On peut sourire même sans dents. Ou moins dents. On peut s'y habituer.
De nouveau, pas en faire une tragédie!
Ce matin, j'étais épouvantée d'aller au dentiste comme je savais que prendre des empreintes sera pas facile. J'aurais envié de vomir.
C'était plus facile que je le craignais: j'ai appris a relaxer, a aller avec et pas contre ce qui arrive. Fini.
Maintenant, deux jours et demi sans mon dentier. Sans mes trois dents de devant. D'autres survivent, s'habituent, vivent et souris avec beaucoup moins des dents.
Si tout va bien, jeudi je les aurais de retour, sinon, peut être je devrais partir en Écosse sans ou en retard. Pourquoi ne pas espérer le mieux a la place de craindre le pire?
Faut-il imaginer le 'pire' et se dire que ce n'est pas la fin du monde? Elle me souriais toute heureuse, sans se soucier de l'absence de ses dents!
Pourtant, je me fait toute une problème de tout. Trop. Je me dis: pense a la vase: elle n'est pas si grande que sa projection!
Je me dis aussi, "j'ai le droits d'avoir un peu de pitié de moi même, tant que cela ne dure pas trop longtemps."
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