A seulement quelques minutes et maisons, commence la pleine et un banc. J'y passe en allant chercher mes petites enfants ou en rentrant seule, à partir de l'arrêt de bus.
J'ai pensé souvent à m'y arrêter, pas bien sûr, pas dans le froid et la pluie, comme ce jour de 23 janvier!
J'ai prise ce banc avec quelqu'un assise, avec l'ombre derrière, je me suis imaginée assise lisant un livre. J'ai même bavardé, même si rarement, assise là, avec ma belle-fille, qui n'habite pas trop loin non plus.
En fait, il n'y a rien à voir de là, que de la plaine et moi, je préfère les collines. A quelques minutes de plus, dans le parc de Greenwich, se situant autant au-dessus que en bas, les collines sont là, soudain, on se rend compte que notre plaine et ville (banlieue de Londres) se trouve."en haut", pendant que la ville de Greenwich se trouve en "bas" au bord de la Tamise.
Toutefois, regarder ce banc et deux autres pas très loin non plus, me donne de la paix, une impression: "je t'attends", je suis là, je suis disponible, tu peux t'arrêter à te reposer ici.
Li'dée est déjà puissante, même si je préfère lire et me reposer à la maison. Depuis que j'habite ici, même si j'ai joué avec l'idée, je ne suis pas allée lire même dans notre cour, et très rarement, dans le jardin, fermée, de mes petits-enfants.
Je préfère lire, comme j'étais habituée dès petite enfante, seule dans la chambre (ou salon), isolée mais pas seule: les héros et héroïnes de mes livres en ma compagnie. Mais aussi, l'auteur du livre que je lis avec qui je discute, souligne ce qu'il a dit, et souvent même, et cela depuis mon enfance, dis dans le marge mon opinion.
Un jour, je vais m'assoir sur ce banc et sinon lire, réfléchir sur le prochaine récit à raconter.
J'adore lire de vieux livres aux pages jaunies et qui ont des notes dans la marge ! Ce partage d'idées avec d'autres lecteurs m'enchante .
RépondreSupprimerCarlotta
Pour lire je trouve qu'on est toujours mieux chez-soi. Sur ce banc j'irais rêver ou regarder passer les gens.
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