Une des premières images prises avec mon nouvelle Canon: encore pas mal a apprendre, mais cela viendra aussi. Hier, on m'a dit que je parlait bien, j'ai de l'humour (ce que je ne savais pas) et ma voix porte, mais ma prononciation anglais... reste beaucoup à désirer!
Je n'ai pas appris en 45 ans tout à fait prononcer bien le français, alors, je n'ai pas énormément d'espoir: mon petit fils commence à me corriger déjà!
Demain ou dans une semaine, mais je serai de retour avec des images et pleines des souvenirs nouvelles. Comme une des premières fêtes photographiées, Argenteuil le 1 Mai, reste une belle souvenir, je suis heureuse d'y être, d'y aller, dans une heure.
Je ne prendrai pas avec moi mon ordinateur. Pour une fois, je ferai une pause, au plus tard, jusque mardi. Vous allez me manquer tous!
Expérimenter, communiquer, tâcher de vivre pleinement. Prouver a soi et aux autres, depuis dix ans déjà
mercredi 29 avril 2009
mardi 28 avril 2009
Il invite des peintres dans la boutique
A l'entrée d'une boutique des cadres à Dorking, ce petit statue fantastique, je n'y est pas résisté!
Comme je vois, que quelqu'un n'a pas résisté de nouveau de laisser une message de haine politique n'ayant rien a voir avec ma note de hier d'ailleurs. Je l'ai effacé.
La haine n'a pas du place ici!
Nous avons passé une journée difficile, de avant hier soir à hier midi pour moi, on aurait dû opérer la poignée de ma petite fille. Finalement, la décision de dernière minute: laisser pour le moment la nature faire.
Une fois le pire de la crise passée, j'espère qu'il ne reviendra pas de sitôt, je peux en écrire. Rien de plus important finalement que la santé. La famille.
Je pensais ne plus aller a Paris pour le moment, mais j'y vais quand même, demain. Pleins des trucs à arranger et aussi quelques bonnes minutes à passer. Je n'arrive pas encore à m'en réjouir. J'espère que cela viendra.
Je pourrais probablement assiter à ceci:
Comme je vois, que quelqu'un n'a pas résisté de nouveau de laisser une message de haine politique n'ayant rien a voir avec ma note de hier d'ailleurs. Je l'ai effacé.
La haine n'a pas du place ici!
Nous avons passé une journée difficile, de avant hier soir à hier midi pour moi, on aurait dû opérer la poignée de ma petite fille. Finalement, la décision de dernière minute: laisser pour le moment la nature faire.
Une fois le pire de la crise passée, j'espère qu'il ne reviendra pas de sitôt, je peux en écrire. Rien de plus important finalement que la santé. La famille.
Je pensais ne plus aller a Paris pour le moment, mais j'y vais quand même, demain. Pleins des trucs à arranger et aussi quelques bonnes minutes à passer. Je n'arrive pas encore à m'en réjouir. J'espère que cela viendra.
Je pourrais probablement assiter à ceci:
lundi 27 avril 2009
Toastmasters a n'importe quelle âge
Sur le télé anglais, des gosses à partir de 13 ans en competition pour gagner le titre THE SPEAKER prouvant leur abilité à parler.
A Dorking, Londres et un peu partout des compétitions pour le meilleur ayant parlé en sept minutes, mais tous ne sont pas en compétition.
L'important d'après moi et faire un peu mieux qu'avant, ne pas s'arrêter à progresser, apprendre. Voilà un des toastmasters de mon groupe, au cheveux blancs, un Toastmaster experimenté déjà.
Et voici une Toastmaster toute récent, trois mois seulement qu'elle a commencé à parler. J'ai déjà gagné deux fois en parlant deux minutes pendant les Table Topics, qui donne l'occasion de parler sans préparation à ceux qui n'ont pas eu une autre rôle avant ce jour.
Je me sens bien entre eux, en apprendant moi aussi à chaque fois, de ce qu'ils disent mais aussi des discussions avec eux.
A Dorking, Londres et un peu partout des compétitions pour le meilleur ayant parlé en sept minutes, mais tous ne sont pas en compétition.
L'important d'après moi et faire un peu mieux qu'avant, ne pas s'arrêter à progresser, apprendre. Voilà un des toastmasters de mon groupe, au cheveux blancs, un Toastmaster experimenté déjà.
Et voici une Toastmaster toute récent, trois mois seulement qu'elle a commencé à parler. J'ai déjà gagné deux fois en parlant deux minutes pendant les Table Topics, qui donne l'occasion de parler sans préparation à ceux qui n'ont pas eu une autre rôle avant ce jour.
Je me sens bien entre eux, en apprendant moi aussi à chaque fois, de ce qu'ils disent mais aussi des discussions avec eux.
dimanche 26 avril 2009
Des images restent
Je me dis souvent: "Julie, tu prends trop d'images! Ralentis un peu." Mais des fois, mes images ressurgissent, sont utilisées, appréciées.
Comme celle-ci, dans un article Web sur les taches sur les mains, taches dues à l'âge, mais, dans mon cas aussi des taches de rousseur que j'ai depuis l'enfance: de cela l'article ne parle pas. Ni des rides que je regardais quand j'ai prise cette image.
Hier, une longue et merveilleuse journée: je suis allée à Dorking, à une heure en train ou bus de Londres, deux heures d'où j'habite. Un peu comme à Paris, j'ai du entrer d'abord centre Londres et prendre un train de là, puis de bus. En rentrant, bus, train, autre train puis autre bus.
D'une façon ou l'autre c'était environ deux heures aller, deux heures retour. Partie après 9 heures du matin, je suis arrivé juste avant 8 le soir: onze heures c'est beaucoup. Mais quelles 11 heures!
Quelles découvertes et événements juste en quelques heures!
Le but initial était de participer (aider) au Concours Régional des Discours de Toastmasters. Finalement, mon aide n'a pas été nécessaire, mais j'ai beaucoup appris: quelle niveau de contenu, gestes et variété vocales! Trois heures sont passées presque sans me rendre compte!
Une des deux vainqueurs à la fin, hélas, pendant les discours, pas le droit de prendre des photos, mais un français à pris tout en vidéo, bientôt on pourra la voir.
En plus, j'ai rencontré plusieurs personnes que je connaissais déjà et fais des nouveau copines, j'espère les revoir.
Comme je suis arrivée trop tôt, en voulant découvrir plus sur la ville, a partir de la Hight Street, rue principale, j'étais attirée vers l'église. Il y avait une porte ouverte à côté, une exposition des traitements et massages et un repas végétarienne. J'y est découverte une poète dont j'aime tant la contenu que la façon qu'elle joue avec les mots et mangé un plat des aubergines mélangés avec patates douces et noix.
Tout en mangeant, je découvre sur la table une invitation: entrez dans l'église, démonstrations libres de Bell ringing! Sonner les cloches. Chaque demi heure, une nouvelle groupe montait en haut: a midi et demi j'y étais aussi.
et les volontaires ensuite de l'audience (cette deuxième est courte)
C'est la première fois que j'ai vu et vraiment regardé comment cela se passe, des cloches d'une tonne et d'autres 'seulement' demi, tirés à travers des poulies cachés en haut par des cordes. Avec la nouvelle technologie, ils ont aussi mise une camera digital au-dessus et ainsi ont pu montrer en même temps deux des cloches se retourner et se balancer. Même du bas, sur une autre écran, on pouvait aussi les suivre. Bing, bang.
"Nous nous connaissons, les sonneurs des cloches, un peu partout en Angleterre" nous expliqua l'un d'eux, le plus expérimenté, "mais avons toujours besoin des nouveaux sonneurs de cloches à nous joindre."
En descendant, on m'a proposé à faire sonner des toute petites cloches mais même si cela ne vous laisse des signes sur la main, le faire sonner bien n'est pas un jeu d'enfant - ou justement, peut être les enfants réussiront mieux et en prendront goût.
Ensuite, en ayant encore du temps, j'ai admiré les fleurs et arbres, le soleil scintillant sur le vert printemps, j'ai vu tout autour comme les impressionistes.
mais aussi des tulipes noires devant une maison.
Avec toujours du temps à "perdre" je suis entrée dans un pub pour boire une café. Un vieux monsieur fêtait en famille son anniversaire. Il me paraissait un peu plus que moi, j'ai osé demandé son âge.
Il n'avait que 70 ans.
"Vous êtes trop jeune pour moi!" j'ai dis alors tout en lui souhaitant encore une fois bonne anniversaire.
Tout le monde a rit, y compris son épouse. J'ai pris encore une photo d'eux deux, maintenant il se sentait moins âgé, le poids d'âge pesait moins. Eh oui, j'avais cinq ans plus que lui, mais en réussissant à faire rire, les années se sont envolées magiquement.
Belle journée et bien pleine!
Cent images vont me les rappeler, compléter les souvenirs.
Comme celle-ci, dans un article Web sur les taches sur les mains, taches dues à l'âge, mais, dans mon cas aussi des taches de rousseur que j'ai depuis l'enfance: de cela l'article ne parle pas. Ni des rides que je regardais quand j'ai prise cette image.
Hier, une longue et merveilleuse journée: je suis allée à Dorking, à une heure en train ou bus de Londres, deux heures d'où j'habite. Un peu comme à Paris, j'ai du entrer d'abord centre Londres et prendre un train de là, puis de bus. En rentrant, bus, train, autre train puis autre bus.
D'une façon ou l'autre c'était environ deux heures aller, deux heures retour. Partie après 9 heures du matin, je suis arrivé juste avant 8 le soir: onze heures c'est beaucoup. Mais quelles 11 heures!
Quelles découvertes et événements juste en quelques heures!
Le but initial était de participer (aider) au Concours Régional des Discours de Toastmasters. Finalement, mon aide n'a pas été nécessaire, mais j'ai beaucoup appris: quelle niveau de contenu, gestes et variété vocales! Trois heures sont passées presque sans me rendre compte!
Une des deux vainqueurs à la fin, hélas, pendant les discours, pas le droit de prendre des photos, mais un français à pris tout en vidéo, bientôt on pourra la voir.
En plus, j'ai rencontré plusieurs personnes que je connaissais déjà et fais des nouveau copines, j'espère les revoir.
Comme je suis arrivée trop tôt, en voulant découvrir plus sur la ville, a partir de la Hight Street, rue principale, j'étais attirée vers l'église. Il y avait une porte ouverte à côté, une exposition des traitements et massages et un repas végétarienne. J'y est découverte une poète dont j'aime tant la contenu que la façon qu'elle joue avec les mots et mangé un plat des aubergines mélangés avec patates douces et noix.
Tout en mangeant, je découvre sur la table une invitation: entrez dans l'église, démonstrations libres de Bell ringing! Sonner les cloches. Chaque demi heure, une nouvelle groupe montait en haut: a midi et demi j'y étais aussi.
et les volontaires ensuite de l'audience (cette deuxième est courte)
C'est la première fois que j'ai vu et vraiment regardé comment cela se passe, des cloches d'une tonne et d'autres 'seulement' demi, tirés à travers des poulies cachés en haut par des cordes. Avec la nouvelle technologie, ils ont aussi mise une camera digital au-dessus et ainsi ont pu montrer en même temps deux des cloches se retourner et se balancer. Même du bas, sur une autre écran, on pouvait aussi les suivre. Bing, bang.
"Nous nous connaissons, les sonneurs des cloches, un peu partout en Angleterre" nous expliqua l'un d'eux, le plus expérimenté, "mais avons toujours besoin des nouveaux sonneurs de cloches à nous joindre."
En descendant, on m'a proposé à faire sonner des toute petites cloches mais même si cela ne vous laisse des signes sur la main, le faire sonner bien n'est pas un jeu d'enfant - ou justement, peut être les enfants réussiront mieux et en prendront goût.
Ensuite, en ayant encore du temps, j'ai admiré les fleurs et arbres, le soleil scintillant sur le vert printemps, j'ai vu tout autour comme les impressionistes.
mais aussi des tulipes noires devant une maison.
Avec toujours du temps à "perdre" je suis entrée dans un pub pour boire une café. Un vieux monsieur fêtait en famille son anniversaire. Il me paraissait un peu plus que moi, j'ai osé demandé son âge.
Il n'avait que 70 ans.
"Vous êtes trop jeune pour moi!" j'ai dis alors tout en lui souhaitant encore une fois bonne anniversaire.
Tout le monde a rit, y compris son épouse. J'ai pris encore une photo d'eux deux, maintenant il se sentait moins âgé, le poids d'âge pesait moins. Eh oui, j'avais cinq ans plus que lui, mais en réussissant à faire rire, les années se sont envolées magiquement.
Belle journée et bien pleine!
Cent images vont me les rappeler, compléter les souvenirs.
samedi 25 avril 2009
Au marché de Greenwich
Le Hall avec peintures en faux bas relief n'étant pas encore ouverte, nous sommes entrées avec Rachel, hier matin au marché de Greenwich. J'étais restée émerveillée devant cette étalage bric brac si bien arrangé et le bébé poupée dans le "baignoire" à l'ancienne, quand une femme me dit:
- Puis-je prendre cela en photo? Pourquoi tu ne le demande pas avant?
- Puis-je? C'est arrangé avec tellement du goût.
C'est ainsi que nous avons commencé à discuter. Ensuite, j'ai demandé de la prendre en photo, elle était si expressive!
- Pourquoi?
- J'aime les femmes qui s'affirment".
J'ai pris une image rapide, qu'elle n'a pas aimé beaucoup, j'adore! Ensuite elle a pris une poupée et a posé avec elle, celle-là c'était moi qui aime moins. Voilà l'image que j'adore.
Je crois qu'elle montre bien aussi son caractère.
- Puis-je prendre cela en photo? Pourquoi tu ne le demande pas avant?
- Puis-je? C'est arrangé avec tellement du goût.
C'est ainsi que nous avons commencé à discuter. Ensuite, j'ai demandé de la prendre en photo, elle était si expressive!
- Pourquoi?
- J'aime les femmes qui s'affirment".
J'ai pris une image rapide, qu'elle n'a pas aimé beaucoup, j'adore! Ensuite elle a pris une poupée et a posé avec elle, celle-là c'était moi qui aime moins. Voilà l'image que j'adore.
Je crois qu'elle montre bien aussi son caractère.
vendredi 24 avril 2009
Que choisir?
Quand on prend plus de 400 images en quelques heures, arrivé à la maison, on est confus.
J'ai mise quelques unes entre elles sur le flickr pour les montrer, dans trois albums différentes. Parc de Greenwich, Paysages avec Rebel (Landscape en anglais, et surtout des paysages urbaines avec ma nouvelle camera) et Earth day nature (jour de la terre). Je n'ai pas encore ajouté les gens rencontrés, cela va donner encore une autre album, pour ne pas mettre tout pêle mêle;
Néanmoins, mon nouveau copain, un retraité catholique vivant dans le milieu de forêt quelque part en USA avec son épouse, suit mes images et du lot a aimé celle-ci beaucoup, d'un coup, je me suis rendu compte que je ne lui a pas fait assez l'honneur.
Trois branches de sapin au dessus des tulipes rouges: j'ai admiré, mais je n'étais pas sûr que j'avais réussi à bien le rendre. Je crois que la composition en diagonale l'aide, des fois c'est bien de tourner le camera un peu pour une meilleur proportion ou regard. Et aussi prendre de près.
Je suis en train de recopier les impressions sur mes photos prises 2004: ce n'était pas mal, mais oui, j'ai fait un peu de progrès depuis.
Ce en quoi je n'es pas du tout progressé, c'est apprendre à choisir. Non, je n'ai pas une éducation artistique, mais tout fois l'observation de mon copain de l'autre bout de Atlantique "c'est comme une peinture impressionniste" me fait plaisir.
Aujourd'hui, je montre Greenwich et ses environs à Rachel, chez qui j'ai passé deux jours il y a quelques semaines. Une rencontre tête à tête, quelle joie! Et bientôt, à Paris, aussi...
J'ai mise quelques unes entre elles sur le flickr pour les montrer, dans trois albums différentes. Parc de Greenwich, Paysages avec Rebel (Landscape en anglais, et surtout des paysages urbaines avec ma nouvelle camera) et Earth day nature (jour de la terre). Je n'ai pas encore ajouté les gens rencontrés, cela va donner encore une autre album, pour ne pas mettre tout pêle mêle;
Néanmoins, mon nouveau copain, un retraité catholique vivant dans le milieu de forêt quelque part en USA avec son épouse, suit mes images et du lot a aimé celle-ci beaucoup, d'un coup, je me suis rendu compte que je ne lui a pas fait assez l'honneur.
Trois branches de sapin au dessus des tulipes rouges: j'ai admiré, mais je n'étais pas sûr que j'avais réussi à bien le rendre. Je crois que la composition en diagonale l'aide, des fois c'est bien de tourner le camera un peu pour une meilleur proportion ou regard. Et aussi prendre de près.
Je suis en train de recopier les impressions sur mes photos prises 2004: ce n'était pas mal, mais oui, j'ai fait un peu de progrès depuis.
Ce en quoi je n'es pas du tout progressé, c'est apprendre à choisir. Non, je n'ai pas une éducation artistique, mais tout fois l'observation de mon copain de l'autre bout de Atlantique "c'est comme une peinture impressionniste" me fait plaisir.
Aujourd'hui, je montre Greenwich et ses environs à Rachel, chez qui j'ai passé deux jours il y a quelques semaines. Une rencontre tête à tête, quelle joie! Et bientôt, à Paris, aussi...
jeudi 23 avril 2009
Vers où tourner la tête?
En revenant de l'Observatoire, encore la nouvelle Canon dans le main, je tombe sur ces arbres avec des branches comme les bras des vieux, torturés, magnifiques a regarder et un peu effrayant aussi: le printemps n'est pas arrivé jusque ce-là.
Va-t-il jamais revenir pour eux?
Ensuite je tourne la tête l'autre côté. Une rangé des arbres tous de couleur vert printemps scintillant sous la soleil, tout pimpants de leur robe montrant leur jeunesse et pointant vers le renouveau.
Avec la petite appareil, j'aurais pu faire autant, ou presque, mais pas prendre les deux à la fois.
Je me suis déplacé un peu, pour me placer entre les deux - même si bien sûr, je suis nettement plus près de l'hiver que du printemps. Et j'ai obtenu, entre autres, cette image.
En fait, je crois que c'est encore plus parlant en plus grand mais pour ceux qui veules, en un clic, cela s'agrandira
.
Avec cette appareil, je peux prendre plus large, et voilà à quoi, entre autre cela peut servir. C'est une cadeau que je me suis offerte à moi même en avance, pour mon 75e anniversaire. Ainsi, tous les voyages que je fais d'ici là, pourront être documenté des manières différentes.
Une autre version qui passe, peut être, encore davantage le message ressenti là, ou alors, les sept images une après les autres?
J'ai aussi prise de panorama "urbain", encore une fois "vieux et nouveau", avec le musée de Greenwich, ancienne, et derrière les nouvelle immeubles de Canary Worf. Je ne les a regardé encore que fugitivement, ces arbres-ci, me parlant davantage.
Même si je ne sais pas encore ce qu'elles me disent.
Va-t-il jamais revenir pour eux?
Ensuite je tourne la tête l'autre côté. Une rangé des arbres tous de couleur vert printemps scintillant sous la soleil, tout pimpants de leur robe montrant leur jeunesse et pointant vers le renouveau.
Avec la petite appareil, j'aurais pu faire autant, ou presque, mais pas prendre les deux à la fois.
Je me suis déplacé un peu, pour me placer entre les deux - même si bien sûr, je suis nettement plus près de l'hiver que du printemps. Et j'ai obtenu, entre autres, cette image.
En fait, je crois que c'est encore plus parlant en plus grand mais pour ceux qui veules, en un clic, cela s'agrandira
.
Avec cette appareil, je peux prendre plus large, et voilà à quoi, entre autre cela peut servir. C'est une cadeau que je me suis offerte à moi même en avance, pour mon 75e anniversaire. Ainsi, tous les voyages que je fais d'ici là, pourront être documenté des manières différentes.
Une autre version qui passe, peut être, encore davantage le message ressenti là, ou alors, les sept images une après les autres?
J'ai aussi prise de panorama "urbain", encore une fois "vieux et nouveau", avec le musée de Greenwich, ancienne, et derrière les nouvelle immeubles de Canary Worf. Je ne les a regardé encore que fugitivement, ces arbres-ci, me parlant davantage.
Même si je ne sais pas encore ce qu'elles me disent.
mercredi 22 avril 2009
Jour de la terre?
Est-ce que cela se fête aussi en France?
En tout cas, j'avais décidée d'aller à l'observatoire Royale de Greenwich, d'où le temps zero est compté: il est à quelques minutes à pieds.
Sur le chemin, ce matin, je suis entrée dans le jardin des fleurs: j'étais récompensée par une parterre magnifiques des tulipes rouges. Pour la première fois, j'ai pris avec moi aussi mon appareil Canon, j'ai eu l'impression que cela va me donner des bonnes choses, mais comme la mémoire qui est arrivée avec n'était pas la bonne, je n'ai eu que peu à m'exercer.
Toutefois, avec les deux appareils j'ai pris une totale de 400 images ce matin, et je n'ai pas eu le temps à m'en occuper encore de toutes. J'ai quelques unes que j'aime bien, mais en faisant une dixième, probablement j'aurais obtenu davantage.
L'après-midi, passé avec les petits sorties de première journée d'école, et ce soir je suis assez fatigée. Demain il sera une autre jour. D'ailleurs, j'avais proposé aller fêter Saint George avec les Anglais de Londres, je ne suis pas convaincue ce soir que j'aurais encore l'énergie.
Ce qui est sûr: je mettrai quelques une de mes images préférés. Demain.
En tout cas, j'avais décidée d'aller à l'observatoire Royale de Greenwich, d'où le temps zero est compté: il est à quelques minutes à pieds.
Sur le chemin, ce matin, je suis entrée dans le jardin des fleurs: j'étais récompensée par une parterre magnifiques des tulipes rouges. Pour la première fois, j'ai pris avec moi aussi mon appareil Canon, j'ai eu l'impression que cela va me donner des bonnes choses, mais comme la mémoire qui est arrivée avec n'était pas la bonne, je n'ai eu que peu à m'exercer.
Toutefois, avec les deux appareils j'ai pris une totale de 400 images ce matin, et je n'ai pas eu le temps à m'en occuper encore de toutes. J'ai quelques unes que j'aime bien, mais en faisant une dixième, probablement j'aurais obtenu davantage.
L'après-midi, passé avec les petits sorties de première journée d'école, et ce soir je suis assez fatigée. Demain il sera une autre jour. D'ailleurs, j'avais proposé aller fêter Saint George avec les Anglais de Londres, je ne suis pas convaincue ce soir que j'aurais encore l'énergie.
Ce qui est sûr: je mettrai quelques une de mes images préférés. Demain.
mardi 21 avril 2009
La famille revenue
Ma belle fille aime mieux cette image, que je n'aurais même pas considéré, comme quoi les goûts sont différentes. Je ne suis pas du tout sure du mien.
Ce soir, je vais montrer quelques unes de mes images et demander laquelle intéresse davantage les autres photographes de London Independent Photographers group, laquelle exposer au Gallérie.
En tout cas, j'ai regardé ce matin, entre mes 200 premières images déclarés à flickr "les plus intéressantes" aucune que j'ai prise ici, en Angleterre! L'intérêt pour Londres est moins grand que pour Paris ou j'ai oublié de prendre des photos?
Je suis un peu perturbée.
Bon, à la fin du mois je serai à Paris et j'en prendrai au moins quelques unes là, en France. Les lilas fleurissent et le cerisier aussi dans le jardin "tu sais, mamie, c'est l'arbre dans lequel j'aime grimper qui est en fleurs!" m'a expliqué hier mon petit-fils.
Ma petite fille est revenu avec le main droit en plâtre pour un mois. Elle est en train d'apprendre à dessiner et écrire avec le main gauche, comme son frère, gaucher. Elle y réussit! Courageuse, comme sa mère.
J'ai eu un peu mal au coeur en voyant la petite ainsi, ne pouvant même s'habiller pour le moment toute seule. Le gars et venu m'embrasser fort, "tu m'as manqué, mamie!"
J'irai avec lui visiter ses cousins à l'autre bout de l'océan au prochaines vacances. Que des joies et coeur serré aussi, la famille!
Ce soir, je vais montrer quelques unes de mes images et demander laquelle intéresse davantage les autres photographes de London Independent Photographers group, laquelle exposer au Gallérie.
En tout cas, j'ai regardé ce matin, entre mes 200 premières images déclarés à flickr "les plus intéressantes" aucune que j'ai prise ici, en Angleterre! L'intérêt pour Londres est moins grand que pour Paris ou j'ai oublié de prendre des photos?
Je suis un peu perturbée.
Bon, à la fin du mois je serai à Paris et j'en prendrai au moins quelques unes là, en France. Les lilas fleurissent et le cerisier aussi dans le jardin "tu sais, mamie, c'est l'arbre dans lequel j'aime grimper qui est en fleurs!" m'a expliqué hier mon petit-fils.
Ma petite fille est revenu avec le main droit en plâtre pour un mois. Elle est en train d'apprendre à dessiner et écrire avec le main gauche, comme son frère, gaucher. Elle y réussit! Courageuse, comme sa mère.
J'ai eu un peu mal au coeur en voyant la petite ainsi, ne pouvant même s'habiller pour le moment toute seule. Le gars et venu m'embrasser fort, "tu m'as manqué, mamie!"
J'irai avec lui visiter ses cousins à l'autre bout de l'océan au prochaines vacances. Que des joies et coeur serré aussi, la famille!
lundi 20 avril 2009
LIP challenge 'Greenwich - Deptford'
Lip veut peut être dire "bouche" en anglais, mais ici veut dire London Independent Photographers. Je m'y suis inscrite, récemment, mais cela fait depuis pas mal de temps que John Levitt m'a offert là l'occasion de parler la première fois en anglais en publique!
Hier, nous nous sommes rencontrés plusieurs pour une "challenge" est-ce défi en français, qu'il nous a proposé et un plan des rues recommandés.
Allez à la chasse de contrastes: vieux et neuf, tradition et moderne, différences entre deux villes et espérances.
Tout à fait différente de ma rencontre de samedi, quand je suis revenue me sentant comme une exclue; hier m'a donné pleine d'espérance et envie de m'y retourner.
J'ai eu une magnifique journée.
Deux heures pour prendre des photos (plus de deux cents dont j'ai ensuite choisie 30 pour vous montrer). Mais pour ceux qui veulent vraiment voir l'atmosphère et se balader Greenwich et Depford avec moi, voilà aussi où ils peuvent démarrer.
Ici les trente choisies seulement.
Greenwich était une ville royale, entre autres non seulement son parc magnifique, mais par exemple son Painted Hall, avec des peintures sur tous les murs en faux basse relief en témoignent.
Ce dimanche, sur le chemin vers le Cric de la Tamise séparant les deux villes, j'ai rencontré un petit mais charmant marché des puces. Une jeune femme essayant des chapeau à 5 pounds.
- Vous êtes une artiste, alors? me demanda-t-elle.
- Oui, je suis une artiste! j'ai répondu pour la première fois de ma vie.
La sourire que vous voyez sur cette image est le plaisir d'être prise par une artiste avec le chapeau qu'elle était en train d'essayer.
Ensuite, une discussion avec un gentleman autour des deux mannequins bien différents mises côte à côte par un marchand astucieux: c'est sûr, qu'ils attiraient des regards!
En passant près du pont, je rencontre un vieux monsieur avec un bicyclette, il devait avoir 85 ans au moins et difficulté à remonter. Il a finalement trouvé une moyen est parti heureux plus loin.
A l'autre côté, le premier habitant de Deptford était dans un bleu sale et troué: "vous travailler ici?" (il sortait d'un sentier fermé à clé). "Non, j'habite ici!" Il m'a ensuite expliqué comment aller vers le High Street tout en posant avec un regard bienveillant.
Ce n'est peut être pas le Painted Hall, mais presque aussitôt, je suis tombée en face des HLM's ou ressemblants, sur un mur peint par enfants de lieu: magnifique! Que de imagination! J'ai pris pleines des photos des détails et ensuite, j'ai trouvé d'autre Art mural par petits ou grands: en tout 40 images.
La rue commerçant principale, ancienne, nous ramène dans une autre siècle, mais cette fois leu de vie des gens modestes. Ce jour-là, il n'y avait de marché (mercredi et samedi l'est) mais des boutiques étaient ouvertes et d'autres profitaient du dimanche. Une mixture bigarré et diverse, rencontré en quelques minutes.
Des gosses et des gens de tous les âges, j'étais enchantée. Tant des anciens maisons écaillés que de petit église modeste, tant des discussions avec les uns des autres, que l'atmosphère s'y dégageant.
Vieux murs, vie nouvelle.
Sur la route j'ai rencontré plusieurs fois mes collègues photographes de LIP, échangé quelques mots, puis chacun continuait son chemin, ses propres découvertes.
Dans une discussion avec un homme dans chaise roulant, il me disait "dans les temps, les gens se donnait le temps de vivre et discuter entre eux..." puis à la fin, après qu'il fut photographié, il me regarda avec des yeux coquins: "Je finirai dans une Gallérie!" Pas de Gallérie, mais le voilà sur un blog.
Hélas, l'image prix de lui, n'est digne de la Gallérie, mais bientôt, je devrais choisir une de mes images, nous allons exposer à Viewfiender Gallérie près de la Marie et l'université, tous avec une image.
Peut être, je mettrai la dame aux chapeau violet. Qu'en pensez-vous?
Hier, nous nous sommes rencontrés plusieurs pour une "challenge" est-ce défi en français, qu'il nous a proposé et un plan des rues recommandés.
Allez à la chasse de contrastes: vieux et neuf, tradition et moderne, différences entre deux villes et espérances.
Tout à fait différente de ma rencontre de samedi, quand je suis revenue me sentant comme une exclue; hier m'a donné pleine d'espérance et envie de m'y retourner.
J'ai eu une magnifique journée.
Deux heures pour prendre des photos (plus de deux cents dont j'ai ensuite choisie 30 pour vous montrer). Mais pour ceux qui veulent vraiment voir l'atmosphère et se balader Greenwich et Depford avec moi, voilà aussi où ils peuvent démarrer.
Ici les trente choisies seulement.
Greenwich était une ville royale, entre autres non seulement son parc magnifique, mais par exemple son Painted Hall, avec des peintures sur tous les murs en faux basse relief en témoignent.
Ce dimanche, sur le chemin vers le Cric de la Tamise séparant les deux villes, j'ai rencontré un petit mais charmant marché des puces. Une jeune femme essayant des chapeau à 5 pounds.
- Vous êtes une artiste, alors? me demanda-t-elle.
- Oui, je suis une artiste! j'ai répondu pour la première fois de ma vie.
La sourire que vous voyez sur cette image est le plaisir d'être prise par une artiste avec le chapeau qu'elle était en train d'essayer.
Ensuite, une discussion avec un gentleman autour des deux mannequins bien différents mises côte à côte par un marchand astucieux: c'est sûr, qu'ils attiraient des regards!
En passant près du pont, je rencontre un vieux monsieur avec un bicyclette, il devait avoir 85 ans au moins et difficulté à remonter. Il a finalement trouvé une moyen est parti heureux plus loin.
A l'autre côté, le premier habitant de Deptford était dans un bleu sale et troué: "vous travailler ici?" (il sortait d'un sentier fermé à clé). "Non, j'habite ici!" Il m'a ensuite expliqué comment aller vers le High Street tout en posant avec un regard bienveillant.
Ce n'est peut être pas le Painted Hall, mais presque aussitôt, je suis tombée en face des HLM's ou ressemblants, sur un mur peint par enfants de lieu: magnifique! Que de imagination! J'ai pris pleines des photos des détails et ensuite, j'ai trouvé d'autre Art mural par petits ou grands: en tout 40 images.
La rue commerçant principale, ancienne, nous ramène dans une autre siècle, mais cette fois leu de vie des gens modestes. Ce jour-là, il n'y avait de marché (mercredi et samedi l'est) mais des boutiques étaient ouvertes et d'autres profitaient du dimanche. Une mixture bigarré et diverse, rencontré en quelques minutes.
Des gosses et des gens de tous les âges, j'étais enchantée. Tant des anciens maisons écaillés que de petit église modeste, tant des discussions avec les uns des autres, que l'atmosphère s'y dégageant.
Vieux murs, vie nouvelle.
Sur la route j'ai rencontré plusieurs fois mes collègues photographes de LIP, échangé quelques mots, puis chacun continuait son chemin, ses propres découvertes.
Dans une discussion avec un homme dans chaise roulant, il me disait "dans les temps, les gens se donnait le temps de vivre et discuter entre eux..." puis à la fin, après qu'il fut photographié, il me regarda avec des yeux coquins: "Je finirai dans une Gallérie!" Pas de Gallérie, mais le voilà sur un blog.
Hélas, l'image prix de lui, n'est digne de la Gallérie, mais bientôt, je devrais choisir une de mes images, nous allons exposer à Viewfiender Gallérie près de la Marie et l'université, tous avec une image.
Peut être, je mettrai la dame aux chapeau violet. Qu'en pensez-vous?
dimanche 19 avril 2009
Aldgate Est
L'ouest de Londres a toujours été pour les pauvres imigrants ou habitants, même si à quelques stations de métro seulement du City et du centre.
Encore, à côté des imeubles tout modernes, qui heureusement ici n'ont pas envahi tout, (encore?) on trouve des maisons dont la painture s'écaille, et pleines des petites boutiques.
Le studio était dans une énorme appartement au murs blanches et grandes fenêtres, avec plein d'équipement - au moins il semblait au début. Des murs au tissus noir ou blanc, des parapluie deflecteurs, et de la lumière.
Ah, oui, la lumière était là seulement pour être racordé aux appareils sophistiqués professionels, se fermait et s'ouvrait quand ils avaiet besoin. Pour moi, hélas, le mot est "se fermait" quand j'aurais eu le plus besoin de illuminer les modèles.
Quelquefois, j'ai réussissait à déclancher en même temps qu'un autre, voir cette image prise au début, mais la plupart de temps, non. Ce n'était pas prévu pour des gens comme moi avec des appareils photo modestes.
J'ai pris quelques images dans une autre pièces vides, mais alors pourquoi payer un studio? Les meilleurs, finalement, j'ai pris sur le toit de l'immeuble: les photographes en travail avec leur modèles.
Nous avons eu cinq ou six modèles voulant avoir des photos, pris d'eux à montrer, mais ils ou elles (un homme seulement entre eux) savait bien ce qu'ils voulaient: des photos genre "mode" dans lequel on ne sourit pas! On doit paraitre menaçant plutôt ou femme fatale.
Aie! Ce n'était pas du tout à mon gout, comme celui qui s'occupait des appareils non plus, inventant à chaque fois une autre motif pour lequel il n'avait pas de lampes puissant à illuminer 'ce n'est que pour les visages!' ou alors 'je l'ai donné pour quelques jours'.
Le plus naturelle était une jeune fille hongroise arrivé directement de ma Transylvanie Roumains depuis seulement deux semaines. Elle n'a jamais posé encore et elle est très belle.
Les autres était aussi fort photogéniques, mais une seule autre savait regarder détendue, ou alors, c'est moi qui a perdu tout mon savoir à interagir avec les gens;
Heureusement, un des photographes m'a sourit, comme je suis habituée, avec sympathie, et en sortant, j'ai réussi à persuader un serveur de restaurant que ses yeux bleus étaient magnifiques: c'est la photo la plus réussi de hier. Fait dehors le studio bien sûr, tout près de la station de métro que j'ai prise pour revenir.
Les quelques images prise donnent néamoins une bonne idée de la diversité et de l'atmosphère, même si ce n'est pas de moi que les modèles vont venir prendre d'images pour enrichir leur portofolio.
Encore, à côté des imeubles tout modernes, qui heureusement ici n'ont pas envahi tout, (encore?) on trouve des maisons dont la painture s'écaille, et pleines des petites boutiques.
Le studio était dans une énorme appartement au murs blanches et grandes fenêtres, avec plein d'équipement - au moins il semblait au début. Des murs au tissus noir ou blanc, des parapluie deflecteurs, et de la lumière.
Ah, oui, la lumière était là seulement pour être racordé aux appareils sophistiqués professionels, se fermait et s'ouvrait quand ils avaiet besoin. Pour moi, hélas, le mot est "se fermait" quand j'aurais eu le plus besoin de illuminer les modèles.
Quelquefois, j'ai réussissait à déclancher en même temps qu'un autre, voir cette image prise au début, mais la plupart de temps, non. Ce n'était pas prévu pour des gens comme moi avec des appareils photo modestes.
J'ai pris quelques images dans une autre pièces vides, mais alors pourquoi payer un studio? Les meilleurs, finalement, j'ai pris sur le toit de l'immeuble: les photographes en travail avec leur modèles.
Nous avons eu cinq ou six modèles voulant avoir des photos, pris d'eux à montrer, mais ils ou elles (un homme seulement entre eux) savait bien ce qu'ils voulaient: des photos genre "mode" dans lequel on ne sourit pas! On doit paraitre menaçant plutôt ou femme fatale.
Aie! Ce n'était pas du tout à mon gout, comme celui qui s'occupait des appareils non plus, inventant à chaque fois une autre motif pour lequel il n'avait pas de lampes puissant à illuminer 'ce n'est que pour les visages!' ou alors 'je l'ai donné pour quelques jours'.
Le plus naturelle était une jeune fille hongroise arrivé directement de ma Transylvanie Roumains depuis seulement deux semaines. Elle n'a jamais posé encore et elle est très belle.
Les autres était aussi fort photogéniques, mais une seule autre savait regarder détendue, ou alors, c'est moi qui a perdu tout mon savoir à interagir avec les gens;
Heureusement, un des photographes m'a sourit, comme je suis habituée, avec sympathie, et en sortant, j'ai réussi à persuader un serveur de restaurant que ses yeux bleus étaient magnifiques: c'est la photo la plus réussi de hier. Fait dehors le studio bien sûr, tout près de la station de métro que j'ai prise pour revenir.
Les quelques images prise donnent néamoins une bonne idée de la diversité et de l'atmosphère, même si ce n'est pas de moi que les modèles vont venir prendre d'images pour enrichir leur portofolio.
samedi 18 avril 2009
Une nouvelle idee
Ce matin, a partir de casse de tete finalement une idee est surgie: creer une groupe des gens de mon age dans le cadre de Universite de troisieme Age, en apprenant tout en le faisant a publier un blog.
Ceux qui aiment ecrire, celles aimant prendre des photos et aussi apprendre publier sur le Web, tous peuvent apprendre ensemble et combiner leur savoir, chacun contribuant.
Je ne sais pas si les lilas seront encore en fleur pres de Paris quand j'arriverai, mais autour de moi je trouve tous les fleurs, tant de mon enfance et adolescence que du mon ancien petit jardin: ainsi il ne me manque pas.
Je suis convaincu que le groupe projete peut faire des choses interessantes, le tout est de trouver quelqu'un deja experimente dans les groupes par ici pour m'epauler.
Hier soir je me disais: trop a faire, ce matin je suis de nouveau prete a partir
vendredi 17 avril 2009
Interactions, interactions
Ce mois-ci, dans le groupe Afterclass nous parlons des différentes types d'interactions qu'on peut montrer dans une photographie.
Les objets peuvent aussi interagir!
Au moins, ce que j'ai perçu de cette arrangement.
D'abord, je me suis demandé où ranger le citron? Sur la tasse pour faire du thé paraissait pas mal. J'ai prise une photo, mais quelque chose manquait... l'interaction avec la theière. Je crois qu'il ne faut pas la montrer entière, c'est encore plus parlant.
Interaction entre le sujet photographié et le photographe: est-ce qu'il ou elle regarde avec sympathie ou accusateur ou furieux même? Interaction entre les gens, souvent des photos "candid" sans demander d'avance, pour ne pas perturber ce qui se joue entre eux.
Interaction entre quelqu'un et son instrument de musique ou son livre ou un animal! En y pensant, on commence voir le monde en interactions, de plus en plus.
Ce matin, je me suis inscrite au groupe des photographes indépendants de londres, LIP - le même groupe que je fréquentais déjà à Greenwich. A cette occasion, j'ai découverte un photographe de Londres prenant surtout des images des passants sans demander. Ces images m'ont donné quelques idées nouvelles, même si, moi, je préfère parler.
En plus, mon camera présent, ne prend pas des images assez vite pour obtenir des photos nets des passants. Au moins, je crois.
Hier, tout la journée passé à la maison. J'espère que j'aurais le courage de sortir aujourd'hui, malgré que le pluie continue. Mais j'arrive à trouver tellement des choses à faire aussi à la maison!
Les objets peuvent aussi interagir!
Au moins, ce que j'ai perçu de cette arrangement.
D'abord, je me suis demandé où ranger le citron? Sur la tasse pour faire du thé paraissait pas mal. J'ai prise une photo, mais quelque chose manquait... l'interaction avec la theière. Je crois qu'il ne faut pas la montrer entière, c'est encore plus parlant.
Interaction entre le sujet photographié et le photographe: est-ce qu'il ou elle regarde avec sympathie ou accusateur ou furieux même? Interaction entre les gens, souvent des photos "candid" sans demander d'avance, pour ne pas perturber ce qui se joue entre eux.
Interaction entre quelqu'un et son instrument de musique ou son livre ou un animal! En y pensant, on commence voir le monde en interactions, de plus en plus.
Ce matin, je me suis inscrite au groupe des photographes indépendants de londres, LIP - le même groupe que je fréquentais déjà à Greenwich. A cette occasion, j'ai découverte un photographe de Londres prenant surtout des images des passants sans demander. Ces images m'ont donné quelques idées nouvelles, même si, moi, je préfère parler.
En plus, mon camera présent, ne prend pas des images assez vite pour obtenir des photos nets des passants. Au moins, je crois.
Hier, tout la journée passé à la maison. J'espère que j'aurais le courage de sortir aujourd'hui, malgré que le pluie continue. Mais j'arrive à trouver tellement des choses à faire aussi à la maison!
jeudi 16 avril 2009
Perdue a Lewisham
Je me dirigeait hier vers l'autre group de ToastMasters, dans Lew ou Lewisham, alas, sans bus direct.
J'ai attendu 15 minutes pour le premier bus à venir, ensuite j'ai presque oublié de descendre. Presque est le mot clé ici. En prenant le deuxième bus, j'ai dû descendre trop tard: je ne trouvait plus la rue habituelle.
En plus, étant trop habitué a la retrouver, je n'avais pas pris avec moi les indications sur le lieu de rencontre, que sans en avoir besoin, j'avais sur moi des autres fois. Je ne savais même pas que demander au très peu passants rencontrés.
J'allais à gauche puis à droite et une heure plus tard je me suis retrouvé au Centre Lewisham, près d'une station de bus connue qui me ramena chez moi, deux heures après mon départ.
Je regrette d'avoir manqué cette réunion, mais pas tout à fait. Sa direction nouvelle étant un peu trop dirigiste a mon goût, en plus malgré qu'ils donnaient l'occasion de parler plusieurs fois à une jeune femme active et sexy d'origine chinoise, je n'aurais pas le droit de parler une seule fois jusque mois du mai.
Je ne me suis perdu "exprès" c'est sûr, mais sur les rues tout en cherchant, je me suis demandé si je veux vraiment continuer à aller là à partir de Juillet, ou je vais changer et rester seulement à Greenwich et peut être trouver un deuxième ailleurs.
Peut-être m'être perdue était une signe?
J'ai attendu 15 minutes pour le premier bus à venir, ensuite j'ai presque oublié de descendre. Presque est le mot clé ici. En prenant le deuxième bus, j'ai dû descendre trop tard: je ne trouvait plus la rue habituelle.
En plus, étant trop habitué a la retrouver, je n'avais pas pris avec moi les indications sur le lieu de rencontre, que sans en avoir besoin, j'avais sur moi des autres fois. Je ne savais même pas que demander au très peu passants rencontrés.
J'allais à gauche puis à droite et une heure plus tard je me suis retrouvé au Centre Lewisham, près d'une station de bus connue qui me ramena chez moi, deux heures après mon départ.
Je regrette d'avoir manqué cette réunion, mais pas tout à fait. Sa direction nouvelle étant un peu trop dirigiste a mon goût, en plus malgré qu'ils donnaient l'occasion de parler plusieurs fois à une jeune femme active et sexy d'origine chinoise, je n'aurais pas le droit de parler une seule fois jusque mois du mai.
Je ne me suis perdu "exprès" c'est sûr, mais sur les rues tout en cherchant, je me suis demandé si je veux vraiment continuer à aller là à partir de Juillet, ou je vais changer et rester seulement à Greenwich et peut être trouver un deuxième ailleurs.
Peut-être m'être perdue était une signe?
mercredi 15 avril 2009
Après mon discours
J'étais vraiment épuisée hier, mais bien contente: l'audience était suspendu à mes lèvres (et gestes) et, de nouveau, plusieurs fois ils ont aussi rit.
J'ai parlé plus de 8 minutes: un de trop, mais j'ai fini.
Entre le discours dit à la maison et celle raconté à une audience, la présidente a raison: il faut mettre une minutes en plus pour "travailler l'audience" (elle me l'a dit en privé). Regarder autour, faire des pauses, attendre les réactions, ainsi de suite.
J'ai parcouru vingt ans de ma vie avec les hautes et bas, encore une fois haut et bas et retour en haut. Après vingt ans de vie, de 25 à 45, j'ai obtenu ce que je voulais, espérais atteindre à 25, ce qu'on m'a interdit alors.
En préparant et en délivrant un discours, je vois aussi moi plus précisément ce qui c'était passé, je ne m'en suis rendu compte aussi clairement jusque hier!
Enfin, j'avais un diplôme, même si j'ai dû attendre vingt ans de plus pour l'obtenir, enfin, je travaillais (même si seulement pour trois ans) dans un institut de recherches, enfin, j'étais une femme convoité par pas mal des hommes.
J'avais prouvé à moi même que je pouvais.
C'était finalement le plus important, même si hier je ne m'en suis rendu compte si clairement. En tout, c'était le plus important.
Revenu en France par la suite, mon diplôme n'a plus compté dans ma vie, sauf les dernières 5 années, j'ai finalement ouverte ma propre boite et abandonnant la chimie je me suis convertie à Micro Informatique et laissant tomber la recherche à négoce en gros.
Mais dorénavant, cela n'avait pas d'importance: j'avais trouvé mieux que mes anciens rêves.
Parler en public mais aussi écrire ici, me sert à mieux comprendre ma vie et la vie autour de moi.
J'ai parlé plus de 8 minutes: un de trop, mais j'ai fini.
Entre le discours dit à la maison et celle raconté à une audience, la présidente a raison: il faut mettre une minutes en plus pour "travailler l'audience" (elle me l'a dit en privé). Regarder autour, faire des pauses, attendre les réactions, ainsi de suite.
J'ai parcouru vingt ans de ma vie avec les hautes et bas, encore une fois haut et bas et retour en haut. Après vingt ans de vie, de 25 à 45, j'ai obtenu ce que je voulais, espérais atteindre à 25, ce qu'on m'a interdit alors.
En préparant et en délivrant un discours, je vois aussi moi plus précisément ce qui c'était passé, je ne m'en suis rendu compte aussi clairement jusque hier!
Enfin, j'avais un diplôme, même si j'ai dû attendre vingt ans de plus pour l'obtenir, enfin, je travaillais (même si seulement pour trois ans) dans un institut de recherches, enfin, j'étais une femme convoité par pas mal des hommes.
J'avais prouvé à moi même que je pouvais.
C'était finalement le plus important, même si hier je ne m'en suis rendu compte si clairement. En tout, c'était le plus important.
Revenu en France par la suite, mon diplôme n'a plus compté dans ma vie, sauf les dernières 5 années, j'ai finalement ouverte ma propre boite et abandonnant la chimie je me suis convertie à Micro Informatique et laissant tomber la recherche à négoce en gros.
Mais dorénavant, cela n'avait pas d'importance: j'avais trouvé mieux que mes anciens rêves.
Parler en public mais aussi écrire ici, me sert à mieux comprendre ma vie et la vie autour de moi.
mardi 14 avril 2009
"J'ai commence une nouvelle vie"
J'espère que Monique me pardonnera de publier ces extraits de sa lettre que je viens de lire ce matin.
J'espère, que ce blog va lui donner autant de confiance que mes images. Mais aussi tout simplement, me voir continuer d'être active.
Aujourd'hui, réveillé à 4 heures, finalement j'ai reécrit mon discours de nouveau. Il n'est plus concentré sur mon long nez, ni sur le dimanche de Pâques il y a 50 ans, mais montre davantage de ma vie. Mon fils est venu me conseiller, hier. Il était de très bon conseil. Mon discours manquait de contexte et des transitions claires.
Je les ai ajouté. Et comme il a conseillé, il commence et finit sur "tout va bien" puis tombe et se relève de nouveau deux fois. J'ai eu tant de vies depuis mes 25 ans, il y a 50 ans! Mettre ne soit que la période de 24 - 44 dans 7 minutes, c'est une vraie casse tête, tout en essayant de rester claire. Je continue à m'en préparer.
Chère Julie ,Depuis que j'ai eu 61 ans, moi aussi j'ai commencé une autre vie, plusieurs, d'ailleurs. Je souhaite à Monique de vivre tant sur le web et flickr, que peut être sur les blogs et ensuite dans la "vie réelle" aussi, tel qu'elle le désire.
Après avoir travaillé depuis 1972 dans l'enseignement je prends ma retraite le 2 juillet prochain !!!!!!!!!!!!! Et j'ai trouvé , avec Flicker , le moyen de continuer à communiquer , et surtout , de tenter de me dépasser . Ne pas rester à tourner en rond , c'était mon désir et , bien sûr , communiquer ! Je rencontre autrui depuis 40 ans , en grand nombre et même si j'aime la solitude , je ne voulais pas être solitaire ...... Je me jette dans la photographie avec enfin du temps , du temps !
Ce Flicker me semble être une manière de vivre très simple , très intense , débarrassée des faux discours et un espace où le politiquement correct ne s'exprime pas , et pour cause : tant de lieux , tant de langages , de caractères . Des styles de vie personnels , des témoignages , des sensibilités . Toute ma carrière était basée sur la disparité des tempéraments et j'aime tant çà !
A 61 ans je commence une autre vie .
Monique
J'espère, que ce blog va lui donner autant de confiance que mes images. Mais aussi tout simplement, me voir continuer d'être active.
Aujourd'hui, réveillé à 4 heures, finalement j'ai reécrit mon discours de nouveau. Il n'est plus concentré sur mon long nez, ni sur le dimanche de Pâques il y a 50 ans, mais montre davantage de ma vie. Mon fils est venu me conseiller, hier. Il était de très bon conseil. Mon discours manquait de contexte et des transitions claires.
Je les ai ajouté. Et comme il a conseillé, il commence et finit sur "tout va bien" puis tombe et se relève de nouveau deux fois. J'ai eu tant de vies depuis mes 25 ans, il y a 50 ans! Mettre ne soit que la période de 24 - 44 dans 7 minutes, c'est une vraie casse tête, tout en essayant de rester claire. Je continue à m'en préparer.
lundi 13 avril 2009
Bleu sur bleu
Jan Steele avec quelques unes de ses peintures, ici bleu comme son pull, et avec son sourire ravie que je suis entrée et apprécié sa boutique et ce qu'elle fait.
Jours pluvieux et je n'ai pas sortie hier du tout.
Je vis encore des souvenirs de la journée de vendredi, mais aujourd'hui, j'irai quelque part, même si je ne sais pas encore où.
Pourquoi les oeuf des Paques? Dans tous les religions on leur donne une autre signification, en fait de l'oeuf, si on ne le mange pas, arrive une vie nouvelle. Bien sûr, quand on les consomme, c'est tout autre chose!
La femme du première ministre anglais ne mange pas de veau, d'autres ne mangent pas du porc, d'autres du miel, chacun a ses habitudes et trouve une raison.
Essayons de trouver des raisons à nous entendre!
Jours pluvieux et je n'ai pas sortie hier du tout.
Je vis encore des souvenirs de la journée de vendredi, mais aujourd'hui, j'irai quelque part, même si je ne sais pas encore où.
Pourquoi les oeuf des Paques? Dans tous les religions on leur donne une autre signification, en fait de l'oeuf, si on ne le mange pas, arrive une vie nouvelle. Bien sûr, quand on les consomme, c'est tout autre chose!
La femme du première ministre anglais ne mange pas de veau, d'autres ne mangent pas du porc, d'autres du miel, chacun a ses habitudes et trouve une raison.
Essayons de trouver des raisons à nous entendre!
dimanche 12 avril 2009
Il y a juste 50 ans: un dimanche de Pâques
Preparation des Paques dans une famille d'avocat en Roumanie, et les oeuf colorés de toutes les couleurs ne sont que une partie de toute ce qu'elle a préparé pour toute sa famille.
Chacun fête Pâques à sa façon.
Je n'aime pas manger l'agneau, comme, il paraît que l'épouse de premier ministre de Grand Bretagne n'aime pas le veau, chacun a ses raisons.
Les oeufs, quand j'en fait pour Pâques, n'ont pas des couleurs, ils vont durer plus longtemps ainsi.
Les fêtes de Pâques apportent des souvenirs et pour moi, cette fois c'est une anniversaire "ronde" : 50 ans jour par jour depuis que je suis devenue femme!
J'étais près de mes 25 ans et j'hésitais encore.
Mis dehors de tout à cause soit disant d'une table (histoire que j'ai déjà raconté), j'avais enfin trouvé un travail comme main d'oeuvre à la chaine. Tout en collant des étiquettes sur des flacons, je me souviens comme si c'était aujourd'hui et pas il y a 50 ans, je me demandant "vais-je franchir le pas ou vais-je encore attendre? Oui? Non? Oui!"
Le dimanche des Pâques nous sommes passés par le marché, acheté quoi manger dans le forêt et allée nous y promener. Bon lieu de séduction, il n'y avait pas du monde autour de nous. Je me suis laissé séduit, là. Je ne me posais plus des questions.
Non, ce n'est pas là que j'ai perdu ma virginité, et devenue femme, et fière enfin de l'être, mais c'était là que je me suis finalement décidé. Nous sommes allés ensuite nous "reposer" dans une chambre de bonne où habitait son meilleur ami.
J'ai lu une poème de R. Tagore en français, avant, et en arrivant à la maison je me suis regardé dans le miroir: non, rien ne se voyait pas de changé sur moi. En fait, devenir femme prend plus de temps, mais c'était parti. Il m'a envoyé une jolie bouquet des fleurs le lendemain. Une heure plus tard, j'ai reçu un deuxième bouquet toujours par le courrier: il avait trouvé des fleurs encore plus belles.
Au lieu de pleurer mon travail perdu (on m'avait même interdit de continuer être main d'oeuvre à la chaîne) et interdite de tous les établissements universitaires, au lieu de pleurer sur ce que j'avais perdu, il y a 50 ans j'étais heureuse et rayonnante: je suis devenue femme!
Je savais quelque chose qui restait seulement entre moi et lui, et lentement, oui, j'ai changé: je rayonnais de plus en plus de bonheur.
Au début, je savais encore que ce n'était que passagère, mais par la suite je suis tombé de plus en plus dedans, je me suis marié, j'ai eu deux enfants avant de me réveiller au réalités et encore après nous sommes restés encore 7 ans ensemble: en tout, 15 ans à partir de ce dimanche des Pâques, il y a 50 ans.
Et bien sûr, je ne regrette rien, non seulement j'ai deux enfants et cinq petits enfants, même si la famille n'a pas démarrée aussitôt, ce dimanche-là, mais je reste aussi avec pleins des bons souvenirs. Ils resurgissent à côté des mauvaises, prenant souvent le pas, comme aujourd'hui.
Chacun fête Pâques à sa façon.
Je n'aime pas manger l'agneau, comme, il paraît que l'épouse de premier ministre de Grand Bretagne n'aime pas le veau, chacun a ses raisons.
Les oeufs, quand j'en fait pour Pâques, n'ont pas des couleurs, ils vont durer plus longtemps ainsi.
Les fêtes de Pâques apportent des souvenirs et pour moi, cette fois c'est une anniversaire "ronde" : 50 ans jour par jour depuis que je suis devenue femme!
J'étais près de mes 25 ans et j'hésitais encore.
Mis dehors de tout à cause soit disant d'une table (histoire que j'ai déjà raconté), j'avais enfin trouvé un travail comme main d'oeuvre à la chaine. Tout en collant des étiquettes sur des flacons, je me souviens comme si c'était aujourd'hui et pas il y a 50 ans, je me demandant "vais-je franchir le pas ou vais-je encore attendre? Oui? Non? Oui!"
Le dimanche des Pâques nous sommes passés par le marché, acheté quoi manger dans le forêt et allée nous y promener. Bon lieu de séduction, il n'y avait pas du monde autour de nous. Je me suis laissé séduit, là. Je ne me posais plus des questions.
Non, ce n'est pas là que j'ai perdu ma virginité, et devenue femme, et fière enfin de l'être, mais c'était là que je me suis finalement décidé. Nous sommes allés ensuite nous "reposer" dans une chambre de bonne où habitait son meilleur ami.
J'ai lu une poème de R. Tagore en français, avant, et en arrivant à la maison je me suis regardé dans le miroir: non, rien ne se voyait pas de changé sur moi. En fait, devenir femme prend plus de temps, mais c'était parti. Il m'a envoyé une jolie bouquet des fleurs le lendemain. Une heure plus tard, j'ai reçu un deuxième bouquet toujours par le courrier: il avait trouvé des fleurs encore plus belles.
Au lieu de pleurer mon travail perdu (on m'avait même interdit de continuer être main d'oeuvre à la chaîne) et interdite de tous les établissements universitaires, au lieu de pleurer sur ce que j'avais perdu, il y a 50 ans j'étais heureuse et rayonnante: je suis devenue femme!
Je savais quelque chose qui restait seulement entre moi et lui, et lentement, oui, j'ai changé: je rayonnais de plus en plus de bonheur.
Au début, je savais encore que ce n'était que passagère, mais par la suite je suis tombé de plus en plus dedans, je me suis marié, j'ai eu deux enfants avant de me réveiller au réalités et encore après nous sommes restés encore 7 ans ensemble: en tout, 15 ans à partir de ce dimanche des Pâques, il y a 50 ans.
Et bien sûr, je ne regrette rien, non seulement j'ai deux enfants et cinq petits enfants, même si la famille n'a pas démarrée aussitôt, ce dimanche-là, mais je reste aussi avec pleins des bons souvenirs. Ils resurgissent à côté des mauvaises, prenant souvent le pas, comme aujourd'hui.
samedi 11 avril 2009
A l'autre bout du Londres
Londres, une ville qui comprend beaucoup des villes.
A l'autre bout de Londres, presque à l'opposé du où j'habite, tout à Ouest au lieu de tout à l'Est, mais toujours pas très loin de la rivière Thames, est Richmond.
Comme c'était recommandé comme balade intéressant à combiner avec le parc botanique Kew Gardens, je me suis dit que je pourrais descendre d'abord là, une station plus loin, ensuite au jardin botanique.
"Rien à voir à Richmond" - c'était mon première impression. Une ville comme tant d'autres en Angleterre. Peu des gens sur les rues, ce qui était normal: il commençait à pleuvoir.
En fait, il pleuvait déjà quand je suis arrivé au bus. Une heure et demi voyage par bus et métro, et la pluie ne s'était pas arrêté tout à fait. Voir une ville sous une légère pluie était plus sage que m'y mettre à me promener entre fleurs!
On m'avait aussi dit que la rivière était pas tout près de la station, mais heureusement, ce n'était pas vrai. Je l'ai retrouvé en tombant sur une rue dont le nom me disait "la rivière ne doit pas être loin".
A côté du pont, j'ai d'abord aperçu une boutique d'art, des peintures avec des couleurs étranges, attirants et pleines des bric brac qui me disaient "vienne voir!"
"Je peux regarder"?
"Allez-y" me dit une femme sympa. C'était l'artiste.
Non, je n'ai rien acheté mais je suis sortie en prenant une image d'elle et une autre d'une de ses peintures et ensuite, elle me dit: allez parler à eux aussi, montrant ceux qui travaillaient devant sa boutique à construire un bateau.
En fait, j'ai découverte alors, qu'il y avait plusieurs ateliers et malgré le vendredi férié, tous travaillaient. Ah oui, malgré la pluie et la distance, il valait la peine d'y aller!
Je ne suis pas allée voir les fleurs dans la pluie qui n'arrêtait pas, mais je suis revenue bien contente de ma récolte et ce que j'avais vu. Un vendredi bien passé!
A l'autre bout de Londres, presque à l'opposé du où j'habite, tout à Ouest au lieu de tout à l'Est, mais toujours pas très loin de la rivière Thames, est Richmond.
Comme c'était recommandé comme balade intéressant à combiner avec le parc botanique Kew Gardens, je me suis dit que je pourrais descendre d'abord là, une station plus loin, ensuite au jardin botanique.
"Rien à voir à Richmond" - c'était mon première impression. Une ville comme tant d'autres en Angleterre. Peu des gens sur les rues, ce qui était normal: il commençait à pleuvoir.
En fait, il pleuvait déjà quand je suis arrivé au bus. Une heure et demi voyage par bus et métro, et la pluie ne s'était pas arrêté tout à fait. Voir une ville sous une légère pluie était plus sage que m'y mettre à me promener entre fleurs!
On m'avait aussi dit que la rivière était pas tout près de la station, mais heureusement, ce n'était pas vrai. Je l'ai retrouvé en tombant sur une rue dont le nom me disait "la rivière ne doit pas être loin".
A côté du pont, j'ai d'abord aperçu une boutique d'art, des peintures avec des couleurs étranges, attirants et pleines des bric brac qui me disaient "vienne voir!"
"Je peux regarder"?
"Allez-y" me dit une femme sympa. C'était l'artiste.
Non, je n'ai rien acheté mais je suis sortie en prenant une image d'elle et une autre d'une de ses peintures et ensuite, elle me dit: allez parler à eux aussi, montrant ceux qui travaillaient devant sa boutique à construire un bateau.
En fait, j'ai découverte alors, qu'il y avait plusieurs ateliers et malgré le vendredi férié, tous travaillaient. Ah oui, malgré la pluie et la distance, il valait la peine d'y aller!
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