On se perd en regardant une multitude des fleurs, pourtant en les voyant elles forment une formidable vue.
Par contre, trois fleurs parlent.
Au lieu de raconter beaucoup, le raconteur a choisi trois anecdotes, je ne dirais pas moi très importants, qu'on aurait pu raconter en trois minutes et il les a étirés a vingt minutes.
En racontant avec détail et gusto, théâtralement et exagération, pas mas de imagination et suspense, lente ou vite doucement et forte et utilisant a chaque fois des mouvements bien descriptives.
D'après moi, il n'a pas dit grande chose, finalement.
Nous n'avons pas vraiment entrés profondément dans sa vie et personnalité. Ses luttes et ses problèmes de vie non plus. Un peu dans la vie des adolescents entre 1975 a 1978, plus en générale pour moi qu'en particulier pour lui - comme a chaque fois l'hero positive ou malheureux de ses récit était un copain à lui; un différent à chaque de ses trois récits.
Mais les suspense et les description, répétitions ont été magnifiquement réalisés.
Toutefois, je n'irais plus jamais l'écouter raconter des histoires.
Une autre chose positive, c'était dans une part très colorée de Londres où j'envie de retourner avec un caméra une autre jour quand il sera plus chaud et ne pleuvra pas.
Dimanche, apres le cours Fatiguée, je suis entrée apres mon cours de comédie, a une resto pizzeria crêperie.
Un cafe et un pain au raisin.
Puis-je prendre une photo, je demande le garçon jetant en l'air la patte avant le mettre dans le four.
Oui, il me dit.
Voulez-vous le jetter en air pour moi?
Il l'a fait, mais cela était si rapide que la pâte avait retombée dans ses mains. La deuxième fois, j'ai déclenchée avant qu'il le lance dans l'air et voila la photo de la pâte en l'air!
Il etait bien heureux de voir la photographie!
Des gens sympa de la crêperie m'ont détendue après la tension de trois heures du cours: le prof m'avait laissée pour la dernière a montrer ce que j'avais préparée.
Trois photos de mon heros de dimanche: il a attrappe a chaque fois la pâte lancé en l'air!
Cette fois, j'ai réussi a les faire rire toutefois, même si il y a encore pas mal de travail dessus. Ce qui m'a fatiguée peut être le plus, était de comprendre ce qu'ils disaient entre eux dans un anglais si diverse!
Certains d'Australie, d'autre de Pays des Galles, d'autres de Écosse, ou des divers banlieue de Londres! Entre eux, ils se comprennent, même parlant des "langages" differentes.
Ce soir, je vais assister a quelqu'un racontant des histoires.
Hier matin et jusque une heure de midi, nous avons fait une acivite de notre club dans la librairie de centre ville. Plusieurs lecteurs passant par la librairie nous ont joint pour parler deux minutes sur un sujet donne juste avant, interesses par ce que nous faisions.
J'ai prise quelques photos, celle-ci est ma préférée.
Et dimanche midi, je retourne a ma classe de comédie - mais je suis épuisée, j'attends vraiment mardi - a 'rien' faire, rester chez moi. Rien faire, a bon, préparer la journée suivante et mon discours pour le lundi qui suit apres... Ai-je prise trop sur moi?
J'ecris ceci en fait, samedi soir a neuve heure, j'espere dormir longtemps longtemps!
Soirée des comiques de Toastmaster. Pendant un "Stand up" dans un club de comédie, on dit des choses qu'on ne dit pas, en general dans nos clubs. Et on adopte une 'personnage' de scene. Que vais-je etre?
Tous etaient bien mais je crois que lui est mon preferee, si je dois choisir l'un entre douze.
Toutefois, deux heures aller deux heures retour c'est un peu trop!
J\ai rencontree pas mal d'autres connus, c'est toujours un plaisir!
Il est minuit passe, demain a neuf on vient me chercher en voiture et me ramener du meme. Ce n'est que dimanche midi que j'irai seule de nouveau, mais ce route ne dure qu'une heure et je serai de retour vers quatre au plus tard.
Cette fois, j'ai un peu exageree avec les activites...
Mercredi, j'ai participe a la réunion du club des gens travaillant pour le Metro. Sympathiques, quoique peu étaient présents.
Ici, c'est la semaine des vacances scolaires et pas mal partent avec leurs enfants ailleurs.
Des fois, en comparant, je me dis 'ah, meme moins que chez nous!
Bien sur, si je compare le 'chez nous' avec le deuxième de mon club qui est pres des plein des moyens de circulations, et toujours plein a craquer, c'est une autre histoire.
Eux, ils ont trop des nouveau venus d'un coup. Ce n'est pas facile de trouver l'équilibre... Nous en avons besoin, mais pas de trop a la fois,
pour donner a tous la possibilité de parler et se développer, prendre confiance en soi.
Apprendre a parler en public.
Cela doit être comme cela un peu avec immigration, chaque pays en a besoin mais pas trop a la fois...
Les nouveaux apportent des nouvelles idées et font le travail dont les anciens n'en veulent pas, a des prix bas permettant services moins chers. C'est commode. Puis un jour, cela parait trop.
J'étais une immigrée moi aussi et je crois. que dans mon ame j'en resterai pour toujours. Peut être pour cela que je comprends ceux qui arrivent et sont plein d'élan. J'essaie de les aider autant que je peux - sans oublier les autres.
Jeudi, hier, je suis allée dans un autre club, ils étaient encore moins nombreux, mais pleins des invites ont fait la différence. Deux fois par an, compétition de qui parle mieux dans les clubs et ensuite les meilleurs de chaque club entre eux. En même temps, qui apprécie mieux un discours ou histoire racontée.
Mon rôle, hier, était de raconter une histoire a apprécier.
Pour une fois, ou disons plutôt, cette fois, j'étais contente de l'histoire et la façon que je l'ai dit. Les participants ont aime, ont étaient dedans, ont été touches.
C'était: Romance a Paris.
Quelqu'un ayant observé les autres m'a dit: les gens étaient penches en avant en l'écoutant, tout dedans et en suspense.
A la fin, les trois en compétition l'un avec l'autre ont dit ce qu'ils en pensent. Apres avoir dit combien ils ont aimée, quelle bonne raconteur je suis, ils devaient trouver quelque chose a critiquer. L'un n'était pas présent quand l'autre disait.
Pour moi, c'était amusant.
L'un a dit que de temps en temps, je parlait trop doucement et au fond de la salle il n'entendait pas bien. La suivant disait, combien de bien elle a entendu de la fond de la salle. L'un disait que je ne bougais pas assez pendant que je racontais, l'autre montrais les gestes que j'ai fait et disait combien il les a aime. Et ainsi de la suite.
Mais hier, au mois, mon histoire a porte en apportant de l'espoir. En disant mieux que les statistique et discours, qu'il y a de sortie et fin de tunnel. Souvent, arrivant, quand on en a les plus besoin. Si on ose le prendre, l'occasion qui se présente.
Et voila le gagnant au milieu.
Et ici une photo prise hier, que j'aime bien, qui me parle.
C'est l'entrée vers l'immeuble du City Banque ou travaille ceux qui m'ont invitée hier.
Aujourd'hui, je prends le train pour assister a une spectacle comique, tenu par mes collègues de Toastmaster, ayant déjà fait il y a un temps, le cours de Stand Up que je viens juste de commencer.
Vais-je comprendre?
Les blagues sont les plus dure a comprendre dans une langue et culture diffèrente du sienne.
Je voudrais bien pouvoir souhaiter bonne anniversaire de vive voix, mais je le fais a travers le blog, aujourd'hui.
Des souvenirs des années passées et des journées de rencontres fugitives me viennent a l'esprit. Et oui, nous étions voisins, mais nous ne nous connaissions pas. Passant et se voyant seulement par hazard sur la rue.
Et puis un jour...
Un jour je le vois s'arrêtant quelques seconds me sourire.
Ce qu'un sourire peut apporter!
Nous ne parlions pas toujours pas encore. Ensuite, je les vois en couple, elle me sourit encore plus.
J'adore les sourire et j'essaye les rendre, mais qu'est-il arrivee?
Un jour, c'est elle qui me le dit: mon mari lit votre blog. Depuis presque une année maintenant.
Quelle soulagement!
Des voisins lisant mon blog et encore me parlant, même me souriant!
Par la suite, nous nous sommes vus et parles, le courant est passe et j'ai découverte les plus merveilleux voisins qu'on pourrait souhaiter. En France, peu avant que je pars vers Londres.
Ils restent merveilleux, et je retourne dorénavant a chaque fois, comme 'a la maison' grâce a eux. Ils m'ont aidée et faire sentir aimee de tellement des façons que je ne pourrais jamais le décrire!
Ceci est la mairie de Londres la nuit, de l'autre cote de Tour de Londres.
Encore une fois, je suis retournée au Toastmasters de la société Man, j'ai racontée une histoire sur l'importance des histoires personnelles et vendu l'idée d'un séminaire entière sur le sujet.
Ils ont bien aime et, surtout, j'étais contente moi même de la façon que c'est passée.
Oui, je suis convaincue que j'aurais le séminaire! sans microphone, pour moi, c'est tellement mieux!
A la fin, on m'a dit "qu'est-ce que tu as vendue en fait: l'importance des histoires personnelles? le livre dont tu parlais ? ou le séminaire ?"
En réalité, les trois.
Un vrai vendeur ne vend jamais un seul produit et ne se soucie pas tant lequel de produit on va lui acheter - du moment que l'un est choisi et c'est le client qui reste avec l'impression d'avoir choisie!
Magnifique illuminations de nouveau, je suis allée et retournée par le bus navire!
Si vous en avez le temps, voila les 36 images des lumieres sur la Tamise, vis a vis surtout de Tour de Londres et du pont de la Tour.
Demain, je vais au club des gens travaillant au métro.
Hier soir, je suis allée donc a Brixton, sud Londres, mais rapide avec le metro, la ligne Victoria. En sortant, le complexe de cinéma Ritzy est tout pres de la sortie de Métro.
Je suis arrivée trop tôt, je croyais qu'on commencera a sept mais c'etait sept et demi, mais finalement double de public attendu, environ 45! On du ajouter pas mal des chaises.
Parler dans un microphone c'est horrible, ma voix comme du bois, ou alors j'avais peur ce que sortira... bon, tant pis. Mon recit a plu et emu et meme amuse; encore une fois des rires quand je ne les attendais pas. J'aime bien des rires, mais aussi comprendre le pourquoi.
J'ai reussi a proposer et faire accepter le récit aussi pour jeudi, au lieu de juge je vais raconter l'histoire mais un peu plus longuement: j'aurais deux minutes de plus. Je pourrais la mettre comme ma première tache de manuel Parler pour Amuser.
Pleine des histoires touchants, la plupart, mais pas tous tristes. Une meme franchement 'porno' heureusement je n'ai compris la plupart de ce qu'il disait: c'est la surprise de Micro Ouvert quand on ne sait pas d'avance qui dit quoi.
Un poet a lu des poèmes romantiques que j'ai beaucoup aimée.
Une jeune lesbienne a raconte d'une façon très amusante ses mésaventures avec une femme dont elle a eu mal a se debarasser 'mais j'ai aime le gâteau de chocolat que j'ai recu ensuite.
Et finalement, un récit inoubliable, par un amateur de clarinet sur la conquêt et rupture avec une amie, mais surtout, son détermination d'apprendre a jouer mieux apprendre jouer Mozart, et gagner de confiance en soi. C'était aussi très bien dit, et lui ne pas ete dérange par le micro, donc si je m'y habitue...
Réélections dans la nuit a la sortie.
Ensuite, je me suis engouffree de nouveau dans le metro.
Ce soir, je vais parler dans un nouveau club, sur l'importance des recits, et "vendre un seminaire" que je voudrais tenir en quelques mois.
Reveillee avec pensees sur Adam Bloom, comedian depuis 15 ans.
Il nous a raconte qu'il performe depuis 15 ans sans interruption, mais sa carriere est allee pour la moitie vers haut pour descendre relativement et rester sur un plateau maintenant.
'Je suis quand meme allee faire rire en quatre pays cette annee, je peux pas ;e plaindre. Mais au tele ils veulent des noirs et des femmes, il y a trop des gars comme moi, ils disent.'
J'ai regarde son video, un des plusieurs, sur YouTube - je l'ai mise aussi sur mon blog anglais. Il a le meme energie qu'en vie, tres sympatique et fait rire les gens.
Il comunique avec eux tres bien!
Alors, ce qui manque? Peut-etre, un message allant de debut vers la fin, unifiant sa performance et ses blagues. Je n'ai pas ose encore a lui dire directement, mais je lui ai ecrit deja une email. Qui suis-je pour donner des conseil a une comedien pro?
Il nous a appris tellement hier!
Aujourd'hui, en racontant Romance a Paris, je ne dois pas oublier mon propre conseil!
Bonne nouvelle! Ce n'est pas la seule Open Mic, il y en aura chaque mois a partir de maintenant - leurs themes sont deja annonces!
ps pour une semaine je n'ai pas de clavier francais, j'espere qu'il sera repare d'ici la.
Nous avons eu aujourd'hui, un comedien nous parlant pour une heure: en fait Adam Bloom nous a parle juste quelques minutes et ensuite il a répondu a nos questions.
C'était fantastique ; il parle très rapidement mais si claire que j'ai tout comprise1 Quelques messages: soyez vous meme; persistez et connectez vous avec l'audience.
Ensuite, le temps est passe avec quelques uns se produisant et le critique et bonnes impressions donnée par le directeur du cours et les élèves présents.
A la fin, nous sommes allés écouter parler ceux d[un autre cours d'écriture comique, Très sympas!
Cette activitée fièvreuse, ne m'est pas encore arrivée, au moins, depuis très longtemps.
Cela commence demain: une classe de comédie trois heures vers midi.
Lundi, une "open micro" sur Romance, 5 minutes sur Paris et son charme
Mardi, une histoire de 10 minutes sur comment trouver, préparer une histoire.
Mercredi, juge dans un compétition.
Jeudi, dans un autre, ailleurs.
Vendredi, spectacle pour assister à un TM comédie.
Samedi, une réunion de mon club à la librairie.
Dimanche, class de comédie.
Lundi, assister à une racon racteur racontant.
Une ancienne quartier industrielle qui change, a changée déjà pas mal, avec des traces de l'ancien et en même temps devenu "chic" pour les jeunes cadres.
J'y suis allée, dans une librairie, où on tient aussi des Cours et Discours et Expos, pour parler de cette récit autobiographique avec 20 images.
Je vais en préparer aussi un diapo en français.
Pour le moment, voilà quelques images: promenez-vous avec moi! Je me suis laissée emportée, en espérant à revenir sur la rue principale et reprendra le même métro, au même station, je veux dire, mais hélas, pas moyen!
Finalement, j'ai dû aller jusque la station prochaine.
Des fois il parait interminable, une corridor à parcourir seul, les jambes qui font mal ou au bout, il y a quelque chose qui nous fait peur. On se sent seule;
D'autre fois, le temps s'enfuit trop rapidement, on ne le voit pas passer. On voudrait l'arrêter. On l'arrête. Cela revient.
Je vais faire une présentation avec thème imposé "temps" et 20 images a projeter sur une grande écran, en dix minutes. Dans cinq semaine, dans un librairie sympa à Londres.
Cette nuit, j'ai ressemblé 20 (pour le moment 21) images.
Certains vont rester longtemps sur l'écran et d'autres défiler très rapidement, tout comme le temps passant à divers vitesses.
Une nouvelle défi devant moi.
Une femme sympa, la propriétaire du magazine m'avait accueillie hier et entre plusieurs idée qui me sont venus, au sujet du temps, c'est cela qui lui a plu le plus.
Maintenant à moi de créer l'histoire derrière ces images que je viens de choisir. Raconter peut être deux ou trois temps, en s'arrêtant sur l'expérience et voler rapidement au dessus le reste.
Nous allons quelque part, même si souvent nous ne savons pas bien où nos pas vont mener.
Dans ce cas, allant vers le mer, je ne savais pas que je vais découvrir, une vieille bateau de pêche nommée "julie"!
C'était une surprise agréable.
Pas chaque route mène par où on voudrait et souvent, devant nous il n'y a pas de route claire. Ou alors, comme dans ce cas, la route pavé s'arrête, avant d'y arriver.
Et maintenant?
Continuer sur les cailloux, les routes pleine des embouches peut être ou dans un forêt plein de buissons nous cachant le tournant?
Que va nous attendre l'année prochaine, les mois prochaines, ou des fois, les semaines? On voit juste ce qui est tout près de soi.
Pour le moment, j'ai pleine à faire jusque fin Mai, ensuite, c'est comme un brouillard devant moi. Qui sait, peut être je pourrais alors faire disparaitre le brouillard qui m'accompagne partout de mon oeuil gauche... D'ici là, j'espère comprendre plus sur les différents implants mises lors d'une opération de cataracte.
Jusque mois de Mai, au moins, pleines des choses à faire!
Pourtant, je sais, que même d'ici là, pleines des inattendus peuvent arriver sur la route.apparemment "pavé" d'avance.
Je suis allée le matin en bus, métro et train, près de la ville où habite Steve et de là, nous sommes allés dans sa voiture, en moins de deux heures, à Deal.
Hélas, il pleuvait, mais nous sommes sortis de la voiture quand même arrivés à la côte, et j'ai découverte un vieux bateau, m'ayant enchanté. Pleines des photos, prises, jusque la plue n'est pas commencé à être plus forte.
Ce n'est qu'après avoir écouté son histoire de policier à Skotland Yard et les divers succursales Sud Est de Londres et ses aventures divers qu'il a raconté à une soixantaine des "anciens" réunis, d'autres photos, cette fois de la voiture, n'ayant pas osé sortir à cause de l'appareil, revenue à la maison, que j'ai regardé mes images.
Quelle étonnement: le vieux bateau délabré m'ayant enchanté, a le nom Julie gravé dessus!
C'était l'anniversaire de la date que j'ai joint, officiellement, la groupe Flickr a 13 février 2005.
Bonne anniversaire!
Il y a tellement des anniversaires différentes!
En réalité, je l'ai utilisé un peu avant, puisque au début, la version béta était gratuit, mais j'étais si contente du résultat - et après toutes ces années j'y suis encore, que je paye avec plaisir la somme, relativement dérisoire qu'ils demandent.
D'autres anniversaires sont passées sans me rendre compte, par exemple, mon 3000eme billet. Ou, même mon entrée, ensemble avec vous, dans la sixième, ou est-ce septième, ah oui, septième année d'écrire dans ce blog.
Aujourd'hui, je vais près de la mer pour quelques heures!
Entre douze, je suis la seule femme. La seule "personne âgée" aussi. Et, presque la seule, avec tant d'accent!
Il y a un jeune garçon venu de Brazil, mais il parle mieux que moi, l'anglais "British"!
J'ai pas mal a apprendre, et je vais!
Le fait que je suis vieille et femme et avec accent, ne me dérange pas tellement, c'est surtout, que aujourd'hui, je n'ai pas réussi à les faire rire. Quand j'ai voulu. Ils ont bien rit de moi, quand je ne le voulais pas et, je n'ai pas bien compris pourquoi.
Je vais découvrir!
Quand les gens ne parlent pas assez forte, assez lentement, assez clairement (ceci presque tous les Britaniques parlant presque tous comme s'ils avaient une pipe dans leur bouche, mormonant, j'ai pas mal des difficultés à comprendre.
Je suis quand même sure, que je vais en tirer quelque chose de ce cours, même si je ne sais pas quoi, pour le moment. Du moment que je le continue, assez ouverte d'esprit. Et prête à un haut et vas émotionnelle, comme a dit l'animateur.
Quand viendra le 'haut'?
Il faut être optimiste et espérer que cela arrivera un jour.
J'y vais, départ en deux heures. Début des cours en trois et demi. Je me sens, ce matin, et je me suis sentie, hier toute la journée, comme vous voyez sur cette photo, prise il y a six ans.
Alors, je me suis dit: oh que je parais affreuse!
Qu'est je fait?
J'ai un peux exagéré, ou, encore davantage, exprimé comme rarement, on le fait, ce que j'ai ressenti à l'intérieur. Toute fois, l'exagération plait. Il est même comique. C'est l'image de moi qui a plu le plus aux autres.
Ainsi, si je me laisser aller, montrer ce que je sens, en jouant un peu, cela peut peut être faire rire, les gens, davantage qu'une belle mine ou une jolie jeune minois.
En plus, je n'oublie jamais ce que ma fille m'a dit, il y a environ dix ans quand je m'enquêtais de ce que les autres diront de mon front.
- Ne crois pas que les autres te regarde vraiment. Chacun pense à comment il est et ne regard vraiment pas l'autre en face.
Cela me parait ce matin rassurante.
Et s'il regardent, ils vont voir une grand mère qui leur sourit avec chaleur, rassurante et, les regardant vraiment.
Demain, je raconterai, comment c'est passé ce premier cours. D'après ce qu'ils ont écrit, surtout, en nous disant, ce qui suivra dans les autres cours. Donc, rien de spécial.
Mais en plus, c'est une joie de voir ce qu'on a appris ou sait mise en pratique, l'expérimenter aussi seulement en spectateur.
J'étais invitée à assister, dans un des immeubles du parlement "Westminster", à la finale d'un concours entre jeunes du partie Conservateur de Londres, un concours de discussions à la manière qu'on le fait dans le Parlement.
Une motion, proposition, et son réfutation. Deux équipes chacune avec deux jeunes de l'université. Une équipe de juges, choisis entre les responsables de divers meilleurs organisations de discussion et paroles en publique de Londres, que j'ai connu déjà lors une autre débat.
A la fin, une député lord au pouvoir, je dois apprendre encore son rôle dans le gouvernement, mais il était un magnifique orateur et débatteur lors des questions et réponses de la fin.
D'abord, j'ai appris ce qu'on ne doit pas absolument pas faire.
Parler trop rapidement, pour mettre de plus en plus des arguments à son côté. Dépasser son temps. Montrer du trac. Ne pas laisser des pauses et le public absorber ce qu'on dit.
Ce qu'il a fait, hélas, l'équipe qui n'a pas gagné.
Ils nous ont inondé avec des arguments et chiffres.
L'autre équipe a montré depuis le début un confiance en soi, déjà, pendant qu'ils écoutaient l'argumentation de l'adversaire, les regardant, mais avec un "air de supériorité." Ils ont dit ensuite moins et plus lentement, mais plus clairement.
Pendant que l'un de l'équipe parlait, l'autre écoutait avec intérêt, en y mettant tout attention, ne signalant: c'est important ce que mon partenaire dit.
L'air de confiance en soi et en ce qu'on dit, était finalement plus important que les arguments!
Le juge principal, un vieux et bon débatteur en public, responsable d'un des clubs les plus anciens, contre parlementaires, a bien expliqué a la fin. La plus importante est finalement la pause. Et, qu'on ne peut parler sans arrêt rapidement, il a démontré, sans laisser l'audience absorber les arguments.
"On ne peut jamais être trop claire!"
Moins, est plus. Laisser absorber à chaque fois ce qu'on dit.
Pour culminer tout cela, nous avons eu le plaisir, d'écouter quelque minutes, un parlementaire, je crois ministre de gouvernement actuel, parler juste quelques minutes. Ensuite, il a répondu longuement, a plusieurs questions diverses posées par l'audience.
C'était cette fois, une exemple fantastique de comment il faut faire.
Dominic Grieve, "Attornay General de sa Majesté, éduqué au début au Lycée Charles de Gaulle
Il a parlé bien sûr avec assurance, mais en plus aussi avec des pauses. Mais, encore plus important pour moi, il a utilisé dans ses réponses des histoires personnelles. Des exemples qui nous ont fait vivre avec lui son propre expérience, et mieux comprendre ensuite son point de vue.
Une confirmation pour moi de l'importance des récits.
D'accord, des récits courts, bien racontés, tellement inclus dans le réponses qu'il nous ont rendu lui, sympathique et le sujet comme si aurait été bien entendu.
"C'est bien de débattre, quelque chose intéressant en ressort, à la fin." il nous a dit.
Hier soir, je craignais un peu d'y aller, je suis ravie de l'avoir fait!
Hier, dans mon dernière club, merveilleux rencontres.
Par exemple, Ola, qui non seulement est un des responsables pour 5 clubs à Londres, travaille pour le Métro, mais aussi fait de "stand up comédie" (je ne sais pas le nom français pour cela).
Jeux des mains instantané, quand j'ai dit que je veux une photo pour parler de l'occasion quand on aura, fin de ce moi, une soirée de comédie avec seulement des "toastmasters".
Mais pour cette fois, "jeux de mains" le titre mise à cette note, est pour le vidéo produit par ParleMoi2Toi. Il a combiné, animation produit par un programme, ses mains ajoutés et sa voie racontant.
Une maitrise, que j'admire, autant que j'ai aimé sa voix depuis le début: Bonjour, Toi!
Avec son accord, le voilà. Mais allez voir son blog, pleines d'autres merveilles, poèmes et animations!
Et voilà comment il exprime sa joie - a voir aussi sur une vidéo animation paroles, pour le petit enfant qu'il aura bientôt, l'énorme joie de devenir grand père. Je me souviens encore, quand c'est arrivée à moi, il y a plus de 16 ans maintenant, quand je suis devenue grande mère la première fois. J'ai ressenti des choses très ressemblants, même si je n'ai pas su l'exprimer si bien.
114 – L’enfant de mon enfant
J'ai écris ce texte cette nuit... 05/02/2011 00:50:21
Bonjour toi,
Deux êtres pour mes yeux qui demandent à y voir
Tout ce qui paraît bleu et quelquefois le noir
En gestes malheureux, tout ça sans le savoir.
Suis-je devenu vieux sans m’en apercevoir ?
Je te donne l’amour du sommet de mon âme
Je porterais mes jours pour allumer ta flamme
Pour ta maman d’amour qui est devenu femme
Tout sera beau toujours, maman qui te réclame
Je mettrais sur tes mots l’alphabet de l’amour
Ni pas assez, ni trop à chacun de tes jours Tu es comme un cadeau à qui je dis bonjour
Je le dis fort et haut, je t’accueille en tambour
Aux oiseaux, à la mer qui te sourient déjà
Pour ce festin sur terre tu es le meilleur plat
A l’ombre de ces guerres que tu apaiseras
Je poserais la pierre que tu m’indiqueras
Tu n’auras pas besoin de viser les étoiles
Elles feront ton chemin, tout remplis de pétales De tes petites mains aux courbes idéales
Pour tous mes lendemains, tu seras mon astrale
Apporte ta gaieté, fais moi vivre des joies
Qu’importe les années si rapides parfois
Moi, bientôt le pépé, tout en moi est de toi
Tu m’apportes la paix en tous endroits chez moi.
Accompagne nos vies, ces destins que tu croises
Emmènes-nous, souris à chacune de nos phrases
Remplis et assouvis l’amour que tu embrases
Grâce à toi, je revis, tout est comme une extase
Je chanterai partout, je parlerai de l’or
Que tu es mon chouchou. Je le crierai encore,
Je serai sans tabous, digne d’être senior
Je deviendrai doudou, tes couleurs bouton-d’or
Grand-père je serais, je te fais la promesse
Que jamais désormais, je n’aurai de tristesse
Car quand tu seras né ici délicatesse Petit enfant aimé, tu seras ma richesse.
Mes petits enfants - 5 maintenant - sont aussi ma plus grande richesse et fierté.
Quand j'ai décidé a prendre un - voir deux - cours de Stand up Comedy, apprendre un peu mieux comment faire rire le public, que croyais être dans un sens pionnier entre les "toastmasters" qui apprennent parler en public ensemble.
Quelle n'était mon étonnement, que beaucoup d'autres entre nous ont déjà passés par là! A la fin de mois, d'ailleurs, ils donne un spectacle, ensemble, montrant leur maitrise.
C'est David Jones, ici dans la photo lors un concours qu'il a gagné, qui va être le "Compère" celui qui introduit les autres et lie tout ensemble. Et d'autres Toastmasters "distingués", comme un qui organise depuis deux ans nos conférences Angleterre & Irlande, l'autre qui est aussi haut dans la hiérarchie des clubs, et pas mal des autres, qui ont considéré qu'apprendre a faire rire est important.
Et depuis, probablement, pas mal de temps.
Quelle découverte!
C'est cette dimanche, que moi, j'y vais la première fois pour apprendre, faire mes premiers pas.
Les immeubles très hauts convergent, et je n'ai pas essayé à les redresser, impressionnée par tant des fenêtres encore illuminées.
Canary Wharf, sur une presque île, c'est un peu comme la Défence de Paris.
Hier, invité à prendre des photos, j'ai aussi appris des choses intéressantes.
Surtout j'ai eu des rencontres qui probablement, vont donner des invitations à deux autres clubs à visiter, à y parler.
De bons contacts avec plusieurs, certains se souviennent avec plaisir de moi.
Mais c'est vraiment pas bien terminé.
A la fin, je suis allée vers le président de mon club, qui été aussi là, et énervée, peut être par le fait de me voir parler avec tant des gens, il a commencé à me reprocher à l'avoir agressé par mon comportement, mes e(mails, par le fait que je ne lui avais dit d'avoir choisi quelqu'une à m'aider pour une partie de mon travail de club.
Je l'avais averti, par email. "Pas vrai!"
Il s'est tellement énervé d'un coup, qu'il a fait un mouvement soudain avec ses deux poignes fermées, vers moi, presque en me boxant au nez. Il s'était arrêté avant, mais j'ai été fortement choquée.
Arrivée chez moi, j'ai retrouvé le e-mail que je lui avais adressé, il ne l'a jamais lu ni répondu, cela n'est pas ma faute.
Après ce que j'ai supporté de mon première mari, devoir se méfier de ses réactions brutales, arrivant à n'importe quelle instant, c'est sure, que maintenant, je ne vais pas supporter la même chose de n'importe quoi.
Même sans fermer les yeux, je voix devant moi, les deux bras venir comme dans le boxe vers moi, rapidement, et tout cela, je dirais presque, heureusement, en pleine salle de réunion. Est-ce quelqu'un a pu le voir? Je ne crois pas. N'importe. Moi, j'ai vu.
"C'est ainsi que je sens" a-t-il dit, d'abord, puis ensuite "c'est ainsi que je me sens agressée par toi."
Possible, que je n'ai pas écrit toujours avec gentillesse, et hier, après avoir retournée a la maison, pour sure, en disant que c'était inacceptable comment il s'était comporté, presque en venant à la main, presque me frappant au visage, et envoyant une copie à quelques membres de club, responsables eux aussi, mais je ne vais jamais plus me laisser intimider physiquement.
Je ne vais parler de Violence Domestique en Mars, je trouverai une autre fois, mais je vais en parler. Préparer le récit depuis de semaines, a servi à quelque chose.
Pour moi, mais aussi pas mal des autres, Artiste veut dire Créateur.
Non, non et non, il ne faut pas absolument être Reconnu comme tant, pour se sentir, se dire, se dévouer d'être un "artiste".
Déjà, on peut penser à Van Gogh, qui n'a pas vendu qu'un seul toile, qui n'a jamais été reconnu de son vivant comme quelqu'un ayant fait quoi que soit d'intéressant.
Artiste, ne veut pas dire non plus seulement peintres, sculpteurs, poètes, reconnus plus tard, trop tard. Trop d'entre nous ailleurs.
J'ai dû "faire" le cours suivant le livre "Artists Way" par Julia Cameron, - la voie de l'artiste - pour reconnaître l'artiste en moi même aussi. La créative. Celle qui cherche.'Libérez votre créativité," traduction en Français.Est-ce le même? Elle en a écrit plusieurs.
Non, pas celui qui trouve!
Mais qui ne s'arrête pas à chercher et à créer, un petit peu mieux demain aujourd'hui que hier. C'est la voix de l'artiste. D'ailleurs, c'est aussi la voix des plupart des scientistes.
La différence?
Comme j'avais travaillée en science et entre scientifiques, je dirai que la différence n'est pas très grande. Toute fois, une scientifique doit "prouver" et finalement, montrer plus de évidence, si possible, "net" pendant que l'artiste peut être confus comme la réalité est complexe.
Par un récit, une histoire raconté, quelque fois nous ressentons un vécu, profond, un ressenti qu'on a ressenti nous aussi, un sentiment qui nous donne courage.
Je n'ai jamais su peindre, j'ai regretté.
Mais voilà une pétale de fleur, photographiée par moi vendredi et samedi j'ai joué avec, l'a rendu plus forte, changé son couleur et rechangé, et, personnellement, je crois qu'elle est devenu "création" "artistique", .
Je ne sais pas exactement ce qui me plait, davantage que la fleur entière. Peut être le mystère des motifs sur la pétale, que je n'ai pas peinte, juste renforcée, ressortie.
Ainsi va avec un Artiste, comme parlemoi2toi, qui combine poésie racontée avec animation. J'en parlera de l'un de ses nombreux œuvres, demain.
Il doute, qu'il peut être appelé "Artiste" pourtant, il en est. Il créé! Il ne s'arrête pas à progresser à tester à essayer de nouveau.
Vous aussi, tant entre vous!
Chacun de nous à sa façon. J'aime bien cette pétale, oui, mais ces jours-ci, je suis plus fière de mes histoires, que je criée sans arrêt. Dites, plutôt que publiés, certains même pas "écrites" fluides, fluctuant, changeant selon l'audience, l'occasion, et, à chaque fois, j'espère, aidant au moins un de l'audience.
Je parle à chaque fois de moi, mais à chaque fois j'ai un message, comme dans une histoire, le message ne crie pas et ne fait pas de propagande mais ressort du récit. Et justifie, pour moi, d'avoir parlé de quelque chose vécu, transformé pour en faire une histoire.
Chacun de nous as un artiste dans soi. Il faut la ressortir. La reconnaitre. Lui donner l'occasion de se manifester.
Julia Cameron est les exercices de son livre m'ont appris aussi une vérité connu depuis siècles: faire le premier pas, ensuite, il y aura une convergence, quelque chose aidant qui arriva. Inconnu au début, mais là, juste au moment quand il faut.
Mais, sur la route de 6000 mètres, il faut faire le premier pas.
Hier, j'aurais dû aller faire les courses avec ma voisine qui lutte avec son cancer. Elle avait été au traitement, le jour avant, mais voulais aller avec moi, et sa voiture, dès huit le matin.
Réveillée à cinq, j'ai presque oublié l'heure, perdue dans la magie du web, mais finalement, je me suis habillée à temps.
Elle est toujours ponctuelle.
Huit, veut dire huit.
A neuve heures et demi, finalement, j'ai appelée.
Personne.
Alors, je me suis dit, peut être elle est allée sans moi? J'appelle son portable. "Je suis à l'hôpital. Je vomis, je ne peux parler."
Choc.
Rien, bien sûr, comparativement à tout ce qui lui arrive à elle. Son organisme ne supporte pas le traitement, et allas, le cancer continue son cheminement.
J'ai essayé de lire.
La branche de mes lunettes s'est cassée, j'ai dû aller la faire réparer. La vie continue. Les gosses s'amusent devant le marché. J'ai acheté trop des fruits à bas prix. Mon fils m'aide à les porter en haut des marches.
J'essaye m'oublier, ne pas y penser. Je ne peux rien y faire.
Probablement, je vais réussir avoir une prescription et faire opérer l'œil gauche qui est de plus en plus en brouillard. Bientôt.
Et Margo reviendra chez elle, je ne peux pas faire grande chose. Juste qu'elle sache que je suis là. De plus en plus, je pense à Marie, blogeuse qui nous a quitté, qui était à son poste et écrivait, presque jusque les derniers jours. A ceux qui l'entouraient.
Bien sûr, il y en aura un autre printemps, déjà, hier, en revenant, j'ai trouvé les premières fleurs dans un jardin pas loin.
Et à côté, les premières perche neiges.
L'hiver va disparaître, mais le printemps venu, serons nous tous encore là?
Ce matin, je me suis permis à voyager de blog en blog.
Rien de plus facile, on commence par un clic sur les blogs publiés récemment, dans la barre latérale ici, et puis de commentaire à commentaire. En revenant, "chez moi", j'ouvre "tout afficher" et les autres blogs publiés un peu des heures auparavant apparaissent.
Heureusement, ce matin, j'ai regardé au delà de cinq blogs apparentes!
Gelzy vient de publier encore une chanson poème sur les "roses et l'amour" : Rose roses, roses... dans son blog.
Et d'un coup, clack! Ces strophes m'apportent tellement de ma vie, dans le froid de ce matin.
"L’amour s’en vient en avalanche Et c’est en poussière qu’il reparté"
Je reste bouche bée d'admiration, combien une poète peut mettre dans quelques mots!
Allez pourtant chez Giselle - Gelzy, pour lire en entier, pour savourer et rêver des roses. Des amours.
Je viens de retrouver, près d'elle, près de son vidéo et photo, celle-ci, avant mon départ de Paris, ils sont venus jouer et chanter dans mon café du 18e, elle et lui.
Que des bonnes souvenirs une photo, quelques mots, peuvent apporter!
Partis en poussière, pour moi, recouverte par cendres, oui, mais au-dessous des cendres il y a eu tellement de joie, de plaisir, de bonheur! Faut pas oublier cela non plus! On avait vécu tellement plus intense pendant ces heures, mois, voir années!
Merci, Gelzy, avec ta chanson poème tu m'aides à mieux raconter mon prochaine histoire "Souvenir Romantique" Déjà tes deux mots: avalanche, poussière. Même si, ce romance là, est arrivé en katimini, doucement, et pas en avalanche comme des autres. Qui sait, peut être que c'est pour cela que c'est moins recouverte de la poussière des cendres d'amertume et je vais pouvoir en sortir quelque chose vers la fin de mois. 5 minutes et peu, 5 minutes et énorme.
Maintenant, je pourrais commencer peut être, disant: des fois, l'amour arrive comme une avalanche, d'autre fois doucement, avec une valse. Nous étions, chez moi, j'avais mise une valse. Tous se sont mise à danser, mais mon mari me dit "nous sommes trop vieux"! Je ne me sentais trop vieille pour danser à 35 ans pourtant. Je regardais avec envie les danseurs tourner au son de Danube Bleu. Pierre° s'est rendu compte et m'a invité à valser. Trop vieille? Trop vieux? Il avait 50 ans à l'époque.
Ainsi, vais-je peut être, commencer mon récit de la plus romantique année de ma vie. Après cette valse, beaucoup des mois se sont passés avant que je me décide à séduire Pierre.
Avant que 'notre année' est commencée. De l'un a l'autre, mais c'est encore une autre histoire, mon mari aimé m'a frappé plusieurs fois, m'a trompé avec non seulement une, est parti en vacances seul (plutôt avec une de ses copines), et je me suis décidé finalement à sortir du trou dans laquelle je me sentais. Comment raconter mon amour venu en douceur, avec Pierre, qui juste en pensant à lui, me provoque encore une sourire de plaisir, sans mélanger avec ma vie conjugale? Comment parler comme une poète une chansonnier disant tellement en si peu des mots?
Je vais ajouter, pour ceux et celles qui ne sont pas encore passés, ces deux vidéos de trois minutes, ah, les souvenirs! La première, elle l'a publié en 2006, comment le temps est passé si vite, si lentement, cela parait si près et pourtant si loin aussi. Quelle voix de velours!
° celui de photo est aussi "un Pierre" mais pas celui de ma mémoire pourtant, il doit j'espère vivre encore quelque part, même si il doit avoir maintenant plus de 90 ans.
Aujourd'hui, il parait, que c'est la journée "remercier le postier".
Est-ce partout ou seulement à Londres?
Aucune idée!
Cette après-midi avec les enfants, vers la fin nous avons joués ensemble, mon petit fils gagne toujours! A tous les jeux, il a sa stratégie le faisant gagner.
Il a même essayé à tricher vers la fin, dans ma faveur, pour que je suis moins battue, mais en vaine. J'ai dit, "je veux jouer net" et, bien sûre, je voulais aussi déjà tout perdre. J'étais déjà toute bas.
Revenue, je me rends compte que je n'ai pas écrit ce matin, ceci ne m'arrive pas souvent. Voilà, même si en retard.
Ce soir, même battue, je suis une grand mère fière.
Encore une réunion, est c'était très bien réussie: des gens qui hésitaient encore et d'autres nouveaux qui ont parlé, participé, commencé à prendre courage.
Maintenant, quelques jours plus tranquilles, pour sauter ensuite dans deux semaines super pleines! Le passage à vide a passer au-dessus ma tête je crois. Je dois préparer mes discours pour la semaine prochaine!
Elles sont magnifiques les lumières de soir sur la Tamise!
J'ai prise la navire rapide faisant navette entre Greenwich et le pont Tower (Tours), aller, et après la réunion retour. En plus, j'ai parlé avec des gens sympas et a reçu des nouvelles informations intéressantes.
Faux bas relief au Painted Hall, Greenwich, Londres
Trois jours pleins m'attendent.
D'abord, en préparation du cours sur la Comédie, six fois trois heures des Samedi à partir de 16 Février, je me suis acheté un livre - enfin, un qui raconte comment écrire de l'humour.
Pas si facile, bien sûr. Dorénavant, je comprends un peu mieux pourquoi les auditeurs ont rit, quand j'ai dit quelque chose en apparence anodine.
Travail en perspective.
Ce soir, je vais dans un endroit, un club, inconnu, demain, réunion que j'ai organisé dans "mon" club, et le trois, si j'ai encore de l'énergie, non, le dimanche, fête de la nouvelle année chinoise au centre de la ville.
Enfin, de l'activité devant moi!
Faux bas relief, peinture créé sur les murs autour de 1770 dans l'ancien académie naval de Greenwich. C'est un grand hall pleine des merveilles de faux bas relief et effets spéciaux datant depuis très longtemps. Le peintre a mise dizaines des années les finir. Je viens redécouvrir cette photographie, puisque ce matin, on m'a invité à participé à un groupe qui va ressembler les photos faites à cette lieu.
