mercredi 8 avril 2009

On se prépare

Lundi soir, je me suis lavée les cheveux en me préparant pour le voyage.

Mardi matin, réveillée à cinq heures, tout préparé et trouvé jusque huit, l'heure de départ.

Le téléphone sonne: "nous partirons dans environs trois heures".

J'avais prévu qu'on ne partira pas à l'heure prévu, rien de spécial. J'aurais du temps me relaxer. Regarder les dernières nouvelles, me reposer, peut être même écrire un peu. Excitée, j'ai même consignée mon départ dans mon journal.

Ensuite, je me suis dit "si je achetais le billet retour par téléphone"? Sur le Web, je ne réussissais à trouver ce que je cherchais: peut-on traverser le tunnel sans voiture? Bon, pas à pieds, en train ou en minibus peut-être?

La femme qui me réponds au téléphone m'explique, que c'est les fêtes de Paques et les vacances, je ne pourrais revenir qu'en payant une somme exorbitante! Hors prix! Même si je ne prends le train que de Callais à Folkstone! Et aucune compagnie de bus ne réponds pas.

Que faire?

Finalement, je ne suis pas partie avec les autres, j'ai changé la date de mon rendez-vous avec mon docteur, le mettant à la fin du mois, quand je peux trouver encore des billets à prix très raisonnables.

Pour ne pas partir à 4 heures de chez moi, j'ai payé 5 livres de plus, mais il reste encore pas cher, aller retour, oui, retour après le 1 mai, me permettant de passer encore une belle 1 mai (j'espère) en France. A voir si les fêtes seront aussi belles avec la nouvelle municipalité, mais sinon, je peux toujours me chercher une autre.

J'aurais dû aller fin de mois à York, ce départ va se mettre à plus tard.

Il était milieu de l'après-midi, quand, épuisée de tous ces voyages virtuelles pour le moment, je me suis arrêté. Dehors, soleil, il fallait sortir acheter des fruits!

J'avais vidé mon frigidaire, en pensant partir pour quelques jours, mardi matin...

C'est ce que j'aime avec mon journal: on ne sais jamais d'avance ce qui arrive dans la vie. Maintenant, je pourrais lui dire "je ne suis pas partie" - encore. Je partirai, un jour, pour sûr!

Mais pas le jour quand tout était emballé et prête pour le départ.

1 commentaire:

  1. pauvre de toi ! j'avais l'impression de me lire, le genre de chose que je peux faire

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