Expérimenter, communiquer, tâcher de vivre pleinement. Prouver a soi et aux autres, depuis dix ans déjà
mercredi 31 janvier 2007
Bonjour d'Agadir
Matinée passionante, très intéressante, même s'il a commencé pas si bien pour moi : près du Cazbah d'Agadir, je suis passée trop près d'un dromadaire assis et il m'a mordu le bras. Pas profondément, juste assez pour que je sens ses dents.
Puis, nous sommes descendus au port, surtout sardinier, et vu comment on fait des futurs chalutiers à l'ancien methode des portugais, mais aussi ceux qui sortent maintenant, tous rouillés. Ensuite, nous avons assistés à un crillé (vent de poisson)
Il parait que je n'arrive pas a ajouter des images, une autre fois alors.
Nous sommes ensuite partis a 10 km d'Agadir visiter un souk "à l'ancien": marché de grains (avec femmes y travaillant), marché de viande (avec tête des chameaux et agneaux en reclame) et marché des légumes. C'était une matinée bien rempblie.
Bonjour d'Agadir
Matinée passionante, très intéressante, même s'il a commencé pas si bien pour moi : près du Cazbah d'Agadir, je suis passée trop près d'un dromadaire assis et il m'a mordu le bras. Pas profondément, juste assez pour que je sens ses dents.
Puis, nous sommes descendus au port, surtout sardinier, et vu comment on fait des futurs chalutiers à l'ancien methode des portugais, mais aussi ceux qui sortent maintenant, tous rouillés. Ensuite, nous avons assistés à un crillé (vent de poisson)
Il parait que je n'arrive pas a ajouter des images, une autre fois alors.
Nous sommes ensuite partis a 10 km d'Agadir visiter un souk "à l'ancien": marché de grains (avec femmes y travaillant), marché de viande (avec tête des chameaux et agneaux en reclame) et marché des légumes. C'était une matinée bien rempblie.
lundi 29 janvier 2007
La persistance paye
Hiver ou été, la Butte Montmartre est toujours une joie à visiter.
Depuis plus d'un mois, jour à jour, (après que j'ai été la première fois invité) j'ai essayé migrer mes blogs de l'ancien à le nouveau Blogger: ce matin, je ne l'ai plus fait que par force d'habitude: Goal! Transformation réussi.
Mais pas mal des choses à fignoler encore. Ce que je peux, avant mon départ, le reste à mon retour. La persistance a porté ses fruits.
dimanche 28 janvier 2007
Place de Tertre, six mois après
Hiver ou été, la Butte Montmartre est toujours une joie à visiter.
Et puis, une création personnelle, de ses deux dernières.
Je vous laisse ces photos jusque je peux envoyer d'autres photos, ou même seulement quelques mots de Maroc.
Interactions humaines
Les bisous ont continués, c'était une merveille à voir.
Vendredi soir, je me suis trouvé à inviter pour une nuit, ne sachant pas que c'était pour plusieurs jours temps plein.
Ce matin, j'irai à Paris avec elle, demain on fêtera l'anniversaire d'une année de leurs petite fille, et si je ne trouver rien pour m'en sortir, ils ne partiront pas qu'en même temps que je vais à l'aéroport.
Quelle merveille cette interaction surprise par hasard et prise pour vous montrer, n'est pas?
Tout mène a quelque chose de bien, je l'ai toujours dit et le crois: je n'ai plus de temps de me soucier de mon voyage.
samedi 27 janvier 2007
Sortie d'ecole l'hiver
En allant hier cherchez à l'école mes petits fils, j'ai commencé à faire quelques photos, en attandant - ces deux filles inconnues, enchantées d'être photographiées, se sont approchées encore plus près de moi. Leurs regards m'ont rechauffées, tout comme ceux de certains adultes autre fois.
Une telle joie et complicité aussi sur leur visages!
vendredi 26 janvier 2007
Voyageurs / touristes
Le couple Gwendoline Prakash, "la cosmopolite" et Marc Thiébaut, "deux vies en une" est parti en mai 2006 en 4/4 de la région parisienne et ils ont voyagé dans des conditions durs pendant six mois! En allant d'abord vers la Mongolie jusque 20 km de la frontière Chinois, puis visitant plusieurs pays de l'ancien union soviétique.
Maisons de Mongolie appelées Yourte (en Olgy) de leur SITE allez le visiter, c'est un lecture fascinant en 33 épisodes.
Ils ont tout connu pendant ce voyage. Des tracasseries burocratiques des frontières et administrations des pays traversées à de l'hospitalité extrême dans petits villages où l'on a tué de mouton pour fêter leur venu. Du thé offert au lit, des logement avec clé sous la porte au beau milieu de la ville aux ennuies de voiture et réparations dans des petits villes. De sable et du montagne, des longues routes désertiques, des routes mais surtout des pistes - et tout cela sans parler les langues des pays traversés.
Un ethnologue hongrois il y a plus de cent ans je crois, en parlant ses langues, a parcouru certains de ses pays à pieds, il y avait mis plusieurs années pour chercher d'où les hongrois sont arrivés, sans d'ailleurs trouver une réponse. Les hongrois sont arrivés en Europe il y a environ mille ans de l'une de ses pays., que nous voyons comme presque identiques de loin, Kirghizstan, Tadjikistan, Kasahstan, Uzbekistan, Géorgie, Ouzbékistan, etc. mais qui en fait sont chacun très différentes et dont ils nous font le récit jour par jour!
Oui, ceci est de voyager vraiment et non pas faire une petite incursion touristique comme moi! Depuis, je me dis : t'es bête d'avoir le trac pour une petite voyage touristique en groupe! Hélas, pendant que c'est vrai qu'il y a de la vie après 70 ans, je suis assez ramolie ces dernières temps.
C'est facile à rêver qu'en plus de la France mon blog est lu par des gens de Canada, Maroc (oui, même si je ne sais pas d'où), Ile Maurice et même jusque Uruguay, Australie et même, maintenant la Polynésie Français... et m'imaginer, pendant que j'écris tranquillement de mon lit, couverte d'un duvet chaud, visiter tous ces pays, mais s'en sortir de mon couverture, aller vraiment, ce n'est pas toujours aussi évident que cela parait.
Je le fait pourtant et parais "courageuse" - je ne le suis pas tout le temps. Je ne voudrais pas vous tromper, je ne suis pas du tout le "mamie super cool" que cela parait des fois de mes notes. J'ai de la frousse, je reste trop souvent au lit, je ne fais pas assez des mouvments, je mange trop, je ne vois pas assez du monde, ainsi de suite. Mais au moins, de temps en temps, j'essais à faire mieux, à dépasser mes craints, sortir de mon trou. Fin janvier, huit jours au Maroc, et je ne sais pas si je pourrais écrire quoi que ce soit de là bas, en tout cas, je vais raconter mon voyage dès mon retour.
Déjà, savoir que j'aurais à qui raconter, me donne plus de courage.
jeudi 25 janvier 2007
Dans le Courrier Picard
Merci Annie de m'avoir invitée, merci François de me l'avoir envoyé et même publié comme image sur la site flickr, merci Lionel Minet pour la merveilleuse article. J'espère que la réunion aura des résultats, ce dont je ne doute pas, tenant compte l'énergie d'Annie et la volonté des jeunes filles.
Entre autres, Lionel dit dans son article:
"Julie blog depuis deux ans et a agrandi ainsi sa famille en communiquant avec des bloggeurs du monde entier."
"Bloggeuse convaincue et convaincante, capable, comme elle leur a avoué, de passer jusqu'à cinq heures par jour à communiquer avec ses amie(e)s du blog"
Lui aussi, j'ai réussi à le convaincre, pendant la réunion il a ouvert son premier blog, pour raconter sur sa vie. J'espère qu'il viendra aussi nous visiter pour qu'on puisse lui rendre parail.
Annie, quant à elle, a déjà ouvert plusieurs blogs depuis que je l'ai aidé à ouvrir le sien en novembre.
Oui, quel merveilleux moyens de communications, les blogs!
Cadeau
Ce n'est pas tout à fait vrai.
Mon fils m'a offert en revenant de son dernier voyage, des cahiers pour écrire, étudier ou pour mon journal, qu'il savait bien "comme je les aime" et ma belle-fille un tee-shirt trop large pour elle qui me va à merveille.
Néamoins, je trouve que le premier vrai cadeau, depuis longtemps, que j'ai reçu, est ceci:
Que de travail, à la main, et je m'imagine volontiers "en pensant à moi" pendant ce temps!
Ce matin, en ouvrant mon dernier livre, une autobiographie de Judith Krentz, j'ai enfin pris mon appareil photo pour croquer le cadeau, décidant que le montrer en utilisation fait plus vrai, que le prendre en entier. Merci!
Bien sûr, devinez d'où il arrive, ce cadeau reçu en décembre par la poste? D'un de vous, mes chers potes blog! De l'une que je n'ai pas encore rencontré face à face mais qu'on connait quand même peut être même mieux, en la suivant dans son blog, et elle dans le mien.
Je l'imagine souvent, en crochetant, en travaillant, faisant des choses que je n'ai jamais fait. Une bonne ménagère je n'ai jamais été. Hôte accueillante oui. Mère souciant, oui. Travailleuse sans relâche oui - mais pas dans la maison. D'autant plus j'admire celles qui le font. D'autant plus j'apprécie cette marque page fait à la main.
mercredi 24 janvier 2007
Rencontres
Je n'ai jamais pensé à avoir peur. Mais je leur ai repondu aussi la vérité: "ils n'étaient plus des inconnus pour moi!" je les conaissais bien, à travers leur images, leurs vers, leur écrits jour à jour! Je n'ai pas ajouté "quelque fois mieux que ce qui sont autour de moi." Pourtant, c'est aussi vrai.
Et non, je n'ai pas eu aucun mauvais surprise non plus dans les rencontres face à face. Plutot des bonnes. J'ai rencontré pas mal entre ceux connus à travers les blogs ou à travers le flickr. Ecriture ou images. Souvent, les deux en même temps.
La dernière rencontre avec quelqu'un monté du sud de la France, près de la gare Saint Lazar, elle est en train de prendre les montres, alors, j'en ai pris aussi une photo d'une partie de la statue. Ensuite, nous avons continué les discussions et la promenade, jusqu'au gare de Lyon, où elle a dû prendre le train de retour.
C'est vrai, je n'ai pas fait une vraie amitiée durable, rencontré quelqu'un qui devienne proche (même si des fois j'avais espéré), mais à chaque fois, nous avons passé de très bonnes moments ensemble.
Dans le diaporama ci-dessus, quelques images de rencontres, la première de Pierre, un des premiers blogeurs que je lisais jour à jour dès le matin. Y figure aussi Damdam, Eva, Giulia, Gelzy, Coyonte, et beaucoup d'autres. Certains préfèrent que je ne dis pas qui est qui, donc je ne vais pas citer tous et toutes, et même il y a des rencontres qui ne figurent pas ici, pour des raisons analogues. Vers la fin, ceux rencontrés à travers la site d'images, mais les plupart, écrivent mais font aussi des photos.
Que des bonnes souvenirs, vraiment!
mardi 23 janvier 2007
De blog en blog : fête d'anniversaire
Le bateau fait escale
Et la soute se vide,
Le soleil qui se couche
Sur la mer apaisée,
Sourit au monde astral,
A la lune livide,
Aux étoiles babouches
D'une nuit entamée.
J'ai coulé et glissé
Sur cette pente douce
Que certains interdits
Rendent bien dangereux,
Sur le quai embrasé
Que la vie éclabousse,
J'ai troqué le banni
Pour un saut périlleux.
J'ai fait de ma soirée
Un bouquet bicolore
Avec quelques pavots,
Des bleuets indulgents,
J'ai rejoint un passé
Sur vert éclairci d'or
Où seuls restaient des mots
Revenus au présent.
Ce fut une cascade
Dans le thème survie,
Un élan, un sursaut
Nécessaires au pardon
D'un jour où l'escalade
Meurtrière a surgi.
... Un moment soubresaut
Rédempteur d'affliction.
Si on doit pardonner, c'est à soi même, oui, et cela est important. A nous tous. Pardon aussi à ceux qui l'ont déjà lu, et aussi à ceux qui ont déjà écouté le chanson des Blogs par Gelzy. Il y en a plus de cinq cent à ce jour. Ci-joint, gelzy et Peire à l'orgue de barbarie, chantant pendant noël, photo aussi emprunté d'eux.
Mais dans cette anniversaire de deux ans du mien, qu'aurait pu mieux convenir à ajouter aussi?
Les jours à venir je visiterai et emprunterai d'ailleurs, je m'en suis enrichie de tous et toutes! Comme dit si bien mon amie Gelzy, merci à ceux connus et rencontrés, ceux que je lis, ceux qui commentent, mais aussi aux annonymes comme elle le dit, une grande merci!
lundi 22 janvier 2007
Souvenirs d'été et des rencontres
Dans la groupe afterclass, on nous a demandé de rappeler l'été, aujourd'hui, voilà quelques images venant de l'étés variées et des lieux divers.
Enghien, France, deux ouvriers avec qui j'ai discuté un moment, qui ont accepté volontiers que je les prennent en photo.
Cluj-Napoca, Roumanie, après une assez long discussion, ce retraité des postes (élégance d'été de là bas) m'a enfin souri même en photo. Nous avons passé une heure ensemble sur un banc du park de mon enfance. Au début, il était tout fermé, mais lentement, il s'était ouvert. Puis, chacun de nous a repris sa route et sa destination.
Kensington, Maryland, cette vendeuse était enchanté d'être photographiée, elle a même posée une fois avec son adresse electronique pour que je n'oublie pas de lui envoyer ses images. Elle vendait sur une minuscule marché plein air, chose rares aux Etats Unis.
Paris 18e, Marché rue de Poteaux - et le revoilà, mon marchand de fruits préféré, que j'ai pris plusieurs fois déjà.
Après la troisième rencontre, je crois, voilà son sourire complice et enchanté. Nous n'avons pas échangés beaucoup des mots, mais il savait que j'apprécie sa moustache et je lui avais rapporté des photos faites de la première fois, dont une en grand format.
Pourtant, je crois qu'il y a quelque chose en plus. L'acceptation et l'appréciation l'un de l'autre et de nos différences.
Tous ses gens, et scènes de vie, plusieurs milliers en tout, prises ses dernières deux années (t'as beaucoup des cousins, maman dit ma fille) ont compté dans ma vie. L'appareil photo, comme l'Internet, m'a rapproché des autres au lieu de m'éloigner.
dimanche 21 janvier 2007
Il y a douze ans
Il y a deux ans, je venais de découvrir Picassa et les mozaiques qu'on pouvait en faire et j'espérais trouver des copines dans le cours de photo studio que je prenais.
Mais deux jours plus tard, j'ouvrais ce blog!
Je ne savais pas encore que ma vie aller changer et je ne vais plus me sentir seule au monde! Je découvrais ensuite les groupes et la communauté au site flickr qui me prend tant d'énergie et me fait sentir appartenir au monde.
Savez-vous ce qu'est Picassa? Il permet de voir différemment tous les images de l'ordinateur, changer un peu les images et faire facilement un mozaic (mais les différentes images faites à partir de l'image centrale, je l'ai créé avec les "filtres" de Photoshop elements).
Je ne comprends pas ce qui se passe: j'avais environ 150 lecteurs l'automne qui ont diminué à milieux et depuis hier, revenu d'un coup. Est-ce que j'ai eu hier un mot qui a apporté soudain des "faux lecteurs"? Pourtant, je n'ai rien écrit de spécial.
Déjà il y a deux ans, Picassa, acheté par Google, tout comme le Blogger, permettait à envoyer une image à ce dernier directement.
C'est ainsi que j'ai découverte l'existence des "blogs".
Depuis longtemps, j'essayais d'ouvrir une site, mais utiliser le FTP ou quelque chose comme cela était au dessus de mon niveau d'incompétence. Ou compétence? Avec le Blogger et Picassa, je pouvais soudain publier images et textes sans devenir technicienne de Internet! M'exprimer.
Et plus tard, lentement, être lu.
Lire? J'ai commencé découvrir les autres blogs à travers celle de Coyote, découverte à Flickr grâce à ses images de neige, qui me rappelaient mon enfance et ma ville natale. Et aussi par le blog Un blog par jour. En allant de lien en lien, en laissant des commentaires, sans me rendre compte, je me suis fais des amis. Des potes, qui venaient me voir aussi, de temps en temps.
Mardi sera la "grande fête" d'anniversaire, mais je crois que je dois rendre hommage à Blogger, à Flickr, à Picassa et tous les autres outils me permettant à communiquer, pendant plusieurs jours.
Hier sur flickr, j'ai montré cette image.
Une de mes dernières photos exposée, admirée, regardée.
Qu'en dites vous?
Bien sûr, ce n'est pas dur de le réaliser: il y a une site qui offre gratuitement de le mettre à cette place - hélas, c'est toujours les mêmes deux femmes qui contemplent l'image exposée. Qu'importe! Il permet à s'imaginer, rêver. C'est tellement important! Jusque je ne l'ai pas réalisé, je ne m'en suis rendu compte. Pourtant, je le savais déjà.
Les mots dans un cahier, jour après jour, semaine après semaine, année après année. Plus de soixante ans. C'est importante. Les photos dans les albums, qui s'accumulent les uns sur les autres, qu'on regard et on s'en souvient, c'est doux. Mais pouvoir s'ouvrir vers les autres, vos paroles lues et les images vues, c'est tout autre chose.
samedi 20 janvier 2007
La saison pour...
C'est presque fini, la saison des rois, pourtant, c'est bon en tout saison.
Heureusement, pas aussi cher partout! En plus, cette année, j'ai trouvé à la pomme, à la crème, préparé de pleine de manière moins traditionelle et moins cher aussi. A chaque fois, mon petit fils palpite pour voir est-ce lui qui aura la fêve et deviendra roi, ne serait-ce que pour quelques instants.
La saison des plateaux de mer est en plein boum, en attendant ce jour A. de flickr j'étais fascinée par la vitesse que deux préparaient celle-ci, l'un ouvrant les huitres, l'autre ajoutant le reste. En regardant mon propre image, j'ai décidé d'aller au café Nord Sud et en dégouster moi aussi. Quelqu'un veut m'y joindre?
Je ne sais pas si on peut manger juste entré et dessert, mais aujourd'hui, en les regardant je me dis, pourquoi pas? C'est encore la saison pour les deux pour quelques jours!
vendredi 19 janvier 2007
Interminable
J'ai l'impression que les quelques photos que j'ai fait hier sur la route (finalement seulement trois heures et demi) vous font sentir ce que j'avais ressentie. Il picorait plutôt qu'il pleuvait, sauf si une voiture me dépassait, assez souvent projettant de l'eau sur mon parbris.
Par contre, les nuages bas et ménacantes m'ont enchantées, même si je n'ai pas réussie à les prendre quand et à chaque fois je le voulais. Et quelques arbres, pris rapidement, ont aussi allégé ma route.
Avec l'appareil photo près de moi, même la nature grises me parut parler de la beauté qu'on peut trouver en tout, non seulement dans la nature verte ou ensoleillée.
jeudi 18 janvier 2007
Départ de Doullens
Voilà, ce que j'ai trouvé hier midi au centre ville Doullens: sous la porche de l'église. Un couple se tenant la main!
Ce matin des vents forts, mais comme il parait qu'ils vont durer toute la journée, je pars quand même. ps. Je suis arrivée à la maison.
mercredi 17 janvier 2007
Arrivée à Doullens
J'ai eu une audiance nettement plus grand que je l'espérais et au moins trois mamies et un papie (et un journalist) vont commencer un blog, ainsi que le foyer des anciens.
Comme j'avais dit, je parlais plus de vos blogs que du mien, des miens, mais nous avons aussi fait une démonstration de comment on ouvre un blog et ajoute une image. Ce note faisait partie 'd'ajouter une image'
Les hauts et les bas d'une relation
Au lieu de vous envoyer là, je recopie ici les textes. Le premier texte, note "heureuse", était destinée à la fin de livre (que nous avons déposé ensemble au bureau copyright en Washington, mon mari et moi, à l'époque), le deuxième écrit dans un de mes nombreux cahiers que j'utilisais pour écrire et travailler, mais c'était daté: je n'avais pas mon journal intime près de moi et j'étais décidé à consigner ses paroles au vif. J'essayais écrire mais j'étais interrompu sans cesse.
Les lignes qui suivent ont été écrits fin 1994
Nous : ce n'est ni moi, ni “Lui”,
ce n'est pas non plus lui et moi,
“la somme est plus que ses composants” !
Des liens forts, divers, invisibles de l'extérieur,
comme dans une charpente.
De vécu, souvenirs communs qui nous ont marqués,
qu'on ressent de la même façon, et plus...
que je ne saurais pas décrire.
Mais je le sens. Lui aussi.
Ce NOUS existe, nous le savons.
Cette communauté
de vue, de goûts,
d'Esprit, de Corps
d'Âme, de Sentiments
d'Intelligence, de Sens
de Compréhension et d’adhésion,
cette - faculté d'être ensemble.
Puis, ce soir, mon mari “idéal” me dit que “je truque, je filtre”, je “casse l’unité du plat”, je “bidouille” - tout cela, parce que j’ai lui ai dit que ce soir je ne mangerai pas de viande, mais je veux bien manger les pommes de terre qui l’accompagnent. Mon estomac ne supporte pas tout, à n'importe quelle heure de journée. (Il insistait pour faire lui même la cuisine, bien "français")
Je filtre - oui, j’ai le droit de choisir, la liberté de choix ?! - ou devrais-je prendre pêle-mêle tout qu’on me donne, toute information qu’on me présente. Je ne lui reproche pas, tel qu’il le fait lui, pourtant ça le conduit être ultra influençable chaque fois du dernier truc entendu au hasard de sollicitations. (Il s'agitait de la télévision, surtout, mais aussi des journaux)
« On n’a le droit de rien refuser, exclure... », me affirme-t-il.
Ma tête n’est pas une poubelle ! où on peut mettre tout, pêle-mêle. François a une mémoire de « mega-bytes » rangés en casiers et organisés, moi je dois soigneusement filtrer.
Pas me laisser influencer, reprocher le énième fois tout ça !
Julie ! Sache mieux l’écouter, mieux le comprendre.
Je t’ai attendu presque 60 ans, la vie a été bonne avec moi, t’es là! Le destin m’a donné deux enfants, et Toi!
Jamais, dans ma jeunesse je n’ai été si pleinement heureuse, je n’ai été si pleinement satisfaite par quelqu’un à tous les points de vue, jamais je n’avais communiqué tellement en autant de choses, âme, corps, esprit, sens, sentiments.
La lutte de l’esprit et des sens (ou sentiments) me bouleversait quand l’un me disait une chose et l’autre me tirait ailleurs. Maintenant ils sont en accord, tout tend vers lui, vers ce Nous qui existe enfin, vers une satisfaction complète de mon Soi, de son Soi unis de mieux en mieux chaque jour, chaque heure.
Un jour plus tard, 24 decembre, 1994: 50 ans après avoir commencé mon journal
Aveu, Paul Géraldy (fragment)Comme si c’était mon mari qui aurait écrit ces lignes!
Je sais bien qu’irritable, exigeant et morose,
insatisfait, jaloux, malheureux pour un mot,
je te cherche souvent des querelles sans cause…
Si je t’aime si mal, c’est que je t’aime trop.
Je te poursuis. Je te tourmente. Je te gronde…
« Ne me demande pas des choses absurdes » me dit-il, par exemple.
Une autre fois :
« Tu es tout le temps à tirer en dehors de problème, en vide. »
Ce que je veux dire, ajouter à la discussion (sinon son monologue), n’est que « vide » à ses yeux, le seul important est ce qu’il dit lui, de quoi veut discuter lui.
« Tu veux rester dans ton truc étroit. »
Pourquoi me vexer ainsi ? ! « Son truc » est large et le mien étroit? Ce qu’il pense ou veut dire important et venant de moi vide, nul? Je me sens de plus en plus mal à l’aise.
Mon travail n’avance pas.
Je m’efforce en vain de travailler, il recommence à hurler.
Revenu en 2007
Et ceci, quand tout allait à merveille entre nous, au moins j'étais convaincu je dirais, ce matin, j'essayais à me convaincre que c'était ainsi, mais j'avais eu aussi de très bons moments d'entent, même s'ils ne duraient pas longtemps, mais à l'époque je sentais (peut être lui aussi) ce "nous" exister! sinon, je n'aurais pas commis ces vers...
Ce matin, silence autour de moi. Personne ne m'interrompe.
mardi 16 janvier 2007
Que vais-je dire?
Ce blog, surement. En quelques jours, il va fêter son deuxième anniversaire. Fidèlement, à chaque fois que j'ai pu (et j'ai fait des efforts pour pouvoir) j'étais là. Des fois seulement avec de texte, autre fois avec des images, dernièrement aussi avec quelques vidéos. Mais présente. Je crois que c'est important: quand je vais lire un autre blog, j'aime bien aussi trouver quelque chose de nouveau à chaque fois.
Sur mon blog journal, oui, je vais en parler aussi. Et puis? J'ai pour le moment trop d'autres! Mais c'est les deux que j'allimente régulièrement, quotidiennement. Je ne sais d'ailleurs pas jusqu'à quand.
Dans mon retro blog, je suis arrivée à 50e anniversaire de début de mon journal. Il y a douze ans. J'étais alors décidé à finir là mes "confessions", mon livre journal publié. Finir sur une note positive, finir quand j'étais heureuse, finir quand je me sentais aimée et j'aimais, beaucoup. Finir en beauté. Comme il se doit dans un livre, tel que j'aime dans un livre.
Sauf que la vie n'est pas un roman et elle va en haut et en bas, ne s'arrête pas ni au happy end, ni au grands désespoires - heureusement d'ailleurs pour cette dernière. En plus, après quelques semaines, mois? Il faudrait que je regarde les dates! j'ai décidé de continuer mon journal, rien que pour moi, vraiment rien que pour moi. A ce moment là, j'ai pu de nouveau m'y mettre, de nouveau écrire comme avant d'avoir décidé d'en faire un livre.
Je pourrais encore continuer un peu. Mais jusqu'à quand? C'est une grande problème! En commenceant, cette fin me paru si loin, je me suis dit: "je verais alors"! Je m'en approche.
En fait, je ne sais pas vraiment que dire de mes blogs, mais je sais surement et sans problèmes que dire des votres - alors, je pourrais surement parler, montrer, vos blogs. Cela sera une vidéo-conférence lié à internet, il parait donc que je pourrais naviguer à ma guise. Ecrire, être lu était très important pour moi, me sentir moins isolée, surment. Vous lire, c'est une joie quotidienne, mon journal, mon télé à moi. Alors, en sachant ceci, je n'ai plus peur d'y aller pour parler des blogs et ce qu'ils peuvent apporter après la retraite!
Après avoir écrit cela, hier soir, je me suis rendu compte que ce que je dois expliquer, ce qui est devenue la plus importante est que je suis devenue, rompant l'isolement, à travers les blogs (et images) une maillon de la chaine que nous tissons ensemble jour à jour. Ceux qui écrivent, les lecteurs, les comentateurs, de n'importe où le monde et de n'importe quel âge.
lundi 15 janvier 2007
Je voudrais...
Je lisais aujourd'hui un blog d'une canadienne à Grenoble, Shandara, qui a parcouru une année entière les Etats Unis avec de camion! Au moins, je peux voyager ainsi par procuration!
Quand même, mon voyage à Maroc se rapproche, et d'ici là, je me sentirai mieux. Pour le moment, je n'ose pas tellement même mettre mon nez dehors. Quant aux confessions, au long des deux années depuis que j'ai ce blog et les soixantes années de mes journaux, je ne crois pas qu'il reste beaucoup non dit, ou alors, c'est que je n'ai pas envie d'en parler?
Je n'aime pas tellement des "confessions" provoqués par d'autres, mais cette fois, Shandara m'a fait rêver, partir, voyager! au moins dans mes fantasmes, tout en restant sagement au lit, je suis partie loin et j'ai vu pleines des choses et gens intéressants!
dimanche 14 janvier 2007
Avant hier encore...
Je regardais les reflexions et les mouvements dans la Seine
Je me rechauffais dans le regards de vendeur du kiosque
ou le soleil sur les arbres nus de l'hiver
que c'était beau, que c'était agréable, avant...
Avant d'avoir attrappé ce foutu rhume, ou plutôt c'est elle qui m'a attrappé! et depuis, plus de 24 heures et cela dure et dure et n'est pas fini, je n'arrive plus à respirer, de avaler, de... pourtant, je sais, je me dis "ce n'est qu'un petit rhume, dans ta vie, il n'y a rien de grave!"
Oui, oui, je me dis, mais surtout je me dis "quand cela finira?"
samedi 13 janvier 2007
Près de Paris
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u un peu, pour mieux approcher la rivière et admirer les reflets et l'eau tremblant sous le vent. Comme si je n'étais plus au milieux des grands imeubles, de la circulation, de l'hiver. Quelques minutes presque hors de temps.
Pas trop long, pas assez long à mon goût, mais j'étais parquée dans une zone "on vous emporte la voiture", même si c'était hors de circulation et en fait ne dérangait personne. Allant vers la maison, un peu plus tard, j'ai aussi vu (et pris en photo) des voitures qui ont été emportés, mais elles étaient mal parquées depuis plus de temps que la mienne.
Je ne regrette pas d'avoir pris la risque, même si c'était une visite éclaire dans "ailleurs".
vendredi 12 janvier 2007
"Oldman in subway from Julie70"
Nicolas de Fontenay, dont le blog je lis depuis deux ans, et que j'ai rencontré il y a quelques mois à Paris, vit à Thailand. Il a aimé la photo que j'avais publié hier soir, mais qui n'était pas assez forte à son goût.
Ce que j'ai publié ici, c'est son oeuvre: il l'a rendu plus saturé, il a aussi réduit les blanc "pour réveler plus des détails de ses mains et visage". Et voilà, une collaboration à travers les frontières, des images qui rebondissent de si loin!
Je trouve la web et ce qu'on peut faire à travers, magnifique!
Non seulement j'ai rencontré mercredi une anglaise d'origine de Cevennes par la famille près de la gare Saint Lazar, et nous sommes allées ensemble prendre un café et ensuite des photos (elle était là pendant que je prenais celle-ci) mais mes images sont empruntés, améliorés, montrés avec leur nouvelles formes!
Et tout cela en quelques jours!
De Montana, en Scandinavie et jusqu'à Thailand, quelqu'un a pris de la peine de les améliorer et me les montrer. Merveilleux sentiment de faire partie du monde. Sentiment d'appartenance, extraordinaire. Pourais-je dire jamais que je suis seule quand je suis ainsi entourée?!
jeudi 11 janvier 2007
Bonne année et meilleurs voeux!
Oui, c'est écrit Happy new year, pour mon groupe Afterclass, j'ai fait une exemple de l'utilisation de photoshop elements... cela veut dire bien sûr, en français "bonne année" quoique, happy veut dire joyeuse et new veut dire nouvelle, mais les habitude changent de pays en pays.
Et j'espère, personne n'a pas cru que ma note de hier était de quelque chose qui m'arrive maintenant. Aujourd'hui la joie et de rencontrer, comme hier, un autre photographe et me promener avec elle à Paris, regarder autour avec ses yeux à elle, de temps en temps. Je vous montrerai demain quelques images que j'ai pris quand nous étions ensemble.
mercredi 10 janvier 2007
Il y a seulement douze ans
Oui, si je ne lirai pas aujourd'hui, ce que j'avais écrit alors, ce que j'avais ressentie à ce moment, je me dirais "ce n'est pas vrai". Ecrire et conserver les moments qu'on vit, vaut vraiment la peine. C'est tellement différent de ce qu'on écrit "mémoires" après des années!
7 Novembre 1994
Quatre ans depuis que nous sommes, et si Bien ! mariés. C’est aussi l’anniversaire de la mort de papa et celui de la révolution russe, fêtée dorénavant seulement par quelques nostalgiques. Il y a deux jours j’ai vu Gorbatchev à la télé, il a rajeuni.
François et Julie grand-père et grand-mère et... jeunes amoureux.
À cette occasion j’avais envie de décrire quelques-uns des nombreux liens qui nous unissent, plus qu’on aurait cru, nettement plus qu’il y a quatre ans et de loin plus qu’avec n’importe qui d’autre.
Corporels : pas seulement être là, câliner, satisfaire l’autre chaque fois qu’on devine ou que l'autre en manifeste l’envie, mais s’y donner complètement et avec amour. Aimer jouir et aimer faire jouir. Sans jamais faire un drame de la fatigue, des lassitudes momentanées de l’autre, se comprendre, s’attendre.
Mais en plus, la tendresse des nuits, du coucher et du réveil. Dormir enlacés, se retourner en même temps la nuit, le plaisir de sentir la peau de l’autre, de caresser, être caressé, massé, sentir l’autre. Être là.
D’âme : avoir des sensibilités très rapprochées, pleurer, rire ensemble, avoir de la joie, de l’émotion et de la tristesse partagés, sentir à l’unisson beaucoup de choses.
Partager. Un film, une histoire, une musique, une rose, un paysage.
Non, on ne les “partage” pas, puisqu'on les regarde ensemble, avec des sentiments qu’on sent de l’autre, qui émanent de l’autre, c’est avoir un plaisir agrandi... pas une part du plaisir, mais plus grand que si on le voyait seule. Ceci non plus, nous ne l’avons jamais ressenti ainsi auparavant. Non pas à cette hauteur, profondeur.
J’ai l’âme un peu plus masculine, François un peu plus féminine et on se rejoint énormément en sensibilité, dans la façon dont nous ressentons tout qui laisse une empreinte d’émotion. La rose que François offre à mon regard, les feuilles d’arbre impressionniste tremblant sous les derniers rayons du soleil que j’offre à François. Nous nous offrons ainsi plein de cadeaux que nous rapportons avec nous et dont le souvenir nous rapproche.
Puis créer, travailler ensemble, des cours, des travaux dirigés...
Je suis fatiguée, lasse, mais ma préretraite est réglée. Ou presque? Non. Davantage. Bientôt, je ferai le "boulot" d'une grand-mère à Washington pour deux semaines. Et mon livre avance bien!
8 Novembre 1994Ça fait exactement quatre ans que je suis mariée à François. Aujourd'hui, en descendant pour ranger ma voiture je me suis regardée dans la glace de l’ascenseur et je me suis sentie si jeune, si bien dans ma peau. Le miroir me dit aussi que je vais très bien. Heureuse, détendue.
Le monde est beau! Et, comme dit François, quatre ans de mariage ont laissé leur empreinte sur moi.
La traduction et l'introduction de mes journaux en Mac y est aussi pour quelque chose. Je vis un peu dedans et parfois je ressens l'émotion vécue au temps que je suis justement en train de traduire, de corriger.
C’est la première fois que je relis mes journaux du début jusqu'à la fin, je suis arrivée juste après la semaine où je suis devenue femme et je ressens bonheur et soulagement après mes doutes et mes hésitations - je me rends compte que j’avais réussi à être heureuse en n'importe quelle circonstance! La force que cela me donne, m’a toujours donnée.
Rappel des temps quand à 25 ans je venais d'être mis dehors de mon travail, interdit de continuer mes études, juste avant que je décide de sauter le pas et devenir femme.
Mais instinctivement, à l'époque, je le comparais aussi à ce qui venait se passer avec moi: j'avais perdu justement mon emploi, comme à 25 ans et je ne savais ce que je ferais de ma vie, mais j'avais trouvé de la joie, plusieurs d'ailleurs, pour m'en sortir.
mardi 9 janvier 2007
Je me prépare pour Maroc
Autre les découverts des sites et lieux, je voudrais pouvoir rencontrer des gens et leur parler, les voir vivre, autant que possible. Autant que le temps va nous permettre. Faire une voyage, me met dans un état spécial pour longtemps.
Le temps que je le rêve, je l'imagine, l'étudie. Je suis pour le moment à la rêve, je ne me suis pas mise aux études encore.
Le temps de le vivre, humer, regarder. Photographier, et ammaser les souvenirs minutes par minutes en étant le plus possible présent. et la vivant autant que mon âge le permet.
Le temps de m'en souvenir, trier les images, écrire les impressions, réfléchir ce qui c'était passé et tâcher de le transmettre.
Ces quelques jours de voyage vont m'occuper longtemps!
lundi 8 janvier 2007
Trois bons livres, bien différents
Trois bons livre à la fois, quelle aubaine ! et cela en plus des Mémoires de Dumas que je déguste et savoure lentement, petit à petit.
Trois livres tellement différents les uns de l’autre. Sans leur donner une importance plus ou moins grand, puisque je les ai aimés tous les trois :
1. Los Angeles River, par Michael Connelly, un policier très bien traduit par Robert Pépin, trouvé chez mon fils. Je m’y suis mise et je n’ai pas réussi à en émerger que difficilement quand le devoir m’appelait de temps en temps.
Des caractères bien formés pour lesquels on sent tout près. D’une façon intéressante une partie est écrite à la troisième personne et l’autre à la première. Et malgré que c’est une suite, des livres qui ont été déjà écrit sur le même détective et qui continue dans d’autres, il démontre que des fois moins, c’est plus. La preuve est que j’ai commandé déjà d’autres livres de lui.
2. Drop dead gorgeous, par Linda Howard lu en anglais, est un policier romantique écrit en première personne entièrement. La personne principale ici n’est pas le détective mais la fille qu’il veut marier et qu’on veut tuer et c’est écrit par elle.
Mais ce n’est pas pour autant un livre comme une autre. Son caractère principal, lutte pour la suprématie dans le ménage tout en adorant son futur mari, fait tout pour lui reprocher tout ses fautes, vraies ou imaginaires. S’imposer, ne pas se laisser écraser. Un peu des super héros, l’un et l’autre, mais très amusant !
3. J’ai laissé quand même pour la fin le troisième livre qui m’a fait tant des fois rire à haut voix hier : A year in the merde, par Stephen Clarke.
Un anglais venu vivre à Paris, découvrant lentement les différences et ce qui l’étonne en s’y trouvant. Bien sûr, exagéré, un peu à la mémoires de major Thomson, si vous le connaissiez, je dirai, en mieux, si on peut le dire. Il décrit à travers ses déboires d’une année, autant les plaisirs qu’on ne trouve qu’en France que les travers et curiosités.
Clarke, qui par ailleurs a vécu non une année mais déjà dix à Paris, a publié 200 exemplaires à compte d’auteur et a commencé à les lire, ici ou là. Depuis, non seulement il a était édité (je présume même traduit) mais il l’a continué, écrivant et publiant des suites que je recevrais bientôt. Seront-ils aussi amusants ?
Que dire de plus ? Quand un livre est bien écrit, c’est bien écrit, n’importe le genre auquel il appartient, ou comment il devient connu.
Il y a maitrise et maitrise
Et voilà, je reçois ce matin, d'un Maitre, qui connait bien, une hommage à ma photo: il a retravaillé l'image et me l'a envoyé sa version par mail. Sans me dire, pour le moment comment josep.stuefer l'a fait, la différence entre mes images et la sienne est nette.
Comme si n'était plus la même. A partir de sa version, je vois en fait ce que je voyais par la fenêtre, ce qui m'a attirée la première fois à la prendre (vous pouvez voir mes versions aujourd'hui au moins dans le côté du blog).
La collaboration (volontaire ou non), a du bon: chacun en ajoutant un brique en plus.
Déjà, l'idée m'était venu de lui, puis j'ai publié mes images et versions dans un fil qu'il conduit dans afterclass groupe, et ensuite, je la retrouve tout transformée! Nettement amélioré.
Je reçois souvent, en voyant ce que les autres font des leçons de l'humilité, mais cette fois c'est aussi accompagné par une joie : ma vision se trouve réalisée!
dimanche 7 janvier 2007
Voir, revoir différement
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En regardant d'une fenêtre, où je me trouvais j'ai apercu des maisons et des toits me fascinant. Puis, en utilisant le logiciel photoshop elements, j'ai obtenu quelque chose le montrant un peut plus clairement. C'est toujours la même chose, et pourtant, pas tout à fait.
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Et voilà, celle-ci ce n'est pas la nuit, c'est tout simplement l'inverse, le négatif du même image. J'étais stupéfait à constater comment cette scène parait réelle! Tout, sauf les toits bleus. Qu'à cela ne tient. J'ai transformé les bleus en rouge, c'est facilement faisable. Lequel parait plus naturelle?
Et ici, c'est une ature version, où j'ai travaillé et testé un peu plus, qui lui donne encore un tout autre air, n'est pas? J'ai eu l'impression presque d'avoir réalisé une peinture, en partant d'une simple photo faite de la fenêtre.
Je crois que chacune des cinq image dit quelque chose différente.