lundi 8 janvier 2007

Trois bons livres, bien différents

Trois bons livre à la fois, quelle aubaine ! et cela en plus des Mémoires de Dumas que je déguste et savoure lentement, petit à petit.

Trois livres tellement différents les uns de l’autre. Sans leur donner une importance plus ou moins grand, puisque je les ai aimés tous les trois :

1. Los Angeles River, par Michael Connelly, un policier très bien traduit par Robert Pépin, trouvé chez mon fils. Je m’y suis mise et je n’ai pas réussi à en émerger que difficilement quand le devoir m’appelait de temps en temps.

Des caractères bien formés pour lesquels on sent tout près. D’une façon intéressante une partie est écrite à la troisième personne et l’autre à la première. Et malgré que c’est une suite, des livres qui ont été déjà écrit sur le même détective et qui continue dans d’autres, il démontre que des fois moins, c’est plus. La preuve est que j’ai commandé déjà d’autres livres de lui.

2. Drop dead gorgeous, par Linda Howard lu en anglais, est un policier romantique écrit en première personne entièrement. La personne principale ici n’est pas le détective mais la fille qu’il veut marier et qu’on veut tuer et c’est écrit par elle.

Mais ce n’est pas pour autant un livre comme une autre. Son caractère principal, lutte pour la suprématie dans le ménage tout en adorant son futur mari, fait tout pour lui reprocher tout ses fautes, vraies ou imaginaires. S’imposer, ne pas se laisser écraser. Un peu des super héros, l’un et l’autre, mais très amusant !

3. J’ai laissé quand même pour la fin le troisième livre qui m’a fait tant des fois rire à haut voix hier : A year in the merde, par Stephen Clarke.

Un anglais venu vivre à Paris, découvrant lentement les différences et ce qui l’étonne en s’y trouvant. Bien sûr, exagéré, un peu à la mémoires de major Thomson, si vous le connaissiez, je dirai, en mieux, si on peut le dire. Il décrit à travers ses déboires d’une année, autant les plaisirs qu’on ne trouve qu’en France que les travers et curiosités.

Clarke, qui par ailleurs a vécu non une année mais déjà dix à Paris, a publié 200 exemplaires à compte d’auteur et a commencé à les lire, ici ou là. Depuis, non seulement il a était édité (je présume même traduit) mais il l’a continué, écrivant et publiant des suites que je recevrais bientôt. Seront-ils aussi amusants ?

Que dire de plus ? Quand un livre est bien écrit, c’est bien écrit, n’importe le genre auquel il appartient, ou comment il devient connu.

2 commentaires:

  1. J'ai même plus le temps de lire. Du moins des livres car en ce qui concerne les blogs...
    Bises.

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  2. Bonjour et merci pour ce blog ...
    Moi aussi j'ai été enchantée par l'humour et l'autodérision de ce charmant anglais débarqué tout frais à Paris ... j'ai litérallement dévoré son roman, en version originale, c'est plus charmant ...
    Dans le même style, il y avait la série des Peter Mayle (A Year In Provence ... )
    A bientot sur le net

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