Les fins d'années sont plus faciles à détecter que les fins des récits de ma vie. Je prends le temps à réfléchir ce que c'était passée, et l'année finit effectivement, a minuit.
Une nouvelle année commence.
Je suis assez contente cette fois de l'année passée, non seulement parce que j'ai obtenu le Competent Communicator titre en finissant mes dix projets discours au Club Toastmasters. Non seulement parce que j'ai réussi à parler 5 fois hors de Club, une fois au théatre, une fois au coin de Hyde Park, une fois dans un petite théatre de ma ban lieu, deux fois pour photographes? Non plus pour le 1e prix photo pour Museum le Nuit à Londres, ou les invitations à prendre d'autres photos et de parler à d'autres occasions.
Tout cela est bien satisfaisant, bien sûr, mais le plus important est d'avoir découverte au début d'année presque combien de joie parler en publique peut m'apporter. D'autre côté, peut être aussi importante est le fait que raconter des histoires en publique, m'a obligée à penser différemment, à mon passé.
Plus positive, mais aussi comprenant davantage "ce qui était au dessous", ce qui a motivé, etc. Ecrire, même ici, "presque en direct", ne m'a pas poussé à penser si profondément, ne m'a pas fait comprendre tellement des choses, que préparant un récit à dire.
J'ai encore pas mal des récits à dire et pas mal des choses à comprendre, mais je suis en bonne voie.
Et pour l'année prochaine, mon but principale va être d'aider les autres. Ma belle-fille, qui commence une année des études, en prenant plus soin des petits enfants, mais aussi d'autres qui ont des difficultés à démarrer, raconter, dire en public.
Bien sûr, ce n'est que des buts, pleines des bonne (et mauvaises) surprises peuvent arriver sur le chemin, et je suis ouverte les accueilli quand elles arriveront.
Une porte rouillée s'ouvre, difficilement, on ne sais pas ce qu'on trouve à l'intérieur et pourquoi vraiment on s'y est mis à l'ouvrir.
Expérimenter, communiquer, tâcher de vivre pleinement. Prouver a soi et aux autres, depuis dix ans déjà
jeudi 31 décembre 2009
mercredi 30 décembre 2009
Arbre vue par dessinateurs
Photographie prise en septembre 2006, il y a plus de quatre ans et trouvé intéressante par un designer qui prépare un Web site pour une organisation de "bienfaisance".
L'importante pour moi est le fait que de temps en temps, mes images anciennes ressurgissent, quand même moi je les ai presque oubliée.
Pas tout à fait, puisque je me rappelle bien l'occasion quand je suis allée photographier des petites danseuses d'origine portugaise la plupart, se préparant pour une spectacle. L'autre porte, était une atelier de dessin, pour enfants, adolescentes et adultes. Le même jour, même heure.
Une grande arbre dans le cour. C'est le dessin de cette arbre-là.
Finalement, même s'ils ne me payent pas, et j'étais payé en cinq ans une seule fois, cela me procure beaucoup de plaisir quand on utilise mes photos, quand on les apprécie assez.
On les trouve utiles.
Elles disent quelque chose pour quelqu'un.
Cela veut dire aussi, qu'ils ont du regarder pas mal pour arriver à cette image ancienne! Sentir que ce qu'on fait devient utile, même si après long temps, merveilleux!
L'importante pour moi est le fait que de temps en temps, mes images anciennes ressurgissent, quand même moi je les ai presque oubliée.
Pas tout à fait, puisque je me rappelle bien l'occasion quand je suis allée photographier des petites danseuses d'origine portugaise la plupart, se préparant pour une spectacle. L'autre porte, était une atelier de dessin, pour enfants, adolescentes et adultes. Le même jour, même heure.
Une grande arbre dans le cour. C'est le dessin de cette arbre-là.
Finalement, même s'ils ne me payent pas, et j'étais payé en cinq ans une seule fois, cela me procure beaucoup de plaisir quand on utilise mes photos, quand on les apprécie assez.
On les trouve utiles.
Elles disent quelque chose pour quelqu'un.
Cela veut dire aussi, qu'ils ont du regarder pas mal pour arriver à cette image ancienne! Sentir que ce qu'on fait devient utile, même si après long temps, merveilleux!
mardi 29 décembre 2009
Voyage virtuelle
Retour a la maison, après 6 jours de voyage, je passe mes journées solitaires de fin d'année à réfléchir (nécessaire) et lire (rêver).
En fait, je le passe aussi en voyage virtuelle.
Je vais encore voyager longtemps, j'ai des nouvelles et nouvelles découvertes à faire au milieu de mes photographies prises lors mes promenades à Grenade.
Comme ces deux portes découvertes hier et leur couleurs qui m'enchantent.
Il y a des lieux où je me retrouve aussitôt, me souviens des lieux et de l'instant quand je l'ai prise, ces portes je ne me souviens pas, c'est donc comme si je les découvrais. A travers les photos que je regarde, dix ou quinze a la fois seulement à un moment donnée, je fait une nouvelle voyage tout en restant chez moi.
Je n'ai même pas envie de sortir.
Toutefois, même si hier je suis restée encore une fois à la maison, lisant surtout, puisque des période de repos sont aussi nécessaires, ce matin je vais faire des courses.
Je vais tâcher aussi de faire quelques calendriers à offrir, pour l'année prochaine. Maintenant, après Noël, ils coûtent moitié prix à commander. Peut-être, ce seront les derniers, pour l'année prochaine je vais tâcher de préparer un DVD audio visuelle.
Quoique ce n'est pas la même chose. Le papier on peut l'avoir tout le temps devant soi. Mais ils vont compléter probablement, l'un l'autre. En attendant, je vais essayer de préparer un vidéo séquence en combinant "raconter" et "montrer" et, bien sûr, le tester, en le montrant dans ce blog.
Bonne fin d'année à tous!
En fait, je le passe aussi en voyage virtuelle.
Je vais encore voyager longtemps, j'ai des nouvelles et nouvelles découvertes à faire au milieu de mes photographies prises lors mes promenades à Grenade.
Comme ces deux portes découvertes hier et leur couleurs qui m'enchantent.
Il y a des lieux où je me retrouve aussitôt, me souviens des lieux et de l'instant quand je l'ai prise, ces portes je ne me souviens pas, c'est donc comme si je les découvrais. A travers les photos que je regarde, dix ou quinze a la fois seulement à un moment donnée, je fait une nouvelle voyage tout en restant chez moi.
Je n'ai même pas envie de sortir.
Toutefois, même si hier je suis restée encore une fois à la maison, lisant surtout, puisque des période de repos sont aussi nécessaires, ce matin je vais faire des courses.
Je vais tâcher aussi de faire quelques calendriers à offrir, pour l'année prochaine. Maintenant, après Noël, ils coûtent moitié prix à commander. Peut-être, ce seront les derniers, pour l'année prochaine je vais tâcher de préparer un DVD audio visuelle.
Quoique ce n'est pas la même chose. Le papier on peut l'avoir tout le temps devant soi. Mais ils vont compléter probablement, l'un l'autre. En attendant, je vais essayer de préparer un vidéo séquence en combinant "raconter" et "montrer" et, bien sûr, le tester, en le montrant dans ce blog.
Bonne fin d'année à tous!
dimanche 27 décembre 2009
Je me suis levée tôt
Une des jours, à Grenade, je me suis levée très tôt et mis sur la route, aller vers en haut sur les rues étroites m'appellait et à chaque tourne une autre chose m'attendait.
Mais aucun mouvement, personne d'autre que moi.
La route était illuminée, mais pas très fortement. Je me demande par exemple, était-ce une porte dans le mur? Un jardin regardant vers le chateau d'Alhambra derrière? Ou vers la centre ville? Ou en friche?
Je vous offre quelques images de cette promenade ainsi que de dernière, juste avant qu'on part.
Je ne suis pas sortie aujourd'hui, il fait bien chaud à l'intérieur et j'ai trouvé un ancien romance dans laquelle je me suis perdue avec délices.
Il y a tellement des plaisirs différentes!
Mais aucun mouvement, personne d'autre que moi.
La route était illuminée, mais pas très fortement. Je me demande par exemple, était-ce une porte dans le mur? Un jardin regardant vers le chateau d'Alhambra derrière? Ou vers la centre ville? Ou en friche?
Je vous offre quelques images de cette promenade ainsi que de dernière, juste avant qu'on part.
Je ne suis pas sortie aujourd'hui, il fait bien chaud à l'intérieur et j'ai trouvé un ancien romance dans laquelle je me suis perdue avec délices.
Il y a tellement des plaisirs différentes!
samedi 26 décembre 2009
Samedi, 26 jour d'anniversaire
Maman est née le 26 Decembre, et d'habitude je lui achète (depuis 50 ans déjà) des cyclamenes, ses fleurs préférés d'hiver.
Je lui parle. Je lui raconte.
Aujourd'hui, j'ai sortie, le soleil était au rendez-vous, mais ne n'ai pu presque rien acheter, tous les boutiques alimentaires étaient fermés. Le 26 décembre est "boxing day" et fériée ici, comme le lundi suivante, va être, mais appelée Banking Holliday, le jours quand même les banques ferment.
Tout cela pour donner quelques jours à être en famille, pour ceux qui en ont. Qui ne l'ont pas trop loin. Qui sont en bonnes relations. Qui... ainsi de suite.
Il reste néanmoins pas mal surement.
J'étais très active aujourd'hui, j'ai parlé à travers mon journal à maman, racontant mon année: elle sera contente la savoir ce que j'ai réalisé. J'ai aussi parlé à ma fille et mon plus grand petit enfant, qui lui aussi est née aujourd'hui.
Il a 16 ans déjà!
J'ai aussi raconté dans mon dictaphone, en anglais pour le moment, une histoire sur mon adolescence. Justement, c'était autour de mon 16e année.
J'ai compris, pourquoi j'ai cru aussi longtemps dans les idéaux trahis pourtant encore et encore dans la vie réelle, j'ai fait dans ma tête et coeur une image et je ne voulais renoncer à l'image.
En fait, cette image je l'ai toujours avec moi, aider pour qu'on ne juge pas et ne punit pas quelqu'un à cause de sa religion, couleur, appartenance à une nation ou groupe sociale, à cause de ses parents ou famille. Qu'on le juge sur ce qui est et ce qu'il fait.
L'histoire de la cravate rouge de pionnier m'as aidé à comprendre ce qu'il y avait sous ma croyance dans l'idéologie communiste, tel qu'on me l'a raconté la première fois, quand j'avais pas encore 14 ans.
C'est si agréable à croire en quelque chose!
Même au père Noël. Les enfants ont raison qu'ils s'accrochent même quand ils savent en fait que ce n'est pas vraie, c'est si agréable d'en croire au contes de fées!.
Je lui parle. Je lui raconte.
Aujourd'hui, j'ai sortie, le soleil était au rendez-vous, mais ne n'ai pu presque rien acheter, tous les boutiques alimentaires étaient fermés. Le 26 décembre est "boxing day" et fériée ici, comme le lundi suivante, va être, mais appelée Banking Holliday, le jours quand même les banques ferment.
Tout cela pour donner quelques jours à être en famille, pour ceux qui en ont. Qui ne l'ont pas trop loin. Qui sont en bonnes relations. Qui... ainsi de suite.
Il reste néanmoins pas mal surement.
J'étais très active aujourd'hui, j'ai parlé à travers mon journal à maman, racontant mon année: elle sera contente la savoir ce que j'ai réalisé. J'ai aussi parlé à ma fille et mon plus grand petit enfant, qui lui aussi est née aujourd'hui.
Il a 16 ans déjà!
J'ai aussi raconté dans mon dictaphone, en anglais pour le moment, une histoire sur mon adolescence. Justement, c'était autour de mon 16e année.
J'ai compris, pourquoi j'ai cru aussi longtemps dans les idéaux trahis pourtant encore et encore dans la vie réelle, j'ai fait dans ma tête et coeur une image et je ne voulais renoncer à l'image.
En fait, cette image je l'ai toujours avec moi, aider pour qu'on ne juge pas et ne punit pas quelqu'un à cause de sa religion, couleur, appartenance à une nation ou groupe sociale, à cause de ses parents ou famille. Qu'on le juge sur ce qui est et ce qu'il fait.
L'histoire de la cravate rouge de pionnier m'as aidé à comprendre ce qu'il y avait sous ma croyance dans l'idéologie communiste, tel qu'on me l'a raconté la première fois, quand j'avais pas encore 14 ans.
C'est si agréable à croire en quelque chose!
Même au père Noël. Les enfants ont raison qu'ils s'accrochent même quand ils savent en fait que ce n'est pas vraie, c'est si agréable d'en croire au contes de fées!.
vendredi 25 décembre 2009
Samedi, 19 jour de pluie
Samedi, peut être j'ai pris les plus des images que j'aime, j'ai eu mes découvertes et plaisirs, à Grenade, sous la pluie.
Heureusement, il ne pleuvait pas beaucoup ni tout le temps, mais j'aime aussi pas mal les gens avec les parapluies.
En plus, c'est ce jour-là que j'ai découverte un coin paradis des "art mural" et aussi les musiciens chanteurs le soir.
Aujourd'hui, je me suis bien amusée avec les images de la journée, demain je vais retravailler celles de la soirée et les chanteurs troubadours.
Avec quelques images, je me suis même permise aujourd'hui, de m'amuser, les déformant tout à fait, créant quelque chose d'autre, comme vous pouvez voir dans la photo de début de cette note.
Je passe la journée seule, mais je ne me sens seule du tout, je suis avec mes images, mes souvenirs - et j'ai même enregistré la première jet de mon futur discours. A retravailler.
Surtout, que tel quel, il dure presque 20 minutes!
Pour le moment, je n'ai aucune idée ce que je peux en retirer, mais peut être, je pourrais la raconter quelque part ainsi, et ailleurs, laisser dehors certaines scènes, en les disant en résumé seulement.
Demain, anniversaire de mon petit fils et de ma mère, et en plus, en Angleterre "boxing day": ce n'est pas comme je croyais d'abord, pour des match de box, mais pour offrir des cadeau à ceux qui en ont besoin, aux ouvriers d'un usine ou serveurs dans les anciens temps, a tous probablement aujourd'hui qui ne font pas partie de la famille et ne sont pas là pour la fête et repas de Noël.
Je vais m'acheter, quelque chose, demain: probablement, au moins du lait, mais aussi m'offrir quelque chose un peu spéciale, en même temps. Si j'aurais de courage, un promenade photo centre Londres, sinon, juste une balade dans un supermarché alimentaire.
En tout cas, je sortirai le nez dehors.
Pour le moment, je vous offre, des images de Grenade, tel que j'ai vu le jour de pluie, samedi dernière.
Pour ce qui en ont le temps, pour les autres, revenez une autre fois peut être, pour vous promener avec moi, loin de maison, tout en restant au chaude et couverts.
Heureusement, il ne pleuvait pas beaucoup ni tout le temps, mais j'aime aussi pas mal les gens avec les parapluies.
En plus, c'est ce jour-là que j'ai découverte un coin paradis des "art mural" et aussi les musiciens chanteurs le soir.
Aujourd'hui, je me suis bien amusée avec les images de la journée, demain je vais retravailler celles de la soirée et les chanteurs troubadours.
Avec quelques images, je me suis même permise aujourd'hui, de m'amuser, les déformant tout à fait, créant quelque chose d'autre, comme vous pouvez voir dans la photo de début de cette note.
Je passe la journée seule, mais je ne me sens seule du tout, je suis avec mes images, mes souvenirs - et j'ai même enregistré la première jet de mon futur discours. A retravailler.
Surtout, que tel quel, il dure presque 20 minutes!
Pour le moment, je n'ai aucune idée ce que je peux en retirer, mais peut être, je pourrais la raconter quelque part ainsi, et ailleurs, laisser dehors certaines scènes, en les disant en résumé seulement.
Demain, anniversaire de mon petit fils et de ma mère, et en plus, en Angleterre "boxing day": ce n'est pas comme je croyais d'abord, pour des match de box, mais pour offrir des cadeau à ceux qui en ont besoin, aux ouvriers d'un usine ou serveurs dans les anciens temps, a tous probablement aujourd'hui qui ne font pas partie de la famille et ne sont pas là pour la fête et repas de Noël.
Je vais m'acheter, quelque chose, demain: probablement, au moins du lait, mais aussi m'offrir quelque chose un peu spéciale, en même temps. Si j'aurais de courage, un promenade photo centre Londres, sinon, juste une balade dans un supermarché alimentaire.
En tout cas, je sortirai le nez dehors.
Pour le moment, je vous offre, des images de Grenade, tel que j'ai vu le jour de pluie, samedi dernière.
Pour ce qui en ont le temps, pour les autres, revenez une autre fois peut être, pour vous promener avec moi, loin de maison, tout en restant au chaude et couverts.
jeudi 24 décembre 2009
Souvenirs, souvenirs
Pour le moment, je nage en souvenirs, mais à un moment donnée je vais émerger. Trop peu dormie, trop des photos et vidéos, trop des souvenirs emmagasinées en quelques jours.
Il pleut dehors, mais le sol garde des traces de neige autour de la maison, heureusement, hier, je me suis acheté tout ce qu'il me faut pour quelques jours.
Au lit, avec l'ordinateur sur le genoux, je travaille, regarde les images, les change un peu des fois, le met sur ma site, cela me paraît sans fin, mais il n'y a rien qui urge pourtant, surtout ce jour, la veille de Noël, quand la plupart des gens et lecteurs potentiels se prépare pour une réunion familiale.
J'étais invitée, de nouveau, très gentillement par le vicaire de l'église Anglicane près d'ici, où j'étais l'année dernière, je préfère ne pas les déranger et passer le Noël avec mes livres et à travers le Web.
Le soleil surgira un jour et alors, j'irai au centre, prendre encore quelques images de Londres en fête. Je suis ici, mais en fait, je me sens encore à Granada: les quelques jours "ailleurs" est toujours fantastique et me donne une autre vue de monde et des gens.
J'ai compris des Espagnols et d'Espagne, davantage, là bas, surtout que j'ai aussi parlé un peu avec les gens, moi. Autre, que demander le chemin - ce que nous avons dû aussi faire des fois.
Tunisie en 2004, Irlande, Maroc, Sicile, était des voyages d'une semaine ou moins, mais toutes m'ont enrichie. Je ne considère pas Paris, Londres ; Bucarest ou Washington "voyage", puisque je les connaissais déjà et suis allée là, venue ici, autrement. Différement.
J'ai plusieurs "chez moi" en fait.
Retourner, ici ou là, je me sens quand même "chez moi" et pas "en voyage découverte" même quand je m'émerveille ce que j'y trouve aussi le plus souvent. Toujours.
Je "voyage" aussi autour d'où j'habite, mais ce n'est pas l'émerveillement des marchés Marocaines, des désertes Tunisiens, des paysages d'Irlande ou les rues en haut et bas étroites de Grenade ou les troubadours avec leur voix ténor, grande sourire et petit guitares.
A Tunisie et Maroc, tous le monde parlait presque Français, en Irlande j'ai parlé Anglais, mais les Espagnols rencontrés, parlaient, surtout/... espagnol. J'ai toute fois rencontré des Algériens, habitant à Grenade et des Africaines, parlant Français, et quelques gens, très peu, Anglais.
On a réussi s'entendre quand même.
Et puis, ne pas oublier cet Arabe du Mosquee, il parlait très bien anglais, et bien sûr, tous les touristes, de France à Australie, d'ailleurs, la plupart n'était pas des touristes, mais des voyageurs. Restant plus de temps ou allant à plusieurs endroits, ou les deux.
Une semaine, quelques jours par année, et je me sens "ressourcée" mais je doit encore assimiler, tout les impressions.
Une des chant spectacle, que j'ai le mieux aimé, imitation de Pavarotti's Trois Tenors que j'avais écouté à travers le Web. Ici, c'est les chanteurs de Groupes des anciens et récents Universitaires de Disctrice Grenade qui chantent et font la musique.
Videos mise sur YouTube et mon Videoblog
Feliz Navidad
Season's Greetings
Frochliches Weihnacten
JoyeuxNoel
Buon Natale
Sarbatori Fericite
Boldog ünnepeket kivànok/b>
Il pleut dehors, mais le sol garde des traces de neige autour de la maison, heureusement, hier, je me suis acheté tout ce qu'il me faut pour quelques jours.
Au lit, avec l'ordinateur sur le genoux, je travaille, regarde les images, les change un peu des fois, le met sur ma site, cela me paraît sans fin, mais il n'y a rien qui urge pourtant, surtout ce jour, la veille de Noël, quand la plupart des gens et lecteurs potentiels se prépare pour une réunion familiale.
J'étais invitée, de nouveau, très gentillement par le vicaire de l'église Anglicane près d'ici, où j'étais l'année dernière, je préfère ne pas les déranger et passer le Noël avec mes livres et à travers le Web.
Le soleil surgira un jour et alors, j'irai au centre, prendre encore quelques images de Londres en fête. Je suis ici, mais en fait, je me sens encore à Granada: les quelques jours "ailleurs" est toujours fantastique et me donne une autre vue de monde et des gens.
J'ai compris des Espagnols et d'Espagne, davantage, là bas, surtout que j'ai aussi parlé un peu avec les gens, moi. Autre, que demander le chemin - ce que nous avons dû aussi faire des fois.
Tunisie en 2004, Irlande, Maroc, Sicile, était des voyages d'une semaine ou moins, mais toutes m'ont enrichie. Je ne considère pas Paris, Londres ; Bucarest ou Washington "voyage", puisque je les connaissais déjà et suis allée là, venue ici, autrement. Différement.
J'ai plusieurs "chez moi" en fait.
Retourner, ici ou là, je me sens quand même "chez moi" et pas "en voyage découverte" même quand je m'émerveille ce que j'y trouve aussi le plus souvent. Toujours.
Je "voyage" aussi autour d'où j'habite, mais ce n'est pas l'émerveillement des marchés Marocaines, des désertes Tunisiens, des paysages d'Irlande ou les rues en haut et bas étroites de Grenade ou les troubadours avec leur voix ténor, grande sourire et petit guitares.
A Tunisie et Maroc, tous le monde parlait presque Français, en Irlande j'ai parlé Anglais, mais les Espagnols rencontrés, parlaient, surtout/... espagnol. J'ai toute fois rencontré des Algériens, habitant à Grenade et des Africaines, parlant Français, et quelques gens, très peu, Anglais.
On a réussi s'entendre quand même.
Et puis, ne pas oublier cet Arabe du Mosquee, il parlait très bien anglais, et bien sûr, tous les touristes, de France à Australie, d'ailleurs, la plupart n'était pas des touristes, mais des voyageurs. Restant plus de temps ou allant à plusieurs endroits, ou les deux.
Une semaine, quelques jours par année, et je me sens "ressourcée" mais je doit encore assimiler, tout les impressions.
Une des chant spectacle, que j'ai le mieux aimé, imitation de Pavarotti's Trois Tenors que j'avais écouté à travers le Web. Ici, c'est les chanteurs de Groupes des anciens et récents Universitaires de Disctrice Grenade qui chantent et font la musique.
Videos mise sur YouTube et mon Videoblog
Feliz Navidad
Season's Greetings
Frochliches Weihnacten
JoyeuxNoel
Buon Natale
Sarbatori Fericite
Boldog ünnepeket kivànok/b>
mercredi 23 décembre 2009
Adio Granada
Une des premières fontaines découvertes a Grenade, en passant une rue très étroite, près de mon hôtel, dans l'ancienne ville.
Il y a tellement des fontaines!
Celle-ci, modeste, pleurai hier avec moi mon départ prochaine et la pluie qui est arrivé soudain, mais après notre promenade matinale seulement.
Pour moi, il représente davantage l'esprit de la ville que la grandiose palais Alhambra. Voir, ce qu'on peut faire en utilisant un mur ancienne et deux tout petite fenêtres près de la fontaine. Sur cette image, en haut mon parapluie et le mur est partiellement humide aussi. Le jour de ma découverte était sec et ensoleillé.
Mais même au jours tristes ou pluvieux on trouve quelque chose original à faire en Grenade.
Avant partir, nous avons visité les caves de Sacremonte, alas, en attendant presque une heure pour le bus 34 à arriver, nul ne disait qu'il ne va qu'une fois par heure! A notre départ, nous avons découverte qu'on peut y monter, et descendre, avec un autre bus, 31 circulant très souvent, si on fait quelques centaines de mètres, intéressantes en soi.
Départ sans problème de Granada, Espagne, vers Madrid où par contre c'était la pagaie. Si c'était seulement les trois heures d'attente et le départ après minuit! Mais des lignes énormes attendant l'aide et information, des gens désespérés et nous, assez fatiguées.
En arrivant de 17° vers 3 l'après-midi à Grenade a Londres vers 3 h de nuit, j'ai trouvé de la neige autour d'ici et s'a glisse.
Mais que de belles souvenirs en quelques jours, je dois encore les digérer, petit à petit. Et vous en parler, à fur et à mesure.
Il y a tellement des fontaines!
Celle-ci, modeste, pleurai hier avec moi mon départ prochaine et la pluie qui est arrivé soudain, mais après notre promenade matinale seulement.
Pour moi, il représente davantage l'esprit de la ville que la grandiose palais Alhambra. Voir, ce qu'on peut faire en utilisant un mur ancienne et deux tout petite fenêtres près de la fontaine. Sur cette image, en haut mon parapluie et le mur est partiellement humide aussi. Le jour de ma découverte était sec et ensoleillé.
Mais même au jours tristes ou pluvieux on trouve quelque chose original à faire en Grenade.
Avant partir, nous avons visité les caves de Sacremonte, alas, en attendant presque une heure pour le bus 34 à arriver, nul ne disait qu'il ne va qu'une fois par heure! A notre départ, nous avons découverte qu'on peut y monter, et descendre, avec un autre bus, 31 circulant très souvent, si on fait quelques centaines de mètres, intéressantes en soi.
Départ sans problème de Granada, Espagne, vers Madrid où par contre c'était la pagaie. Si c'était seulement les trois heures d'attente et le départ après minuit! Mais des lignes énormes attendant l'aide et information, des gens désespérés et nous, assez fatiguées.
En arrivant de 17° vers 3 l'après-midi à Grenade a Londres vers 3 h de nuit, j'ai trouvé de la neige autour d'ici et s'a glisse.
Mais que de belles souvenirs en quelques jours, je dois encore les digérer, petit à petit. Et vous en parler, à fur et à mesure.
mardi 22 décembre 2009
Spectacle splendide
Une partie de spectacle, coeur et music - et ici même dance des "Tuna del Distrito Universitario de Granada" que nous avons vu Samedi soir, au Théatre Isabel la catholique.
J'ai prise environ 20 vidéos, mais je n'avais que ma petite camera Sony avec moi, ce soir-là. Je suis toujours sous l'enchantement, et si vous venez par hasard par ici, vous comprendrez un peu, pourquoi.
j'ai mise une autre vidéo dans mon vidéo blog, vidéo que j'ai mis sur YouTube, je ne sais pas si de Dailymotion ou de YouTube que le vidéo arrive mieux?
J'ai prise environ 20 vidéos, mais je n'avais que ma petite camera Sony avec moi, ce soir-là. Je suis toujours sous l'enchantement, et si vous venez par hasard par ici, vous comprendrez un peu, pourquoi.
j'ai mise une autre vidéo dans mon vidéo blog, vidéo que j'ai mis sur YouTube, je ne sais pas si de Dailymotion ou de YouTube que le vidéo arrive mieux?
lundi 21 décembre 2009
7000 l'ont déjà écouté!
Un des trois vidéos les plus populaires sur ma site Dailymotion.com/julie70, l'orgue de barbarie, chez Gelzy et Pierre, il y a longtemps! quel merveilleux souvenir!
Beau temps ici mais
A Madrid par ou on passe demain de la neige pas beau temps comme ici donc on vera ce que arrivera, a bientot je l espere
dimanche 20 décembre 2009
Ose l'échec, humour en anglais
Vidéo en anglais, tourné lors de Toastmaster Compétition par mon fils.
Je promets de traduire les mots, bientôt.
Je promets de traduire les mots, bientôt.
samedi 19 décembre 2009
Video "Quand j'avais 14 ans"
par Shana Sbourai chez moi, cette histoire commence à 14 ans, mais se termine bien plus tard
Lewisham Speakers 23 Decembre
La derniere nuit avant partir j·ai recu solenellement le certificat de Competent Communicator, mon but pour l·annee.
Helas, les autres certificats pour la premiere projet, n´·ont pas ete donnee avec autant de ceremonie, "trop de temps" a dit le president: J·ai beaucoup regrette, ayant tout fait pour qu·ils soient aussi reconnus comme il le fallait - avec ceremonie.
A Grenade Espagne ville depasse de loin ce que j·y pensais, la premiere apres midi etait feerique avec 19 degree, depuis il pleut, je suis mouillee mais je continue a me ballader.
Ailleurs, il fait encore plus froid...
Les images arriveront a mon retour ainsi que le reste des recits.
Helas, les autres certificats pour la premiere projet, n´·ont pas ete donnee avec autant de ceremonie, "trop de temps" a dit le president: J·ai beaucoup regrette, ayant tout fait pour qu·ils soient aussi reconnus comme il le fallait - avec ceremonie.
A Grenade Espagne ville depasse de loin ce que j·y pensais, la premiere apres midi etait feerique avec 19 degree, depuis il pleut, je suis mouillee mais je continue a me ballader.
Ailleurs, il fait encore plus froid...
Les images arriveront a mon retour ainsi que le reste des recits.
vendredi 18 décembre 2009
Video tournée chez moi
Shana Sbourai est venu tourner un vidéo chez moi, en février, ceci est une partie, sur les images et les livres d'images photos, quelques inspirations puis les miens.
jeudi 17 décembre 2009
Flamenco en Amérique, autour de la piscine
Une ancien souvenir, ce flamenco-ci, bientôt, j'aurais le flamenco de Granada!
mercredi 16 décembre 2009
Jinger bells, il y a une année!
En revenant de Grenade, je m'arrête avec des vidéos anciennes, et sauf, j'espère au moins une vidéo de flamenco courte, je vais me remettre à écrire!
mardi 15 décembre 2009
Folklore portugais à Argenteuil
Cette vidéo composite, tournée par moi à Argenteuil, a été déclaré "artistique" et ils ont ajouté quelques seconds de pub devant. Ensuite, pleine des gens l'ont regardé, elle est arrivé au-delà de 8000 maintenant.
Curieux, sont les voies et mes découvertes, puisque je ne l'avais pas déclaré moi, de "contenu artistique"...
Curieux, sont les voies et mes découvertes, puisque je ne l'avais pas déclaré moi, de "contenu artistique"...
lundi 14 décembre 2009
Lumière de soir
Le soleil d'après-midi, frappant sur la petite église sur le Heath, mais le ciel derrière était déjà sombre.
L'église se trouve sur la plaine de Blackheat, à la sortie de "Blackheath village" - peut être, une fois, c'était une village, mais c'est plutôt un tout petite ville de banlieue, partie de Londres, avec station de train en bas de la grande rue qui mène de l'église à la Station.
Des boutiques de luxe, tout au long. Ce n'est pas là que j'aime me promener, mais dans le Hauteur de Blackheath avec son atmosphère de vieille ville et ses boutiques souvent dé-chouettes.
Cette partie-ci, près duquel je vis, s'appelle Blackheath Royal Standard, sans y avoir rien de royal autre qu'un pub de ce nom, qui était là depuis deux cent ans parait-il. A l'époque, je crois que Greenwich parc était un terrain de chasse et le pub "en haut" près de parc ou forêt.
En tout cas, ce fin d'après-midi, je sortais d'un spectacle et j'étais frappé par la lumière et les angles qu'elle dessinait sur l'église, ce soir, on y aura une spectacle.
En tout cas, je n'ai jamais "vu" et observé la lumière naturelle et les conséquences des différents temps autour de moi, que ces dernière temps, que des choses j'ai dû manquer dans ma vie, en était tournée trop à l'intérieur et dans mes pensées pendant que je marchais dehors!
L'église se trouve sur la plaine de Blackheat, à la sortie de "Blackheath village" - peut être, une fois, c'était une village, mais c'est plutôt un tout petite ville de banlieue, partie de Londres, avec station de train en bas de la grande rue qui mène de l'église à la Station.
Des boutiques de luxe, tout au long. Ce n'est pas là que j'aime me promener, mais dans le Hauteur de Blackheath avec son atmosphère de vieille ville et ses boutiques souvent dé-chouettes.
Cette partie-ci, près duquel je vis, s'appelle Blackheath Royal Standard, sans y avoir rien de royal autre qu'un pub de ce nom, qui était là depuis deux cent ans parait-il. A l'époque, je crois que Greenwich parc était un terrain de chasse et le pub "en haut" près de parc ou forêt.
En tout cas, ce fin d'après-midi, je sortais d'un spectacle et j'étais frappé par la lumière et les angles qu'elle dessinait sur l'église, ce soir, on y aura une spectacle.
En tout cas, je n'ai jamais "vu" et observé la lumière naturelle et les conséquences des différents temps autour de moi, que ces dernière temps, que des choses j'ai dû manquer dans ma vie, en était tournée trop à l'intérieur et dans mes pensées pendant que je marchais dehors!
dimanche 13 décembre 2009
Avec la main gauche
C'était une plaisir d'observer les enfants, en train de mettre des fleurs et décorations l'un sur l'autre. Avec la main droit, elle, main gauche, lui.
Une grand cadeau, de part de leur mère: elle les a laissé faire à sa place.
Vers la fin, même moi, j'ai eu une fleur bleu sur un visage!
Je pensais qu'elle va durer un peu plus, mais jusque matin, il ne restait pas grande chose, une autre fois. Si, il reste néanmoins du preuve: des photos prises!
J'ai trouvé une chaise basse d'enfant à m'assoir, et de là j'étais juste en bonne position à prendre des photos, quelle plaisir!
Une grand cadeau, de part de leur mère: elle les a laissé faire à sa place.
Vers la fin, même moi, j'ai eu une fleur bleu sur un visage!
Je pensais qu'elle va durer un peu plus, mais jusque matin, il ne restait pas grande chose, une autre fois. Si, il reste néanmoins du preuve: des photos prises!
J'ai trouvé une chaise basse d'enfant à m'assoir, et de là j'étais juste en bonne position à prendre des photos, quelle plaisir!
samedi 12 décembre 2009
sortir du brouillard
Version plus courte, meilleur ainsi je crois. Je reste encore bouche bée, devant cette jeune fille retournant chez elle en tee-shirt, quand nous tous, étions en pull et manteau d'hiver.
Je comprends encore les joggeurs, mais elle attendait quelque chose, ne se dépéchant pas du tout!
Hier, prix Nobel bien mérité pour Barak Obama: l'espoir, n'a pas de prix, l'espoir apporte plus de Paix que le bruit autour "mérité ou pas encore?" D'après moi, le fait qu'il est devenu président, venant d'un milieu si mélangé, d'une éducation si diverse est aussi le signe, qu'au moins, en Amérique, tout est possible. Mais cela a donné l'espoir au-delà à énormément des jeunes et moins jeunes aussi.
Je comprends encore les joggeurs, mais elle attendait quelque chose, ne se dépéchant pas du tout!
Hier, prix Nobel bien mérité pour Barak Obama: l'espoir, n'a pas de prix, l'espoir apporte plus de Paix que le bruit autour "mérité ou pas encore?" D'après moi, le fait qu'il est devenu président, venant d'un milieu si mélangé, d'une éducation si diverse est aussi le signe, qu'au moins, en Amérique, tout est possible. Mais cela a donné l'espoir au-delà à énormément des jeunes et moins jeunes aussi.
vendredi 11 décembre 2009
Brouilard, humide et froid: hurrah!
Ce matin, je suis sortie à cause du brouillard, rare maintenant à Londres, malgré son renom.
Il faisait aussi humide, même s'il ne pleuvait pas, mais ce n'est qu'après quelques minutes que j'ai remarqué le froid!
Mes mains, gelés.
Enchanté du brouillard, j'ai pris pleine des images.Mais, comme les images dans le brouillard, ne sont pas très claires en petit format, je vais devoir retravailler pas mal entre elles.
En revenant, j'ai rencontré un jeune homme, en manteau d'hiver et gants, bravo, il a pensé mieux que moi! Mais ensuite, au coin, une jeune fille, ayant son manteau au bras!
"Je n'ai pas froid!" me dit-elle.
"Ah, mes mains par contre..."
Je suis sûre qu'il était autour de zéro, juste un peu plus!
Après mon promenade photo, je suis allée faire des courses en voiture, le brouillard était présent là aussi, enfin, dehors.
Que des photos à retravailler et regarder!
Il faisait aussi humide, même s'il ne pleuvait pas, mais ce n'est qu'après quelques minutes que j'ai remarqué le froid!
Mes mains, gelés.
Enchanté du brouillard, j'ai pris pleine des images.Mais, comme les images dans le brouillard, ne sont pas très claires en petit format, je vais devoir retravailler pas mal entre elles.
En revenant, j'ai rencontré un jeune homme, en manteau d'hiver et gants, bravo, il a pensé mieux que moi! Mais ensuite, au coin, une jeune fille, ayant son manteau au bras!
"Je n'ai pas froid!" me dit-elle.
"Ah, mes mains par contre..."
Je suis sûre qu'il était autour de zéro, juste un peu plus!
Après mon promenade photo, je suis allée faire des courses en voiture, le brouillard était présent là aussi, enfin, dehors.
Que des photos à retravailler et regarder!
jeudi 10 décembre 2009
Encore dans la brume
Au début d'une histoire ou d'un voyage, nous sommes dans la brume, comme hier, cette arbre.
On voit les contours, on a quelques buts, mais on ne voit pas clairement. Comme maintenant, avec mon voyage à Grenade.
Je désirais aller à Madrid, découvrir le Musée et ses vieux rues, mais Klara m'avait dit "trop froid". Je désirais aller au Maroc, peut être retourner à Mogador, "j'y étais déjà pour trois semaines". Je pensais alors qu'on pourrait aller quelque part en Andalousie, peut-être, à Seville. Elle a décidé de Grenade.
Je ne sais pas encore ce que notre voyage apportera, mais les prochaines fois, j'irai seule, probablement, ou resterai sur mon idée originale. Toutefois, c'est presque sûre, quelque chose intéressante et agréable surgira une fois là.
Finalement, moins on attend, plus cela peut apporter.
Je ne comprends encore pas bien, oui, c'est aussi en brume, pourquoi je suis peu enthousiaste à l'idée d'y passer quelques jours.
C'est vrai, que la dernière fois, on a trouvé là de vent et de la pluie, mais nous sommes arrivés tard et nous ne sommes restés que quelques heures. C'est vrai, que le lieu est lourd de l'histoire de persécutions, d'avoir chassé les juifs de là après y avoir vécu mille ans. Je ne savais pas que de moyen âge, renaissance, jusque vers les année 1889, les juifs non seulement étaient interdit de vivre en Espagne mais même d'y entrer!
Mon guide me dit aussi que l'Inquisition n'a pas été plus sympa avec des arabes non plus, qui eux aussi ont habité l'Andalousie et Grenade pour plus de sept cent ans. Non seulement, on leur demanda de partir ou changer leurs coutumes, langues, habillement, mais même, "changer leur ridicule habitude de se laver tous les jours"!
Pendant sept cent ans, toutefois, la Grenade a connu une très bonne entente entre arabes et juifs. Cela donne espoir. Les musulmans, laissant chacun (oui, aussi les chrétiens) la liberté de leur propre culte. C'est à cause de ceci qu'en Transylvanie, quelque fois le prince c'était allié avec les Turques et pas l'Autriche: les protestantes de là, ne voulant pas changer en catholiques, comme des fois l'Autriche essayé les obliger.
En lisant le guide, je me suis rendu compte des nombreuses tragédies dans l'histoire, qui reste pour nous en brouillard, au moins tant qu'on ne lit pas des fois un bon roman qui s'y passe, qui l'illumine.
Mon histoire d'adolescence est aussi encore dans le brouillard, mais j'ai le temps jusque février à la préparer. Brouillard ou non, il est toujours dans moi en train de murir. Que veut cette histoire dire? Quelles sont les scènes n'ajoutant rien, même si je les aime? Comment mieux développer la scène finale? Combien dire ou non de la suite?
Il ne pleut pas dehors, mais c'est un hiver un peu morne, je me sens bien chez moi en regardant aujourd'hui l'arbre seulement sur l'image.
On voit les contours, on a quelques buts, mais on ne voit pas clairement. Comme maintenant, avec mon voyage à Grenade.
Je désirais aller à Madrid, découvrir le Musée et ses vieux rues, mais Klara m'avait dit "trop froid". Je désirais aller au Maroc, peut être retourner à Mogador, "j'y étais déjà pour trois semaines". Je pensais alors qu'on pourrait aller quelque part en Andalousie, peut-être, à Seville. Elle a décidé de Grenade.
Je ne sais pas encore ce que notre voyage apportera, mais les prochaines fois, j'irai seule, probablement, ou resterai sur mon idée originale. Toutefois, c'est presque sûre, quelque chose intéressante et agréable surgira une fois là.
Finalement, moins on attend, plus cela peut apporter.
Je ne comprends encore pas bien, oui, c'est aussi en brume, pourquoi je suis peu enthousiaste à l'idée d'y passer quelques jours.
C'est vrai, que la dernière fois, on a trouvé là de vent et de la pluie, mais nous sommes arrivés tard et nous ne sommes restés que quelques heures. C'est vrai, que le lieu est lourd de l'histoire de persécutions, d'avoir chassé les juifs de là après y avoir vécu mille ans. Je ne savais pas que de moyen âge, renaissance, jusque vers les année 1889, les juifs non seulement étaient interdit de vivre en Espagne mais même d'y entrer!
Mon guide me dit aussi que l'Inquisition n'a pas été plus sympa avec des arabes non plus, qui eux aussi ont habité l'Andalousie et Grenade pour plus de sept cent ans. Non seulement, on leur demanda de partir ou changer leurs coutumes, langues, habillement, mais même, "changer leur ridicule habitude de se laver tous les jours"!
Pendant sept cent ans, toutefois, la Grenade a connu une très bonne entente entre arabes et juifs. Cela donne espoir. Les musulmans, laissant chacun (oui, aussi les chrétiens) la liberté de leur propre culte. C'est à cause de ceci qu'en Transylvanie, quelque fois le prince c'était allié avec les Turques et pas l'Autriche: les protestantes de là, ne voulant pas changer en catholiques, comme des fois l'Autriche essayé les obliger.
En lisant le guide, je me suis rendu compte des nombreuses tragédies dans l'histoire, qui reste pour nous en brouillard, au moins tant qu'on ne lit pas des fois un bon roman qui s'y passe, qui l'illumine.
Mon histoire d'adolescence est aussi encore dans le brouillard, mais j'ai le temps jusque février à la préparer. Brouillard ou non, il est toujours dans moi en train de murir. Que veut cette histoire dire? Quelles sont les scènes n'ajoutant rien, même si je les aime? Comment mieux développer la scène finale? Combien dire ou non de la suite?
Il ne pleut pas dehors, mais c'est un hiver un peu morne, je me sens bien chez moi en regardant aujourd'hui l'arbre seulement sur l'image.
mercredi 9 décembre 2009
Promenade d'hiver
Klara, avec qui je partirai dans une semaine à Grenade, est venu me prendre avec son petit chien Pipa, et nous nous sommes promenés dans le parc de Greenwich, pas loin d'ici.
Les arbres "nus" peuvent aussi être merveilleux et même le paysage brumeux. Il faisait beau, cela veut dire, pas très froid et il n'a pas plu pendant notre promenade.
J'ai aimé le paysage varié sur le chemin et grâce à ses yeux attentives, j'ai découverte des champignons divers sur un tronc d'arbre.
Moi, j'avais vu seulement le tronc et les racines, c'était elle qui m'a montré qu'il y avait plusieurs sortes des champignons dessus!
Cela était une des divers champignons, tous sur l'autre côté du tronc!
Et dire, que j'avais presque passé à côté sans les voir!
A n'importe quelle saison, il y a des choses à observer, admirer. Il faut s'arrêter seulement de temps en temps "sentir la rose...".
Les arbres "nus" peuvent aussi être merveilleux et même le paysage brumeux. Il faisait beau, cela veut dire, pas très froid et il n'a pas plu pendant notre promenade.
J'ai aimé le paysage varié sur le chemin et grâce à ses yeux attentives, j'ai découverte des champignons divers sur un tronc d'arbre.
Moi, j'avais vu seulement le tronc et les racines, c'était elle qui m'a montré qu'il y avait plusieurs sortes des champignons dessus!
Cela était une des divers champignons, tous sur l'autre côté du tronc!
Et dire, que j'avais presque passé à côté sans les voir!
A n'importe quelle saison, il y a des choses à observer, admirer. Il faut s'arrêter seulement de temps en temps "sentir la rose...".
mardi 8 décembre 2009
Moi, moi et moi
Oh, non, il ne s'agit seulement de moi.
Cette photo a été prise par Isabel, lors notre promenade de Samedi, centre Londres, au bord de la Tamise, quand nous sommes entrées pour prendre un café à EAT, une chouette chaine de Londres.
J'ai prise des images d'elle, que je vais vous montrer ci-dessous, aussi, mais cette photo déjà, n'est pas que de "moi"! J'ai souris ainsi vers elle et c'est sa gentillesse qui a sortie de moi cette sourire et regard chaleureuse.
Je n'ai pas pu toutefois résister à le recopier pour pouvoir vous le montrer ici. C'est moi, à mon "mieux. Même à moi-même, quand j'essaie à penser à quelque chose agréable pour un autoportrait, je ne réussi à sourire ainsi.
Ah oui, l'Autre est aussi nécessaire pour sortir le meilleur de nous.
En plus, grâce à Isabel, jeune étudiante à Paris de Rio, en visite de travail à Londres, très bonne photographe et très sympathique compagnon de promenade, a découverte que j'ai un compte Gmail, et m'a écrit hier matin et pendant que nous bavardions, je lui a parlé de mon prix des Musées au Nuit. Pour lui donner l'adresse, pour lire l'article, j'ai cherché sur Google "Culture24 Julie Kertesz" et j'ai trouvé, surprise! un autre article paru que j'avais pas lu, de mon interview avec Ed, le rédacteur du journal web.
Voici le début.
Si vous lisez l'anglais et si vous êtes intéressé, en cliquant dessus, j'ai mise aussi le reste de l'article par Ed Sexton, en commentaire, sous mon image flickr.
Sympa, même si encore de "moi", mais je ne l'aurait pas lu ou vu si je n'aurais pas eu la conversation "on-line" avec Isabel.Et voilà, avant nous séparer, elle avait proposé à prendre l'un l'autre, en même temps.
Je me suis déplacé un peu, pour voir un peu aussi le visage d'Isabel. Oui, en portugaise, c'est ainsi qu'on écrit son nom, pas Isabelle, comme il serait en Français.
Et voilà, l'image, que j'aime le mieux entre celles que j'ai prise d'elle.
Julie, aussi, en original, Hongrois, était Juli seulement, sens "e" à la fin, et d'ailleurs, en Anglais, je devrais l'écrire "July" je crois et ils le prononce très différemment. Qu'importe.
C'est toujours moi.
Je suis ravie, de lire l'article, par un anglais dans un site culturel anglais. Avant partir, l'année dernière, j'ai eu plusieurs publiés dans des revues ou magazines en France, et même une par Shana a Londres en Français, mais c'est le premier en Anglais!
Premier? En fin, avouons que j'espère, que d'autres suivront...
Cette photo a été prise par Isabel, lors notre promenade de Samedi, centre Londres, au bord de la Tamise, quand nous sommes entrées pour prendre un café à EAT, une chouette chaine de Londres.
J'ai prise des images d'elle, que je vais vous montrer ci-dessous, aussi, mais cette photo déjà, n'est pas que de "moi"! J'ai souris ainsi vers elle et c'est sa gentillesse qui a sortie de moi cette sourire et regard chaleureuse.
Je n'ai pas pu toutefois résister à le recopier pour pouvoir vous le montrer ici. C'est moi, à mon "mieux. Même à moi-même, quand j'essaie à penser à quelque chose agréable pour un autoportrait, je ne réussi à sourire ainsi.
Ah oui, l'Autre est aussi nécessaire pour sortir le meilleur de nous.
En plus, grâce à Isabel, jeune étudiante à Paris de Rio, en visite de travail à Londres, très bonne photographe et très sympathique compagnon de promenade, a découverte que j'ai un compte Gmail, et m'a écrit hier matin et pendant que nous bavardions, je lui a parlé de mon prix des Musées au Nuit. Pour lui donner l'adresse, pour lire l'article, j'ai cherché sur Google "Culture24 Julie Kertesz" et j'ai trouvé, surprise! un autre article paru que j'avais pas lu, de mon interview avec Ed, le rédacteur du journal web.
Voici le début.
Si vous lisez l'anglais et si vous êtes intéressé, en cliquant dessus, j'ai mise aussi le reste de l'article par Ed Sexton, en commentaire, sous mon image flickr.
Sympa, même si encore de "moi", mais je ne l'aurait pas lu ou vu si je n'aurais pas eu la conversation "on-line" avec Isabel.Et voilà, avant nous séparer, elle avait proposé à prendre l'un l'autre, en même temps.
Je me suis déplacé un peu, pour voir un peu aussi le visage d'Isabel. Oui, en portugaise, c'est ainsi qu'on écrit son nom, pas Isabelle, comme il serait en Français.
Et voilà, l'image, que j'aime le mieux entre celles que j'ai prise d'elle.
Julie, aussi, en original, Hongrois, était Juli seulement, sens "e" à la fin, et d'ailleurs, en Anglais, je devrais l'écrire "July" je crois et ils le prononce très différemment. Qu'importe.
C'est toujours moi.
Je suis ravie, de lire l'article, par un anglais dans un site culturel anglais. Avant partir, l'année dernière, j'ai eu plusieurs publiés dans des revues ou magazines en France, et même une par Shana a Londres en Français, mais c'est le premier en Anglais!
Premier? En fin, avouons que j'espère, que d'autres suivront...
lundi 7 décembre 2009
En action, sous le pont
Quelques images en grand format, puisqu'il faisait assez sombre sous le pont de Waterloo.
C'était très intéressant de les observer en action. Les taggeurs, non, ils ne taggaient pas, ils étaient en train de peindre sur le mur. Des choses bien réfléchies et dessinées d'avance. Mais aussi les enfants et adolescents sur bicyclettes ou patins a roulette. Je trouve une magnifique idée, à offrir un tel espace, tout près de théâtre National, au centre de Londres!
dimanche 6 décembre 2009
Sous le pont
Sous le pont de Mirabeau, non! Sous le pont de Waterloo, et ce n'est pas l'eau qui coule, quoique, bien sûr, aussi, mais surtout, ils ont eménagé un place assez grande pour les jeunes.
Non seulement spécial patins a roulettes, bicyclettes, ainsi de suite, mais aussi des mures à peinturer.
Samedi, nous avons observé ces activités, certains étaient en train de peindre le mur, d'autres sauter sur patins ou bicyclettes, et autres encore, les prendre en photo. Oui, même, un petit garçon en bicylcette, prenait en photo son frère!
Non seulement spécial patins a roulettes, bicyclettes, ainsi de suite, mais aussi des mures à peinturer.
Samedi, nous avons observé ces activités, certains étaient en train de peindre le mur, d'autres sauter sur patins ou bicyclettes, et autres encore, les prendre en photo. Oui, même, un petit garçon en bicylcette, prenait en photo son frère!
samedi 5 décembre 2009
Promenade au bord de la Tamise
Nous sommes allées, deux photographes, une originaire de Rio mais étudiante à Paris, et moi, nous promener et prendre des photos, au bord sud de la Tamise.
Que du monde!
Que du monde!
vendredi 4 décembre 2009
Que du joie de lire
Ce matin j'ouvre le courrier, par lequel je lis les commentaires et je reçois le cadeau merveilleux:
C'est pour les moments comme cela que cela vaut la peine, de me mettre à écrie jour à jour. Réussir à encourager quelqu'un, dans un moment de doute ou d'inquiétude, quand on a plus besoin de moi. Rendre courage, quand on se sent, comme cela nous arrive à tous de temps en temps. Apporter un peu de joie des fois.
Oui, j'écris de moi, jour à jour, mais ce n'est pas pour regarder vers moi. Oui, j'espére que cela touche, de temps en temps, mais surtout, a la longue. Si j'ai réussi déjà une fois, quelque fois, que du joie!
Je suis en train de préparer mon prochaine récit.
La Cravate Rouge, titre provisoire, déclenché par une femme arrivée d'Ukraine, qui nous a tenu un discours sur les bonnes temps qu'elle a passé dans les camps de pionniers, et par le président de cette année, qui quoique il a tenu un discours très politique en Mai, m'a dit "pas de politique au Toastmasters" quand j'ai posé des questions parlant de la chute de mur de Berlin et le levé du Rideau de Fer.
Vous me connaissez déjà, on ne peut pas facilement "fermer ma bouche."
Je ne ferai pas de politique, mais la prochaine fois, que il sera mon tour, je racontera mon histoire personnelle, autour de la Cravate Rouge.
J'ai déjà écrit le premier jet, et je découvre jour à jour plus de profondeur dedans, et je me rend compte aussi, d'où vient certaines décisions que je prends maintenant. Le récit n'est pas encore "rond" en plus, c'est trop longue. Entre 14 et 18 ans, tant des choses se sont passées avec moi. Même si je vais restreindre vers 16 ans, quand l'épisode et les scènes principales se sont passées, je ne pourrais toujours pas la raconter en 8 minutes. Je dois décider quoi éliminer, au moins pour le club, même si je peux par la suite l'occasion à la raconter plus en détail ailleurs.
Tout ce passe dans la Roumanie, a Bucarest, où nous sommes arrivés en famille juste après mes 14 ans. A l'époque, je regrettais que j'étais trop vieille (ah, la vieillesse est relative!) pour devenir Pionnière et porter de la cravate rouge, comme je voyais dans les filmes. "Mais une fois, admise dans le UTM - union des jeune travailleurs, vous pourriez apprendre à être conducteur des pionniers."
J'ai tout fait, pour avoir le droit de porter le carnet de membre sur mon coeur, autour de mon cou, jour à jour, sous mon pull. Bien apprendre, lire les œuvres de Staline et Lénine, puisque même si j'avais acheté Marx et Engels aussi, leurs enseignements étaient trop lourds à comprendre pour moi à cette âge.
"Communisme est quand tous ont tout ce qu'ils désirent, sur la route, la Socialisme, offre à tous ce qu'ils méritent, pour quoi ils ont travaillé." nous disait-on. Quelle but générale, plus merveilleux! "A chacun selon ses mérite." Sans tenir compte du race, genre, niveau, religion, etc. etc. etc.
A 15 ans, à Bucarest, je dormais avec le portrait de Lénine devant moi sur le mur, les livres de Marx, Engels, Lénine et Staline, sur les étagères au-dessus ma tête, mélangés avec mes journaux intimes et cahiers d'écolier. Le matin, j'allais à l'école en mettant mon carnet de membre de l'union de jeunesse, dans un petit sac que j'avais confectionné spécialement, pour pouvoir le porter sur mon coeur, toute la journée.
Une nuit de début décembre, il y a 60 ans, soudaine je me réveille au bruit des pas lourdes dans le salon. Mon coeur bat plus fort: est-ce possible? Qui a dû entrer dans notre appartement?
C'est ainsi que commence, pour le moment, mon récit, qui va ensuite vers en bas. Quand j'en sortirai, une année plus tard, j'aurais appris qu'aider un seul être est plus satisfaisant, que vouloir transformer le monde.
Je vous promets tout le récit, quand il sera un peu plus mûre. L'épisode principale, n'est pas chez moi, mais dans l'école Hongrois, la seule à Bucarest, où, de nouveau, après des déboires, je suis devenue conducteur des Pionniers à une inauguration des nouvelles pionniers méritants de porter la Cravate Rouge et un incident que je n'ai jamais regretté, mais jusque ce matin au réveil, je n'avais pas compris son profonde signifiance non plus. "Incuber" un récit vaut la peine, en voulant la raconter, en la portant avec soi, en le tournant et retournant, soudain, on comprend plus profondément sa vie et ses réactions. Au delà du surface et de ce qui a provoqué l'impulse d'en parler.
"À moi aussi, chère Julie, vous avez fait du bien. Vous êtes une inspiration dans les moments de doute ou d'inquiétude. Vous lire, c'est recevoir de l'énergie."Merci.
C'est pour les moments comme cela que cela vaut la peine, de me mettre à écrie jour à jour. Réussir à encourager quelqu'un, dans un moment de doute ou d'inquiétude, quand on a plus besoin de moi. Rendre courage, quand on se sent, comme cela nous arrive à tous de temps en temps. Apporter un peu de joie des fois.
Oui, j'écris de moi, jour à jour, mais ce n'est pas pour regarder vers moi. Oui, j'espére que cela touche, de temps en temps, mais surtout, a la longue. Si j'ai réussi déjà une fois, quelque fois, que du joie!
Je suis en train de préparer mon prochaine récit.
La Cravate Rouge, titre provisoire, déclenché par une femme arrivée d'Ukraine, qui nous a tenu un discours sur les bonnes temps qu'elle a passé dans les camps de pionniers, et par le président de cette année, qui quoique il a tenu un discours très politique en Mai, m'a dit "pas de politique au Toastmasters" quand j'ai posé des questions parlant de la chute de mur de Berlin et le levé du Rideau de Fer.
Vous me connaissez déjà, on ne peut pas facilement "fermer ma bouche."
Je ne ferai pas de politique, mais la prochaine fois, que il sera mon tour, je racontera mon histoire personnelle, autour de la Cravate Rouge.
J'ai déjà écrit le premier jet, et je découvre jour à jour plus de profondeur dedans, et je me rend compte aussi, d'où vient certaines décisions que je prends maintenant. Le récit n'est pas encore "rond" en plus, c'est trop longue. Entre 14 et 18 ans, tant des choses se sont passées avec moi. Même si je vais restreindre vers 16 ans, quand l'épisode et les scènes principales se sont passées, je ne pourrais toujours pas la raconter en 8 minutes. Je dois décider quoi éliminer, au moins pour le club, même si je peux par la suite l'occasion à la raconter plus en détail ailleurs.
Tout ce passe dans la Roumanie, a Bucarest, où nous sommes arrivés en famille juste après mes 14 ans. A l'époque, je regrettais que j'étais trop vieille (ah, la vieillesse est relative!) pour devenir Pionnière et porter de la cravate rouge, comme je voyais dans les filmes. "Mais une fois, admise dans le UTM - union des jeune travailleurs, vous pourriez apprendre à être conducteur des pionniers."
J'ai tout fait, pour avoir le droit de porter le carnet de membre sur mon coeur, autour de mon cou, jour à jour, sous mon pull. Bien apprendre, lire les œuvres de Staline et Lénine, puisque même si j'avais acheté Marx et Engels aussi, leurs enseignements étaient trop lourds à comprendre pour moi à cette âge.
"Communisme est quand tous ont tout ce qu'ils désirent, sur la route, la Socialisme, offre à tous ce qu'ils méritent, pour quoi ils ont travaillé." nous disait-on. Quelle but générale, plus merveilleux! "A chacun selon ses mérite." Sans tenir compte du race, genre, niveau, religion, etc. etc. etc.
A 15 ans, à Bucarest, je dormais avec le portrait de Lénine devant moi sur le mur, les livres de Marx, Engels, Lénine et Staline, sur les étagères au-dessus ma tête, mélangés avec mes journaux intimes et cahiers d'écolier. Le matin, j'allais à l'école en mettant mon carnet de membre de l'union de jeunesse, dans un petit sac que j'avais confectionné spécialement, pour pouvoir le porter sur mon coeur, toute la journée.
Une nuit de début décembre, il y a 60 ans, soudaine je me réveille au bruit des pas lourdes dans le salon. Mon coeur bat plus fort: est-ce possible? Qui a dû entrer dans notre appartement?
C'est ainsi que commence, pour le moment, mon récit, qui va ensuite vers en bas. Quand j'en sortirai, une année plus tard, j'aurais appris qu'aider un seul être est plus satisfaisant, que vouloir transformer le monde.
Je vous promets tout le récit, quand il sera un peu plus mûre. L'épisode principale, n'est pas chez moi, mais dans l'école Hongrois, la seule à Bucarest, où, de nouveau, après des déboires, je suis devenue conducteur des Pionniers à une inauguration des nouvelles pionniers méritants de porter la Cravate Rouge et un incident que je n'ai jamais regretté, mais jusque ce matin au réveil, je n'avais pas compris son profonde signifiance non plus. "Incuber" un récit vaut la peine, en voulant la raconter, en la portant avec soi, en le tournant et retournant, soudain, on comprend plus profondément sa vie et ses réactions. Au delà du surface et de ce qui a provoqué l'impulse d'en parler.
jeudi 3 décembre 2009
A quoi bon?
A quoi bon la pluie quand on veut se promener?
Nous sommes allées faire des courses, j'ai maintenant de quoi manger pour quelques jours.
A quoi bon que la voiture ne démarre pas le soir?
J'aurais dû aller à une réunion, et j'étais prête, malgré ma fatigue hier soir, mais ma voiture a refusé à démarrer hier. A quoi bon: me dire: ne m'utilises pas pour une départ tôt le matin à l'aéroport, qui sait de mes caprices!
Il pleut toujours dehors. Triste. Mais j'ai le temps à lire pleine des choses intéressantes.
Et voilà aussi chercher des théories et pratiques sur ce qu'est Photographie Panoramique, le sujet sur mon groupe Afterclass en Décembre. Ici, il parait, mais ce n'est pas une "vraie" image panoramique, quoi que la vue à partir de Observatoire Royale de Greenwich (heure zero) est bien panoramique.
Je me demande, est-ce ceci aussi une image panoramique? D'après la définition de "plus large" elle est, en plus je crois que cela "donne" mieux ce que je voulais montrer.
Nous sommes allées faire des courses, j'ai maintenant de quoi manger pour quelques jours.
A quoi bon que la voiture ne démarre pas le soir?
J'aurais dû aller à une réunion, et j'étais prête, malgré ma fatigue hier soir, mais ma voiture a refusé à démarrer hier. A quoi bon: me dire: ne m'utilises pas pour une départ tôt le matin à l'aéroport, qui sait de mes caprices!
Il pleut toujours dehors. Triste. Mais j'ai le temps à lire pleine des choses intéressantes.
Et voilà aussi chercher des théories et pratiques sur ce qu'est Photographie Panoramique, le sujet sur mon groupe Afterclass en Décembre. Ici, il parait, mais ce n'est pas une "vraie" image panoramique, quoi que la vue à partir de Observatoire Royale de Greenwich (heure zero) est bien panoramique.
Je me demande, est-ce ceci aussi une image panoramique? D'après la définition de "plus large" elle est, en plus je crois que cela "donne" mieux ce que je voulais montrer.
mercredi 2 décembre 2009
Hier, if faisait froid
Rien ne dure pas longtemps, ni le mauvais temps, ni le bon.
Hier, c'était l'hiver et froid, même si un peu au-dessus de zéro, ce main il a plu des verses, et maintenant, il fait "chaud" de nouveau, le soleil a réapparu.
Ah, me voilà, j'ai pris le virus, à peine depuis un an et demi à Londres et je parle de la pluie et du beau temps!
J'étais hier me promener dans le parc de Greenwich avec Klara, et son minuscule chien. Elles ne sont plus très jeunes, Klara aurait en trois ans 90, mais elles marche mieux que moi. C'était moi qui avait envie de m'arrêter un peu!
Cette après-midi, nous allons recommencer: elle y va beau jour, mauvais jour, chaud ou froid. En plus, elle fait le long chemin, non la courte qu'elle a fait hier, exprès tenant compte de moi.
Comment pourrais-je me promener à Grenade, si je me fatigue si rapidement. En tout cas, je me suis rendu compte que je serai obligée de m'acheter une paire des baskets ou chaussures commodes, l'un s'est détendu, l'autre a le talon usée.
Dans le temps, on mettait un bout de fer en haut et bas sur le talon, on n'en met plus: est-ce pour nous obliger à les changer plus souvent ou pour ne pas faire du bruit quand on marche?
Encore deux semaine, je serai en Andalousie! Au moins, qu'il ne pleuvent pas! Mais en tout cas, pluie ou beau temps, je suis prête et Klara aussi pour des nouvelles aventures.
Elle va aujourd'hui à sa dernière cours au Collège, cette automne elle a pris "photo documentaire mais aussi utilisation avancé du Word", dès Janvier, elle prendra "Power Point avancé" - je ne sais pas dû tout comment l'utiliser. Avec mon ordinateur j'avais aussi ce logiciel installé, mais à l'époque je me suis dit "à quoi sert?"
Klara me dit "en tout cas, continuer à apprendre, me sert à tenir mon esprit en éveil. Elle est une exemple pour moi: quand je voulais renoncer à conduire ma propre voiture, elle, plus que dix ans plus âgée, me dit "pourquoi?" Elle conduit à l'utiliser, elle. Et maintenant, même si pas souvent, moi aussi.
Me promener jour à jour me ferai surement bien.
Hier j'ai eu un message venant d'un monsieur de 53 ans de l'Arabie Saudite, me faisant énormément de la joie. Il m'écrit que j'ai changé sa vie: en regardant mes activités, lui, qui se sentait vieillir, a repris courage. A son tour, il donnera courage aux autres, j'en suis sûre.
Hier, c'était l'hiver et froid, même si un peu au-dessus de zéro, ce main il a plu des verses, et maintenant, il fait "chaud" de nouveau, le soleil a réapparu.
Ah, me voilà, j'ai pris le virus, à peine depuis un an et demi à Londres et je parle de la pluie et du beau temps!
J'étais hier me promener dans le parc de Greenwich avec Klara, et son minuscule chien. Elles ne sont plus très jeunes, Klara aurait en trois ans 90, mais elles marche mieux que moi. C'était moi qui avait envie de m'arrêter un peu!
Cette après-midi, nous allons recommencer: elle y va beau jour, mauvais jour, chaud ou froid. En plus, elle fait le long chemin, non la courte qu'elle a fait hier, exprès tenant compte de moi.
Comment pourrais-je me promener à Grenade, si je me fatigue si rapidement. En tout cas, je me suis rendu compte que je serai obligée de m'acheter une paire des baskets ou chaussures commodes, l'un s'est détendu, l'autre a le talon usée.
Dans le temps, on mettait un bout de fer en haut et bas sur le talon, on n'en met plus: est-ce pour nous obliger à les changer plus souvent ou pour ne pas faire du bruit quand on marche?
Encore deux semaine, je serai en Andalousie! Au moins, qu'il ne pleuvent pas! Mais en tout cas, pluie ou beau temps, je suis prête et Klara aussi pour des nouvelles aventures.
Elle va aujourd'hui à sa dernière cours au Collège, cette automne elle a pris "photo documentaire mais aussi utilisation avancé du Word", dès Janvier, elle prendra "Power Point avancé" - je ne sais pas dû tout comment l'utiliser. Avec mon ordinateur j'avais aussi ce logiciel installé, mais à l'époque je me suis dit "à quoi sert?"
Klara me dit "en tout cas, continuer à apprendre, me sert à tenir mon esprit en éveil. Elle est une exemple pour moi: quand je voulais renoncer à conduire ma propre voiture, elle, plus que dix ans plus âgée, me dit "pourquoi?" Elle conduit à l'utiliser, elle. Et maintenant, même si pas souvent, moi aussi.
Me promener jour à jour me ferai surement bien.
Hier j'ai eu un message venant d'un monsieur de 53 ans de l'Arabie Saudite, me faisant énormément de la joie. Il m'écrit que j'ai changé sa vie: en regardant mes activités, lui, qui se sentait vieillir, a repris courage. A son tour, il donnera courage aux autres, j'en suis sûre.
mardi 1 décembre 2009
Un imprimante est un imprimante
Est-ce vrai? Un imprimante est un imprimante?
Pas du tout!
J'avais acheté il y a une année un Epson SX205, imprimante et scanner, et à chaque fois qu'un des encres finit, et cela est toujours trop rapide et cher à racheter, par la suite, j'ai eu le plus grand mal à mettre l'encre suivante. La plupart de temps, j'ai dû attendre que ma belle fille vient me la mettre.
Ne croyez pas que je suis nulle!
Au moins, avant, je n'ai jamais eu un imprimante qui se veut si sophistiqué, avec autant des boutons, autant des instructions! Par exemple, il ne suffit d'appuyer sur un bouton deux minutes pour que la tête d'impression vient se placer à un endroit où on peut le charger avec la prochaine cartouche d'encre, il faut aussi l'appuyer par la suite encore une fois! Et si on ne sait pas, on attend et rien ne se passe.
Une fois que nous avons mis m'encre, la tête d'impression n'étant plus à bon endroit, il fallait faire des calibration pendant une demie heure, avec des commandes dure à comprendre.
Fini, pour moi, Epson!
J'ai acheté il y a dix jours, un imprimante HP Deskjet D1660, tout petite, pour trente euros, encre comprise et légère. J'ai mis l'encre, facile, comme tout, lié l'imprimante à mon PC, et mis du papier, et voilà, il a commencé à imprimer sans problème et sans faire des si-sis. Ce soir, j'ai même imprimé tout un calendrier, 12 pages couleur sur papier ordinaire en couleur. Et cela marche!
La différence d'ergonomie, facilité d'utilisation, sans commune mesure!
C'est en anglais, mais si vous voulez, vous pouvez aussi mettre sur votre ordinateur et imprimer, ce calendrier-là, sur papier ordinaire ou plus bons, selon désir. Je n'arrive pas à croire que on peut travailler aussi facilement, et l'Epson a le courage de compliquer la vie des gens autant!
Vive Helwett Packard!: Dès maintenant, je n'aurais plus peur des imprimante, il faut seulement se méfier de ceux qui veulent compliquer, au lieu de rendre facile la vie des gens.
Pas du tout!
J'avais acheté il y a une année un Epson SX205, imprimante et scanner, et à chaque fois qu'un des encres finit, et cela est toujours trop rapide et cher à racheter, par la suite, j'ai eu le plus grand mal à mettre l'encre suivante. La plupart de temps, j'ai dû attendre que ma belle fille vient me la mettre.
Ne croyez pas que je suis nulle!
Au moins, avant, je n'ai jamais eu un imprimante qui se veut si sophistiqué, avec autant des boutons, autant des instructions! Par exemple, il ne suffit d'appuyer sur un bouton deux minutes pour que la tête d'impression vient se placer à un endroit où on peut le charger avec la prochaine cartouche d'encre, il faut aussi l'appuyer par la suite encore une fois! Et si on ne sait pas, on attend et rien ne se passe.
Une fois que nous avons mis m'encre, la tête d'impression n'étant plus à bon endroit, il fallait faire des calibration pendant une demie heure, avec des commandes dure à comprendre.
Fini, pour moi, Epson!
J'ai acheté il y a dix jours, un imprimante HP Deskjet D1660, tout petite, pour trente euros, encre comprise et légère. J'ai mis l'encre, facile, comme tout, lié l'imprimante à mon PC, et mis du papier, et voilà, il a commencé à imprimer sans problème et sans faire des si-sis. Ce soir, j'ai même imprimé tout un calendrier, 12 pages couleur sur papier ordinaire en couleur. Et cela marche!
La différence d'ergonomie, facilité d'utilisation, sans commune mesure!
C'est en anglais, mais si vous voulez, vous pouvez aussi mettre sur votre ordinateur et imprimer, ce calendrier-là, sur papier ordinaire ou plus bons, selon désir. Je n'arrive pas à croire que on peut travailler aussi facilement, et l'Epson a le courage de compliquer la vie des gens autant!
Vive Helwett Packard!: Dès maintenant, je n'aurais plus peur des imprimante, il faut seulement se méfier de ceux qui veulent compliquer, au lieu de rendre facile la vie des gens.
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