On ne peut pas être partout a la fois, non plus.
Je suis bien à Londres, mais ce matin - et de temps en temps - j'ai de la nostalgie de ma rue, mes voisins, mon petit jardin d'Argenteuil.
De "mes" lilas.
C'est une photographie d'il y a deux ans, la dernière fois que j'ai passé le mois d'Avril là bas. J'espère, que mes voisins viennent cueillir un peu des fleurs, j'espère qu'elles fleurissent encore.
Que la fenêtre s'ouvre de temps en temps.
Ce matin, que je voudrais y être pour ouvrir la fenêtre, pour cueillir des lilas, pour sentir leur odeurs subtils et variées. J'ai presque l'impression qu'à travers l'océan, la Manche, la distance, je les sens.
tiens, me voici avec la nostalgie d'un jardin de Rueil, d'une soeur que j'allais voir aussi pour le sac parfumé aux lourdes têtes violettes que je ramenais dans le RER
RépondreSupprimerIci, au Québec, on les attend toujours les lilas qui commence seulement à bourgeonner! L'odeur des lilas et des muguets en fleurs me ravit tout simplement! J'en accroche quelques brins à mon oreille pour sentir leur divin parfum tout en travaillant.
RépondreSupprimerCe sont des souvenirs précieux que les tiens. Lorsque j'en ai besoin, je me fais des diaporamas de moments heureus dans ma tête! À en juger par la qualité de tes images, tu dois porter en toi des diaporamas virtuels plutôt extraordinaire.
Bonne journée à toi Julie.
Mon muguet n'est pas très avancé, mais seulement à regarder la photo j'ai l'impression de le sentir.Beaucoup de souvenir dans vos photos.
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