mardi 13 octobre 2009

En face de moi, dans le train


Pendant mon retour, de Farnham, a Londres, elle était devant moi. Elle a commencé à changer ses chaussures, du baskets vers des bottines noires tout neuf.

Elle avait déjà changé sa blouse, et probablement, amélioré son fard. C'était claire, qu'elle va vers un rendez-vous ou un party, une soirée.

Plus tard, nous avons commencé à parler.

"Je regardais la photo que je peux montrer, de mon petit fils, il a un an." Voilà. "Ces temps-ci, je n'ai pas beaucoup de temps de sortir."

C'est ce dernier mélancolie, vers ses temps quand elle sortait plus, qu'il y avait dans ce regard, que j'aime plus que celle souriant, sympathiquement vers moi. Un douleur inexprimé, sur son sort. Elle me disait aussi que le grand-père de son bébé parle seulement portugais. Encore, une fois, avec pleines des non dits.

Puis, nous avons discutés combien c'est bien qu'un enfant apprend plusieurs langages. "Mon neveux, pourtant arrivé ici en parlant pas un mot anglais, ne veut plus parler qu'anglais, maintenant." Il a déjà 22 ans, et depuis des années, il refuse de parler portugais, sa langue maternelle.

J'ai raconté comment mes enfants on appris à parler, vite en trois langues: 'c'était bon d'être obligés de casser leur cerveaux à comprendre et traduire dès l'enfance.'

Nous avons parlé peu, mais beaucoup restait non dit. J'ai l'impression que dans ce regard, prise un moment quand elle ne s'en rendait pas compte, elle dit plus que dans sa, pourtant belle, pose.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire