit.

Chacun de nous, a prise une "personnalité" comique. J'ai aimé dès le début celui du Breton haïssant les Parisiens et se moquant légèrement des Londoniens, que Pierre la Poule, nom de scène, avait prit.

J'ai aussi aimé, la façon que Sonia se moque d'elle même, et des autres vendeuses, qui font tout pour vendre. Et ses observations sarcastiques sur l'anglais lui disant: "j'ai habité en Espagne six ans, je n'ai pas dit un seul mot autre qu'en anglais!"

J'adore l'esprit de Sonia: "on est là pour faire le mieux avec tout audience, quel que ce soit, l'apprendre, fait partie de notre cheminement." Oui! Et aussi, peaufiner, avec le temps le matériel.

Printemps un jour, gris et brouillard un autre

Mardi, j'ai eu 22 grand rires! J'étais dans les nuages.

Hier soir, à peine 6 grand rires en 6 minutes...

Il ne faut pas jamais se sentir trop forte, trop en haut, trop en avoir gagné!

Ce n'est jamais gagné pour longtemps.

Le sort, ou vous même s'y croyant trop, vous jette rapidement une douche froid.

Et aussitôt, qu'on n'a plus la réaction attendu, on perd encore plus de l'assurance et la confidence perdu vous tire en bas davantage.

C'est la vie, mais on l'apprend de nouveau et nouveau.

Le printemps arrive, de nouveau!

Le temps se réchauffe, les premières fleurs sont sorties à Londres.

Je ne suis pas encore aller les admirer, les photographier. Ceci est de mon jardin 2005 ! C'est les fleurs "de ma grande mère", fleurs que j'avais acheté et mise dans mon jardin en souvenir des celles du jardin de mes grand parents.

Je ne me souviens pas de beaucoup des choses de cette période, d'enfance, mais je me souviens pas de chaque fleur de grande mère dans, pour moi, l'énorme jardin où je passais un mois chaque été, jusque l'âge de 6 ans.

Après, nous sommes venus habiter dans la même ville et j'y allais moins souvent et à 8 ans, c'est eux qui sont partis à Budapest, puis Suisse. Pour jamais revenir.

Hier, 9 entre nous ont racontés leur histoires personnes, en fait 8, puisque le 9e, ne nous a pas écouté et au lieu a donné un discours politique sur un enfant désavantagé de l'Inde. Non pas une histoire personnelle, comme tous les autres. Ou au moins, relié à lui.

Probablement, dans sa tête, son discours a été relié à sa vie, mais il n'a jamais dit comment.

Par contre, les autres!

L'un a parlé de son fils handicapé et le plaisir d'apprendre utiliser son cerf volant et la connexion que cela a apporté entre eux. Le deuxième, sur comment il s'est débarrassé de son addiction au jeux de hasard. Le troisième, comment Toastmaster l'a aidé à vaincre son peur de parler en public.

Moi, j'ai raconté de mon dernière année, partie à la recherche de l'humoriste en moi même, et découvrant l"oeuil de comique, m'aidant à regarder tout avec plus de légèreté.

La meilleure entre nous, qui nous a joint juste depuis six mois, a raconté l'énorme impact sur sa vie, du livre classique Crime et Punissement,(?) de Dostoïevski. Elle était distrait facilement, abandonnant des livres ou études pour un oui ou non, et elle s'est remise à étudier et refaire sa vie. Son récit, tellement bien raconté aussi, lui apporté le "meilleure" récit de la soirée bien mérité.

Hélas, certains, que j'estimais très bons, puisqu'ils ont pas mal appris et changé depuis Novembre, n'ont pas été considéré 'au niveau' pour raconter dans le théâtre. On verra, qui va y être finalement.

L'atelier d'apprentissage de raconter des histoires personnelles, doit continuer! Le problème s'est de trouver du temps pour cela, tant pour moi que pour les participants. .

Et voilà, quelques fleurs de ce matin autour de moi. Le printemps est ici de nouveau.