En passant par le pont piétonnier la nuit, mercredi.
En arrivant a Londres, j'ai passée semaine après semaine a travers ce pont, allant a ma rencontre La voie d'artiste. Pendant six mois.
J'y ai appris plus que je le croyais.
Mercredi j'ai passée de nouveau, admirant de nouveau les lumières colorées et leur reflet sur la Tamise.
Les reflects de la lumiere tremble not sons us la brise: comment la faire ressentir? Passer ce qu'on ressent?
Je me suis aussi rendu compte que la photographie ressemble a la création des récits devant une audience.
Il faut apprendre son 'instrument' et savoir l'adapter en suivant la circonstance.
Pour reproduire le mouvement des vagues, il a fallu mettre mon appareil a 'rapide' sans pointer comme pour les portraits ou fleurs.
Pour faire rire des adolescents il faut parler leur langage, language dont ils ne s'attendent pas d'une vieille 'dame'. Une autre audience agira autrement, faut adapter, glisser, modifier.
Hier, j'ai fait - presque - rien. Repos après et aussi avant préparation de mon 'grande' discours. J'ai réussis a même ne plus y penser. A la place, j'ai jouée avec les images, lis un romance, écoutée les histoires que mes copains ont racontée lundi soir.
J'ai fait une découverte.
Raconter une histoire importante: c'est intéressante mais pas passionnante si on n'en ajoute une pincée de humour, de poésie et auto dérision. Raconter une anecdote de la vie, peut amuser et dévoiler des choses profondes.
Bien sûre, quand on combine les deux, l'histoire reste et nous touche davantage. Il y a a chaque fois tant a apprendre!
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