Eastern Market, Washington

Encore pleine des images a ajouter, en parler.

Ceci est une des préférés.

Je la dois a Rosemary ayant prise d'abord une macro de ses fleurs - apres qu'elle m'a montrée sa photo, je me suis décidée a l'imiter - autant que possible.

Nous avons appris l'un de l'autre.

Elle a appris comment approcher des gens et comment réagir avec eux, probablement de moi, et moi aussi de sa patience avant qu'elle prend une.


A cote des fleurs, elle a pris une meilleur photo de moi que moi d'elle, mais celle-ci est pas mal je crois:

Enfin, j'ai réussi la prendre tout a fait détendue.

C'est fantastique de se promener avec quelqu'un aimant autant la photographie que soi, nous nous sommes si bien amusées!

Marche de poisson, Washington

J'avais eu l'envie de revisiter le marche de poissons prés du Port de Washington, au bord de la rivière Potomac, ou j'ai pris des photos, il y a cinq ou six ans.

Hier, nous y sommes allées, d'abord au Marche Eastern, derrière la Capitol, le parlement Americaine, existante depuis plus de 150 ans, ensuite au marche de Poissons.

Une très riche récolte d'images et des rencontrés!

Pratiquement tous le monde heureux d'avoir été choisi, demandé d'être photographié. Au marché des poissons, ils attendaient même, espérant que leur tour arrive, les vendeurs plus sympa et au visage plus différents les uns des autres. A la fin, meme un clian, qui achetait du poisson, m'a demande "et moi?' et m'a remercie une fois que je l'ai pris, non seulement avec des mots, mais une magnifique sourire.

Voila quelques unes des images de hier.

Il y a encore pleine, des bonnes photos, mes il faudrait que je les ajoute a la maison, d'ici elles se charge sur Internet de plus en plus lentement. Mais je crois, que ceci vous donnent déjà une bonne appréciation de ce que j'ai vu, rencontre.

Et ce soir, nous allons a la classe de danse prendre des photos, de nouveau.

La biche

Hier matin, nous étions dans la cuisine, quand une biche est paru par la porte ouverte du jardin. Elle est restee la, sans entrer, longtemps.

J'ai attrapé aussitôt mon camera, et a travers la vitre de la porte, j'ai prise plusieurs images - hélas, pleine d'émotion, les premières images prises sans regarder comment mon camera etait reste après la dernière prise du soir, il y a quelques jours.

Je me suis rendu compte finalement: son corps paraissait trop claire, délavée, j'ai corrige. Ma fille voulait m'aider "fais des images sans la vitre entre l'appareil et toi, et elle a ouverte la porte.

La biche a prise peur. L'image que vous voyez c'est pris au moment quand elle a pris la fuite: en entrant tout 0 fait dans la cour.

Hélas, elle s'est aussitôt enfui par l'autre cote et a traverse la rue, entrant dans l'espace vert de voisin d'en face - encore deux images prises cette fois de loin avant qu'elle disparait tout a fait.

Je voudrais faire un récit, imaginaire, avec ces images, de cette magnifique biche. Je n'ai jamais encore vu une de si près, et en plus, librement, se promenant dans la ville. Pas si loin de la capitale en plus!

La biche est venue a temps pour me pousser imaginer un récit pour les enfants. Seulement pour les enfants? Je ne sais pas encore...

Une image dans la revue

Peut-être, c'est la première image entre mes photographies, dans un revue anglais.

Dans la compte rendu de Nuit aux Musées, une de mes photos apparait comme illustration. Je l'avais mise dans le groupe formée pour ceci, mais entre milliers des images, j'avais eu l'impression que la mienne était perdue - pas nécessaire.

Ils l'ont utilisée, sans me prévenir. Heureusement, j'ai des copains qui m'ont prévenu! La responsable de Galerie de Photos de Greenwich, ayant aussi participe a cette nuit des Musées, a reçu le rapport et vu mon nom près de l'image.

C'est plus important pour moi que exposer, une image parmi 60 a la Gallérie Viewfinder, et, j'espere, qu'avec le temps, mes photographies prises a Londres vont aussi etre remarquees, pas seulement celles de Paris.

Temps et patience.

Sur l'Internet, merci, cela va bien, mais la aussi, les images de Paris sont plus regardees et aimees, pour le moment, que celles prises de Londres - je me suis dit deja "ai-je oublie de prendre des photos depuis que je vis a Londres?"

Patience - n'etais jamais ma force.

12 ans - party

A midi,, nous sommes allées voir un spectacle pour enfants, Le Crocodile vert - magnifiquement jouée et très beau décors.

Succès, des enfants et parents l'ont apprécie tous.

L'après-midi, party, surtout dans le jardin. Alas, c'est le moment que mon appareil a choisi pour me dire "plus de batterie il faut recharger", ainsi les bougies allumées ne restent que dans le souvenir.

Le gâteau au chocolat été trop bonne avec des divers glaces au dessus, et les enfants se sont bien amusées, le temps semblait s'envoler.

Par contre, ce matin, l'ordinateur et le lien Internet marche comme un escargot. A demain.

Vendredi soir - souviens-toi

Les bougies de vendredi soir, ici, sont pour prier. Ma grand-mère en allumait sept pour sept personnes disparus, "se souvenir d'eux" me disait-elle un vendredi quand j'étais chez elle.

Il y a 70 ans.

Aujourd'hui, c'est ma fille qui en allume des bougies chaque vendredi.

Moi, je me souviens de celles et ceux disparus sans bougies et pas les vendredis, n'importe quelle jour de la semaine.

Hier, j'ai commence a raconter a mes petits fils des souvenirs de l'année de la guerre, pour quelques minutes, ils ont écoute. Je me suis rendu compte en racontant en direct, ce qui les a touche, les a fait rire, ce qui les intéressé, pour le moment moins. Je vais apprendre a mieux raconter!

Cérémonie ou non, de temps en temps, c'est bien de se souvenir, de ceux disparus ou des temps d'antan.

Les premiers lecons de danse

Mon petit fils prend des leçons de danse anciennes, Valse, Cia-cia etc. et ma fille avec lui, mais dans la classe des débutants, il y a surtout des adultes, même un paire de mon age.

C'etait une plasir de les regarder, apprendre les pas, jeunes et plus âgées. Mon deuxieme petit fils etait aussi la avec une appareil photo, entre autre, me surprenant en train de photographier.


Voila quelques unes des images prises hier soir - pendant que dehors il pleuvait a verse.

I love Washington!

I always loved Washington!

This is a picture of the times I was still young - only 70 years old!

Young and happy, again. At least I felt it and, in this picture, looked it too.

I feel a lot older now, only five years later, but I hope the feeling, if not the look, will go away. I do not mind any more my wrinkles.

Nor really my sometimes aching bones.

It is inside that I have to remain young.

Washington Jefferson monument

Entre toutes les photos sur Wikipedia, qui deviennent publiques a cause de cela, c'est la seule que je regrette.

Pris en 2004, une période très heureuse de ma vie, je la trouve encore aujourd'hui, parfait.

Cette fois, je me sens très bien mais dans une façon très vacances - curieusement, aucune envie de activité, même pas de prendre des photos.

Une activite reste, a cote de envie d'etre avec mes petits enfants, la lecture et aussi étude a travers lecture. Les deux, en alternance.

Quand j'avais 14 ans jusque 17, c'est ainsi que je passais toutes mes vacances a lire. Peut-être, c'est finalement, ce qui est le plus 'moi'?

Chance - ou non?

En me promenant, avec une copine de ma fille, photographe passionné comme moi, au bord du Potomac a Washington, je vois cette homme, lisant son journal.

Je collectionne les gens lisant pour mon groupe "People Reading" sur Flickr, et je lui demande si je peux prendre une image. Oui, bien sur. Ensuite, nous avons échange des emails, comme cela il pourra prendre les autres portraits que j'ai pris ensuite de lui aussi.

Je croyais, que ce sera tout.

Je n'ai pas eu le temps, ou encore l'energie, de mettre l'image dans le groupe Lisant, mais deja, ce matin je trouve une commentaire sous l'image;

"Kertesz et les gens lisant en expo a Londres!"

Ce n'était pas moi, mais le grand photographe que j'admire autant, Andre Kertesz - je ne savais même pas qu'il aimait, lui aussi, prendre des photos des gens qui lisent.

Vite, je regards le lien fourni: oui, l'expo sera encore a Londres quand je vais retourner. Quelle bonheur et quelle chance!

J'aurais pu manquer cette expo!

Est-ce seulement une chance? Le web et les amitiés que j'y forgent, les plaisirs partage avec quelqu'un ayant vecu si longtemps, et avec un autre qui m'avertit, sachant que j'en serais ravie.

Ce n'est pas seulement de la chance, mais davantage.

La connexion humaine, a travers d'Internet est reelle, pas du tout virtuelle!

I love Washington!

Je viens de tomber sur cette vieille image - moi en Washington en 2004!

Combien j'étais encore jeune a l'époque et combien j'étais heureuse aussi ces jours-la. Des très bonnes souvenirs.

C'est le voisin de face de ma famille qui allait au centre avec son épouse, ils m'ont déposé prés de cette ours avant aller travailler et ont pris cette image.

Je n'étais pas 'jeune" a 70 ans, mais je suis nettement plus 'vieille' maintenant. Et non, je n'ai pas eu d'autre que B. et non, il ne m'a pas rendu si heureuse depuis lors, même a notre rencontre une année plus tard.

Vais=je jamais trouver encore quelqu'un qui me rendra si heureuse?

Heureusement, on peut trouver de la joie en tellement des choses différentes, mais peut être, on ne rayonne pas du même façon.

Papillon

Mon petit fils le plus age arrive au but!

Il etait parti nage au dos, arrive avec papillon, j'ai réussi a attraper le moment décisive, avec ses épaules en haut.

Hier, promenade au bord du canal, parallèle au Potomac qui coule a Washington. Hélas, l'utilisation de mon appareil Canon, a fatigue non seulement mon bras, mais mon poignet et doigts.

Néanmoins, je viens de nager une demie heure dans la piscine ouverte, mais tout doucement.

J'écrirais donc davantage demain, ou plus tard.

Concours de natation, samedi

A la piscine, concours de natation: voila des épaules des nageuses.

J'aime leur costumes de bains.

Hier, mon plus grand petit fils a concouru en équipe, il partait quand l'autre de l'équipe arrivait. Je faisais les images surtout au point de départ, le même que l'arrivée. Les grands partant tous en même temps, les petits, en désordre, mais tous ont nage avec courage et style.

Pleines des bonnes souvenirs en seulement quelques heures, petits et grands, jeunes et personnes âgées.

Ce matin, nous sommes allées jusque Potomac et le canal, des images très différentes, j'aime chaque environnement pour des raisons différents.

Plus, demain.

La tête en bas

Mon plus petit petit-fils, apprend, avec une rapidité fantastique de sauter la tête en bas.

Le voila.

J'ai réussi a attraper le moment!

J'admire autant plus, que dans ma jeunesse - et bien sur par la suite - j'ai toujours eu de l'appréhension a sauter avec la tête en bas.

Il apprend avec joie les mouvements et je suis sure que bientôt il sautera ainsi aussi du plongeoir, déjà il saute du haut même au dos.

Quelle plaisir quand les générations qui nous suivent font mieux que nous! Mon petit fils le plus grand, a participé ce matin a un concours de natation, papillon, crawl, etc. Entre 8 ans et 15, quelle différence, mais les années passent si vite!

Apres trente ans

Trente ou trente deux, qu'importe!

Il y a trente ans, j'ai découverte les Toastmasters, quand je travaillais et habitais dans le banlieue de Washington.

Le club s'appelait Le Monument Toastmasters, et j'y étais pendant trois ans (et 15 discours) jusque j'ai du quitter les Etats Unis. Hier, je suis retournée, après trente ans pour tenir un discours qui s'appellait "Il y a trente ans."

Pour effet de début, les 30 ans se referait d'abord a tout autre chose: 'Il y a trente ans je me sentais vieille" et de la expliquer les raisons et ensuite je me suis plonge dans le discours de la 2e, 3e, 4e, 5e chance dans la vie.

Il y a aussi du ennieme, mais il n'y a pas de traduction a cela.

J'ai eu du chance - mais j'étais aussi assez bien prepare, j'ai gagne un ruban du meilleur discours de la réunion. Hurrah!

Les rubans n'ont pas importance, je disais jusque maintenant, mais, je viens de changer l'opinion....

En vacances

En vacances avec mon petit fils, et trois autres plus grands - c'est une merveilleuse été ici.

Piscine ouverte, natation, le matin très tôt ou le soir tard, au milieu de la journée le soleil tape trop fort. Mais pour le moment, c'est une chaleur agréable.

Mon petit fils très sportif, apprend a sauter dans l'eau le tête en bas, joue du pingpong et basket. J'ai nage hier matin a 6h30 et constate que mes os sont un peu rouilles.

J'ai réussi a battre une seule fois a l'échec, un de mes petit fils - et ils ont étaient enchantes 'mamie sait jouer!' mais ensuite, on m'a battu a chaque fois, et j'étais enchantée 'mes petits fils sont forts'.

Belle début des vacances!

Cadeau pour mes 75 ans

Une œuf pour mon anniversaire préparé et peinte par ma petite fille, très bon aussi.

Magnifiques fleurs aussi, certaines pour la photo, d'autres durables. Et surtout, nous nous sommes bien amusées.


Une carte poste, souhaitant pleine des années encore de:

activité Toastmaster,
de photographie,
d'écriture des blogs
ainsi que
raconter pleines des histoires.

Cinq heures de difference

Il y a 5 heures de différence entre Londres et Washington, d'où j'écris maintenant, ainsi ne vous attendez pas des notes les matins.

Après une journée des fêtes de l'anniversaire, des émotions et réveil avant 4 le matin, nous sommes arrives une heure d'avance a l'aéroport.

Huit heures de voyages et nous voila arrives a Washington.

L'après-midi déjà nous sommes ailles a la piscine: il fait chaud et beau ici et j'ai admire un des petit fils sauter avec maestria dans l'eau et l'autre le imiter avec beaucoup d'application: quelle plaisir!

Oh, les lieux que tu iras!

Un jour, je dois traduire le récit de ce livre que j'aime autant.

Tu dois décider toi même où aller, tu dépasseras les autres, tu resteras sur place, tu tomberas, tu continueras, la vie menant en haut et en bas, des fois rapidement, autre fois en attente qu'on n'aime jamais, tellement de sagesse et humour dans ce livre!

Passages

Certaines années charnières m'ont touché plus que d'autres. Qu'importe l'âge "extérieur"? Pourtant, je n'arrive pas à me dire que "cela ne fais rien". Disons, plutôt, que je me le dis, mais il n'entre pas en moi.

Passages,

ce matin, j'ai passé dans mon 75e année

je ne sais pas où cela va me mener, je regards cette image du pont piétonnier qui mène vers le musée Tate Moderne, et je doute encore plus.

Pourtant, j'ai pleines des choses agréables devant moi et la voie nettement plus claire qu'il y a une année.

Il y a une année, le 18 Juillet, quand j'ai traversé en voiture le Canal sous la Manche, je ne savais pas ce qui m'attendait.

Je vais signer bientôt le prolongement de location de mon appartement, je suis active dans Association Photo et Parler Publiques, j'ai trouvé une amie pour parler hongrois, près d'ici, retrouvé une partie de la famille éloignée - pourquoi je tremble alors?

Je préfère d'être près de la terre que des nuages.



Je préfère marcher a petit pas, l'important est de ne pas s'arrêter.

J'espère que je pourrais continuer d'écrire régulièrement, jour à jour, de l'autre côté de l'océan aussi, mais en tout cas, début aoüt, je suis de retour. Merci pour votre fidélité!

Speak out: Dis-le! Parle.

Hier, j'ai assisté au final des concours de "parler en public des jeunes". Entre presque 50 000 des écoles de Londres et Essex, les 16 restant en lice pour les 4 premiers titres.

Adolescents, de 15 a 18 ans, le plupart avaient plutôt 17 je crois.

Très enrichissant!

A la fin, le député principale de l'opposition au parlement, Alan Duncan, nous a montré ce qu'on peut faire avec le plus grand art, nous tenant un discours fantastique, comme s'il discutait avec nous, racontant d'un concours perdu dans sa jeunesse, qui lui a beaucoup appris et servie, disant que pas seulement une (oui, c'est une fille qui a gagné) mais tous qui ont participé on en fait gagné.

Ensuite, il nous a dit aussi quelques mots, en démontrant, ce qui fait un bon discours, faire des pose, s'arrêter un peu plus de temps en temps, parler avec le coeur, etc. J'ai adoré autant ce qu'il a dit que comment l'a fait, comme s'il n'aurait pas préparé mais inventé au fur et à mesure - ce qui n'était pas du tout le cas, bien sûr, même s'il a ajouté quelques phrases qui paraissaient venir sur l'événement qui c'était juste passé.

J'ai beaucoup appris, autant des jeunes, amusantes et ayant choisi des sujets intéressants, 3 minutes chacun, que du député, qui bien sûr, n'a pas dit un seul mot de politique (cette fois).

Je ne vais pas ajouter ici un lien vers les images, les meilleurs j'ai prise avant (une maman et fille et deux copains qui n'ont pas parlé cette fois): vous pouvez les voir à côté. Les quelques fragments des vidéo - en anglais bien sûr que j'ai mise sur ma site flickr (et mon blog anglais).

Les heures s'envolent, bientôt demain, 75 ans, j'ai l'impression qu'avec cela j'entre vraiment dans le 4e âge, mais quelqu'un de Montana vient m'écrire à Facebook "tu es la plus jeune de 75 ans que je connais."

Avec les yeux et les mains

Il a pris en main (je lui es offert) mon appareil Sony, pendant que j'utilisais le Canon, et il a fait une photo magnifique de Big Ben.

Je blaguais hier, mais dans la photo, meilleure que j'ai jamais obtenu de l'horloge fameux, j'ai vu combien il l'a aimé. Aussi, que ces mains sont plus sûrs que les miens.

C'était vraiment à voir Londres à travers ses yeux.

Je suis ravie d'avoir pu lui offrir un peu de ses souvenirs qu'il aura de son premier séjour en Angleterre. Maintenant, il faudrait peut être qu'il commence à apprendre un peu plus l'anglais?


C'est magnifique, non?

Oh, la jeunesse!

Bon, chacun de nous a quelque chose, moi, des magnifiques souvenirs de ma vie.

J'ai entendu hier un discours sur le bonheur. Il disait que moins on a les choix, plus on trouve des raisons de se réjouir de ce qu'on a. Tant mieux. Est-ce que pour cela que je me réjouis de tellement des choses autour de moi et dans ma vie?

C'est aussi comme je suis, je crois.

Il y en a qui ne sont pas contentes, ne voyant que la moitié vide de la verre, et pas qu'elle est encore moitié (ou un quart, ou un huitième, pleine encore.

Le cap de 75 me parait un peu difficile à passer, mais je m'en réjouis aussi en même temps. Je ne suis pas seule. Je vis dans une ville et un logement que j'aime beaucoup. J'ai trouvé pleines des activités intéressantes.

Je me prépare d'aller voir mes autres petits enfants et ma fille que je n'ai pas rencontré depuis une baille. J'ai trouvé même quoi porter à mon beau fils, j'espère et j'ai déjà prise des rendez-vous pour aller au ToastMasters où j'étais il y a 32 ans.

Ah oui, la verre n'est pas vide du tout!

Un rêve impossible

Il y a quelques années, cela aurait semblé impossible.

Au milieu de la ville, dans un corridor d'une marché (même si celui-ci est transformé en lieu d'amusement) quelqu'un assise avec un petit ordinateur portable, lié à l'Internet et monde extérieur.

"Et il n'a pas coûté cher, autour de 200 livres, me dit-il."

Je n'ai pas compris ni retenu la marque, mais oh, que j'avais envie d'en avoir un comme cela! Ce n'est pas un PDA, mais un avec un écran bien large et clavier et tout.

"Je peux utiliser même Photoshop Elements et éditer mes photos" me disait-il encore.

Tout fois, c'était encore un peu lourd pour s'y promener (pour moi). En plus, je devrais me promener aussi avec le chaise, pour pouvoir me mettre où je veux. (Oh, non, dans une autre photo, j'observe qu'il y a des chaises déjà là.

Et, remarquez, il avait même un petit tabouret pour pouvoir mieux le tenir sur ses genoux.

En anglais, on appelle "Laptop" non pas "portable", ce qui veux dire sur les genoux.

L'autre jeune, parlait dans son téléphone portable. Plus ça passe, plus des miracles qu'on n'imaginait même pas arrivent. Ou qu'on pensait au même façon que "aller dans la lune".

Soudain, ils se réalisent.

Soudain, ils sont là, non seulement pour les peu élus, bon, on atteindrait encore avec la lune, mais à notre porté. Nous pouvons parler sans qu'un téléphone soit attaché au mur, par un câble, écouter de la musique et l'obtenir de l'autre bout de la planète, et, oui, oui, hurrah! utiliser notre petit ordinateur partout.

J'attendrais encore un peu, il sera encore plus léger sans oublier tous qui y travaillent, pour les imaginer, pour les réaliser, pour nous les offrir ses merveilles des temps modernes.

Un ado, à Londres

Il est le fils de la soeur de ma belle-fille, simple, non?

Il a 15 ans. Il est venu à Londres en vacances.

"Je te montre le centre Londres."
"Chouette."

Il a voulu voir Big Ben.
Il a vu Big Ben.


- Mais c'est plus grand que je croyais!
- Ben, Big veux dire "Grand."

Nous avons fait de très belle photos de Ben, le Big.

Et maintenant? Quoi il y a encore?

Nous sommes allé voir "Change of Guard" de la Reine, près de Musée de la Gardes aux Cheval. Entre le Big Ben (ben, c'est Big) et Trafalgar Square. Non, pas au musée! Mais les chevaux, oui. D'accord.

Il a plu, il s'est éclairci, à tour de rôle.
Nous avons vu le Changement des Gards.

Ils sont sérieux! Ils ne bougent pas beaucoup.
Même se changer entre eux, l'ont fait à leur propres rythme!
Sans se soucier de nous, sans se dépêcher!

Ils ont même resté sous la pluie battant à un moment donné à attendre. Nous n'avons pas bien compris quoi ils attendaient.

Que la pluie s'arrête?

Ils sont venus dans l'autre cours et après quelques cérémonie amusantes encore, ils ont descendus de leur chevaux et entré dans le caserne. Enfin.

Maintenant quoi?

Nous sommes partie vers Trafalgar square, pris lle premier bus et allé vers Covent Garden. Des chansons d'opéras? Non, ce n'est pas "ça". Peut-être un jongleur? Même cela n'était pas vraiment "ça".

Nous sommes partis à pieds vers une bouche de métro. Des maisons de Londres, sur des rues étroites. Il ne pleuvait plus.

"Alors nous avons vu toute Londres?"
Ah, toute Londres, c'est des années.

Moi, j'ai tout aimé.

J'ai trouvé quelque chose amusante, intéressante, partout. Mais six heures c'était longue et encore aujourd'hui je suis un peu fatigué.

Dans le cour de changement de Garde, j'ai parlé un peu avec ceux qui, l'école de police terminé, faisaient une photo de groupe. Poser avec moi et d'autres, pourquoi pas? Ils étaient fort sympa.

A Covent Garden, j'ai aimé les mouvements et grimaces du jongleur, et un vieux monsieur très British looking qui le regardait. Prés de ses petits ou arrière petits enfants.

Tellement des choses intéressantes à Londres!

Greenwich

Dimanche matin j'étais sur la Plaine, assister à la Course et l'enthousiasme des jeunes, et moins jeunes.

L'après-midi, je suis allée avec une photographe vivant en Australie, visiter d'abord l'ancien centre de Greenwhich, puis le marché Artisanal.

Le musée Painted Hall, date de plus de 300 ans, a l'intérieur des faux bas reliefs, très réussis, peints tout autour du mur et le plafond. Il y avait aussi un spectacle qui commençais et l'artiste que voilà nous invitait à y assister. Hélas, le temps de Jan était compté et nous n'avons pas resté. Je n'en emporte que cette image de l'acteur.

J'adore autant son visage que le portrait que j'ai réussi lui prendre.

Au marché, autres rencontres, portraits. Dimanche était bien pleine!


Après un lundi repos, hier je suis partie montrer "Londres" (centre) à Alexi, 15 ans, cousin de mes petits enfants d'ici, venu en visit de la France. Nous sommes partis juste après 7 heures. Revenue l'après-midi seulement, préoccupé avec les photos prises, incroyable! Je ne me suis rendu compte que je n'ai pas écrit la note journalière dans ce blog!

Ceci en tient lieu, même si je ne le publie que mercredi. Je vais la dater de mardi et ajouter sur nos aventures, pas encore tout à fait "digérés" de point de vue photos, un peu plus tard dans la journée.

A bientôt.

"Race for life", London

Pour elle, trop tard, elle vient de perdre son mari dans la lutte contre le cancer, il y a quelques mois. Elle me sourit pourtant et surtout, pour sa fille et petite fille qui cours "pour papa" et "pour grand papa".

Je lui ai promise de la mettre dans mon blog, et la voilà.

Elle et sa fille et petite fille (déjà une grande fille elle même) étiaient une de premières à qui j'ai parlé, qui j'ai photographié hier matin.

Je suis sortie pour voir ma belle-fille qui courait aussi, en entendant la musique démarrer de ma fenêtre, mais entre 11000 fille et femmes je n'ai pas réussi à la rencontrer. La plaine de près de chez moi, où elles étaient toutes est si grande que cela ne me semblais pas trop pleine. En plus, l'ambiance était fantastique.

La course pour la vie, organisé par l'association de recherche de Cancer de UK, invitait à parcourir les trois miles, en courant, en jogeant ou simplement en marchant, chacun comme elle pouvait. La plupart ayant acheté leur pull, et contribué ainsi à la lutte.

Lutte gagné des fois, une femme témoignait, avant la course. "J'ai été opérée quand mon bébé n'avait que six mois. J'étais en plus mère seule." Pas de mari ou père pour ce bébé. Elle finit en ajoutant presque en larmes: "Et maintenant, ma fille a 15 ans déjà." J'ai gagné la bataille, mais l'amie avec qui je cours est en train de lutter.

Beaucoup n"ont pas survécu, témoignaient les écriture au dos de beaucoup des coureurs "en souvenir de grand-pa", "en souvenir de ma tante", ainsi de suite. Des fois même "maman tu me manques" ou "grand papa je t'ai aimé!" et souvent aussi avec les photos de ceux rappelés.



Dans l'excitation et très bonne atmosphère que j'ai trouvé sur la plaine près de chez moi, me promenant entre les 11000 personnes près à courir ou marcher, il y avait aussi ceux qui accompagnaient effectivement, et l'ombre de ceux disparus.

C'était une aventure qui m'a touchée profondément, et hélas, je n'ai pas l'impression que des grands progrès ont été atteint dans les dernières trente ans.

De haut du bus 54

Le bus 54 pass tout près de chez moi, et va en deux directions. L'une j'avais déjà pris quand je suis allée à Woolwhich, centre de l'hotel de ville Greenwich borough, ce n'est que maintenant que je me rends compte qu'en fait le bus connect celui-ci avec celui de Lewisham, où j'étias hier.

C'est intéressante la vie regardé de deuxième étage d'un bus, avec des grandes fenêtres, alas, plus ou moins propres. Le bus vers ma destination - que je ne connaissais pas en fait - avait heureusement des fenêtres propres et les images ont sorties presque sans qu'on se rend compte qu'elles étaient prises à travers un vitre.

Celle de retour, sont presque inutilisables, tellement des taches de vitre s'y retrouvent. Mais regardons le côté positive. La vie fascinante regarder d'assez haut!

Comme c'était assez tôt le matin, les ombres étaient assez longes.

Comme j'apprenais prendre des maisons assez "parallèles" j'ai suivie les consignes: prendre de loin, couper le superflu, et curieusement, utiliser "portrait" mode. Voilà un exemple.

Le prof disait que le mieux serai être grimpé sur une échelle, mais le deuxième étage du bus m'a offert justement cette hauteur.

Hier, c'était aussi la jour d'Amérique, USA, ma fille allait regarder les feux d'artifices le soir. Aujourd'hui, c'est ma belle fille qui va courir pour le cancer, et moi, ensuite, probablement rencontrer une autre photographe à Londres arrivée et vivant en Australie.

Ce matin, j'ai commencé à lire, relire, sur "Flow": la vie est souvent non pas ce qui nous arrive, mais ce qu'on en fait, dit au début l'auteur. Alors, tirons-en le plus, non pas comme les TV ou copains nous suggèrent, les publicités et journaux nous poussent, mais pour ce qui nous enchante chacun davantage.

Je suis navrée (et ravie en même temps) que Flor était deçu ne pas trouver une note nouvelle hier matin. Se sentir utile, attendu est fantastique! Alors, voilà ceci tôt le matin, comme d'habitude.

Juste pour quelques minutes

Je suis sortie ce matin, "juste pour quelques minutes".

A travers la plaine "Heath" quelques images, une immeuble ou deux, je me suis dit. Finalement, j'ai pris le bus et je suis allée jusque fin.

Ne sachant pas où va s'arrêter.

Une fois descendu, je me suis promené un peu, j'ai prise quelques images (enfin aussi des gens, non seulement des maisons) puis retour en voiture.

Il fait bien chaude aujourd'hui.

Ce n'est que maintenant que je me suis rendu compte: "et mon blog?" Le temps passe si vite! Mieux vaut écrire dès le matin, au réveil, mais ainsi j'ai plus des images à montrer.

Je n'arrive pas à croire encore qu'en quelques jours, non seulement j'aurais effectivement 75 ans, mais je partirai voir mes petits enfants qui, il parait, sont plus grands maintenant que moi ou leur mère!

De la famille?

André Kertész a le même nom que moi. On me demande, de temps en temps "était-il un parent, de la famille?"

Que répondre?

De plus en plus j'ai envie de répondre "oui".

Il est en tout cas de la famille de tous s'appelant Kertesz, nom de mon père et son père et grand-père. Mais en plus, il est de ceux qui ont célébré les héros de tous les jours, dans une village Hongrois après la première guerre mondiale, dans une village des montagnes de la Savoie ou à Paris, plus tard à New York.

Je célèbre aussi dans mes images les gens qui ne sont pas "ordinaires" - pas des célébrités du moment, mais des héros de leur propre vie, luttant jour à jour avec les difficultés et les vaincant moment par moment.

Oui, dans ce sens, André Kertész, grand photographe ayant prise les plupart de ses clichés il y a fort longtemps, est de ma famille.

En regardant encore une fois hier, ce livre, j'ai encore davantage envie d'en faire partie. Célébrer les gens autour de moi, ces héros de la vie de tous les jours. Laisser une témoignage d'eux qui pourrait être regardé encore longtemps. Alors, pour sûr, je suis de la famille!

Je me réveille tôt

"Que faites-vous le matin?" on m'a demandé hier soir.

Qu'es-je fait ce matin?

Petit dej, café, pain grillé comme chaque matin pour commencer ma journée - je me suis même fait plus tard un fruit avec lait mixé ce matin, en grande gourmande.

J'ai écouté le dernier discours, enregistré hier, deux fois. Pas mal, mais il y a aussi encore beaucoup à corriger. Expressions, grammaire.

J'ai pris ensuite quelques nouvelles photos: j'ai aperçu la plaine lune (était-ce déjà le soleil?) et ensuite des géraniums à l'intérieur. Bien sûr, aussitôt que j'ai transféré les images dans mon ordinateur, il fallait les regarder, les vérifier. Certains, modifier.

Ensuite, j'ai joué un peu avec deux des images: j'ai créé...

Lire mon e-mail, lire les commentaires, j'avais besoin aussi des nouvelles carte d'adresse, utilisant, j'espère, une promotion: commandé.

Voilà, à partir de 5 du matin, j'arrive à 9 et demie. Je commence d'écrire mon blog, un peu en retard. Ensuite, j'écrirai celui anglais. Puis, je vais recopier et trafiquer un peu mon discours, réécouter. Peut-être le redire.

Des heures passent si vite!

Et je n'ai pas encore commencé à regarder ce que d'autres ont publié, mais au moins, j'ai déjà regardé et commenté quelques photographies des autres. Une riche journée m'attend!

Je me suis mariée

Je me suis mariée il y a exactement 50 ans. Quelle anniversaire!

Bien sûr, notre mariage n'a pas duré 25 ou 50 ans, en plus, il ne vit plus. Mais c'est quand même un des dates importants de ma vie. Un jour où ma vie a bifurqué.

D'accord, il a changé aussitôt, "pour s'affirmer" et pour que je comprends qu'il ne sera pas comme son père, se laissant "diriger", dire ce qu'il devrait faire ou non. Qu'il ne dormira pas à côté de moi toute la nuit, malgré le grand lit que son père nous a offert. Qu'il reviendra a la maison quand il le veut.

Mais nous avons eu eussi des merveilleuses moments.

Cette photo était prise par moi sur le train, en allant vers Budapest, ensuite Prague, lors notre voyage de noce. C'est une photo "après", peut être que vous pouvez voir son air heureux, satisfait, un peu sûr de soi aussi.

Qu'il était jeune!

Bien sûr, moi aussi. J'avais 26 ans, lui 27, mais nous étions encore bien jeunes tous les deux. Je suis convaincue aussi, que nous étions, malgré nos différences, pleines d'amour et de bonheur.

Le 1e juillet, après la mairie, dont j'ai une photo prise par mon beau-frère, nous sommes allées chez ses parents. Maman ne vivait plus hélas et c'était ma belle mère qui avait préparé un repas familial. C'était aussi la deuxième fois que mon père, le seul famille présent de mon côté, les avaient rencontré.

Le soir, nous sommes allés fêter dans un restaurant, seulement quatre: moi et ma meilleure amie, Alina, lui et son meilleur ami, Stephan. Mangé, bu, un peu dansé.

La journée c'est terminée rapidement, mais nous l'avons fêté encore quelques années avec joie.

Quelques mois plus tard, photos par mon beau frère.

Il m'a aussi donné deux merveilleux enfants, et ma réalisation que c'était bonne d'être femme, davantage encore d'ailleurs après la naissance de ma fille, notre fille. Devenir parents nous a unis plus. C'étaient "nos enfants" dorénavant, quelque chose de plus nous unissait.

Aujourd'hui, je vais m'arrêter là, ne pas sortir ce qui n'est pas allé par la suite, tout ce qui nous a désunis et tout ce qui m'a laissé des cicatrices, me faisant mal encore à y penser.

Il y a cinquante ans, jour par jour, (ou était-ce seulement 49?) nous sommes entrés avec joie et bonheur dans le mariage, l'imaginant, je suis convaincue même pour lui, "pour toujours, heureux d'avoir trouver l'autre, l'avoir dorénavant comme époux, épouse."