lundi 30 novembre 2009

Photographes, photographés


Nous sommes allées hier, en famille, tous cinq, dans un studio (en fait la maison de quelqu'un ayant un salon transformé pour cela, pour qu'on nous prend en photo.

"Gratuit" disent-ils, puis on verra.

Il y avait un "parapluie avec flash externe" ainsi que cette charmante jeune fille, Larissa qui a prise des centaines des images, de l'un, l'autre, ou en groupe. Pendant cela, nous avons pu aussi prendre des images avec mon Canon, et certaines ont très bien réussies.

C'était un bonne amusement, les enfants jouant à l'ange ou au diable, leur parents souriant chaleureusement à l'un l'autre, et de temps en temps, tous m'entourant chaleureusement.
trois bonne humeur
Je ne me suis pas aperçu que trop tard, que le châle orange, que je porait sur ma jupe et pull noir, était trop rouge et dérangeait, changeait les couleurs.

Bon, pour une autre fois, je serais ainsi, mais avec Photoshop, cela peut être corrigée.

three of us

Une seule point noir à tout est de me rendre compte en regardant les images combien de poids j'ai gagné depuis une année, et combien cela ne me va pas, du tout. Ceci, ne peut pas être "retouchée". Retour, à Weight Watchers donc, à partir de demain.

Comme disait Paula, mon arrière grand mère, "mauvais est bon à quelque chose."

samedi 28 novembre 2009

Glace l'hiver


Depuis deux jours il fait froid, l'hiver de Londres et arrivé avec non seulement la température descendent soudain, mais aussi de la pluie.

Je ne suis pas sortie pendant deux jours!

Toute fois, aujourd'hui, je suis allée participer à un Atelier Photo, à l'autre côté de Londres, deux heures de distante, aller deux heures, revenir deux heures. Bus, métro métro, bus. Ensuite, de retour, les mêmes.

Je ne le regrette pas, ce que la professeur tenant l'atelier nous a dit, était importante. Réfléchir, quand on fait un livre photo: ce qu'on veut dire. Ce qu'on veut exprimer. Ensuite, raconter une histoire.

Bien sûr, ce n'est que le début, quoique le plus difficile presque. Ensuite, il faut que les images permettent aux yeux d'aller fluidement de l'un à l'autre, les couleurs qui trouvent écho et les formes, etc. etc.

Comme pour le moment, je ne veux pas faire un livre photo, avec deux photos (ou plus) par page, ce que j'ai surtout retirée était à mieux réfléchir, pour mes calendrier en préparation, ce que je veux dire, mais aussi ajouter du texte, raconter davantage.

Dans un livre photo, le début, milieu avec des transitions, fin, sont aussi important, que dans un discours ou un récit!

Oui, je ne regrette pas tout ce transport, j'ai à quoi réfléchir, aie, réfléchir avant agir, n'est pas toujours ma force, même si cela m'arrive....

vendredi 27 novembre 2009

Et c'est à Londres!


Pas très loin, des grandes banques du centre Londres, un ancien marché transformé en restaurants surtout. J'y suis allée il y a plus d'une année.

Pas au restaurant, mais au marché.

J'étais à l'époque déçue à trouver tellement des restaurants à la place, par la suite, j'ai eu plus de chance avec d'autres marchés, quoique pas mal ont plus de place pour manger que pour acheter. Mon préféré, à ce jour est celui près de London Bridge, pas élégant du tout, mais des prix très raisonnables pour bonne repas et pleines des gens!

Un autre lieu, sympa est le marché Brick Lane, encore plus populaire, et intéressante autrement. D'autres à découvrir.

En retrouvant une carte mémoire, j'ai retrouvé des anciennes images, prise de mes "débuts", ce qui m'a frappé, sont les tables, devant le café restaurant, comme à Paris, mais en plus, les nappes, carrées rouge blanc comme en France.

Toutefois, là, au centre, le repas est plus cher que dans les autres deux marchés, quoique là aussi, il y en a a tous les prix. Mais j'aime l'atmosphère que ce lieu dégage, trop tôt le matin pour avoir encore des clients. J'irai une fois vers midi, je suis sûre que l'atmosphère sera très différente.

J'irai bientôt a Grenade, Espagne, pour quelques jours avec ma copine, Klara, j'espère nous reviendrons plus copains et pas fâchées, surtout, à cause de cela nous avons décidée d'avoir chacun nos chambres. Elle travaille souvent jusque 3 heures du matin, je me lève d'habitude vers 5 heures du matin...

Autant énergiques, l'une que l'autre, mais elle promène chaque jour son minuscule chien dans le parc, on verra combien je peux marcher près d'elle.

Ce n'est pas pour demain, mais environ deux semaines, mais je me prépare déjà - j'espère rencontrer quelqu'un là, à travers web, blog ou photos, on verra. Ne pas y aller tout à fait seulement comme touriste.

La dernière et seule fois que j'étais à Grenade, était avec mon mari, qui voulait voir Alhambra, mais pas descendre "en ville". Il ma dit: "rien d'intéressante à y voir ou faire". J'étais très déçue alors, maintenant j'aurais l'occasion de visiter la vieille ville, près de quelle nous allons habiter.

J'espère, qu'il existe des seconde chance dans la vie, et cette ville m'offrira sa seconde chance à me plaire, comme la visite à Alhambra ne m'a pas enchanté comme il aurait "fallu", malgré ses marbres: c'était la seule journée pluvieuse et plein du vent dans notre tour d'Andalousie en 1990.

Si loin?

Il me paraît comme si c'était hier. Pourtant, l'époque quand j'ai prise la photo ci-dessus, il y a 16 mois environ, me parait très loin!

jeudi 26 novembre 2009

Calendrier, pour l'année prochaine


Cette année, je vais faire un calendrier, semaine par semaine, avec une image par semaine, non plus essayant, comme la dernière fois, trouver des images tournées la même semaine une année avant, mais en piochant dans toutes mes images: Saison et Temps.

A partir des fleurs, sapins ou maisons enneigés, les bourgeons de printemps, les joies de l'été avec piscine ou fruits, l'automne multicolore, mais aussi le vent et la pluie ou le beau temps arrivant, ou arrivée.

Beaucoup moins des gens, cette fois-ci, plus de nature.

En partant de 56 images, je ne sais pas comment, ce matin cette album est arrivée à plus de deux cent. Tant pis, ou tant mieux, cela me permettrai à choisir.
Album du temps et saison
A vous aussi, si vous en avez envie, puisque dorénavant, on peut faire des calendrier des images des autres. En tout cas, des miens, qui sont ouvertes à toute utilisation non commerciale.

Hier, j'ai prise avec enchantement, le "vent" au toit des arbres près de chez moi. Finalement, c'est cela la sagesse, non? Trouver quelque chose d'intéressante dans tous les temps et occasions?!

Voilà deux pour l'hiver enneigée:
Next day snow in LondonNeigeDsJardin-017

Et deux pour printemps:
First flowers 2009 in garden (8)Cerises, vie "familliale"

et pour l'été
PhotoCanon049Souvenirs d'Edinbourg-01

puis l'automne
Automn colors_0175fall's end-29

la pluie
Londres du bus (4)lrapres pluie (1)

la brume
Fog and cold near Eiffel TowerFirst fog in London & the Heath

Ainsi de suite, mais ce matin, je viens de choisir vite, juste quelques unes, pour une image qui restera devant mes yeux une semaine entière, je dois réfléchir davantage.

Tout, prend tellement du temps!

mercredi 25 novembre 2009

Cours de Justice


Ce matin, levée à 5 heures, j'ai pris des bus, l'un jusque Elephant & Castle, sud de la Thamise, puis un deuxième, jusque presque la cathédrale Saint Paul, et à 6 et demi, en avance, trop, comme d'habitude, j'étais dans l'immense immeuble des conseils financiers Deloitte.

Un nouveau groupe de Toastmaster est en train de se former, ils m'ont demandé de répéter mon discours n°10.

A cette occasion, j'ai rencontré une femme intéressante, actrice, professeur de voix, et prise pas mal des images.

Voilà quelques unes prises après.

Quand j'ai vu cette palait, en fait palais de la justice royale, je suis descendue de bus et prise des images, tout autour. Hélas , à l'intérieur, comme c'est toujours en fonction, je n'ai pas eu le droit d'en prendre.

J'ai aussi prise quelques images intéressantes dans la nuit, en allant, et chez moi, retournant, le vent agitant les hauts des arbres dénudées.

Très fatiguée, mais journée bien remplie.

mardi 24 novembre 2009

Je suis ravie



Je suis ravie, surtout pour deux raisons.

Le résultat de concours des Nuits des Musées vient d'être publié, par la site web de , culture24, après deux semaines. J'avais déjà publiée l'image alors, quand un journaliste m'a demandé plaine des questions. L'article sur l'interview va paraitre aussi bientôt "lundi" - quelle lundi?

Je suis ravie d'abord, parce que j'avais l'impression que les images prises à Londres plaisent nettement moins que celles de Paris, mais aussi par la qualité des ceux qui ont jugé les photos.

Gordon MacDonald, editor de Photoworks magazine et Susanna Brown, Curator de Photographs at London's Victoria and Albert Museum.

Je ne connais pas encore la magazine "Photoworks", je dois encore la découvrir, mais j'adore la Victoria et Albert Musée.

C'est la première fois que je participe et gagne à un concours!

Ravie aussi, parce que dimanche, j'ai non seulement assisté à un très bon spectacle où on racontait des histoires, dont la moitié était par une Raconteur professionnelle, mais après le mi-temps, le "public" était invité à raconter aussi.

Après une histoires d'oiseaux gris puis devenus colorés, un récit venant de Hebron accompagné de chante, j'ai aussi raconté mon histoire de la Vieille femme et la mort. Non pas comme je l'avais publié, pas tout à fait, puisque cette fois, j'ai osé, et avec succès, ajouter au débout le récit de la mère de ma grand mère, Paula, qui m'a probablement inspirée de choisir ce récit-là.

Vous vous souvenez de la très vielle femme et le messager de la Mort, comme j'avais nommé le récit en français? Il a fallu que je le dise plusieurs fois que je me rappelle ce qui est arrivé à Paula, pendant la deuxième guerre mondiale.

L'ai-je déjà raconté?

Paula avait 90 ans, non voyante depuis 23 ans. Elle était seule à l'hôpital des vieux, ses nombreux enfants, petit enfants et petit enfants tous cachés ou emportés par les nazis.

Un soir, un officier SS arrive en disant: "prépare-toi, demain matin on va t'emporter!"

Que faire?

Paula, très religieuse, priait chaque jour à son Dieu. Cette fois, elle lui dit: "je sais que la suicide est un pêché, mais je suis sûre que cette fois tu comprendras, je suis trop vieille et non voyante, pour être jeté quelque part inconnue" - on ne savait pas alors encore que tous les vieux et enfants sont tués aussitôt qu'arrivés aux camps.

Elle pris tout les médicaments pour dormir à la fois et entra en coma.

Le lendemain matin, les SS, venus l'emporter la trouvèrent en mourante. "Es can so bleiben" ce qui veut dire "elle peut donc rester" ont dit les SS et partis.

Trois jours, Paula était en coma, et un matin, soudain, elle s'est réveillée et demandé un verre du lait.

Pendant une année entière, jusque les SS sont parties, vaincus, les bonnes soeurs catholiques ont caché que Paula était vivante. La partie de famille non morte, revenue, a eu la surprise de la retrouver, et Paula, a une petite fille de onze ans que j'étais, racontait des histoires.

Entre autre, qu'elle était sûre que son bon Dieu l'avait comprise. Mais aussi m'inspirant une grande dose d'optimisme dans la vie, et me disant des tas des récits sur la famille, que je pourrais dorénavant raconter moi aussi.

lundi 23 novembre 2009

Original ?


Ceci est l'image, tel que je l'avais prise, à travers le miroir, pendant que j'attendais au coiffeur, il y a presque quatre ans.

Ensuite, j'ai coupé une partie de l'image, en me sortant tout à fait, moi et mon camera.

C'est l'image qui est restée qui a enchanté tellement des gens, plus de 1500 ont regardé et plus de vingt l'ont déclaré "favori".

Probablement, parce que dans cette image, que j'aime pourtant beaucoup, qui me parle à moi encore plus, il y a trop, et il faut le regarder vraiment en grande pour voir tout ce dont elle parle.
Différences

Et voilà la partie d'image qui plait, qu'on a remarqué. Déjà, il y a pas mal dedans, et déjà en plus grande est encore plus intéressante.

Cela parle de l'âge, mais parle aussi que même jeune, on peut ne pas être pleine de vie et de sourire...

Dans l'image d'origine, celle du haut, je n'étais pas contente de comment j'étais, et on le lit sur ma bouche qui est presque le seul visible de mon visage. Aujourd'hui, je suis pire, mais je ne m'en soucie plus. Hier, dans une spectacle des histoires, après avoir écouté des merveilleuses, dites très bien, j'ai osé me lever et dire, une des miens!

J'ai ajouté à l'histoire de la vieille femme et la Mort, que j'ai déjà publié ici, un récit vraie, de ce qui était arrivé a mon arrière grand mère, ce que l'histoire me disait à moi, les réactions de mon petit fils, et c'est très bien "pris", on l'a apprécié encore mieux.

Qu'importe le visage, l'âge, si on raconte sure de soi... en regardant tous présentes, et en montrant ce qu'on ressente.

dimanche 22 novembre 2009

Raconter des histoires personnels


Johanna a formé le groupe Stark, après être revenue de Amérique et réalisée, il n'y a rien de semblable a Londres, elle a trouvé le lieu où on peut raconté et organise des "spectacles" autour des themes différentes.

J'ai participé a trois, jusque maintenant.

La première comme spectatrice, la deuxième j'ai raconté une histoire, moi aussi et à la troisième, j'ai prise des photographies. Elle conseille chacun surtout ce qu'on peut sauter, pour le rendre plus courte ou plus intéressante, des fois ce qu'on pourrait ajouter, pour compléter.

Très sympathique, et très efficiente en même temps.

Je crois de plus en plus dans la magie des récits racontées, personnels ou non.

En disant, la vieille femme et le mort, qui aurait pu être presque aussi bien un gars en face d'un dragon, dans un conte, je me suis rendu compte de leurs importance aussi. Ils peuvent exprimer symboliquement tant des choses!

Maintenant, je dois raconter une histoires personnelle: va-t-elle être la même dit déjà au théatre, en Octobre, "Maintenant ou jamais" que je dois encore traduire en français, ou vais-je créer une nouvelle? J'espère, pourvoir en créer encore plusieurs. Pendant leur création, j'ai d'un coup une lumière différente sur des choses du passé, des liens que je vois soudain aussi. C'est magique.

D'abord pour moi, puis aussi, j'espère, j'ai l'impression, qu'il peut dire aux autres aussi quelque chose, même au sujet d'eux mêmes.

Le lien d'abord avec le récit, puis avec l'audience sont de plus en plus attirants pour moi.

samedi 21 novembre 2009

Poursuite de l'oiseau bleu


J'étais très jeune, quand j'ai vu le film, en noir blanc, racontant l'histoire d'une petite fille partie de sa maison pour trouver l'oiseau bleu.

Trouver un oiseau non grise?

Cela me semblait venir effectivement d'un conte des fées. Tous les oiseaux sont grises! Au moins, où j'habitais, ils étaient.

Arrivant a Londres, un matin, je regarde par ma fenêtre: une bande entier des oiseau verts sur l'arbre en face, où quelqu'un met des grains pour divers oiseaux. En général, c'est des pigeons grises qui s'y régalent, mais de temps en temps, rarement, nous avons le plaisir de nous émerveiller des ces oiseau multicolores.

J'en ai vu à Paris, dans les cages, ensuite, le Zoo, mais jamais libres dans la nature!

C'était la raison que je me suis acheté un camera ayant aussi un téléobjectif: peut être un jour, je pourrais "attraper" les oiseaux verts, assez près, non seulement une tâche plus foncé parmi les branches vertes de l'arbre!

Après plusieurs moi, hier, j'ai réussi!

Pour mieux la voir, dans une des images, j'ai n'ai laissé coloré que l'oiseau, un peu comme dans le film de jadis, qui devient coloré quand retourné a la maison, après des aventures et vaines recherches, la petite fille découvre que l'oiseau bleu était chez elle.
In the search of Green birds-12d f cont sci
Voilà une autre, attrapé au vol, montrant que ses ailes a aussi du jaune, en fait, ils sont plus multicolores que j'avais cru a première d'abord, de loin.

Celle-ci, j'ai aussi traité un peu, mais sans changer les couleurs, juste pour les rendre plus net et un peu a la manière d'un des peintres Impressionnistes que j'avais vu jadis dans le musée.

Aucune de rend pas la joie ressentie des les regarder arriver pas loin de ma fenêtre, mais j'avais réussi, la première fois, ouvrir la fenêtre assez doucement pour qu'ils ne s'envolent pas, comme d'habitude, nettement plus sauvages que les pigeons.

Les regarder s'envoler tous en même temps est aussi un régal, mais aussi un peu une tristesse: quand vont-ils revenir de nouveau?

vendredi 20 novembre 2009

Qu'est-il arrivée?



Encore une photographie prise devant la gare de York, samedi, avant d'entrer dans l'hôtel près de la gare où la conférence se tenait.

J'ai prise d'abord un jeune homme mangeant une sandwich penché sur un petit mur, ses jambes se balançant , puis un homme avec un pipe, me souriant, ensuite ses deux femmes.

Elles ont été enchantées que je leur ai demandé, mais je suis partie le coeur lourd. Elles se ressembles, comme des soeurs. Avez-vous observé aussi? Celle avec le manteau noir, et souvenir de la première guerre et les familles des combattants, est tout noire autour d'un de ses yeux.

What happened?Pourquoi?
Que c'est arrivé?
J'ai aussitôt supposé le pire: quelqu'un l'a frappé en plein visage. Peut-être, même son mari, pleine de furie.

Je n'ai pas osé demander.

Ce m'est arrivée, à moi aussi, une fois.

Enfin, une fois, comme cela, sur pleine visage en laissant des traces que mon père qui venait en visite quelques jours plus tard, a pu voir.

"Il te frappe?"

Je n'ai pas reconnu, honteuse et ne sachant pas que dire, mais je me suis encore davantage éloignée de mon mari, à ce moment là. J'attendais déjà mon temps, a m'en débarrasser.

J'avais 38 ans, c'est loin, mais pas assez loin que en voyant cette femme, tout ne revient pas à l'instant, le coeur lourd.

Je dis et crois que tout mauvais mène à quelque chose de bon, à quoi bon était que, sans savoir être prévenue, d'un coup "le moutard montait dans la tête" de mon mari? Alors, il frappait fort. Sentant que j'ai dépassé les bornes, lui manquait du respect.

Quel respect?

Ce ne n'est passé pas souvent, dans ma vie de mariée, mais c'est commencé après que je me suis rendu compte qu'il m'a trompée, pendant qu'il était "voir ses parents" une mois entier en août. J'étais enceinte de mon deuxième enfant.

Il ne m'a pas frappé souvent, sauf ces temps-là, mais même plus tard, je ne savais pas quand sa furie soudain va éclater. J'avais appris a essayer "ne pas le provoquer", autant que je savais.

Non seulement je ne gagnais pas assez alors pour vivre avec mes deux enfants, mais j'avais peur de lui aussi, ce qu'il fera si je divorce. Maintenant, je me demande, comment j'ai pu vivre encore huit ans avec lui, après le premier incident.

C'est peut être la seule partie de ma vie qui n'est pas trouvé une réponse. J'essaye de me dire, 'je me suis plongée de nouveau dans études', ou alors, "nous sommes venus à Paris ou région Parisienne où j'ai pu me remettre", et d'autres choses analogues, mais je ne trouve pas une réponse claire.

Je vous écris ici, mais je ne sais pas encore si je pourrais en "parler" en public, tant que ce n'est pas résolu en moi. En voyant cette femme, attendant sur les quais de la gare, pleines des choses se sont ouvertes soudain, choses qui peuvent encore me bouleverser, choses que je dois un jour "résoudre" en moi.

On a peur. Terreur. Plus que de mourir, sinon souffrir. Surtout, que le plupart de temps, cela vient quand on ne s'y attend plus, quand on a oublié que cela peut arriver encore une fois. Bien sûr, a chaque fois, justifié par l'agresseur: 'tu as....'

Des choses qui ne leurs plaise pas, mais qu'on pourrait discuter. Avait-il peur à discuter avec moi? Se sentait-il tellement en infériorité? Avait-il besoin de le prouver en frappant? Peut-on maitriser le sang venant d'un coup dans la tête, le reflex musculaire?

A part de cela, pourquoi je ne l'ai pas quitté, quoi qu'il arrive, quand il m'a frappé la première fois et j'ai tombé tout en bas des marches, ne pensant qu'à ne pas perdre le bébé futur, qui naîtra en deux mois? Ma réaction, ensuite, étaient des pleurs "hystériques" avec mes dents qui claquaient, sans arrêt.

"Je regret, me disait-il, mais pourquoi tu..." puis "Arrêt, cette pleure hystérique, arrêt claquer les dents!" J'avais peut-être 32 ans alors. C'est comme si c'était hier, je me vois sur le lit, pleurer et ne pas savoir arrêter mes dents claquer.

J'espère, que cette femme... j'espère.

jeudi 19 novembre 2009

Lewisham Speakers 1e anniversaire


Hier, j'étais la Maitre des Cérémonies, "Toastmaster of the Evening" comment est appelé en Anglais, pour la première anniversaire du club Lewisham Speakers, où je suis vice président responsable des membres.

Pour la première fois, j'ai ressenti d'avoir fait quelque chose utile, une réunion festive, avec gâteau d'anniversaire de un an, et "champagne" fruitée, pour fêter ceux qui ont créé le club il y a un an, comme Philip, notre président, ce cette photo.

Surtout, a cette occasion, j'ai ressenti que tout l'équipe était unis, soudée, les membres tous prêtes à contribuer pour que la réunion marche bien.

Nous avons eu la visite d'un Président de club Toastmasters de Londres ayant déjà plusieurs années et plus de cinquante membres, que j'avais rencontré à York et invité à venir. Près de lui, assise, une nouvelle, qui est arrivé la première fois en visite, et avant partir, nous a rejoint, comme futur membre.

Lewisham Speakers 1st Anniversary

J'aime bien cette photo vite prise, puisque représente pour moi, pourquoi nous travaillons.

Près de Paul, qui nous a parlé avec tout l'art des années d'expérience derrière lui, était Tania, qui n'a même pas osé se lever pour dire son opinion, et qui bientôt, prendra l'ail et parlera de mieux en mieux en public.

J'ai pu aussi mesurer le progrès que j'ai fait depuis Janvier, quand je suis venue la première fois, j'ai parcouru un chemin, depuis le début de l'année. Surtout, aussi, les membres du club me paraissent de plus en plus près!

mercredi 18 novembre 2009

Un couple


Un jeune couple, en bas des ruines anciens, c'était intéressant à observer à York dimanche, et je ne me suis pas approchée d'eux, ni demandé permission à prendre cette image de loin.

En regardant de près, ils devaient être encore à l'école.

Mais mon image qui compte le plus pour moi, n'est pas ceci, d'ailleurs, elle n'est pas très bonne de point de vue technique non plus, probablement, mais à chaque fois que je la vois, mon coeur se réchauffe.

J'ai assisté vendredi à la réunion d'un couple avec cheveux blancs, et sentie la joie énorme qui se dégageait de chacun.

J'ai hésité. Je n'ai pu résister.

"Puis-je photographier vos mains serrés?"
"Oui, bien sûr."
We'll keep each other!
Ensuite, j'ai pris mon courage à demander la dame: Et vous?
"Oui, avec plaisir!" et j'ai prise son visage rayonnante de joie. Puis, le sien. A la fin, je me suis éloigné un peu et j'ai pris l'ensemble, avant de les laisser à leur joie.
We'll keep each other!-5
Bien sûr, ma tête n'était pas à la qualité de l'image, les réglages de l'appareil, lumière ambiante, et probablement, ma main tremblait plus que d'habitude de l'émotion.

J'avais commencé à parler avec l'homme, avant qu'elle arrive. "J'attends quelqu'un mais je suis prête à vous parler, en attendant." Il avait préparé deux verres de vin blanche sur la petite table. Elle est arrivée presque sitôt. "Il vous attendait..."

"Oui, et je le garde!" me dit la femme souriante de bonheur.

Une bonheur de couple encore plus douce à voir à cette âge.

J'ai eu une long weekend pleines des divers impressions et leçons, contacts, compréhensions, mais cette brève rencontre de Vendredi midi m'a laissée le plus s'impacte.

lundi 16 novembre 2009

Conférence de rose blanche à York



La conférence a York, était nommé "'White Rose conférence", ce que je ne comprenais pas. La rose blanche? Pourquoi?

Depuis, j'ai appris qu'il y eu la lutte entre ceux avec la Rose blanche (maison de York) et la Rose Rouge. Je devrais apprendre plus de l'histoire d'ici.

Voilà, sur le pont, a travers la rivière, la Rose blanche.

C'était un conférence où j'ai appris, surtout compris beaucoup. Autant sur l'organisation de Toastmasters, que ce qui "marche" dans une compétition et ce qui marche moins. D'ailleurs, ce qui ont gagnés, n'étaient pas mes préférés.

J'ai aussi compris, le "district" et Royaume Unis et Irlande, d'ailleurs chacun avec leur humour différents et dialectes spécifiques. Chaqu"un des huit divisions ayant quatre ou sept club réunis dans une Zone. Tout cela était confus jusque maintenant.

Surtout, parce que un de mes clubs était formé par un au Sud de Londres, appartient à Sud Est Angleterre, pas à Londres, même si c'est à Londres, et l'autre, aussi, pour des raisons similaires. Donc nos deux trois clubs de mon 'Area' ne font pas de division Londres, qui a par ailleurs une vingtaine des clubs.
Toastmasters Conference Sunday-4
Ce qui n'est pas important, pour vous, mes cher lecteurs, mais pour moi, c'était confus, jusque maintenant, plus même que la guerre des deux Roses, deux maisons Royales.

Mon comique préférée était une femme, épouse d'un vicaire, racontant, avec sac de main à l'appuie la vie d'une femme, à partir du sac de jeune fille voulant trouver un mari, le sac de la mariée et mère, pleine des toutes que la famille aurait pu avoir besoin, presque rien pour elle.

Le sac noir et cher, importante parce qu'enfin, c'est ses choses qui sont là, y compris une rasoir pour moustache, d'une femme qui grandit en âge. Et non, elle n'était pas encore à l'étape de sac avec roulette, qui viendra un jour!

Que des excellents discours! Dans la plupart, j'ai compris l'humour. Mais nous avons eu aussi trois Ateliers, avec pleine des choses appris et à réfléchir.
York Sunday end Conference-125v
York, entourée presque tout par un muraille, très "historique" par ailleurs, morte après huit heure de soir (pas de bus pratiquement) et dimanche matin (il n'y avait du bus que après neuve heure et demie et j'ai attendu presque trois quart d'heure pour que le taxi arrive pour me prendre, pour pas cher, à l'hotel où le congrès se tenait.

"Pourquoi tu n'y habitais pas?"
"Il coûtait nettement plus cher! Et, ils m'ont dit, il y a le bus!"

C'est vrai, le bus, existe, avant huit heures de soir, et presque pas dimanche! Mais j'ai bien dormis, c'était une maison d'hôtes sympa. Personne ne m'avait pas prévenue, qu'il n'y a plus de bus après huit, ou dimanche matin!

J'ai connu un tas des gens intéressante, et j'ai décidé à aller visiter un jour des clubs et gens à Dublin. Il y a donc autre chose là que des pubs dont parlent tous les livres touristiques.

Ce soir, je vais jouer la photographe, j'ai peur, des photos de l'intérieur, spectacle, n'est pas ma spécialité: pourquoi je me suis proposée à la faire?

Je m'y mets souvent dans des trucs incroyables, et c'est vraie, des fois je m'en sort bien. Des fois.

samedi 14 novembre 2009

Automne Londonais


Très Britannique, cette entrée, des maisons ensemble, mais qui ce croient séparées. Pour une fois, ici, les entrées ne sont pas de couleur différentes et même pour y accéder le sol est semblable.

J'avais prise cette entrée une autre fois, le printemps, je crois, sans les feuilles mortes de l'automne sur le sol. Mais ainsi, j'aime encore davantage.

Je ne suis pas sûre par contre si c'est mieux, celle-ci, horizontale ou en verticale.

Hier, j'étais trop lasse pour aller centre Londres à une conférence, mais aujourd'hui, bientôt, je m'en vais pour participer à un autre, l'après-midi. Au pire, lundi je serai de retour, dimanche probablement trop fatiguée pour écrire.
Neighbourhood-11

A bientôt.

vendredi 13 novembre 2009

La vieille femme, racontée

Racontée, écoutée, avec la voix en plus du texte, donne une expérience différente, alors, je l'ai dit ce matin dans mon dictaphone.

Le programme Audacity, me permet en plus de facilement éliminer quelques bruits ou pauses inutiles, ou même, du balbutiement qui m'est arrivé avec ce récit une seule fois, je vous offre le récit tel quel. Plus je le raconte, plus je l'aime. J'espère que vous aussi l'aimerez, le raconterez à votre tour.

Je dédie ceci à Giselle, j'ai pensé à elle souvent pendant que je racontais l'histoire. Elle sait en dire, si bien! Qu'elle nous dise encore en prose ou en chantant, pleine des histoires! Ce n'est pas toujours facile de les créer, mais les partager sur le Web, crois-moi, c'est un jeu d'enfant! Je la dédie aussi à mon petit fils, David, qui m'aida à mieux la raconter en Anglais et qui l'a apprécié dès le début, devinant la ruse d'avance et riant plus que n'importe qui ensuite, et qui l'a appris par coeur par la suite et le raconta devant nous avec une telle enthousiasme sa version. Ainsi "mes 7 jours" sont devenus "sept années grâce à lui"!

jeudi 12 novembre 2009

La très vieille femme et le messager de la Mort

Le messager de mort et la très vieille femme

Un conte folklorique hongroise, traduit, adapté par moi, puis retraduit ici de l'anglais, 
d'abord par Google, puis corrigé par moi. 
***

Il était une fois, loin d'ici, au delà de la mer et les montagnes, une très vieille femme qui vivait seule dans sa maison. Elle était vieille, mais qu'elle faisait toujours quelque chose, ne s'arrêtant pas toute la journée. Elle n'a même pas eu le temps de penser à la mort.

Mais finalement, un soir d'hiver froid, après qu'elle avait bu son lait chaud avec du miel, pendant qu'elle s'apprêtait à se réchauffer sous sa couette de plumes, quelqu'un frappa à sa porte.

Qui peut-il être? Nul ne vient plus à me rendre visite.

La porte s'ouvrit, le Messager de Mort est entrée dans sa maison.

«Eh bien, la vieille, tu as vécu assez, fais tes valises et viens avec moi!"

"Oh, mort, cher mort, je ne suis pas encore prête, permets-moi d'attendre que j'aie fini cette courtepointe!

«Impossible, attendre quoi? Je vais te prendre maintenant!

"Oh, donnes-moi dix ans ... cinq ans de plus ... du moins, un an!

«Impossible! J'ai déjà écrit ton nom dans mon livre, et une fois que j'écris quelque chose ...»


 «Donnes-moi au moins un jour de plus, seulement un de plus."

"Pas question!"

"Encore quelques heures, permets-moi de rester ici au moins jusqu'à demain matin, afin que je puisse terminer mon travail et me préparer pour partir!"

Que pouvait-il faire?

La vieille femme avait tant plaidé, elle parlait si bien, elle était si convaincante que, finalement, le messager de la mort se dit, eh bien, il peut lui donner un peu plus de temps pour se préparer à venir avec lui.

"Alors je reviendrai demain"

Oh, Cher Mort, merci, mais ma mémoire n'est plus si bonne, mes yeux voient moins bien qu'auparavant, s'il te plaît écris sur ma porte avec des grosses lettres: "JE REVIENDRAI DEMAIN!"

Le messager de Mort prit alors une craie de sa poche et écrivit sur la porte noire, en grandes lettres: "Je reviendrai demain" exactement comme la vieille femme lui avait demandé de faire, et puis, finalement, il partit.

La vieille femme se mit au lit et s'allongea sous sa couette un peu plus détendue.

Mais trop tôt, le lendemain arriva et dès le matin, le mort était de retour.

«Alors, vieille femme, je suis ici pour t'emporter! Mais aujourd'hui, pas un mot! Viens!"

"Oh, mon cher mort, regardes sur cette porte! Il y est écrit, par toi, non? Là, dans ta propre écriture: Je reviendrai demain! Demain».

La mort regarde la porte, et en effet c'était était là dans sa propre écriture, "je reviendrai demain".  Alors, il s'en alla, et revint le lendemain.

Jour après jour, à chaque fois, la vieille femme montra la porte, et le messager de la mort s'en alla pour revenir le jour suivant, comme c'était écrit par sa propre écriture.

 Enfin, après sept mois et sept jours, il en eu assez.

La neige froide commença de tomber sur son cou quand il arriva à la porte et il s'est tellement mise en colère qu'avec la manche humides de son manteau, il effaça les mots qu'il avait écrit.

«Maintenant, tu viens avec moi! Aujourd'hui."

"Oh, donnes-moi au moins une heure!

«Eh bien, si tu es vécue jusqu'à maintenant, je peux te donner une autre heure de plus à vivre. Mais je serai de retour après cette heure, et je vais t'emmener! Et pas un seul mot de plus, tu ne pourrait plus ouvrir ta bouche, plus jamais pour essayer de me persuader encore une fois! "

Il s'en alla et la vieille femme commença à trembler comme une feuille. Ses os s'entrechoquaient, ses mains tremblaient, ses dents restant claquèrent.

"Comment sortir de cela? Que faire maintenant? Je dois me cacher! Me cacher, où?"

En se souvenant du baril de miel dans son garde-manger, vite, presque sans y penser elle se glissa à l'intérieur.

Mais elle ne pouvait pas mettre toute la tête dans le miel, elle avait besoin de respirer, le nez et les yeux restèrent en dehors du baril.

"Ce n'est pas bon. Si je peux voir dehors, il va me voir lui aussi, ici il va me trouver."

Aussitôt, la vieille femme sortit du tonneau, ruisselant de miel, pour chercher un autre endroit à se cacher.

Ah oui, à l'intérieur de sa couette.

Elle déchira la couverture de sa couette de plumes de poulet et se cacha à l'intérieur. Ses cheveux, son corps, son visage, tout se couvrir par la plume attachée au miel. Elle pouvait à peine respirer!

Sera-ce suffisant?

Le messager de mort arriva..Il regarda tout autour de la maison. "Où es-tu, vieille femme?" Il ne l'apperçut nul part.

Mais hélas, la vieille femme ne pouvait plus respirer du tout, les plumes s'accrochant au miel, son nez et bouche couvertent aussi, elle dû se lever de lit et sortit de la couette, toute couverte des plumes sur son corps, son visage, ses cheveux, partout.

Lorsque le Messager de Mort remarqua le Monstre à plumes se levant du lit et devenant de plus en plus grand, ce Monstre qui avait probablement mangé la vieille femme et pourrait le manger lui aussi, ce Monstre qui venait s'approcha de lui, il fut tellement effrayée, qu'il s'enfuit, il courut aussi vite qu'il le pouvait.

Il courut dehors, courut, loin, et plus loin, il courut à travers les montagnes et l'océan, et jamais plus  il n'osa retourner de prendre cette vieille femme.

Elle vit peut-être encore aujourd'hui dans sa petite maison au milieu des collines, loin d'ici, encore en travaillant au jour le jour avec joie, en tout cas, personne n'a jamais entendu parler d'elle.
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Je devais raconter l'histoire, pour vraiment comprendre son but: Tiens bon face à l'adversité forte, n'abandonne pas, dit la sagesse paysanne hongroise.

mercredi 11 novembre 2009

Je suis de nouveau joyeuse!

Je suis allée, il y a fort longtemps, au Nuit des Musées ouvertes, avec ma belle fille et mes deux petits enfants, tard le soir, au Trafalgar Place et Gallérie National, ensuite Musée de Portraits.

J'ai prise des photos, comme d'habitude, et je les ai ajouté à un groupe formé pour rassembler des images de cette soirée.

Hier, j'ai été informé, que j'ai gagné, une de mes images va être celle utilisé pour la compagne Musées Ouvertes en 2010. Avec cette image.
Late night at Museums (National Portrait Gallery after 9pm)
J'ai été interviewée et invitée à venir prendre des photos en Mai prochaine, comme photographe officielle.

Hurrah!

Ce n'est pas tout.

Soudain, hier, on me demande: est-ce que je veux tenir mon première discours Avancé, le soir même. Heureusement, j'avais un récit tout préparé: "La vieille femme et le Mort", un récit folklorique Hongroise. Je l'avais traduit, adapté en anglais, dit et redit plusieurs fois. J'ai encore changé un peu, et mon petit fils, l'ayant entendu seulement deux fois, l'a raconté d'une façon extra, me donnant d'autres idées en plus.

Il a fallu que je le raconte, hier au club, pour réellement comprendre: N'abandonne pas! Même quand tout semble contre toi. C'est le morale, la leçon de cette histoire populaire. Peut-être, c'est des récits populaires hongrois, et mon père, que je tire mon entêtement à persister, même quand les dés semblent contre moi.

De nouveau, le courage m'es revenue.

mardi 10 novembre 2009

Feu d'artifice et valse

J'étais enchanté d'entendre la Danube bleu de Strauss et à cause de la mélodie, j'ai décidé aussitôt de prendre cette vidéo que je vous offre ici.

Les feux d'artifice ont fini avec la 9e de Beethoven, et la pluie, cette fois, avait attendu que les feux finissent, n'est arrivée que pendant notre retour vers la maison.

Hurrah! J'ai aussi reçu un e-mail "quelqu'un ne vient pas, je peux parler aujourd'hui, commencer mon premier "Advanced Manual".

Vite: Je dois me mettre à répéter!

lundi 9 novembre 2009

Hier, journée des Veterans


Je suis allée rencontrer une cousine, juste pendant la journée des vétérans, de tous les guerres ou services.

Après l'avoir attendu a la gare, nous sommes entré dans un café française et bavardé.

Un vétéran seul, solitaire, triste, est entré, assis près de nous et commandé un déjeuner des œufs brouillés. Nous avons commencé à parler et il était de plus en plus heureux, nous montrant la photo de lui à vingt ans dans uniforme, et racontant qu'il était dans l'armée pendant 19 ans de sa vie, un peu partout. Cyprès, Irlande de Nord, Allemagne.

Nous l'avons laissé heureux, il a eu enfin eu la possibilité de raconter a quelqu'un ce jour-là.

Voilà les images que j'ai prise ce jour.

Des feuilles tombés dans la pluie, le couple âgé se tenant la main, des jeunes lisant des livres sur le quaie de la gare, et notre vétéran, de plus en plus heureux au fil de nos discussions.

Mon cœur à moi, reste avec les seniors au cheveux blancs se tenant la main, avec chaleur. J'avais espéré moi aussi...

Ce n'est pas mal seule, mais, cette chaleur de ensemble, me manque de temps en temps.

dimanche 8 novembre 2009

Feu d'artifice à l'envers



Devrais-je la mettre à l'endroit?

Aujourd'hui une chinoise de trente ans, charmante toastmaster est venu en visite: m'a parlée d'un cours de Raconter des Histoires, pas cher, où elle était allée il y a une année! Peut être, je pourrais y aller en Janvier. Des nouvelles idées pour moi, d'idée des nouveaux livres pour elle, et même une invitation pour la prochaine
fois d'aller manger du "vraie chinois" chez elle!

Après chez moi, nous sommes allées regarder les feux d'artifices, et ensuite, manger un petit quelque chose dans l'église pas loin d'ici, où nous avons bavardé avec une femme arrivée à Londres de l'Inde.

Une chinoise, une indienne, et moi, à Londres.

samedi 7 novembre 2009

L'enfant en nous, en anglais


Pour ceux qui comprends l'anglais, le début de mon 10e sur l'enfant en nous.
Inner child 1.mp3
 

Après la pluie



Après la pluie, le beau temps, j'espère, que c'est vrai. En tout cas, dehors, le soleil est revenu ce matin.

Dans la vie, c'est vrai aussi, mais c'est aussi vrai que presque toujours quand on se croit dans les nuages, nous recevons un coup sur notre nez pour nous dire "ne te crois pas trop!"

Après le beau temps... le vent.

Soudain, même si j'ai des choses devant moi, je n'arrive pas à m'en réjouir comme ces dernières temps, m'exciter, m'inciter à agir, à apprendre, à bouger, à m'enthousiasmer.

Il reviendra. Je sais. Pour le moment, cela me manque.

Je suis maintenant "Compétent Toastmaster" - et alors? En fait, je ne suis pas devenue "compétente" mais juste un peu plus expérimentée qu'au début de l'année.

J'ai lu beaucoup des livres, regardé pas mal des discours et vidéos, parlé plus que dix fois devant un public, mais c'est surtout la préparation qui était excitante à chaque fois.

Création, décider de ce que je parlerai, comment le dire, puis modifier, raffiner, ajuster, apprendre à le dire autant que possible tout en restant flexible pour le rendre "authentique". C'était fascinante. Probablement, c'est ce qui me manque pour le moment le plus.

Je n'ai pas encore le courage de préparer mon discours prochaine, ne sachant pas la date. Je pourrais préparer un ou deux "au cas où", je ne ferai probablement, mais plus tard.

Pour le moment, j'ai envie de me cacher sous le lit!

vendredi 6 novembre 2009

Flash ou pas de flash


Ce mois dans le groupe afterclass, on parle du flash qui n'est pas sur le camera, je n'en ai pas, alors pour le moment, j'essaie des images avec et sans flash, avec flash plus ou moins forte, aussi.

Demain, feu d'artifices, près de chez moi, pas du flash bien sûr, si j'aurais le courage de sortir, le soir. Il fait de plus en plus frais. Au moins, s'il ne pleuvrait comme l'année dernière, c'était très beaux, mais en pluie et vent!

Je me repose, je lis des livres pris de la bibliothèque, je fais un pause en tout pour quelques jours.

jeudi 5 novembre 2009

November, 10e discours

november 09 Competent Communicator

C'est fait.

Je suis "officiellement" Compètent Communicateur.

Surtout, j'ai réussi à faire mon récit très "inspirateur" ce qui était mon but, bien sûr.

Ma belle fille, est venu me donner des conseils, très utiles, de dernière minute, hier après-midi et avec ce qu'elle m'a montré, pas seulement dit, j'ai fait une fin très effective.

"Apportez votre enfant interne avec vous la prochaine fois et laissez-la raconter votre histoire." Quelque chose comme cela, mais en même temps allant vers eux et ensuite vers le "podium" improvisé.pour montrer.

J'ai eu des remarques très positives.

Maintenant, relax. On verra ce que "relaxe" donne pour moi. Je pourrais me concentrer un peu à quelque chose d'autre, mieux apprendre à raconter des récits personnelles ou récits pour enfants et adultes et trouver d'autres lieux pour les dire.

En tout cas, au milieu du mois, deux jours à York, dont j'attends quelque chose, qui sait quoi....

J'ai ce matin un bas, fatigue, ressentie après un grande tension et effort. Demain, j'aurai de nouveau des nouvelles enthousiasmes. D'autres énergies.

mercredi 4 novembre 2009

Inspiration: d'ici à Gelzy, de Kat Imini retour

Hier soir plutôt, Gelzy, Giselle inspirée par les feuilles d'automne et mes dernières paroles ici, a composé une fort belle poème chanson, dans son blog.J'avais envie qu'on la lise, en route, pour montrer plus des débuts des blogs, je tombe sur le blog de Kat-imini, et une note écrit il y a quelques jours à peine.

A son tour, elle m'inspire!

Elles écrivent en vers, je pourrais chanter plusieurs mais jamais m'exprimer avec autant de poésie comme elles. Pourtant, nous résonons aux même rythme souvent.

Mais oui, ce n'est pas la machine qui écrit, ou le dictaphone qui parle, c'est nous, c'est nous ce qui vient de l'intérieur!

Ces dernières temps, j'écris moins, je parle plus, la fluidité des histoires dites m'enchante, on peut les modifier au gré de l'occasion, des gens qui écoutent et regardent et du moment, tout simplement, jamais figé tout à fait.

Par exemple, ce discours qui se veut "inspirer des autres" j'ai composé et recomposé énième fois, ce matin, la dernière, pour le moment. Je dois l'apprendre, au moins quelques phrases tel quel, pour être capable de les dire avec confiance ce soir. Mais j'ai déjà été demandé à le dire a la fin du mois, de nouveau.

Pour une audience tout à fait différente, très tôt le matin, entre des gens travaillant en finance, il sera transformé de nouveau, la même et pourtant pas la même. J'adore la fluidité possible dans une histoire orale!

Mais voici le début de l'histoire que je vais raconter, ici, bien sûr, en français, décrite tel qu'elle arrive.
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 Nous devons tous apporter des visiteurs.
Puis-je apporter un enfant avec moi à cette réunion-ci?

1939 : 5 years oldLa voilà. Elle a trois ans et tout la confiance pour monter sur une boite et jouer, chanter, raconter. A tout public.

(Ici je vais monter sur un petit tabouret et prendre la même pose.)

Ensuite, quelque chose arrive. Quelque chose nous arrive à tous à un moment donné, nous faire perdre le confiance.

C'était deux ans plus tard, pour moi, j'avais à peine cinq ans. Je me vois comme si j'étais pourtant 70 ans se sont passés depuis. Une grande réunion familiale, dans le jardin de ma grande mère.


Je sautillais pleine de confiance de l'un à l'autre pendant que ma cousine Suzanne, était tapis tranquille dans un coin, comme d'habitude, toute sagement.

Subitement, ma tante dit: maintenant, récital. "Viens Suzanne, chantes-nous!"

Aussitôt un cercle se forme, Suzanne au centre commence à chanter, en prenant de plus en plus confiance. "Az a szép, az a szép, akinek a szeme kék!" C'est la blonde aux yeux bleus qui est la belle... chante ma cousine blonde aux yeux bleus, une chanson populaire hongrois. Tous applaudissent. Bravo! Oui!

Je me sens encore devenir de plus en plus petite.

Celle qui est belle a des yeux bleus? Les miens sont noisette. Celle qui est belle a des cheveux blonds? Les miens sont brun foncés. La peau blanche? La mienne est pleine des taches de rousseur. Sait chanter? Je n'étais pas préparé, je ne savais pas une seule de début à la fin!

Maman me dit plus tard: "même si tu n'es belle, tu es intelligent"; ceci n'a qu'à mis l'huile sur le feu. J'ai décidé alors, à cinq ans, que n'étant pas belle, je ne dois plus jamais être sur l'estrade, mais rester derrière le rideau à diriger. Jouer sur une scène n'est pas pour moi.

Il a fallu 70 ans pour que je paraisse de nouveau sur une scène, la mois dernière, au théâtre Canal Café au Londres. Comprenant, après toutes ces années, finalement, que ce n'était pas la couleur de la peau, des yeux ou des cheveux, le forme de visage ou de corps qui comptait, mais la confiance de soi et avoir quelque chose à dire.

Ainsi va commencer, mon discours de ce soir.

mardi 3 novembre 2009

Fin des... à Londres


Ces dernières feuilles s'accrochent encore, peut être pour le plaisir de ceux qui regardent par la fenêtre. Fenêtres très "Londoniens" (londonaises?)

Mais l'automne est fini, le début de l'hiver s'annonce avec pluie et un peu plus froid aussi.

Autre fin, sera demain, la fin de mes dix discours de mon livre "Compétent Communicateur Manuel" j'ai pleines des idées, qui se bousculent dans ma tête et changent sans cesse, aucun n'était pas si dur à préparer. Mais j'ai appris de tirer le maximum, et au fil des jours, les nouvelles idées qui arrivent pourront être utilisées et racontées ailleurs.

Un récit, peut être raconté selon circonstance et public, selon ma propre humeur aussi et même m'influencer par la suite. Vivre en moi pour longtemps.

Donc, en réalité, ce n'est pas une fin, mais un début.

lundi 2 novembre 2009

Je voudrais partir ainsi

Soudain, une nuit. Comme cette fois, les feuilles magnifiques et chaudes d'automne qui ont décoré pour une semaine ma rue.

Une nuit des pluie et quelques heures de vent a suffis pour les jeter par terre, pour les chasser des arbres. Peu reste encore accrochés avec la dernière entêtement. La plupart, mouillées, par terre.

L'automne est fini, l'hiver arrive bientôt.

Ces images sont les dernières avant la pluie et les premières après.

Une histoire des fantomes

en 18 images, pour "Halloween" - ajoutez votre imagination aux images photos prises

dimanche 1 novembre 2009

Arriver


Arriver est toujours plus agréable, pour moi que partir.

D'une certaine façon, cette image me rappelle "arriver", pourtant, bien sûr on pourrait aussi l'utiliser pour partir.

Au port de plaisance, nous avons observés des petites navires entrer et sortir, mais c'est la première fois dans ma vie que j'ai vu "prendre de l'essence" comme on le fait dans une station d'essence.

Le plus finalement, j'étais impressionnée par un immeuble, qui a dû être une fabrique de corde, bâtit en 1876, magnifique et très longue. Peut être, il y avaient aussi des longs, mais pas hautes bateaux dedans? Je sachant pas ce qu'était en réelle, me donne l'occasion d'imaginer pas mal des choses différentes.