vendredi 25 février 2011

Vendredi


Mercredi, j'ai participe a la réunion du club des gens travaillant pour le Metro. Sympathiques, quoique peu étaient présents.

Ici, c'est la semaine des vacances scolaires et pas mal partent avec leurs enfants ailleurs.

Des fois, en comparant, je me dis 'ah, meme moins que chez nous!

Bien sur, si je compare le 'chez nous' avec le deuxième de mon club qui est pres des plein des moyens de circulations, et toujours plein a craquer, c'est une autre histoire.

Eux, ils ont trop des nouveau venus d'un coup. Ce n'est pas facile de trouver l'équilibre... Nous en avons besoin, mais pas de trop a la fois,
pour donner a tous la possibilité de parler et se développer, prendre confiance en soi.

Apprendre a parler en public.

Cela doit être comme cela un peu avec immigration, chaque pays en a besoin mais pas trop a la fois...

Les nouveaux apportent des nouvelles idées et font le travail dont les anciens n'en veulent pas, a des prix bas permettant services moins chers. C'est commode. Puis un jour, cela parait trop.

J'étais une immigrée moi aussi et je crois. que dans mon ame j'en resterai pour toujours. Peut être pour cela que je comprends ceux qui arrivent et sont plein d'élan. J'essaie de les aider autant que je peux - sans oublier les autres.

Jeudi, hier, je suis allée dans un autre club, ils étaient encore moins nombreux, mais pleins des invites ont fait la différence. Deux fois par an, compétition de qui parle mieux dans les clubs et ensuite les meilleurs de chaque club entre eux. En même temps, qui apprécie mieux un discours ou histoire racontée.

Mon rôle, hier, était de raconter une histoire a apprécier.

Pour une fois, ou disons plutôt, cette fois, j'étais contente de l'histoire et la façon que je l'ai dit. Les participants ont aime, ont étaient dedans, ont été touches.

C'était: Romance a Paris.

Quelqu'un ayant observé les autres m'a dit: les gens étaient penches en avant en l'écoutant, tout dedans et en suspense.

CityCriers Contest
A la fin, les trois en compétition l'un avec l'autre ont dit ce qu'ils en pensent. Apres avoir dit combien ils ont aimée, quelle bonne raconteur je suis, ils devaient trouver quelque chose a critiquer. L'un n'était pas présent quand l'autre disait.

Pour moi, c'était amusant.

L'un a dit que de temps en temps, je parlait trop doucement et au fond de la salle il n'entendait pas bien. La suivant disait, combien de bien elle a entendu de la fond de la salle. L'un disait que je ne bougais pas assez pendant que je racontais, l'autre montrais les gestes que j'ai fait et disait combien il les a aime. Et ainsi de la suite.

Mais hier, au mois, mon histoire a porte en apportant de l'espoir. En disant mieux que les statistique et discours, qu'il y a de sortie et fin de tunnel. Souvent, arrivant, quand on en a les plus besoin. Si on ose le prendre, l'occasion qui se présente.

Et voila le gagnant au milieu.

Et ici une photo prise hier, que j'aime bien, qui me parle.
Toward City Criers
C'est l'entrée vers l'immeuble du City Banque ou travaille ceux qui m'ont invitée hier.

Aujourd'hui, je prends le train pour assister a une spectacle comique, tenu par mes collègues de Toastmaster, ayant déjà fait il y a un temps, le cours de Stand Up que je viens juste de commencer.

Vais-je comprendre?

Les blagues sont les plus dure a comprendre dans une langue et culture diffèrente du sienne.

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