lundi 7 janvier 2008

A quoi mène un commentaire

Un commentaire peut compter beaucoup dans ma vie. Par exemple, me réveiller et me faire réfléchir:

"C'est vraiment cela que tu veux?"

J'avais écrit vouloir rencontrer quelqu'un, comme ma tante à 73 ans, quelqu'un qui deviendra important dans ma vie. J'ai reçu une encouragement: "ma voisine a rencontré à 83 ans et cela fait depuis deux ans qu'ils vivent ensemble."

Ma première réaction était un soulagement: "ah, je peux attendre alors encore dix ans, tant mieux". Presque aussitôt, je me suis imaginé vivre avec quelqu'un et aussitôt, sans hésitation, je me suis dit "ah non!"

J'aime trop mon indépendance, faire à la maison ce que je veux, quand je veux! Pas question de recommencer à tenir compte de quelqu'un, quand je me réveille, quand je lis, la façon que je tiens le chez moi, ainsi de suite. Vite! Je retire mon souhait.

Il en reste bien sûr, mais j'ai bien encore au moins dix ans pour cela, n'est-ce pas, rencontrer un être avec qui je peux bien communiquer. Qu'importe si c'est un ou une amie, l'important est se comprendre et s'écouter.

Il faut bien réfléchir ce qu'on souhaite et ne pas dire trop vite, ce qu'on souhaite à un moment donné peut ne pas être du tout ce qu'il nous faut vraiment!

6 commentaires:

  1. Je viens de lire l'article publié par Marine et ton commentaire rectificatif. Malgré les quelques erreurs (compréhensibles) que tu as rectifiées, Marine a écrit, sur toi, un billet élogieux qui correspond bien à ce qui transparaît dans ton blog. comme elle, je te dis : continue encore longtemps à communiquer comme tu le fais... Tu acquiers une richesse inégalée avec les gens que tu rencontres et que tu nous montres et tu gardes la liberté de vivre chez toi comme bon te semble.

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  2. C'est ton choix, ma belle de vivre seule, mais tu peux avoir un copain qui vit chez-lui et toi chez-toi, ce serait merveilleux pour les échanges.

    Je te le souhaite de cette façon.

    Bon lundi et bisous de ta p'tite cousine du Québec.

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  3. une douce rencontre peut se faire en effet n'importe quand et surtout quand on ne s'y attend pas, et pour qu'elle perdure à notre âge il vaut mieux, en effet oublier la cohabitation, ceci à mon humble avis.

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  4. ben quelque fois quand même, quand on a froid, pas envie de réagir ou des plombs à changer ?
    moi pour la rencontre cela deviendrait de plus en plus difficile, un passe muraille déterminé peut être ?et puis il est admis depuis mon adolescence "qu'on ne peut pas m'aimer" (allusion prohibée sur mon blog)
    mis toi Julie malgré tes réserves, tu aurais la générosité nécessaire

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  5. Vous dites le vrai: il est si difficile, si non impossible, au certain age pour les femmes independentes et creatrice tenir compte d`un autre, de ses habitudes de chaque jour.Parce que si souvent les habitudes de l`autre tendent de nous minimaliser tous nos capacites et talents et de nous reduir a la position de femme de service pour eux, je demande pardon, mais il est vrai. La vraie question ici est de nous nous laisser dominer, encore une fois dans cette vie, au nom de l`amour, ou non. Le choix est difficile davantage parce que souvent y est impliquee notre verite interieure et donc le choix peut terminer toute possibilite de vivre dans sa verite. Meme s`il est en question un vrai amour il reste toujours tres difficile parce que bien s`entendre depend d`etre ou non sur le meme niveau mentale et emotionale, avoir ou non des objectifs comuns. J`ai beaucoup pense a cette question ayant moi meme un certain age et j`ai chaque fois trouve la meme solution que celle dont Rosie y decrit: trouver quelqu`un qui ait deja un "chez lui" et qui, avant tout, sait respecter l`autre et les frontieres necessaires pour se bien entendre. Julie, je vous remercie encore une fois: j`ai appris beaucoup de votre vie, de votre maniere dont vous avez si bien et forte fait face aux provocations de la vie! Je me retrouve si souvent dans vos pages et je deviens plus forte moi meme car maintenant je sais vivre dans la verite de mon ame! Oui, c`est un choix difficile de vivre seule par la force de ses talents et de ses maines, mais il est preferable au fait de vivre avec quelqu`un avec qui on n`a rien en comun, ou pire, nous minimalise. Ecrivez, ecrivez, ecrivez encore et toujours chere Julie car nous sommes je crois suffisament beaucoup ayant besoin de vous et de votre facon de voir les choses de la vie!Peut etre je penserai ecrire moi meme un billet sur les ames soeurs sur mon blog!

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  6. on doute sans cesse d'avoir fait le bon choix.

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