Le miracle s'est produit, mais comme souvent, pas comme je l'attendais.
La femme venue de Bulgarie, a nettoyée, tout en se traînant pour durer les trois heures.
Elle a nettoyée certaines parties bien, la salle de bain dont j'aurais pu lui dire oublier cette fois-ci, mais elle m'a laissée la cuisine, sur laquelle j'avais demandé à concentrer pas comme j'espérais.
Une fois partie, je me suis décidée a frotter les casseroles avec des restes de graisse attendant dans la fenêtre à être nettoyées depuis trop longtemps, frotter de nouveau les tasses qu'elle a lavée pas tout à fait, et même le fond de micro ondes, qui était propre couci couca.
La plus importante, en fait c'est qu'à cause de son arrivée, je me suis mise a liquider le tas des papiers, attendant depuis trop longtemps dans des caisses dans ma chambre. A chaque changement; j'en ajoutais d'autres. Puis; je me suis réfugiée "je n'ai le droit de me pencher" pour rien faire".
En fait, j'ai pris un à un; des tas sur le lit; et j'ai pu jeter la plupart, trier le reste.
D'accord; il me reste encore un peu, mais la plupart, c'est fait! En plus, bien sûre, je me suis rendu compte que je peux me débrouiller, au besoin, toute seule aussi.
Quelle soulagement!
J'aime ta sincérité Julie, comme toujours. C'est vrai que nous avons parfois besoin d'être aidés, mais il faut accepter que ce ne soit pas fait comme nous l'aurions fait. Alors, ce constat amène un élan de dynamisme et on passe à l'action. Je t'embrasse.
RépondreSupprimer