dimanche 31 janvier 2010

Impossible!


Impossible!

Vraiment?

Combien de fois dans ma vie ai-je entendu "ce n'est pas possible!"

Probablement, cette jeune fille arrivant à Londres de Bruxelles, l'avait aussi entendu dire. Crise! Absence de travail! C'est maintenant, que tu veux partir, trouver du travail?

Elle travaillait au centre de Londres "bruit, pleines des gens pas sympa" elle me dit, et puis, plus d'une heure pour y aller d'ici. Il y a quatre mois, elle a trouvé pourtant du travail dans ce café, au centre de la petite ville tranquille. Ses clients, surtout des parents et leurs enfants.

J'adore ici! me dit-elle.

Enchantées à être photographiées "nous sommes maintenant des célébrités!" se sont dit aussitôt après, l'un à l'autre.

Je n'ai pas demandé d'où venait l'autre fille, mais elles s'entendaient si bien! Retournée chez moi, j'ai regardé la belle cadre du miroir, et l'image non intéressante de l'intérieur, et j'ai combiné les deux filles avec le cadre, ainsi, elles deviennent encore plus célèbres!
Sun or Snow_0041d carreLes deux belles celebritées

C'est possible, quand on ose, quand on essaye, quand on ne renonce pas. Vrai, pas tout, mais tellement plus que si on écoute ceux qui disent "pas possible".

samedi 30 janvier 2010

Tout change

Tout change, et je le sais, mais des fois, cela change si vite!

Par exemple, hier après-midi, il faisait froid, mais le soleil couchant et les nuages sans le ciel bleu, donnaient l'impression que le printemps n'est pas si loin, quand, une heure à peine plus tard, soudain, il s'était mise à neiger.
Without zoom

Snow for 5 minutes
Les petits enfants, sont sorties, s'amuser, le visage vers le neige, envie de le manger!

Le neige c'est arrêté après moins de cinq minutes, il n'est resté du trace que sur les toits des voitures, le soleil est sortie pour encore quelque minutes, puis, le soleil se couchant, tout devint sombre.

En haut de la coline, sur la plaine près duquelle j'habite, peut être on voit encore davantage tout ce qui change. Mais dans la vie, autant que je suis ouverte aux changes, autant des fois, j'en ai peur.

vendredi 29 janvier 2010

Apprendre l'Anglais ou Français ou...

De lien en lien, ce matin, j'ai tombé sur la site BBC gratuit pour apprendre des langues, et finalement, aussi pour apprendre l'Anglais et sa prononciation ou grammaire.

http://www.bbc.co.uk/worldservice/learningenglish/

pas mal, pas mal, on apprend aussi qu'il existe 26 lettres mais 44 sons en Anglais, voici les sons avec alphabet "international" ou phonétique, on peut clicker sur n'importe laquelle non seulement pour les entendre, mais avoir une courte vidéo avec le son et des exemples, avec une femme charmante.
 
  
Ce matin, j'ai écouté et regardé pour trois heures...
Ensuite, aussi sur les liaisons etc - à y revenir!

jeudi 28 janvier 2010

Pourquoi celles-ci?

Je ne sais pas pourquoi on choisi certaines images et pas les autres, mais voila quelques unes que pas mal ont choisi entre leurs "préférés", mises six par six. Une courte diaporama de sept "tableaux"

mercredi 27 janvier 2010

Lamentable


Lamentable, c'est tout que j'ai ressentie après ma performance de hier.

A la surface, c'était une réussite, la critique toute positive. J'ai réussi par mon récit de la Cravate Rouge émouvoir d'audience, ce qui était le but de ce projet-là.

Hélas, je savais mieux.

Moitié de discours était dit sur un ton monotone, balbutiant, cherchant les mots. Je ne crois pas que depuis l'année dernière, la première fois que j'ai parlé, j'étais si mauvaise. En Anglais, mais aussi avec le contact avec l'audience.

J'ai même oublié de les regarder!

Une leçon apprise.

Jamais se croire trop forte, se préparer plus sérieusement, répéter et répéter à haute voix de début à la fin, plusieurs fois!

Mieux vaut avoir moins d'ambitions, de ne pas croire que "tout est gagné" et prendre les tâches avec le plus sérieux possible.

Bien sûr, j'ai fait de bonne impression - a la surface - osant parler, racontant une histoire intéressante et pleine d'émotions, d'accord, même avec un prompt, mes gants, et des mouvements pas mal, ce qui, finalement, ont fait que l'impression sur les autres était moins horrible que dans mes propres yeux.

En revenant à la maison, écoutant dans mon dictaphone, ce que j'ai effectivement dit, et pas ce que je pensais que je vais dire ou même pensais d'avoir dit, après, quelle différence!

J'avais préparé à décrire la petite fille, j'avais pensé dire quelques mots sur "à tous selon leur travail" et sur mon père, rien n'y était dans ce que j'ai dit. Pourquoi?

D'un côté, parce qu'on m'avait écrit que je prononce mal deux mots, j'ai écouté la "bonne" façon de les prononcer et j'étais incapable de les apprendre, donc j'ai sauté et, d'un coup, une partie importante de discours a perdu son importance, clarté. Mais surtout, surtout, par l'absence de bonne préparation

Dire une histoire vingt fois dans sa tête, voir dans son esprit ses images et scènes, n'est pas dû tout la même chose que de le mettre vraiment en mots, les faire passer aux autres. Rien ne remplace en fait une bonne préparation orale!

Quand je me sens à l'aise, je peux improviser. Le fait, que je viens de découvrir juste en écrivant maintenant, c'est que je ne me suis pas sentie à l'aise hier soir. Je n'ai pas réussi à me détendre, et je me sentais un peu perdu dans l'adversité et j'ai passé cela hélas dans mon discours. Des raisons étaient multiples et je peux trouver pleines des choses multiples qui ont contribué à ma présentation lamentable vocale, puisque mes mouvements ont étaient un peu mieux, heureusement. Dommage.

Dommage?

Non! Heureusement que j'ai appris cette leçon hier, cela me permettra à ne pas le répéter et ne pas me croire trop dans les nuages!

lundi 25 janvier 2010

5 années se sont passées

Je suis entrée hier, sans me rendre compte, dans ma sixième année de blog. Je n'ai plus 70 ans, hélas, les années passent. J'ai réussi à les vivre pleinement ces années, mois, prouvant, d'abord à moi même, et à tous mes chers lecteurs aussi qu'on peut rester jeune d'esprit et aventureuse, après 70 ans.

Je devrais dire maintenant, "après 75 ans" puisque bientôt, j'aurais 76, mais jusque 80 et j'espère y arriver, je pourrais dire toujours "après soixante dix ans", n'est pas?

"Mamie blogeuse" c'est bien dit, mais je suis plus que "mamie", même si je me régale d'être grand-mère. Je reste aussi femme, malgré mon âge, au moins, telle que j'ai toujours vécu cela, sans trop grande différence d'ailleurs en certaines choses avec les hommes. Femme, surtout en sentiments et pas en comportements. Sans me farder, ou très rarement, mais c'était ainsi dans ma jeunesse aussi.

Comme je l'ai dit de temps en temps, même l'enfant et adolescent restent en moi, et reviennent de temps en temps. En tout cas, ils sont toujours présente dans mes joies et curiosités et envie de découvertes nouvelles.

Je dois énormément à mes lecteurs!

Vous m'avais apporter une telle sentiment de communauté, d'appartenance, d'acceptation!

J'ai publié 2,683 messages dans ce blog en cinq ans et il a été visité déjà  265 445 fois. Par des lecteurs anonymes et par tous qui m'ont laissé des messages, me faisant sentir encore davantage que je ne suis pas seule et que mes propos arrivent d'ici, là.

M'exprimer à travers ce blog (les autres aussi, mais pas autant qu'ici) m'a apporté énormément, et même si de temps en temps je suis moins inspirée, à la longue, ou la durée, déjà, fait passer le message d'origine: Il y a de la vie après 70 ans.

La vie des blogeurs et lecteurs, autant que celle des photographes, a compté beaucoup pour moi et à contribué énormément à ce qu'il y a vraiment de la vie, de la communication... après mes 70 ans, et, maintenant, en arrivant bientôt, vers 76.

Ces temps-ci, je raconte des histoires et interagis davantage directement, face a face, mais souvent, mes seules amies, seuls copains, étaient ceux venant à travers l'Internet, ici. Je vois dois beaucoup!

Et maintenant, une nouvelle aventure commence, on entre, ensemble dans la sixième année de ce blog, qui, malgré mes nombreux autres blogs, me reste le plus cher.

dimanche 24 janvier 2010

Le banc près de ma rue



A seulement quelques minutes et maisons, commence la pleine et un banc. J'y passe en allant chercher mes petites enfants ou en rentrant seule, à partir de l'arrêt de bus.

J'ai pensé souvent à m'y arrêter, pas bien sûr, pas dans le froid et la pluie, comme ce jour de 23 janvier!

J'ai prise ce banc avec quelqu'un assise, avec l'ombre derrière, je me suis imaginée assise lisant un livre. J'ai même bavardé, même si rarement, assise là, avec ma belle-fille, qui n'habite pas trop loin non plus.

En fait, il n'y a rien à voir de là, que de la plaine et moi, je préfère les collines. A quelques minutes de plus, dans le parc de Greenwich, se situant autant au-dessus que en bas, les collines sont là, soudain, on se rend compte que notre plaine et ville (banlieue de Londres) se trouve."en haut", pendant que la ville de Greenwich se trouve en "bas" au bord de la Tamise.

Toutefois, regarder ce banc et deux autres pas très loin non plus, me donne de la paix, une impression: "je t'attends", je suis là, je suis disponible, tu peux t'arrêter à te reposer ici.

Li'dée est déjà puissante, même si je préfère lire et me reposer à la maison. Depuis que j'habite ici, même si j'ai joué avec l'idée, je ne suis pas allée lire même dans notre cour, et très rarement, dans le jardin, fermée, de mes petits-enfants.

Je préfère lire, comme j'étais habituée dès petite enfante, seule dans la chambre (ou salon), isolée mais pas seule: les héros et héroïnes de mes livres en ma compagnie. Mais aussi, l'auteur du livre que je lis avec qui je discute, souligne ce qu'il a dit, et souvent même, et cela depuis mon enfance, dis dans le marge mon opinion.

Un jour, je vais m'assoir sur ce banc et sinon lire, réfléchir sur le prochaine récit à raconter.

Diaporama Argenteuil 2003 à 2009

 Une choix rapide, de seulement 10% (en tout 40 images) comme je n'ai pas réussi à en choisir seulement 5 comme j'avais envie, des divers associations, fêtes et aspectes de la ville, telle que je l'avais vécu à partir du moment que j'avais ma première camera numérique.





Tellement des gens sympa, n'y sont pas, mais si vous avez envie de plus, allez voir mes 500... aie, c'est si difficile à choisir, lesquelles montrer! J'ai tellement plus de 550 images a laquelle je tiens et desquelles je suis fière prises à Argenteuil !

samedi 23 janvier 2010

Page 19 Magazine Argenteuil

Page 19 Magazine Argenteuil 2010 janvier

Argenteuil



Cette semaine, on m'a consacré une page dans le magazine hebdomadaire de la ville d'Argenteuil, je ne l'ai pas vue encore, mais je sais, que de nouveau, on parle de ce que je fais "à mon âge".

J'espère, que des articles comme cela peuvent donner du courage à ceux et celles moins âgés, leur dire qu'après tout, ils ne sont pas si vieux ou alors, que même vieille, d'accord, on peut rester active.

J'ai prise entre les photographies trouvées comme "les plus intéressantes" sur flickr ayant le mot clé "Argenteuil" celle-ci, que j'aime particulièrement.

Je me sentais vieille et moche, et je voulais montrer, pendant que j'attendais mon tour, le contraste entre les images affichées et celles qui viennent se coiffer. Mais en plus, j'ai réussi à prendre, l'ennuie extrême de celle qui lavait les cheuveux, et sa contraste à elle avec les modèles souriantes du mur.

Artistiquement, peut-être ce n'est pas grande chose, mais malgré cela pas mal des autres l'ont trouvé aussi intéressante. Pour moi, m'exprimer, d'une façon ou l'autre, c'est plus importante que faire de 'lart' même si j'essaie de prendre les images autant bien que je peux dans des circonstances existant.

Quelques images, rassemblées, d'Argenteuil. Une autre fois, je vais "choisir" maintenant, juste tel quel.

Finalement, je suis plus "documentaire" je crois, d'ailleurs, même dans mon blog. Un article en plus, parlant de moi, c'est quand même une plaisir, je dois l'admettre. Merci, pour mon voisin, qui m'a écrit, me le faisant savoir!

Comme tout est nouveau, maintenant, le Magazine, non hebdo mais mensuel, du Janvier 2010 de la ville d'Argenteuil, est sur le net et j'ai pu la voir. C'est sur la page 19 "Style de vie", qu'on parle de la "mamie blogeuse et globtrotteuse". Voilà le texte.
=========================================
Mamie blogueuse &
globe-trotteuse

A 75 ans, Internet n'a plus de
secret pour elle.
Julie anime de nombreux blogs
où elle y raconte sa passion
pour Argenteuil


Vous pouvez aller voir mes photos
du Flickr !” “Où çà ?” Julie Kertesz
a 75 ans et parle un langage
que les plus de 30 ans ne peuvent
pas connaître. Enfin, pour certains. Celui
d'Internet, du réseau mondial qui relie des
millions de terriens pour qui souris et onglets
n'ont rien à voir avec les étals des bouchers.

“Je l'utilise beaucoup depuis 2004, mais je l'ai
découvert dans les années 1990 au Cnam
(Conservatoire national des arts et métiers).
En plus de mes différents blogs en français et
en anglais, je mets des vidéos sur
Dailymotion, des récits sur Box.com et depuis
cinq ans des images sur Flickr.com. J'en ai
plus de 35 000, vues par des milliers de personnes
chaque jour. Sans compter les groupes
de discussion auxquels je participe et ceux que
j'ai créés”, explique-t-elle.

Sur ses pages, l'on retrouve souvent Argenteuil,
où elle est arrivée en 2001 au fil de son
histoire familiale, et où elle est restée sept ans.
Julie était alors une figure du monde bien réel
de la commune. “Je me suis investie dans
diverses associations, comme Agora, Argenteuil
sans frontières ou celle des travailleurs
maghrébins”. Native de Transylvanie en
Roumanie et de langue maternelle hongroise,
elle s'est fondue dans la diversité argenteuillaise
comme un poisson dans l'eau.

Arrivée en France à l'âge de 30 ans, Julie a
maintenant posé ses claviers à Londres.
Fatalement, elle a créé un nouveau blog sur
ses aventures dans la capitale anglaise. “J'ai
suivi mon fils”, détaille-t-elle.

Son utilisation de l'outil Internet ressemble
comme deux pixels à celle des férus du net,
pour qui la toile est devenue un monde à part
entière, une place publique où ils s'expriment,
partagent leurs enthousiasmes ou énervements.
"Sur la toile je me connecte, me socialise
et apprends beaucoup. J'ai des amis photographes
en Autralie, Japon, Norvège,
France ou Californie”, s'émerveille Julie.
Incongru pour son âge ? Elle en rigolerait
presque. “On croise beaucoup de retraités sur
le net. On peut surfer après 70 ans. J'ai une
amie de 86 ans qui vient de s'y mettre”,
assure-t-elle.

Le web est aussi un moyen de maintenir un lien
avec la France et Argenteuil auxquelles elle
reste très attachée. Julie a par exemple participé
à la fête sur les bords de Seine en mai dernier.
Tournée vers le monde mais aussi sa famille et
ses petits enfants, ils seront sa “priorité pour
2010”. Dis mamie, c'est quoi un “geek”? S.Le.

Sur le web
http://julie70.blogspot.com
http://argenteuilblog.blogspot.com

vendredi 22 janvier 2010

Je suis venue pour vous dire

"Je suis venue pour vous dire, c'est une groupe sur flickr, "expo" et, maintenant aussi d'interviews.

Vient de paraître, aujourd'hui, des réponses que j'ai donné il y a quelques semaines ou jours.
interview_animé_3

Ah, tout ce qu'il y a apprendre et faire!

Il était une fois...

Il était une fois une adolescente de 15 ans.

Elle vivait loin, à l'autre côté de ce qu'on appelait "le rideau de fer", une hongroise vivant dans la Roumanie communiste.

Elle aurait voulu porter la cravate rouge des pionniers, mais on lui dit "trop tard, c'est pour les enfants." Ensuite, "mais vous pourriez devenir animateur des pionniers en devenant membre de l'Union de Jeunesse Ouvrière (communiste).

Communisme, c'est quoi? elle demanda alors.

Tous le monde aurait tout ce qu'il en a besoin, à ce moment-là, mais en attendant, "tous selon leur travail, leur mérite."

Magnifique! alors, on ne va plus faire de la distinction, de la discrimination! Aucun enfant ne serait plus tué ou puni à cause de ses parents! De son origine, richesse, religion, nationalité... La jeunne fille s'y est mise de tout son coeur.

Elle devrait bien apprendre d'abord, et puis lire des livres, Staline, Lenine, et des romans pour la jeunesse sur des héros et héroines de l'Union Sovétique.

Une des ses héroines fut une électricienne qui dans l'hiver froid Russe monta réparer les fils sans gants. Elle décida alors se préparer, ne jamais plus en porter, même quand il faisait très froid à Bucarest le matin, en allant à l'école. Quand elle obtint, oh joie, le carnet de membre tant souhaité, elle le mit dans un petit sachet confectionné pour cela sur son coeur, sous ses vêtements. Elle obtint aussi la cravate rouge pour conduire des pionniers d'un école.

Elle avait 15 ans et demi, quand une nuit, on emporta son père. On ne leur dit jamais où, pendant sept mois, elle ne savait même pas s'il vivait encore ou non. Une semaine plus tard, "fait to autocritique!" elle fut critiquée dans une séance publique et non seulement la cravate mais le carnet de membre lui fut retirée. Et les connaissances passaient l'autre côté pour ne pas devoir lui parler.

Sept mois. Son père fut relâché, mais c'est une autre histoire. "Erreur." A l'association de Jeunesse, on ne lui dit pas autant, mais on l'appela, lui rendit son carnet et on lui désigna une autre école, la seule école hongroise de Bucarest: "occupes-toi des pionniers là."

Elle eu 17 ans, préparant des nouvelles enfants à devenir pionniers.

Un matin, une petite fille blonde et mince l'aborda, les yeux en larmes. "On ne m'a pas mise sur la liste, pourtant, je suis obéissante, j'ai des bonnes notes. Ce n'est pas ma faute, si, de temps en temps j'arrive en retard! Je dois participer aux exercices de ma famille d'acrobates, sinon, pendant le spectacle de soir, un accident risque d'arriver. Des fois, cela dure plus que prévue. Demandez, maman. "

Elle alla voir la mère, au centre ville, près du cirque, ils habitaient dans une caravane. "C'est une bonne fille, reste souvent longtemps étudier le soir, et oui, le matin, régulièrement, elle doit participer aux répétitions, sinon le numéro de cirque acrobatique deviendrait dangereuse. Et nous avons besoin de tout l'argent possible, mon mari avait été arrêté. Ah oui, on soupçonne toujours de tout les gens de cirque hélas. C'est pour cela qu'on ne veut pas lui donner la cravate rouge, en fait."

La jeune fille fait tout possible pour que la petite fille, elle aussi, puisse être admise avec les autres pionniers. Avec quelle joie tous sont venus le matin: enfin, ils reçevront la cravate rouge méritée.

Mais, ce matin-là, on lui apporta de l'Union de la Jeunesse, une cravate de moins. "Il n'y avait pas assez" marmonna le responsable qui est arrivé avec elles.

"Que faire? Que faire maintenant?"

Qu'est-ce que vous auriez fait, vous?

La jeune fille donna sa propre cravate à l'enfant du cirque, qui avait mérité à devenir pionnière, comme les autres. Elle même, ne reçut jamais plus une autre cravate ni une groupe de pionniers de s'en occuper, mais elle ne regretta jamais sa décision.

Elle ne portait plus son carnet sur le coeur, mais continua d'aller a l'école sans gents. A chaque fois qu'elle a froid au mains, puisque elle ne porte pas des gents, elle se retrouve soudain sur les rue de Bucarest. Elle est heureuse de se rappeler de cette jeune adolescente enthousiaste qu'elle avait était, jadis.

jeudi 21 janvier 2010

Pourquoi?


Je sais souvent ce que j'ai envie de prendre en photo et pourquoi, mais il arrive d'un coup, soudain, quelque chose à côté de quoi je n'arrive pas a passer, tellement cela me fascine.

Pourquoi?

Je venais à la maison, et il était déjà sombre dehors, quand j'ai aperçu, presque dehors, dans la rue, cette chaise de raphia.

Ma première impression était "ils mettent ceci à la poubelle???"

C'était quand même encore dans la cour, où d'habitude, devant les maisons, ici on met la voiture, le jardin étant derrière les maisons, hors vue des gens.

Mais peut-être quelqu'un a eu envie de regarder justement les gens passer, quoique surtout des bus et voitures passent par cette rue.

Dans cette froid?

Il était près de zero degré, peut être bien trois ou quatre, je ne vois pas non plus quelqu'un assise longtemps dans cette froid dehors.

La chaise, dont j'ai prise des photos de plus loin et de plus près aussi, pendant que mes petits enfants attendaient avec patience, habitués que mamie prennent des images, d'un coup, reste un mystère.

Quelqu'un peut raconter peut-être un récit autour, je ne saurais jamais la "vérité" autre qu'un chaise "d'été" et fait pour jardin se trouvait ce soir-là froid tout près de la rue.

mercredi 20 janvier 2010

Je suis femme



Il y a femme et femme, il y a ages et coutumes, aussi.

Voilà de Giselle, allez lire son poeme entier sur son blog.

"Flle, pucelle, mère et grand-mère.
courage et opiniâtre audace.


Si c'était moi, j'aurais ajouté aussi maitresse ou amante - y a-t-il une différence d'ailleurs? et en plus, mariée, divorcée, ensemble, seule.

...bête et soumise

J'étais souvent bête, ah oui, mais ajoutons aussi "des fois pleine de la sagesse, même à 18 ans. Et aussi, courageuse et effrayée, oui, j'étais les deux aussi. Mais soumise? L'es-je étais jamais? Même quand j'avais peur de mon mari? Je crois que je dirais plutôt "circonspecte", ayant soin à un moment donné à ne pas le provoquer - mais hélas, un certain temps, tout était bon pour lui à dire "tu l'as provoquée."

Giselle encore dit, et moi, avec elle:


"Je suis née femme.
Je m'en souviens
dans chaque pore de ma peau,
dans chaque fibre de mon être,
dans chaque goutte de mon sang
Et si j'ai le droit de renaître ...
demain je recommencerai. "


Que c'est merveilleusement exprimée! J'adhère complétement.

Déjà pour la joie de allaiter qui pour moi, déjà en soit vaut le tout.

Vers la fin, elle dit, qu'il y a en elle, en nous, aussi du masculin. Longtemps, j'ai doutait tout à fait qu'il y a des différences, mais en tout cas, dans tous les hommes il y a aussi des traits féminins, et l'inverse est vraie aussi. Il y a des gris, pas que les noir et blanc.

Ces trois filles presque pas habillées devant le pub, sympa, ne sont pas pour autant des putains, même si elles n'ont pas apprise encore que pour trouver des hommes plus discret et plus efficace à la longue.

Et la mère, venant prendre sa fillette, devant l'école, me demandant avec une grande sourire "alors, tu fais encore des photos" n'est pas une sainte non plus. Il y a en nous un peu de tout.
A mother-1

En moi, au moins, j'ai découverte avec le temps, qu'il y a eu. La sérieuse, la légère, la fermée, l'ouverte et, pendant, un petit temps, quand c'était la mode en France, j'ai même eu une mini jupe (mais des longues bottes pour qu'on ne voit que mes genoux).

Plus tard, dans ma période "femme légère", après ma divorce, quand j'avais besoin à me prouver à moi même que je suis "encore femme" et "pas trop vieille" (j'avais 44 ans), rien dans mes habillement ne laissait entrevoir: c'était dans mes yeux, ma démarche, tout simplement.

Et voilà une mère, avec son gosse et mari au marché, mangeant une glace dans un truc qui ressemble à... et me souriant, s'amusant, me disant: allez-y, prenez-moi en photo ainsi.
Greenwich Market-8
Oui, nous sommes complexes, merci Giselle de nous le rappeler.

mardi 19 janvier 2010

Toujours mon préféré


Il y a au moins dix livres que je lis et relis, autour du sujet de "Parler en public" mais ceci reste ma préférée.

"Le pouvoir de raconter des histoires personnelles" par Jack Maguire.

D'abord, il explique, en quoi, raconter des histoires personnelles est important. Ensuite, il vous guide à trouver plus des histoires de votre vie, des histoires sur les choix que vous avez du faire et aussi sur les temps quand votre vie a changée, basculée. Mais on peut aussi trouver du matériel dans des "petits" incidents de la vie courant!

Il va bien sûr plus loin, expliquant comment faire des récits, avec début milieu et fin, avec conflits et dénouement, avec un point à dire et en amusant quand même, en courte, comment transformer le matériel dans un vrai "histoire" à raconter.

Pour moi, cette partie-là, une fois comprise, est le plus important pour le moment, puisqu'elle m'a aidée à mieux comprendre, à comprendre différemment, pleines des choses que me sont arrivées et surtout ma réaction au monde autour de moi.

Il m'a apportée un certaine paix avec moi même.

En commençant avec une petite incidente, quand j'ai donnée ma cravate rouge à une petite fille qui la méritait mais qu'on avait mise à côté parce que son père était arrêtée, j'ai découverte pourquoi je suis restée accrochée à l'idée de socialisme, communisme, aussi longtemps dans ma jeunesse.

"A chacun ce qu'il mérite, après ce qu'il fait" on me disait que c'est ce qui va arriver dans un pays socialiste, "à tous ce qu'ils veulent" en communisme. Ah, le paradis, quoi! Mais en attendant le paradis, au moins, récompenser chacun, sans tenir compte de ses parents, de sa religion, couleur de peaux, nation, etc. ce qu'il mérite après son travail.

Cette petite fille, travaillait du l'aube, dans un cirque avec sa famille, préparant des numéros acrobatiques de groupe, en grimpant l'un sur l'autre, "si je ne le fais pas, tous pourraient en souffrir, se heurter", et le soir, après école, et le numéro en cirque, restait à apprendre ses leçons.

Méritait-elle être avec les autres, nommée pionnière comme elle le souhaitait, comme on me l'avait promise, finalement?

"On n'a pas eu assez des écharpes" - on me dit. Alors, j'ai offert la mienne.

Ce n'était pas qu'on petit incident, mais en y pensant plus en profondeur, je me suis rendu compte que je simplement continué à croire à l'égalité des chances. Même après qu'on m'a interdit d'aller étudier à l'université, parce que j'étais l'enfant des "bourgeois". Dans ma tête, "communisme" était quand même associé à égalité, non discrimination. "Oui, ici on ne l'applique pas bien, ici...mais à l'Union Sovietique...."

Ah oui, il a fallu 1956 et la révolution hongroise où les troupes russes sont rentrés pour interdire le moindre expression libre d'opinions, des jeunes ouvriers et des intellectuelles, pour associer, après aussi avoir lu un poème, communisme avec Tyranie, à la place de ce qui était, hélas, seulement dans le propagande et ma tête.

Mais, je n'ai jamais abandonné "à tous ce qu'ils desservent sans discrimination" crédo. Le petit incident que je voulais raconter, a grandi, il a aussi apporté en moi du paix avec comment j'étais comme adolescente.

Mais le livre ne s'arrête là. Ensuite, il nous apprend comment "embody" (prendre dans notre corps) apprendre le récit construit, comment s'en souvenir sans l'apprendre par coeur. Comment chercher d'occasions à la raconter. Il y en a tant!

Pour le moment, mon récit est trop longue, 21 minutes, j'ai coupé des scènes importants et c'est encore 15 minutes. Peut-être, raconter son adolescence et l'absence des droits d'homme, mérite davantage du temps et je devrais la laisser grandir.

Plus le temps passe, plus des choses s'y ajoutent, surtout à mon réveil, comme ce matin. Se préparer à raconter, me donne tellement des forces et des idées!

lundi 18 janvier 2010

Je vais enfin sortir


Depuis des jours je n'ai pas sortie, mais aujourd'hui je recommence mes activités en pleine, une semaine avec mes petits enfants jour à jour, après l'école.

Je recommence aussi mes activités comme photographe, et une collaboration avec des étudiants photo d'une université pas loin d'ici.

Et ce matin, je viens de recevoir une appelle pour, éventuellement, participer à un enveniment payant, dire un récit pour argent. Ce n'est pas tant important si cela se réalise ou non, mais le fait qu'on me l'a demandé, oui, c'est fantastique.

Je vais sortir, acheter des fruits, du café que je n'en ai plus point, pour le moment. Fêter l'évènement: cela veut dire que la femme organisant les récits personnelles dites au théâtre, était contant de ce que j'ai fait et dit là.

Bien sûr, cela peut aussi dire, que les autres ne veulent pas participer à ce qu'elle organise d'autre, mais je vais regarder la moitié de verre qui est surement pleine.

dimanche 17 janvier 2010

Depford: que sera là demain?


Terrain vague, fermé, ceci a été pris à travers le grillage d'une porte.

L'eau légèrement glacé devant, à gauche une immeuble semble avoir brulé, ses fenêtres cassées, à droit, un hangar long décoré des graffitis

Ce terrain débouche sur le canal qui va dans la baie de la Thamise.

L'autre coté du canal, déjà des nouvelles immeubles qui sont construits une après les autres. Ce n'est qu'après le coin de mur décoré et pas loin des immeubles genre HLM, mais les nouvelles qu'on construit, paraissent plutôt pour luxe ou bureau au moins.

Que sera là dans une année ou deux?

C'est d'un porte comme cela que j'ai vu pourtant sortir, la première fois que j'ai passé cette rue, un homme sortant la poubelle des ordures, habillé en presque haillons. Et me souriant, me laissant avec gentillesse prendre une photo de lui.

Il ne faut jamais juger par ce qu'on porte! ni par où on loge momentanément, non plus. Ce lieu, paraissant désolée, pourrait probablement raconter tant des choses!

samedi 16 janvier 2010

Une porte se ferme



On dit, je crois, "quand une porte se ferme, une fenêtre s'ouvre".

Je ne sais pas où menait ce porte, mais je sais pourquoi on l'a fermé ainsi. Je l'ai trouvé dans un quartier genre HLM, des immeubles tous les même, pas loin d'un terrain de jeu pour gosses.

J'étais fascinée.

Je l'ai pris de près, de loin, de différent angles.
Depford photo stroll-46
Je n'ai pas trouvé de fenêtre tout près de cette porte fermée, mais un long mur peint par des enfants. Que des histoires sur ce mur! Que des choses, tous autour d'amitié entre différent gens et enfants exprimés là!

Friendship wall panorama Depford, London
Ceci est le panorama, des plusieurs images mises ensemble, il faudrait le regarder en grand format. Voilà une des détails.
Depford photo stroll-83
Ce mur à dû ouvrir plusieurs fenêtres!

vendredi 15 janvier 2010

Nouvelle année nouvelles espoires

Ce matin, j'attends l'arrivé d'un jeune (enfin, plus jeune que moi) "Toastmaster".

Il veut des conseils pour son prochaine discours, un récit de ce qu'il a appris quand il n'a pas réussi à un concours dans sa jeunesse.

Il a fait son premier discours, n°1 quand j'ai fait mon 10e, dernier de manuel "Competent Communicator." C'est quelqu'un qui parle très bien et dit des choses très intéressantes, mais il a très peur de parler (encore).

J'espère que notre collaboration va l'aider, j'espère que cette année mes différents offres d'aide et collaboration réciproque, avec plusieurs membres de groupe, vont être fructueux et nous apporter à tous quelque chose.

Quoi au fait, je ne suis pas sûre, mais je sens que quelque chose en sortira, que je ne sais pas encore.

R. est constructeur, je sais un peu moins de M. qui est, lui, de mon âge, mais j'ai connu sa femme et son fils, tous très intéressants. Je veux cette année, approfondir en quelque sens ce que j'ai fait l'année dernière et en plus en faire profiter des autres.

Je commence donc, l'année pleine des nouvelles espoires.

mercredi 13 janvier 2010

Il neige il neige, et alors?

Ce n'est qu'un mince neige, sur Londres, et je n'ai pas le courage de sortir. Mais j'ouvre le télé, oui, ma nouvelle télévision marche si bien! quoique je ne la regarde pas souvent, au moins une fois par jour pour les nouvelles. J'ouvre et j'entands parler des millions touchés par le tremblement de terre a Haiti.

J'ai un peu mal au molet, depuis le 1e janvier, et alors? Je suis à chaud, j'ai quoi manger, et lire. Je ne suis sans toit sur moi ni blessé et j'ai de quoi boire.

Mon ordinateur fait les siens, je n'arrive pas à l'utliser comme il faut, depuis que j'ai installé Photoshop Elements 8 qui bouffe d'espace disque. Il m'a fallut des herues et heures pour faire de place sur le disque et désinstaller le programme aussi.

Ce n'est rien, un jour et quelques heures perdus, mais vous comprendrez, n'est pas?!

J'espère que mes amis partis de Somme à Haiti, vont bien, mais je pense à eux, aujourd'hui, même si je ne sors que rarement de mon lit depuis deux jours et j'attends que mon oridnateur se répare, doucement. Probablement, à cause de ces copains blogeurs, je suis encore plus à Haiti que ailleurs, pourtant que des problèmes partout!

Ici il n'y a qu'un peu de neige, fondant pous se récréant, en plus, regarder la neige tomber doucement, c'est beau et me rappelle une belle souvenir, loin, loin, un Noël à Washington.

lundi 11 janvier 2010

2 videos de spectacle de 19 Decembre

 Je n'ai pas réussi à mettre l'assemblage sur YouTube (encore?) mais je peux les mettre sans problème un à un, voilà deux entre eux. La première avec danse "toro" musique et choeur, la deuxième surtout pour le chant et musique.



dimanche 10 janvier 2010

Je suis à Londres, mais mon voyage continue

J'ai encore des images à ajouter et mettre sur le web ainsi que pleines des vidéos prises.

Hier, j'ai fait deux magnifiques à partir des plusieurs bouts prises lors le spectacle "Tuna Universidad Granada" des differentes troupes qui ont donné un magnifique spectacle, l'un après l'autre. Hélas, le vidéo qui en résulte de très bonne qualitée est trop grosse et ne n'arrive pas le mettre sur le web.

Avec le temps, je vais trouver une moyenne, mais ce matin, toutes les heures n'ont pas suffit à ajouter même dix pour cent de l'un! Je n'en ai plus le courage de continuer aujourd'hui, alors j'ai mise quelques images prises le même jour.

Au moins, cela on peut les regarder, mais ce qui était extra c'est les cahnts et la musique.

On pouvait ajouter de vidéo à un blog "en direct" il n'y a pas si longtemps, je vois que cette possibilitée à disparu, de mon blogger, alors il faut d'abord les mettre dans une site web, ensuite on peut seulement les montrer ici. Une autre fois.

Je n'aime pas du tout attendre, la patience n'étant pas une de mes qualitées, même si la persistance l'est. Une jour, je trouverai une moyenne d'obtenir et montrer, vous ressentir au moins un peu de la joie ressentie ce jour, du 19 décembre, écoutant les Troubadours chanter et faire de la musique. En attendant, les images  peut être vous feront rêver, aux autres temps et lieux.

Autant que les troubadours étaient extra, mon portrait de Granade reste celle de serveur, sortie un peu sur la rue et qui a pris un pose subit quand je lui ai demandé "puis-je"?

samedi 9 janvier 2010

C'est magnifique.. en photo



Je suis sortie dans le cour, derrière les appartements, où il y a deux "arbres de noël", plantées.

Avec la neige de hier matin, recouvertes, partiellement, du neige.

En fait, pendant l'après-midi, le soleil est paru et fondu une partie. Je suis restée juste assez pour prendre des images et ma main déjà gelait. C'était assez.

Je n'ai pas osé aller plus loin, ma petite rue est presque une patinoire et comme c'est une rue latérale ne risque pas d'être nettoyée.

Heureusement, j'ai un fantastique belle fille, ensemble nous avons fait des courses ce matin, et maintenant je peux rester, tant que besoin. Enfin, tant que les petits enfants n'ont pas besoin de moi. De tout cas, je n'aurais pas à acheter pour un moment rien d'autre.
Snow in the courtyard-27
Sur l'arbre, la neige fond doucement est c'est magnifique, sur le sol, c'est nettement moins commode.

Je profite du fait que je suis âgée, des journaux parlent de moi davantage "mamie bloggeuse" mais je dois avoir soin à ne pas tomber, mes os sont quand même nettement plus fragiles. Toutefois, si j'ai des désavantages, autant profiter aussi de ce que mon âge peut m'offrir, n'est pas?

La prochaine, c'est probablement dans le Hebdo d'Argenteuil, avec photos et adresses de mes blogs. Si j'étais jeune, probablement, personne ne parlera de moi, puisqu'il n'y a "rien à dire".

vendredi 8 janvier 2010

Parade de 1er Janvier à Londres

Parade commencée à midi, le 1e janvier, à Piccadilly Circus, passant par le Traffalgar Square et s'arrêtant à Westminster, juste à l'envers du trajet de l'année dernière. J'étais avant le Traffalgar Square, sur une rue sans soleil, au moins pour le début, ce qui m'a permis de prendre des meilleurs photos, sans que le soleil entre dans l'appareil.

Mon petite Sony, peut aussi prendre des vidéos et j'en ai prise pas mal. Hier, j'ai mise toute les petites bouts ensemble, avec mon nouveau logiciel, pour des choses simples facile à utiliser, et voilà le résultat.








Aujourd'hui, j'ai fait la même pour les longs bouts, mais en le regardant, je me suis rendu compte qu'il faut, pour des vidéos et défilés aussi longs laisser d'espace, quelque chose pour laisser respirer et assimiler ce qu'on a vu avant d'ajouter le prochaine. Travail en perspective!

Lien, où on peut choisir la qualité à regarder aussi pour la deuxième vidéo.
Celle-ci dure presque dix minutes, mais même ainsi, bien sûr, c'est un condensé des trois heures. Quoique, je crois que au moins 1/3 des trois heures était l'attente que la prochaines arrivent. Peut-être, je devrais réellement mettre des attentes, pauses comme des photos par exemple entre l'apparition des différentes troupes défilant.

C'est un peu comme la Pause dans un discours. Très effective, nécessaire aussi.

Dans un blog, ou un récit, je crois que cela correspond à un paragraphe très courte ou une nouvelle chapitre voir note. Des notes très courtes des fois, entre les plus longs.

jeudi 7 janvier 2010

Neige et froid, c'est mieux dedans!



J'ai reçu un livre, qui m'explique comment mieux utiliser le photoshop elements et faire des montages, et aussi un logiciel pas cher, pour créer des dvd, à partir des images et vidéos.

J'ai donc énormément des choses à apprendre et à faire.

Tant mieux, puisque j'ai décidé ne pas sortir pour le moment, ne soit que pour prendre quelques images tout près de la porte.

Hier nuit, en fait ce n'était pas tard, je suis sortie pour quelques minutes. Après que la neige c'était arrêtée, il ne faisait plus froid, en fait pas trop. Ce matin, après la descent de la temperature, il glisse. Glisser, c'était fantastique pour faire des patins dans mon enfance, mais pour mes os, tel quel, mieux vaut ne pas tenter.

Peter outside while it still snowed
Un voisin pris de ma fenêtre, il est sortie pour accompagner quelqu'un pendant qu'il neigait encore.

Moi, j'aurais pleines des occasions à sortir la semaine prochaine, et pleines des choses à faire a la maison bien à chaude maintenant.

mercredi 6 janvier 2010

Réveille surprise

Ce matin, en me réveillant, j'ai trouvé tout couverte du neige.

Il n'a pas neigé beaucoup, mais assez pour tout couvrir aussi loin que j'ai pu regarder.

Le soleil se lève très tard l'hiver, donc ce n'était que les lumières des lampadaires ouvertes tout la nuit. Et le ciel est couverte, ce matin.

Hier, par contre, juste avant partir vers mes petits enfants - finalement, comme c'était très froid, mon fils est venu me prendre, j'ai regardé dehors et le ciel était extraordinaire.
From the window early morning_0429v2
Une des quatre images que j'ai pris hier, rapidement, avant partir.

Est-ce l'hiver qui leur a donné ces couleurs si fortes, ou j'avais juste la chance de regarder au bon moment?

En fait, ceci est plus près de ce que j'ai vu, puisque le camera a rendu tout le bas noir, sauvegardant toutefois les détails, qui sont réapparus une fois que je l'ai demandé à travers Photoshop Editor, avec lequel je peut sélectionner la partie à changer légèrement, sans toucher au reste. Dans ce cas, je n'avais pas raison de changer le ciel ou les nuages.

mardi 5 janvier 2010

Columbus avant son départ


Grenade, c'est là que finalement, a la dernière minute, Columbus a botenu de la reine Isabelle de quoi partir - en Indes - et qui a donné lieu à la découverte de l'Amérique.

Pour moi, le fait d'avoir une téléviseur après 9 ans, c'est un nouveauté, mais je ne vais pas en abuser: les programmes ne me plaisent pas trop: tellement de violence!

Il y a 9 ans, après séparation de mon mari, c'est moi qui avais décidé qu'il peut prendre notre télé et ne pas en acheter, ne pas en avoir chez moi.

Maintenant, il me servira à mieux comprendre et prononcer l'anglais. Heureusement, en plus, ce télé léger et avec un écran très net, ne m'a pas couté même pas comme un petite camerra photo!

Ce matin, j'ai bien regardé les nouvelles, écoutée quelques minutes, puis fermé en me mettant sur l'ordinateur.

Hélas, pleine des problèmes avec mon navigateur et une grande rallentissement de l'ordinateur. Enfin, j'écris ceci de chez mes petits enfants pendant qu'ils se sont mise à faire leurs leçon: demain, l'école commence.

lundi 4 janvier 2010

Mon image préférée de Grenade


Cette maison derrière découverte au centre de Granade, m'avait fascinée et le fait encore. Rien ne prévoyait en plus que derrière une immeuble récente je vais me rertrouver avec ça.

Je suis toujours fascinée.

Ce matin, me levant tôt, je me suis mise à parcourir les images que je n'avais pas encore ajoutées en Flickr, et j'y tombe sur celle-ci. A peine j'ai réussi à l'ajouster qu'on sonne à la porte.

Miracle, le télévision numérique, légère permettant aussi regarder des DVD est arrivé! A huit heure du matin.

"Peux-tu m'aider à le mettre en rouge?" je demande, ce soir c'est la réponse.

Finalement, je m'y suis mise. Rien ne marchait "pas de signal." Comment lui "donner un?" J'ai connecté un truc, rien de mieux.

Ok, au moins essayer le DVD: "pas le bonne format;" Ah? Mais soudain, quelque chose est arrivée et l'écran est devenu claire. Ensuite, j'ai ràussi, en jouant un peu avec le menu, obtenir les chaines numériques libres "freeway" dont parlait la publicité de cette téléviseur. Il n'a pas une grande diamètre, ainsi il ne m'a pas couté cher, mais quelle clarté!

Depuis huit, je regarde le télé. Ce n'est pas que c'est très intéressante pour le moment, mais une journée ça va encore. Demain j'aurais mes petits enfants, à m'en occuper et d'en avoir la joie.

Il y a encore pas mal a découvrir, mais déjà le fait que cela a marchée, seule, sans aide, m'enchante. Hurrah, Toshiba, finalement, sa façon de la mettre n'était pas au dessus de mes possibilités.

Je sais que j'ai tas des choses à faire, écrire, préparer, etc. mais quelques heures, exceptionnellement, je ferais comme pas mal font régulièrement, je regarde l'écran.

Je vais trouver un moyen aussi de connecter mon ordinateur ou le clé usb, ou... pour regarder mes images, entre autres une comme celle-ci sur un écran de 22 puces. Ensuite, créer des DVD qu'on puisse regarder à travers l'écran, nettement plus grand que l'écran de mon petit ordinateur portable ancien.

Mais, hélas, en quelques heures, que de violence vue!

Non, autant que j'aime l'écran, je ne regarderais pas n'importe quoi selement parce que l'image a de belle résolution et des belles couleurs!

dimanche 3 janvier 2010

Le mur d'amitié



Pour bien regarder, il faudrait la voir en agrandi. ICI Attendez un peu pour que l'image devienne claire. Alors, on peut s'y promener.Clic sur la loupe l'agrandit, un autre le rend plus petit de nouveau: je viens seulement de découvrir!

L'année dernière, le printemps, j'ai tombé sur cette mur, près des HCLM, que j'appelle "mur d'amitié et bonne entente", dessins par enfants. Nous étions en photo balade avec le groupe des photographes indépendants de Londres, section Greenwich, à Depford, un petite banlieu un peu dechouet de Londres.

J'ai prise quelques images, ici ou là.

Le mois dernier, nous avons étudiés les Panoramas dans mon groupe Afterclass et je n'ai rien fait de spécial, mais j'ai regardé, lu, observé, testé.

Hier matin, je me suis rencontré avec des copains arrivés de la campagne anglaise, en balade pour la nouvelle année à Londres et je leur ai montré Depford et ce mur. D'un coup, j'ai décidé à prendre des images qu'on pourrait coller ensemble, pour montrer le mur dans toute sa gloire, autant que possible.

Le soir, j'ai découverte qu'on peut faire de "photomerge" automatique ou semi-automatique avec mon logiciel habituelle, Photoshop Elements, et je l'ai testé. Ce matin, j'ai enfin réussi à en faire ceci à ma grande joie.

Avec le temps, tout arrive! (Ou presque.)

samedi 2 janvier 2010

Tellement à faire!

London's New Year Parade-308d2
J'ai beaucoup aimée cette fille, si heureuse et fière d'être dans la parade!

Il y a encore tellement des photos à regarder de près, et ensuite, mettre les vidéos sur l'Internet. Mais ce n'est qu'avec les photos, que j'ai beaucoup a faire.

J'ai pleine des idées nouvelles, à l'intérieur de moi, je me sens ce début d'année comme cette jeune, hélas dans des os et muscles d'une vieille femme de presque cent ans. Néanmoins, je vais faire ce que je peux, doucement, même si j'envie de foncer.

Je vais foncer doucement.

vendredi 1 janvier 2010

Parade de nouvelle année à Londres



Bien sûr, on ne peut faire tout la même façon à Londres.

Je suis allée aujourd'hui, d'accord, sans vérifier sur l'Internet, a Westminster, près de parlement, où l'année dernière les musiciens et danseurs se sont rassemblés.

Après 20 minutes, finalement, j'ai appris que cette fois, ils partaient de Piccadilly. Je n'ai pas eu ni le courage ni le temps d'y aller, pour prendre des photos avant la Parade, mais je suis allée à mi-chemin, pas loin de Trafalgar Square.

Miracle!

Il y avait encore du place devant, pour que je peux prendre des photos et vidéos. Ce n'est que trois heures plus tard que je me suis rendu compte que ce n'est pas que les mains qui gelaient, il était autour de 1 degrée, mais aussi mes jambes.

Heureusement, ma batterie est lâchée, juste un peu que je tombe de fatigue. J'avais l'impression d'avoir cent ans et ne plus pouvoir marcher, tellement j'étais ankylosée. Mais tout doucement, j'ai réussi à arriver jusque Charing Cross, où j'ai prise le train pour revenir.

Belle souvenirs, et un bain chaud m'a presque mise sur pied.

Voilà quelques images, le reste demain.

Bonne nouvelle année, et merci pour votre fidelité.