Ce soir, la dernière fois que nous serons a St Margaret Crypte.
Ce soir, nous aurons une Toastmaster visiteur de Saudi Arabia.
Ce soir, je vais parler, encore une fois.
Parce que c'est mon club "de base" où je suis présidente, c'est plus importante que les autres fois.
La problème est que j'ai trop à dire.
D'une côté j'aurais voulu raconter quelque chose sur les places qu'on doit changer au cours de nos vies et qu'on ne veut pas changer la plus souvent, même si avec le temps on avait appris que finalement, il sera mieux pour nous.
En y pensant, je me suis rappelée de ma jeunesse est quand j'ai du quitter ma ville natale a 15 ans, je l'ai regretté encore au moins dix ans! Aucune émigration d'un pays a l'autre n'était pas aussi difficile que aller vivre dans la capitale. Même maintenant, sachant qu'on va vers mieux, profondément en moi, je voudrais rester. Pas bouger, pas devoir changer de place de rencontre.
J'aurais voulu expliquer pourquoi le discours de Sally, la dernière fois, avait plu autant à nous tous, ayant tous les caractéristiques qu'une bonne histoire personnelle doit avoir. Je vais y trouver du place. Je veux aussi raconter un peu l'histoire de mon nez, mieux que la dernière fois, il y a trois ans.
Mais surtout, je vais parler des importances des histoires personnelles dans les discours, et tout ce qu'on doit comprendre et apprendre pour les rendre effectives. Je veux créer un atelier d'histoires personnelles et ce discours devrait inciter mes collègues à s'y inscrire.
J'aurais dû avoir prête ce que je veux dire depuis longtemps, et même si j'ai des parties et je l'ai rêvée cette nuit encore et encore, le discours n'est pas encore "gelé" ni appris. J'ai encore quelques heures. Au moins, je sais ce que je veux dire et ce que je dois laisser dehors, n'ayant que 7 minutes en tout.
Au travail!
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