Il ne s'agit pas de moi!

Hier, j'ai parlé au théâtre.

Pas si mal que cela et ps si extra non plus.

Mais hier, ce n'était pas sur moi, c'était sur les quatre personnes arrivant à Londres, de divers pays et continents du monde auxquels nous avons réussi à donner une voix.

Une femme réfugiée de Chili, devenu à la fin directrice de Nova, organisation charitable aidant les gens motivés "obtenir leur buts."

Elle nous a raconté ses difficultés de début, et hier soir, elle m'a montré aussi un album "la reine ne m'a pas remise la médaille d'honneur, parce que j'étais de Chilli, mais on m'a invité au résidence du premier ministre."

Un vieux monsieur noir de 83 ans, arrivé de Ouganda, avec pleines des récits intéressantes sur son pays d'origine, et énergie de tomber sur la scène pour nous montrer comment il a tombé en étant petit garçon quand il s'était coupé le pieds utilisant le "couteau" héritage.

Une femme arrivant d'Inde, nous racontant, comment la famille anglais l'exploitait, et lui a aussi confisqué son passeport, c'est le dentiste (et le police) qui l'a enfin "libérée" après deux ans! Maintenant, mariée, depuis 10 ans à Londres.

Une autre femme, Etrusquaine, dont la sœur avait été mariée à 11 ans, nous a raconté une histoire, qu'elle m'avait raconté à moi la première fois, comment elle, enfant de 11 ans, s'était enfuis de village à une ville, avait été recueillie par une femme "sais-tu travailler" qui l'a aidé ensuite à 14 ans d'aller en Arabie Saoudite où elle a trouvé une travail bien rétribué.

Tous, n'avaient pas de "voix" jusque Joanna n'a pas fait l'Atelier gratuit se "Raconter des histoires", pour laquelle elle a accepté que je viens l'aider depuis Septembre.

Hier, ils ont raconté leur histoire, une de leurs nombreux histoires, pour une public de 40 au théâtre!

J'étais aussi stupéfaite, combien de bien ils ont tous fait, sans lire, et avec mouvements et bonne voix variée. Scènes jouées. C'était fantastique. Quelle joie!

Nous avons été deux, raconteurs à ouvrir, moi, et à fermer, un autre marrant, la soirée, mais les vraies héros étaient eux.