Je viens de me rendre compte, ce blog vient de dépasser 250 000 visites!
Merci, une grande merci pour votre interet!
Sur le baie de Tamise, le port "Chetham" où nous sommes allés visiter hier.
Maintenant, c'est les bateaux de plaisance qui y viennent, même pour prendre de l'essence, comme dans une station pour les voitures! Mais d'abord, il faut encore qu'ils passent sous le pont qui s'ouvre lentement.
Entre le port et l'eau de la baie, une différence de niveau, et tout ce passe comme dans un canal. L'eau diminue puis remonte, après que le bateau était admise dans l'espace "d'entre deux."
Que des images, que des aventures!
Les enfants ont été passionnés par ce passage et plus tard par les histoires Dickens rejoués dans un lieu spécial, c'était aussi un bonne endroit pour courir et grimper un peu partout.
Nous avons prise des nombreuses images diverses, que je dois encore regarder et décider en quelle ordre ajouter, montrer. Ce matin, j'ai commencé avec deux images "minimalistes", puisque c'est la dernière journée "Minimalisme" dans la classe Afterclass à Flickr. Que j'aime ou non, à chaque fois, l'animateur m'apprend quelque chose et aussi regarder les diverses images ajoutées.
voilà ma contribution, à la fin de cette moi pour ce thème 'minimaliste" j'espère, avoir compris quelque chose...
je commence à comprendre, un peu, son attrait, même si ce n'est pas tout à fait ma "tasse de thé.".
Expérimenter, communiquer, tâcher de vivre pleinement. Prouver a soi et aux autres, depuis dix ans déjà
samedi 31 octobre 2009
vendredi 30 octobre 2009
jeudi 29 octobre 2009
Photobalade avec Bernadette
Bernadette est arrivé de la France et nous sommes sorties avec nos petites cameras, aussi enivrées de toute la beauté qui nous entourait, l'une que l'autre.
La voilà capturant une feuille encore penché sur l'arbre pour pas longtemps.
J'ai eu plaisir quand elle m'a dit "tu es toute différente qu'à Argenteuil, Londres te semble convenir tout à fait! Tu rayonnes."
Je ne savais pas qu'on puisse "voir" tellement en extérieur, combien je suis effectivement bien dans ma peau ici, avec toutes les activités possibles et autant que mon énergie me le permet, utilisées.
Dix mois maintenant, depuis que je suis retournée à Toastmasters, et apprendre parler en public encore mieux, raconter des histoires et les inventer, je veux dire créer comment raconter des histoires, surtout personnelles mais pas seulement, me va tout à fait.
Quand j'avais 45 ans, mon amie Stéphanie me l'avait dit: tu es fait pour cela, donner des conférences, tu enchantes l'audience! Mais à l'époque, je ne voyais pas comment je pourrais y vivre, alors je l'ai mis à côté et passer au choses possibles.
Je ne peux ou veux gagner de l'argent maintenant en racontant en public, mais quelle plaisir cela me procure! Autant l'imaginer, le créer que le "jouer" l'offrir en le modifiant sur le champ, en l'adaptant à l'audience et à l'instant.
Il me reste encore un peu de temps, pour le faire.
J'adorais cela quand j'avais trois ans, puis, je me suis convaincu que je ne suis pas assez belle, assez etc. mais le contact et le plaisir de m'exprimer est resté tapis en moi pendant toutes ces années!
La voilà capturant une feuille encore penché sur l'arbre pour pas longtemps.
J'ai eu plaisir quand elle m'a dit "tu es toute différente qu'à Argenteuil, Londres te semble convenir tout à fait! Tu rayonnes."
Je ne savais pas qu'on puisse "voir" tellement en extérieur, combien je suis effectivement bien dans ma peau ici, avec toutes les activités possibles et autant que mon énergie me le permet, utilisées.
Dix mois maintenant, depuis que je suis retournée à Toastmasters, et apprendre parler en public encore mieux, raconter des histoires et les inventer, je veux dire créer comment raconter des histoires, surtout personnelles mais pas seulement, me va tout à fait.
Quand j'avais 45 ans, mon amie Stéphanie me l'avait dit: tu es fait pour cela, donner des conférences, tu enchantes l'audience! Mais à l'époque, je ne voyais pas comment je pourrais y vivre, alors je l'ai mis à côté et passer au choses possibles.
Je ne peux ou veux gagner de l'argent maintenant en racontant en public, mais quelle plaisir cela me procure! Autant l'imaginer, le créer que le "jouer" l'offrir en le modifiant sur le champ, en l'adaptant à l'audience et à l'instant.
Il me reste encore un peu de temps, pour le faire.
J'adorais cela quand j'avais trois ans, puis, je me suis convaincu que je ne suis pas assez belle, assez etc. mais le contact et le plaisir de m'exprimer est resté tapis en moi pendant toutes ces années!
mercredi 28 octobre 2009
Impressions d'automne
Les couleurs d'automne sont magnifiques depuis deux trois jours, mais j'étais préoccupé par la préparation de la réunion de hier, où c'était moi qui introduisais les gens qui parlaient.
Maintenant, relaxée, je suis sortie avec le caméra dans le main.
Ma rue, est spécialement extra pour prendre des images "impressionnistes" ou non, des couleurs fantastiques d'automne.
Diapo automne 1
Aujourd'hui, enfin je vais me coucher tôt!
Ah oui, si je réussi à me détacher à admirer mes images, qui m'enchantent de plus en plus pour le moment. J'ai décidé d'en faire un calendrier, avec une image par semaine!
Maintenant, relaxée, je suis sortie avec le caméra dans le main.
Ma rue, est spécialement extra pour prendre des images "impressionnistes" ou non, des couleurs fantastiques d'automne.
Diapo automne 1
Aujourd'hui, enfin je vais me coucher tôt!
Ah oui, si je réussi à me détacher à admirer mes images, qui m'enchantent de plus en plus pour le moment. J'ai décidé d'en faire un calendrier, avec une image par semaine!
mardi 27 octobre 2009
Drakula né à Londres
Bien sûr, quoiqu"on y pense différemment, le Compte Dracula n'était pas né en Transylvanie, comme moi.
Dcacula est né de la plume, très adroite, d'un Londonien, qui vivait dans la maison devant lequel nous avons passés (et posés) la semaine dernière.
Simon a d'abord pris un photo "gentil" de moi, mais pour Dracula, tenant compte que moi aussi, étais des mêmes lieux, j'ai décidé que cette image est plus appropriée.
Je me suis décidée d'ailleurs, sinon voir le fameux film, lire son livre, quelqu'un m'a dit que c'était vraiment bien écrit.
Bram Stoker a vécu de 1847 à 1912, je vais devoir relire et corriger nom et date de naissance, mais en gros, c'est cela.
Combien un caractère fictive peut être forte et créer un mythe que tellement des gens croient vraies même après si longtemps!
L'entrée, entre deux portes, il paraît qu'il vivait dans l'appartement de gauche: était-ce comme maintenant de dehors déjà à l'époque? Chelsea est une sorte de Neuilly or 16e de Paris, à Londres, chic, mais personnellement, je n'aurais pas envie d'y vivre.
Bien sûr, maintenant, depuis que le mur est tombé et le rideau de fer s'est levé, d'un coup, existe un château de Dracula: nous l'avons visité!Le fait qu'il n'y a rien a faire avec le caractère inventé a Londres, et que c'est le château d'une impératrice Austro Hongrois, n'enlève pas le fait, qu'une fois retourné de là bas, on peut dire "j'y étais! j'ai visité les lieux où Dracula habitait, donc, il existait..."
Dracul veut dire "le Diable" en Roumain, et on a choisi un lieu à la frontière entre l'ancien Roumaine et Austro Hongrie, en Transylvanie, pour le "situer" et vendre pleine des trucs amusantes, fabriqués probablement, en Chine ou Taiwan!
Moi, cela me stupéfie quand même, comment Dracula, créé à Londres, a pu survivre tellement de temps, traverser tellement d'espace.
Dcacula est né de la plume, très adroite, d'un Londonien, qui vivait dans la maison devant lequel nous avons passés (et posés) la semaine dernière.
Simon a d'abord pris un photo "gentil" de moi, mais pour Dracula, tenant compte que moi aussi, étais des mêmes lieux, j'ai décidé que cette image est plus appropriée.
Je me suis décidée d'ailleurs, sinon voir le fameux film, lire son livre, quelqu'un m'a dit que c'était vraiment bien écrit.
Bram Stoker a vécu de 1847 à 1912, je vais devoir relire et corriger nom et date de naissance, mais en gros, c'est cela.
Combien un caractère fictive peut être forte et créer un mythe que tellement des gens croient vraies même après si longtemps!
L'entrée, entre deux portes, il paraît qu'il vivait dans l'appartement de gauche: était-ce comme maintenant de dehors déjà à l'époque? Chelsea est une sorte de Neuilly or 16e de Paris, à Londres, chic, mais personnellement, je n'aurais pas envie d'y vivre.
Bien sûr, maintenant, depuis que le mur est tombé et le rideau de fer s'est levé, d'un coup, existe un château de Dracula: nous l'avons visité!Le fait qu'il n'y a rien a faire avec le caractère inventé a Londres, et que c'est le château d'une impératrice Austro Hongrois, n'enlève pas le fait, qu'une fois retourné de là bas, on peut dire "j'y étais! j'ai visité les lieux où Dracula habitait, donc, il existait..."
Dracul veut dire "le Diable" en Roumain, et on a choisi un lieu à la frontière entre l'ancien Roumaine et Austro Hongrie, en Transylvanie, pour le "situer" et vendre pleine des trucs amusantes, fabriqués probablement, en Chine ou Taiwan!
Moi, cela me stupéfie quand même, comment Dracula, créé à Londres, a pu survivre tellement de temps, traverser tellement d'espace.
lundi 26 octobre 2009
Oxford, ville des bicylcettes
Pour moi, au moins cette fois, Oxford n'a pas représenté, comme la première fois quand je l'avais visité dans une période des vacances "méditation et tranquillité" mais la ville des bicyclettes!
Encore plus qu'à Amsterdam ou dans les pays Scandinaves que j'avais visité, probablement, parce que à midi, tellement sont sortis de leurs Collèges, étudiants et profs, pour aller en bicyclette - quelque part.
Le soir aussi.
La sortie d'après-midi, la lumière était juste assez absent pour me permettre de "panner" suivre le cycliste avec mon camera tout en brouillant ainsi le fond derrière lui.
Mais j'ai aussi pris à midi, surtout, des portraits des cyclistes qui se sont arrêtées un peu pour moi, et des bicyclettes attachés, en attente. Voilà quelques images, Oxford - cycliste, avec très peu passants à pieds ajoutés ici.
Que des choses différentes peuvent se passer en quelques heures!
Encore plus qu'à Amsterdam ou dans les pays Scandinaves que j'avais visité, probablement, parce que à midi, tellement sont sortis de leurs Collèges, étudiants et profs, pour aller en bicyclette - quelque part.
Le soir aussi.
La sortie d'après-midi, la lumière était juste assez absent pour me permettre de "panner" suivre le cycliste avec mon camera tout en brouillant ainsi le fond derrière lui.
Mais j'ai aussi pris à midi, surtout, des portraits des cyclistes qui se sont arrêtées un peu pour moi, et des bicyclettes attachés, en attente. Voilà quelques images, Oxford - cycliste, avec très peu passants à pieds ajoutés ici.
Que des choses différentes peuvent se passer en quelques heures!
dimanche 25 octobre 2009
"The Cake shop" à Oxford
Centre Oxford, marché couverte.
Boutique des gâteaux décorés avec cinq femmes travaillant dans une partie derrière les vitrines, pour décorer. Que des idées et décorations! Que de travail pour les accomplir!
Une fois que j'ai entré dans la boutique, j'ai plus prendre sans vitre entre eux et le caméra, mais pas les rapprocher: c'était pas hygiénique. Néanmoins, j'ai réussi à "attraper" l'atmosphère de ce que j'ai vu.
En sortant, j'ai regardé en haut, magnifique toit tout au long des divers corridors de la marché.
Que des choses encore à raconter et montrer!
Ce jour était très pleine des aventures diverses. Nous avons aussi réussi à entrer dans un collège et sa chapelle à la Henry Potter, mais de cela, demain.
Boutique des gâteaux décorés avec cinq femmes travaillant dans une partie derrière les vitrines, pour décorer. Que des idées et décorations! Que de travail pour les accomplir!
Une fois que j'ai entré dans la boutique, j'ai plus prendre sans vitre entre eux et le caméra, mais pas les rapprocher: c'était pas hygiénique. Néanmoins, j'ai réussi à "attraper" l'atmosphère de ce que j'ai vu.
En sortant, j'ai regardé en haut, magnifique toit tout au long des divers corridors de la marché.
Que des choses encore à raconter et montrer!
Ce jour était très pleine des aventures diverses. Nous avons aussi réussi à entrer dans un collège et sa chapelle à la Henry Potter, mais de cela, demain.
vendredi 23 octobre 2009
Bonheur!
Jai passé une magnifique journée, hier.
J'ai eu le courage de m'embarquer à Oxford avec Simon de Flickr, que je ne connaissais pas, maintenant c'est fait.
En revenant, il m'a laissée, a ma demande, a l'Aéroport de Heathrough, d'où j'ai pu prendre le métro. Avec moi, dans le métro, un couple nageant dans le bonheur.
"Nous sommes ici, vraiment ici!" rayonnait d'eux.
Je me suis proposé de les prendre, avec leurs appareil d'abord, tous les deux, ils étaient très reconnaissants, ils m'ont même offert un chocolat Russe!
"Nous sommes arrivés de Russie! Saint Petersburd."
Seulement quatre heures de voyages, mais sur leur visage une joie profonde disait que venir pour une semaine visiter Londres étaient dans leurs rêve depuis longtemps.
Il y a vingt ans que le Mur de Berlin a tombé, puis une après l'autre le Rideau de Fer s'est affrité, mais ce n'est que quelqu'un comme moi, qui avait attendu deux ans de l'autre côté pour sortir, ou comme papa qui en avait attendu sept, ou mon mari qui avait réussi, finalement a rejoindre son épouse et futur bébé, tous qui ont été l'autre côté, qui peuvent comprendre ce que ce joie signifiait pour ce couple.
Autant que Oxford était une très agréable photobalade avec Simon, et je vous offre les images ci-dessous, (j'en ai fait davantage, mais il faudrait du temps à les regarder et modifier si besoin un à un), rien n'était au niveau de ce que ce le rayonnement de ce couple m'a dit.
Demain, je parlerai davantage de Oxford!
Oxford en Octobre - avec Simon.
J'ai eu le courage de m'embarquer à Oxford avec Simon de Flickr, que je ne connaissais pas, maintenant c'est fait.
En revenant, il m'a laissée, a ma demande, a l'Aéroport de Heathrough, d'où j'ai pu prendre le métro. Avec moi, dans le métro, un couple nageant dans le bonheur.
"Nous sommes ici, vraiment ici!" rayonnait d'eux.
Je me suis proposé de les prendre, avec leurs appareil d'abord, tous les deux, ils étaient très reconnaissants, ils m'ont même offert un chocolat Russe!
"Nous sommes arrivés de Russie! Saint Petersburd."
Seulement quatre heures de voyages, mais sur leur visage une joie profonde disait que venir pour une semaine visiter Londres étaient dans leurs rêve depuis longtemps.
Il y a vingt ans que le Mur de Berlin a tombé, puis une après l'autre le Rideau de Fer s'est affrité, mais ce n'est que quelqu'un comme moi, qui avait attendu deux ans de l'autre côté pour sortir, ou comme papa qui en avait attendu sept, ou mon mari qui avait réussi, finalement a rejoindre son épouse et futur bébé, tous qui ont été l'autre côté, qui peuvent comprendre ce que ce joie signifiait pour ce couple.
Autant que Oxford était une très agréable photobalade avec Simon, et je vous offre les images ci-dessous, (j'en ai fait davantage, mais il faudrait du temps à les regarder et modifier si besoin un à un), rien n'était au niveau de ce que ce le rayonnement de ce couple m'a dit.
Demain, je parlerai davantage de Oxford!
Oxford en Octobre - avec Simon.
mercredi 21 octobre 2009
Qu'ils sont loin!
Je me sens très bien à Londres, et j'ai participé hier à une réunion intéressante. Un nouveau club Toastmasters qui s'est rebaptisé "Premier Londres" son présidant me disant "on a le droit de prendre le nom qu'on veut" - en fait c'est le dernier des 20 clubs de la capitale, ici.
Ils ont besoin des membres, des gens qui font des choses, qui aident. Je joue avec l'idée d'y joindre, me sentir plus utile.
Je me sens très bien ici, mais que vous me manquez, tous et toutes mes amis de la France, je voudrais pouvoir sauter plus souvent dans le train ou ma voiture et traverser la Manche!
Je voudrais écouter les dernières chants de Gelzy, parler avec mes chers voisins et voisines, passer quelques heures à Argenteuil. Peut être, je sauterai dans l'avion un jour, pour y aller, mais ce ne sera pas avant mi novembre, j'ai pleine à faire ici jusque alors.
Deux discours, début Novembre, un dans chaque club, prévus depuis longtemps, une conférence de trois jours à York, mi Novembre, et des trucs comme cela. Fantastique, d'avoir des choses à faire, des gens à voir, des discours à préparer, des gens à aider, comme hier. J'ai réussi à donner courage à un Japonais, encourager un Flamande, et, oublier, mon manteau au club.
Il ne fait pas encore assez froid, alors je ne me suis rendu compte qu'une fois bien loin!
Ils ont besoin des membres, des gens qui font des choses, qui aident. Je joue avec l'idée d'y joindre, me sentir plus utile.
Je me sens très bien ici, mais que vous me manquez, tous et toutes mes amis de la France, je voudrais pouvoir sauter plus souvent dans le train ou ma voiture et traverser la Manche!
Je voudrais écouter les dernières chants de Gelzy, parler avec mes chers voisins et voisines, passer quelques heures à Argenteuil. Peut être, je sauterai dans l'avion un jour, pour y aller, mais ce ne sera pas avant mi novembre, j'ai pleine à faire ici jusque alors.
Deux discours, début Novembre, un dans chaque club, prévus depuis longtemps, une conférence de trois jours à York, mi Novembre, et des trucs comme cela. Fantastique, d'avoir des choses à faire, des gens à voir, des discours à préparer, des gens à aider, comme hier. J'ai réussi à donner courage à un Japonais, encourager un Flamande, et, oublier, mon manteau au club.
Il ne fait pas encore assez froid, alors je ne me suis rendu compte qu'une fois bien loin!
lundi 19 octobre 2009
Ce n'est pas bon
Ce n'est pas bon d'avoir mangé quelque chose qui "reste sur l'estomac", hier j'avais compris ce que cela veut dire!
Avec l'aide de la famille et mes petits enfants, m'écrivant même des cartes postales avec dessin, "rapide guérison" en anglais! ce matin, je me suis réveillée avec émerveillement: que c'est bon de ne plus avoir mal!
Mais l'envie de travailler ne m'es pas encore revenue.
Je me suis retrouvée avec un frigidaire tout à fait vide, mais j'ai toujours des pattes a la maison et des légumes. Pas des légumes encore ce midi, mais les pattes, oui. Même si mon vieux docteur, de ma jeunesse disait: "rien que du thé pour deux ou trois jours!" c'est le meilleur médicament dans ces cas.
Je suis sortie m'acheter de fromage rappé quand même, pour accompagner les pattes. Et deux pommes énormes. J'ai découverte des pommes anciennes anglaises qui sont pas bonnes du tout fraiches, mais cuites en micro onde font de purée excellent.
J'espère, demain, je serais plus inspirée. C'est une dilemme, vaut-il mieux rien faire ou tâcher d'écrire jour à jour?
Avec l'aide de la famille et mes petits enfants, m'écrivant même des cartes postales avec dessin, "rapide guérison" en anglais! ce matin, je me suis réveillée avec émerveillement: que c'est bon de ne plus avoir mal!
Mais l'envie de travailler ne m'es pas encore revenue.
Je me suis retrouvée avec un frigidaire tout à fait vide, mais j'ai toujours des pattes a la maison et des légumes. Pas des légumes encore ce midi, mais les pattes, oui. Même si mon vieux docteur, de ma jeunesse disait: "rien que du thé pour deux ou trois jours!" c'est le meilleur médicament dans ces cas.
Je suis sortie m'acheter de fromage rappé quand même, pour accompagner les pattes. Et deux pommes énormes. J'ai découverte des pommes anciennes anglaises qui sont pas bonnes du tout fraiches, mais cuites en micro onde font de purée excellent.
J'espère, demain, je serais plus inspirée. C'est une dilemme, vaut-il mieux rien faire ou tâcher d'écrire jour à jour?
dimanche 18 octobre 2009
En passant
En passant avec l'appareil dans les mains, je "vois" observe davantage autour, même allant acheter du sel (et me retrouvant payant 20 euros pour une manteau d'hiver de deuxième main, aussi).
Sans "photo" j'aurais passé sans voir ces fenêtres et me demander si quelqu'un y habite ou seulement ce sert à stocker des choses, là. Tout une histoire se cache, pour moi, derrière ces fenêtres avec des grillages rouillés.
Ce bout du monde, pas loin de Mark & Spencer, le supermarché chic du coin, où je ne suis pas entré ce matin, même si des fois, j'y vais acheter du lait ou une baguette. Ils les font fraiches!
Ce qui me manque encore plus que les baguettes, c'est des biscottes qu'on ne trouve pas ici ou alors très chers et tout petit paquets.
Photo par Grégory de flickr.
Qui aurait dit, qu'en venant du France a Londres, c'est la biscotte qui me manquerait. Et pas seulement à moi, même à mon fils et belle fille!
Sans "photo" j'aurais passé sans voir ces fenêtres et me demander si quelqu'un y habite ou seulement ce sert à stocker des choses, là. Tout une histoire se cache, pour moi, derrière ces fenêtres avec des grillages rouillés.
Ce bout du monde, pas loin de Mark & Spencer, le supermarché chic du coin, où je ne suis pas entré ce matin, même si des fois, j'y vais acheter du lait ou une baguette. Ils les font fraiches!
Ce qui me manque encore plus que les baguettes, c'est des biscottes qu'on ne trouve pas ici ou alors très chers et tout petit paquets.
Qui aurait dit, qu'en venant du France a Londres, c'est la biscotte qui me manquerait. Et pas seulement à moi, même à mon fils et belle fille!
samedi 17 octobre 2009
L'arbre d'automne
Ceux qui me suivent depuis longtemps, peuvent se souvenir, peut être, de "mon arbre, branche plutôt, d'automne" que j'avais devant ma fenêtre, à Argenteuil. De mon choc, quand mon petit fils l'a coupé, pour le mettre sur le lieu où le chat était enterré jadis.
L'année suivante, il a ressurgi, timidement.
Quelle était ma joie, en arrivant à Londres, découvrir l'année dernière le même espèce, mais tout un arbre et seulement à quelques maisons plus loin de moi.
C'est devenu "mon arbre" immédiatement.
L'année dernière, j'avais même réussi à le mettre dans mon calendrier pour le mois d'octobre. Hier, manquant du sel, et oui, cela m'a donné pour deux jours des plats sans goût, j'ai pris mon petit appareil avec moi.
Que va me "donner" l'arbre maintenant?
Je l'ai interrogé, pris de loin et de près, du haut et vers en haut, fait le tour, approché, éloigné. Finalement, l'arbre m'a parlé.
Une des choses, qu'il m'a dit est ceci:
mais en regardant les 40 images prises, en fait, l'arbre m'a appris une sagesse plus profonde: la magie de la diversité.
Voilà, dans l'ordre que j'ai prise l'une après l'autre.
Le tout forme une unité en fait et chacun contribue a sa façon a la rendre plus "automne" plus "mon arbre" plus "notre arbre à tous", probablement, chacun va aimer une autre, ou plusieurs d'autres, pas les mêmes.
Vive notre différence!
L'année suivante, il a ressurgi, timidement.
Quelle était ma joie, en arrivant à Londres, découvrir l'année dernière le même espèce, mais tout un arbre et seulement à quelques maisons plus loin de moi.
C'est devenu "mon arbre" immédiatement.
L'année dernière, j'avais même réussi à le mettre dans mon calendrier pour le mois d'octobre. Hier, manquant du sel, et oui, cela m'a donné pour deux jours des plats sans goût, j'ai pris mon petit appareil avec moi.
Que va me "donner" l'arbre maintenant?
Je l'ai interrogé, pris de loin et de près, du haut et vers en haut, fait le tour, approché, éloigné. Finalement, l'arbre m'a parlé.
Une des choses, qu'il m'a dit est ceci:
mais en regardant les 40 images prises, en fait, l'arbre m'a appris une sagesse plus profonde: la magie de la diversité.
Voilà, dans l'ordre que j'ai prise l'une après l'autre.
Le tout forme une unité en fait et chacun contribue a sa façon a la rendre plus "automne" plus "mon arbre" plus "notre arbre à tous", probablement, chacun va aimer une autre, ou plusieurs d'autres, pas les mêmes.
Vive notre différence!
vendredi 16 octobre 2009
Lumière a travers les feuilles
En général, tout est noir, et nous ne voyons que des silhouettes, si on ose regarder, surtout, photographier vers le soleil.
Mais dans les cas des choses translucides, comme des feulles d'automne, cela donne un effet, pour moi, féérique.
L'attraper bien, n'est pas facile bien sûr, comme ce n'est pas facile de raconter bien une histoire. Hélas, j'ai moins de patience a rester devant an arbre, que bavarder avec une jeune femme dont je veux prendre des portraits différentes, ou préparer un discours ou récit, que je tourne et retourne dans ma tête, jour après jour, longtemps.
Hier, soudaine, des idées me sont venus et j'ai parlé à haute voix, avec le dictaphone ouverte, huit minutes, ensuite, transcrit, corrigée. J'ai au moins ainsi le brouillon de ce que je voudrais dire début Novembre, pour "inspirer", ma tâche pour finir le premier manuel des Toastmasters.
Pourquoi j'ai tellement de patience avec l'un et si peu avec l'autre? Je ne vais jamais apprendre a bien photographier si je n'y mets pas davantage! En plus, ma camera sophistiquée n'est pas facile à comprendre, il y a tant des variations! Avec la petite, ça va tellement plus facilement. Plus des choix, n'est pas toujours agréable, bien.
Avec cette image, j'ai joué un peu après coup, pour lui rendre davantage de ce que j'ai vu quand j'étais là.
Mais dans les cas des choses translucides, comme des feulles d'automne, cela donne un effet, pour moi, féérique.
L'attraper bien, n'est pas facile bien sûr, comme ce n'est pas facile de raconter bien une histoire. Hélas, j'ai moins de patience a rester devant an arbre, que bavarder avec une jeune femme dont je veux prendre des portraits différentes, ou préparer un discours ou récit, que je tourne et retourne dans ma tête, jour après jour, longtemps.
Hier, soudaine, des idées me sont venus et j'ai parlé à haute voix, avec le dictaphone ouverte, huit minutes, ensuite, transcrit, corrigée. J'ai au moins ainsi le brouillon de ce que je voudrais dire début Novembre, pour "inspirer", ma tâche pour finir le premier manuel des Toastmasters.
Pourquoi j'ai tellement de patience avec l'un et si peu avec l'autre? Je ne vais jamais apprendre a bien photographier si je n'y mets pas davantage! En plus, ma camera sophistiquée n'est pas facile à comprendre, il y a tant des variations! Avec la petite, ça va tellement plus facilement. Plus des choix, n'est pas toujours agréable, bien.
Avec cette image, j'ai joué un peu après coup, pour lui rendre davantage de ce que j'ai vu quand j'étais là.
jeudi 15 octobre 2009
Le monde est si différent
Pendant qu'à Londres, nous nous promenons l'automne, et disons l'un à l'autre "il serait temps à mettre un manteau, peut être", a Missouli, Nord West des Etats Unis, dans les Montagnes, il neigeait déjà le neuf octobre!
Pour ma copine PJ lointain, que je n'ai pas encore visité, mais qui attend toujours ma venu chez elle, pour une semaine entière, quand je pourrais, les feuilles d'automne paraissent magiques, comme à moi, la neige dans la nuit, chez elle.
Ailleurs, est printemps ou même l'été.
En regardant les images de Flickr "autour de nous, de chacun" je suis de nouveau et nouveau émerveillée!
Quand une image ne sort pas du tout comme je l'aurais voulu, je commence à jouer avec, voilà une image de group de notre promenade modifié ainsi.
Je me suis rendu compte, que je ne sais pas bien utilisé ma camera Canon, j'ai encore énormément à apprendre! Peut-être, je devrais retourner à la même place et expérimenter dans un seul lieu, a la place de faire une promenade plus longue. Ou même, expérimenter, dans notre cours!
Pour ma copine PJ lointain, que je n'ai pas encore visité, mais qui attend toujours ma venu chez elle, pour une semaine entière, quand je pourrais, les feuilles d'automne paraissent magiques, comme à moi, la neige dans la nuit, chez elle.
Ailleurs, est printemps ou même l'été.
En regardant les images de Flickr "autour de nous, de chacun" je suis de nouveau et nouveau émerveillée!
Quand une image ne sort pas du tout comme je l'aurais voulu, je commence à jouer avec, voilà une image de group de notre promenade modifié ainsi.
Je me suis rendu compte, que je ne sais pas bien utilisé ma camera Canon, j'ai encore énormément à apprendre! Peut-être, je devrais retourner à la même place et expérimenter dans un seul lieu, a la place de faire une promenade plus longue. Ou même, expérimenter, dans notre cours!
mercredi 14 octobre 2009
Promenade photo d'automne
Avec le groupe de 'l'Université de troisième âge, une belle matinée promenade dans un forêt des environs.
Agréable rencontres aussi et discussions, et photos des feuilles couleurs automne.
J'ai aussi trouvé deux champignons à photographier, et des marrons.
Ce matin, une grande joie: j'ai reçu l'enregistrement des douze minutes au théâtre, du 10 octobre, et, en plus le producteur m'a écrit: "ce ne fait rien que c'était 12 : il a donné du courage à un ami qui arrive vers 40 ans!"
Que peut-être mieux, que réussir à donner courage?
Quand on me demanderai d'autres fois "pourquoi tu va apprendre parler en public ou raconter des histoires personnelles, voilà la réponse, dorénavant. Réussir à donner courage ne serait-ce qu'à un seul, (mais j'en suis sûre aux autres aussi) déjà vaut tout l'effort.
Agréable rencontres aussi et discussions, et photos des feuilles couleurs automne.
J'ai aussi trouvé deux champignons à photographier, et des marrons.
Ce matin, une grande joie: j'ai reçu l'enregistrement des douze minutes au théâtre, du 10 octobre, et, en plus le producteur m'a écrit: "ce ne fait rien que c'était 12 : il a donné du courage à un ami qui arrive vers 40 ans!"
Que peut-être mieux, que réussir à donner courage?
Quand on me demanderai d'autres fois "pourquoi tu va apprendre parler en public ou raconter des histoires personnelles, voilà la réponse, dorénavant. Réussir à donner courage ne serait-ce qu'à un seul, (mais j'en suis sûre aux autres aussi) déjà vaut tout l'effort.
mardi 13 octobre 2009
En face de moi, dans le train
Pendant mon retour, de Farnham, a Londres, elle était devant moi. Elle a commencé à changer ses chaussures, du baskets vers des bottines noires tout neuf.
Elle avait déjà changé sa blouse, et probablement, amélioré son fard. C'était claire, qu'elle va vers un rendez-vous ou un party, une soirée.
Plus tard, nous avons commencé à parler.
"Je regardais la photo que je peux montrer, de mon petit fils, il a un an." Voilà. "Ces temps-ci, je n'ai pas beaucoup de temps de sortir."
C'est ce dernier mélancolie, vers ses temps quand elle sortait plus, qu'il y avait dans ce regard, que j'aime plus que celle souriant, sympathiquement vers moi. Un douleur inexprimé, sur son sort. Elle me disait aussi que le grand-père de son bébé parle seulement portugais. Encore, une fois, avec pleines des non dits.
Puis, nous avons discutés combien c'est bien qu'un enfant apprend plusieurs langages. "Mon neveux, pourtant arrivé ici en parlant pas un mot anglais, ne veut plus parler qu'anglais, maintenant." Il a déjà 22 ans, et depuis des années, il refuse de parler portugais, sa langue maternelle.
J'ai raconté comment mes enfants on appris à parler, vite en trois langues: 'c'était bon d'être obligés de casser leur cerveaux à comprendre et traduire dès l'enfance.'
Nous avons parlé peu, mais beaucoup restait non dit. J'ai l'impression que dans ce regard, prise un moment quand elle ne s'en rendait pas compte, elle dit plus que dans sa, pourtant belle, pose.
Elle avait déjà changé sa blouse, et probablement, amélioré son fard. C'était claire, qu'elle va vers un rendez-vous ou un party, une soirée.
Plus tard, nous avons commencé à parler.
"Je regardais la photo que je peux montrer, de mon petit fils, il a un an." Voilà. "Ces temps-ci, je n'ai pas beaucoup de temps de sortir."
C'est ce dernier mélancolie, vers ses temps quand elle sortait plus, qu'il y avait dans ce regard, que j'aime plus que celle souriant, sympathiquement vers moi. Un douleur inexprimé, sur son sort. Elle me disait aussi que le grand-père de son bébé parle seulement portugais. Encore, une fois, avec pleines des non dits.
Puis, nous avons discutés combien c'est bien qu'un enfant apprend plusieurs langages. "Mon neveux, pourtant arrivé ici en parlant pas un mot anglais, ne veut plus parler qu'anglais, maintenant." Il a déjà 22 ans, et depuis des années, il refuse de parler portugais, sa langue maternelle.
J'ai raconté comment mes enfants on appris à parler, vite en trois langues: 'c'était bon d'être obligés de casser leur cerveaux à comprendre et traduire dès l'enfance.'
Nous avons parlé peu, mais beaucoup restait non dit. J'ai l'impression que dans ce regard, prise un moment quand elle ne s'en rendait pas compte, elle dit plus que dans sa, pourtant belle, pose.
samedi 10 octobre 2009
Londres a Farnham 1 heure
Bien sûr, j'ai dû aller avant a la gare Waterloo, encore presque une heure, mais en train, j'ai pu faire le trajet sans avoir (presque) mal au dos.
Voilà une charmante femme, mère d'un petit bébé d'un an, avec qui j'ai discuté en revenant, le soir. Elle m'a sourit, dans une autre image, mais j'aime mieux celle-ci où elle parait pensive et un peu triste.
Très 1930, autant les cheveux, la robe et le regard.
Atelier intéressante et je me sens mieux et pas pire que le matin, mais j'ai prise encore deux pilule, nettement mieux que hier. Écouter les autres, me donne des idées et dire un récit sous certaines contraintes imposés donne toujours des nouvelles perspectives.
Voilà quelques images prises lors mon voyage, la plupart a Farnham, ce soir avant de revenir.
Voilà une charmante femme, mère d'un petit bébé d'un an, avec qui j'ai discuté en revenant, le soir. Elle m'a sourit, dans une autre image, mais j'aime mieux celle-ci où elle parait pensive et un peu triste.
Très 1930, autant les cheveux, la robe et le regard.
Atelier intéressante et je me sens mieux et pas pire que le matin, mais j'ai prise encore deux pilule, nettement mieux que hier. Écouter les autres, me donne des idées et dire un récit sous certaines contraintes imposés donne toujours des nouvelles perspectives.
Voilà quelques images prises lors mon voyage, la plupart a Farnham, ce soir avant de revenir.
vendredi 9 octobre 2009
Hier, encore je me demandais...
Hier, je me demandais encore, si demain j'irai à Farnham en voiture ou en train. Le sort a décidé pour moi.
Je savais depuis la semaine dernière que ma chance ne peut pas durer, être trop dans les nuages n'est pas permis par le "ciel" ou "le sort" ou "les dieux" ou qui que ce soit.
Au moins, pas trop long temps.
Depuis hier, j'ai de plus en plus mal au dos, gauche. Heureusement, surtout quand je bouge, quand je veux lever quelque chose, etc. Probablement, un tendon nerf ou muscles qui n'a pas apprécié quand, le matin, je suis revenue pleine des lourds provisions et montée les marches des deux étages avec tous, sans le mettre dans les petits paquets et aller les chercher petit a petit, comme je fais d'habitude.
Donc, en fait, ce n'était pas le "sort" mais moi même, le coupable, mais c'est quand même moi qui n'a plus fait assez attention. J'ai oublié, à ces moments-là que j'ai quand même 75 ans, que je suis assez faible ne faisant pas du gymnastique et n'allant plus nager, qu'un mouvement en trop, peut devenir très douloureux a la longue.
Donc, le train pour moi, si je peux encore bouger demain. Même bourrée des médicaments anti-douleur, ce matin ça ne va pas bien. Mais, telle que je suis, je pourrais voyager, si je ne porte rien.
Je ferais tout ce que je peux aujourd'hui, pour être capable demain, au moins assister a l'atelier de raconter des histoires.
Je savais depuis la semaine dernière que ma chance ne peut pas durer, être trop dans les nuages n'est pas permis par le "ciel" ou "le sort" ou "les dieux" ou qui que ce soit.
Au moins, pas trop long temps.
Depuis hier, j'ai de plus en plus mal au dos, gauche. Heureusement, surtout quand je bouge, quand je veux lever quelque chose, etc. Probablement, un tendon nerf ou muscles qui n'a pas apprécié quand, le matin, je suis revenue pleine des lourds provisions et montée les marches des deux étages avec tous, sans le mettre dans les petits paquets et aller les chercher petit a petit, comme je fais d'habitude.
Donc, en fait, ce n'était pas le "sort" mais moi même, le coupable, mais c'est quand même moi qui n'a plus fait assez attention. J'ai oublié, à ces moments-là que j'ai quand même 75 ans, que je suis assez faible ne faisant pas du gymnastique et n'allant plus nager, qu'un mouvement en trop, peut devenir très douloureux a la longue.
Donc, le train pour moi, si je peux encore bouger demain. Même bourrée des médicaments anti-douleur, ce matin ça ne va pas bien. Mais, telle que je suis, je pourrais voyager, si je ne porte rien.
Je ferais tout ce que je peux aujourd'hui, pour être capable demain, au moins assister a l'atelier de raconter des histoires.
jeudi 8 octobre 2009
Ouverte ou fermée?
Cette porte est fermée, maintenant, on pouvait y aller a la place où les voitures étaient parquées, directement de la station de train.
On peut faire tant des images, autant en attendant que le train arrive que de la fenêtre. En passant, par les quartiers les plus industrielles, anciennes, j'arrive à m'imaginer comment c'était quelques dizaines d'années avant.
Les anciennes fabriques sont fermées la plupart maintenant, des nouvelles quartiers les ont remplacées, mais nettement plus éloignés des lignes de chemin de fer, on y va en métro, bus ou voiture.
Bien sûr, pendant que le train bouge, l'image ne sort pas net, mais elle donne l'impression fugitive d'un monde tel que c'était, avant que j'arrive. L'absence de charbon sortant des cheminées fait aussi qu'on cherche en vain le "fog" le fameux brouillard épaisse de Londres, ces jours-ci!
Voilà quelques images fugitives
On peut faire tant des images, autant en attendant que le train arrive que de la fenêtre. En passant, par les quartiers les plus industrielles, anciennes, j'arrive à m'imaginer comment c'était quelques dizaines d'années avant.
Les anciennes fabriques sont fermées la plupart maintenant, des nouvelles quartiers les ont remplacées, mais nettement plus éloignés des lignes de chemin de fer, on y va en métro, bus ou voiture.
Bien sûr, pendant que le train bouge, l'image ne sort pas net, mais elle donne l'impression fugitive d'un monde tel que c'était, avant que j'arrive. L'absence de charbon sortant des cheminées fait aussi qu'on cherche en vain le "fog" le fameux brouillard épaisse de Londres, ces jours-ci!
Voilà quelques images fugitives
mercredi 7 octobre 2009
London Canal, il y a une année
En fait, plus d'une année, je me suis promenée et prise cette image, entre autres, en Aout l'année dernière, juste un mois après mon arrivée à Londres.
Ce jour-là, en sortant, fatiguée, de la promenade, je reçois un coup de fil, mon appartement sera à ma disposition dans une semaine!
Je ne savais pas, et n'aurais pas cru, si on me l'aurait dit, qu'une année plus tard, je vais raconter l'histoire de mon arrivé de Paris et mes aventures de Londres, à une audience de soixante Londoniennes, payant pour m'écouter - et en anglais!
Bien sûr, ils ne sont pas venu que pour moi, et ils ne me connaissaient pas avant venir, mais a la fin, quelles applauses! Et sincères, pas forcés, comme souvent alas dans mon club Toastmasters. Vraies, sincères, longues, fortes. C'est la première fois que je les ai aimé, appréciée.
En regardant cette image, pris en Aout, 2008, je mesure encore mieux la distance parcouru depuis, le chemin que j'ai fait. Mon blog le raconte jour à jour et mon journal peut être aussi un peu, mais en fait, je n'ai pas relu ni réfléchi avant préparer mon récit.
Le récit commence, quand j'étais jeune, 45 ans, ma vie de nouveau bouleversée et j'avais trouvé dans un journal pour "cancer": Tu auras ta deuxième chance, mais ne le laisse pas s'envoler quand elle s'approche de toi." J'ai ajouté, lundi: "prends-le, tiens-le - aussi longtemps que c'est possible!"
J'avais préparé la suite, qui disait, "Ensuite, j'ai appris qu'il y a aussi un troisième, 4e, 5e chance dans la vie, mais l'horoscope avait raison, il ne faut pas les laisser s'en aller quand elles arrivent."
En fait, a la place, j'ai continué, en expliquant, que ma deuxième chance a commencé quand j'ai trouvé un club Toastmasters, où, deux fois par mois, on se réunissait, pour 'sortir l'orateur' de chacun. Encourager chacun se lever et parler en public. La première fois qu'on ma dit, lève-toi et parle une minute (je me suis alors assise sur la chaise de l'estrade, pour moi, mise au coin) Non! Pourquoi me lever? Je peux parler assise. Non, tu peux parler en te levant, comme nous le faisons tous. Une minute, je dis, me levant de la chaise, paraissait si long, alors! Mais j'ai appris, petit à petit, à me lever et parler et j'ai pris confiance, et avec confiance les autres choses que je souhaitais, ma deuxième chance sont arrivées."
C'était le début, Lundi soir.
Ensuite, j'ai sauté à plus de 70 ans, habitant dans une petite maison sombre près de Paris, seule depuis sept ans et me sentant de plus en plus solitaire.
Je continuerai, une autre fois.
Je crois, ne pas suivant le 'script' prévu en avance, mon début est devenu plus intéressante et aussi plus claire tout ce que l'organisation Toastmasters m'a apporté: oser dire mon texte sans papier et chaise (comme celui devant moi) en me promenant par la suite sur tout la scène quand l'occasion le demandait. Sur le champs, je n'ai pas pensé que ce n'était pas très gentil pour celui avant moi, par contre. J'ai vraiment pensé à mes peurs, telle qu'ils avait été effectivement, à 45 ans, et pas a lui.
Comme la vie est compliquée!
Ce jour-là, en sortant, fatiguée, de la promenade, je reçois un coup de fil, mon appartement sera à ma disposition dans une semaine!
Je ne savais pas, et n'aurais pas cru, si on me l'aurait dit, qu'une année plus tard, je vais raconter l'histoire de mon arrivé de Paris et mes aventures de Londres, à une audience de soixante Londoniennes, payant pour m'écouter - et en anglais!
Bien sûr, ils ne sont pas venu que pour moi, et ils ne me connaissaient pas avant venir, mais a la fin, quelles applauses! Et sincères, pas forcés, comme souvent alas dans mon club Toastmasters. Vraies, sincères, longues, fortes. C'est la première fois que je les ai aimé, appréciée.
En regardant cette image, pris en Aout, 2008, je mesure encore mieux la distance parcouru depuis, le chemin que j'ai fait. Mon blog le raconte jour à jour et mon journal peut être aussi un peu, mais en fait, je n'ai pas relu ni réfléchi avant préparer mon récit.
Le récit commence, quand j'étais jeune, 45 ans, ma vie de nouveau bouleversée et j'avais trouvé dans un journal pour "cancer": Tu auras ta deuxième chance, mais ne le laisse pas s'envoler quand elle s'approche de toi." J'ai ajouté, lundi: "prends-le, tiens-le - aussi longtemps que c'est possible!"
J'avais préparé la suite, qui disait, "Ensuite, j'ai appris qu'il y a aussi un troisième, 4e, 5e chance dans la vie, mais l'horoscope avait raison, il ne faut pas les laisser s'en aller quand elles arrivent."
En fait, a la place, j'ai continué, en expliquant, que ma deuxième chance a commencé quand j'ai trouvé un club Toastmasters, où, deux fois par mois, on se réunissait, pour 'sortir l'orateur' de chacun. Encourager chacun se lever et parler en public. La première fois qu'on ma dit, lève-toi et parle une minute (je me suis alors assise sur la chaise de l'estrade, pour moi, mise au coin) Non! Pourquoi me lever? Je peux parler assise. Non, tu peux parler en te levant, comme nous le faisons tous. Une minute, je dis, me levant de la chaise, paraissait si long, alors! Mais j'ai appris, petit à petit, à me lever et parler et j'ai pris confiance, et avec confiance les autres choses que je souhaitais, ma deuxième chance sont arrivées."
C'était le début, Lundi soir.
Ensuite, j'ai sauté à plus de 70 ans, habitant dans une petite maison sombre près de Paris, seule depuis sept ans et me sentant de plus en plus solitaire.
Je continuerai, une autre fois.
Je crois, ne pas suivant le 'script' prévu en avance, mon début est devenu plus intéressante et aussi plus claire tout ce que l'organisation Toastmasters m'a apporté: oser dire mon texte sans papier et chaise (comme celui devant moi) en me promenant par la suite sur tout la scène quand l'occasion le demandait. Sur le champs, je n'ai pas pensé que ce n'était pas très gentil pour celui avant moi, par contre. J'ai vraiment pensé à mes peurs, telle qu'ils avait été effectivement, à 45 ans, et pas a lui.
Comme la vie est compliquée!
mardi 6 octobre 2009
Canal Cafe Theatre
Au bord de Canal de Londres, il y a une place qui s'appelle "Little Venice", d'où partent les bateaux l'été en promenant les touristes. A côté, un pont, et un Café Théatre.
C'est là que sept entre nous, avons amusé l'audience, 60 gens: c'était pleine! Ils ont dû refuser les dernières, n'ayant pas acheté leur billets.
"C'était très bien, cette fois," m'a dit un Monsieur après le spectacle, "Et vous étiez la meilleure!"
Bien sûr, il me le disait à moi...
J'étais la seule à parler sans papier, mais tous étaient très bien, et certaines beaucoup plus humoristiques aussi, mais je n'ai essayé l'humour cette fois, j'ai parlé surtout de la difficulté de changer du pays et les haut et bas à trouver ce qu'il nous faut. Ce dont chacun a besoin.
Maintenant ou jamais était la thème de la soirée.
Que des choses divers on peut raconter avec ce sujet! J'étais, moi même stupéfait et eu beaucoup de plaisir d'écouter les autres.
"Tu as trouvé des nouvelles voies et chance parque tu es ouverte à ce qui peut arriver" m'a dit une dame. J'ai eu des bonnes discussions après le spectacle, dans le café de lieu.
15 mois ne se sont passés encore et parler pendant 11 minutes en anglais, ce n'est pas si mal, finalement. Donner un spectacle en fait, c'était plus que parler: j'ai marché, joué un peu et fais des gestes auss.
Maintenant, je me prépare pour la journée de Storytelling, samedi, apprentissage avec un Pro qui vit de raconter des histoires. Je dois préparer un récit qu'on va "polir", a partir duquel on apprendra mieux le dire ou mieux l'exprimer, etc. Je crois que nous serons dix, là bas.
Dans mon blog "photo" et "anglais" j'ai commencé à publier les paroles de hier, que j'ai enregistré avec mon petit dictaphone de loin, je ne l'ajoute pas ici, comme c'est en anglais. Peut-être, je vais prendre courage, le raconter aussi en français, alors...
C'est là que sept entre nous, avons amusé l'audience, 60 gens: c'était pleine! Ils ont dû refuser les dernières, n'ayant pas acheté leur billets.
"C'était très bien, cette fois," m'a dit un Monsieur après le spectacle, "Et vous étiez la meilleure!"
Bien sûr, il me le disait à moi...
J'étais la seule à parler sans papier, mais tous étaient très bien, et certaines beaucoup plus humoristiques aussi, mais je n'ai essayé l'humour cette fois, j'ai parlé surtout de la difficulté de changer du pays et les haut et bas à trouver ce qu'il nous faut. Ce dont chacun a besoin.
Maintenant ou jamais était la thème de la soirée.
Que des choses divers on peut raconter avec ce sujet! J'étais, moi même stupéfait et eu beaucoup de plaisir d'écouter les autres.
"Tu as trouvé des nouvelles voies et chance parque tu es ouverte à ce qui peut arriver" m'a dit une dame. J'ai eu des bonnes discussions après le spectacle, dans le café de lieu.
15 mois ne se sont passés encore et parler pendant 11 minutes en anglais, ce n'est pas si mal, finalement. Donner un spectacle en fait, c'était plus que parler: j'ai marché, joué un peu et fais des gestes auss.
Maintenant, je me prépare pour la journée de Storytelling, samedi, apprentissage avec un Pro qui vit de raconter des histoires. Je dois préparer un récit qu'on va "polir", a partir duquel on apprendra mieux le dire ou mieux l'exprimer, etc. Je crois que nous serons dix, là bas.
Dans mon blog "photo" et "anglais" j'ai commencé à publier les paroles de hier, que j'ai enregistré avec mon petit dictaphone de loin, je ne l'ajoute pas ici, comme c'est en anglais. Peut-être, je vais prendre courage, le raconter aussi en français, alors...
lundi 5 octobre 2009
Diaporama des premières images
Quelques images de hier, je n'ai pas la patience ce matin d'en mettre davantage, j'ai modifié mon texte, un peu, et je dois l'apprendre, comprendre assez bien pour le dire, ce soir, avec sentiment, pas mot à mot, mais sans en oublier l'essence. J'ai confiance, mais finalement, à chaque fois, je tremble aussi.
Il paraît que c'est bien, il paraît que cela nous donne de l'énergie lors on est dedans. Aussi, le visage de quelqu'un qui comprend, pendant qu'on le dit. Cette fois, je serais sous des fortes réflecteurs, l'audience presque en noir, c'est quand même un peu effrayante. Enfin, une nouvelle chose à apprendre, à s'y habituer. Un pas en plus dans une direction, quelle direction en fait?
Peut être, en fait, toute ma vie, j'avais envie de raconter mes histoires, des histoires, peut être, je reviens seulement, par un autre chemin, d'où je suis partie.
Il paraît que c'est bien, il paraît que cela nous donne de l'énergie lors on est dedans. Aussi, le visage de quelqu'un qui comprend, pendant qu'on le dit. Cette fois, je serais sous des fortes réflecteurs, l'audience presque en noir, c'est quand même un peu effrayante. Enfin, une nouvelle chose à apprendre, à s'y habituer. Un pas en plus dans une direction, quelle direction en fait?
Peut être, en fait, toute ma vie, j'avais envie de raconter mes histoires, des histoires, peut être, je reviens seulement, par un autre chemin, d'où je suis partie.
dimanche 4 octobre 2009
Repetition Centre Londres
J'ai pris le bus, jusque la station de train, et là, j'ai dû attendre 20 minutes jusque le prochaine arrivait - heureusement.
A cause de l'attente, j'ai vu cette jeune femme intéressante, tout habillée en noir. J'ai demandé si je peux la prendre en photo et nous avons ensuite commencé à parler.
Le temps s'est envolé si rapidement!
Du train en métro et puis à pieds, je suis arrivée juste à temps pour les répétitions. J'étais la première à parler - sans papier. Pas si mal que ça.
Un minute de trop, mais je savais cela, et mon histoire leur a plu.
Ensuite, d'autres ont lu leur histoires et les ont raconté, bien drôles d'ailleurs et très bien.
Deux de mes collègues pour raconter des histoires personnelles.
En revenant, quelques images "minimalistes" et d'autres, en tout, aujourd'hui, 320 - même si je vais jeter au moins cent. Pour le moment, j'ai mis les meilleurs 32, au moins ce qui saute aux yeux. Demain, les autres.
Un repos bien mérité.
A cause de l'attente, j'ai vu cette jeune femme intéressante, tout habillée en noir. J'ai demandé si je peux la prendre en photo et nous avons ensuite commencé à parler.
Le temps s'est envolé si rapidement!
Du train en métro et puis à pieds, je suis arrivée juste à temps pour les répétitions. J'étais la première à parler - sans papier. Pas si mal que ça.
Un minute de trop, mais je savais cela, et mon histoire leur a plu.
Ensuite, d'autres ont lu leur histoires et les ont raconté, bien drôles d'ailleurs et très bien.
Deux de mes collègues pour raconter des histoires personnelles.
En revenant, quelques images "minimalistes" et d'autres, en tout, aujourd'hui, 320 - même si je vais jeter au moins cent. Pour le moment, j'ai mis les meilleurs 32, au moins ce qui saute aux yeux. Demain, les autres.
Un repos bien mérité.
samedi 3 octobre 2009
La rose de Klara
Une rose est une rose, mais en fait, elles sont chacun si différentes!
Klara, riant, m'a dit de quelqu'un: "pour l'un le vicaire, pour l'autre sa femme" - il s'agit bien sûr de ceux de religion protestants, qui sont mariés, et un métaphore pour celles qui préfèrent les femmes, comme une de ses connaissances.
Pour moi, la problème sera seulement: faut-il dire "sa" ou "son" femme? Je n'ai jamais comprise, pourquoi dans un langue s'est l'un, dans l'autre l'autre.
J'aime les hommes seuls, de tout façon, et pour le moment, tout cela est très loin de mon intérêt. Je suis tombée amoureuse de l'audience, me connecter avec eux, parler avec eux. Provoquer leur réaction, me monte à la tête.
Lundi, je raconterai une histoire: comment je me suis décidée à changer de pays il y a un peu plus d'une année et les obstacles et joies rencontrés ici. Je le raconterai dans un petit théâtre style cabaret, où les gens payent pour y entrer!
Je raconterai comment, le 18 juillet 2008, dans l'Euro-tunnel, j'avais mise la photographie d'une fillette de cinq ans sur le reborde de ma voiture, pour me donner courage. La fillette était sur une cube et elle a l'air de parler, avec grande gestes. Cette petite fille, parait renaître en moi ces jours-ci, peut être elle n'était que caché sous des tonnes des cendres, peut être, elle n'attendait qu'à en sortir.
Tout est possible, tous m'écoutent, semble-t-elle dire, à travers soixante-dix ans, figé mais toujours pleine de vie, sur le papier photo grise.
La rose de Klara ne reste plus que dans mes souvenirs, le lendemain était déjà fanée, mais la plaisir de la regarder, la chaleur du geste, de l'offre, reste dans mon cœur.
Je crois que c'est bien de s'en souvenir, de chercher dans nos mémoires, retrouver non pas l'enfant qui ne tenait pas compte des autre que soi, mais celle qui osait, non celle qui réclamait l'attention constante de sa maman, mais celle qui osait faire les premiers pas seuls, même après avoir tombé.
Klara, riant, m'a dit de quelqu'un: "pour l'un le vicaire, pour l'autre sa femme" - il s'agit bien sûr de ceux de religion protestants, qui sont mariés, et un métaphore pour celles qui préfèrent les femmes, comme une de ses connaissances.
Pour moi, la problème sera seulement: faut-il dire "sa" ou "son" femme? Je n'ai jamais comprise, pourquoi dans un langue s'est l'un, dans l'autre l'autre.
J'aime les hommes seuls, de tout façon, et pour le moment, tout cela est très loin de mon intérêt. Je suis tombée amoureuse de l'audience, me connecter avec eux, parler avec eux. Provoquer leur réaction, me monte à la tête.
Lundi, je raconterai une histoire: comment je me suis décidée à changer de pays il y a un peu plus d'une année et les obstacles et joies rencontrés ici. Je le raconterai dans un petit théâtre style cabaret, où les gens payent pour y entrer!
Je raconterai comment, le 18 juillet 2008, dans l'Euro-tunnel, j'avais mise la photographie d'une fillette de cinq ans sur le reborde de ma voiture, pour me donner courage. La fillette était sur une cube et elle a l'air de parler, avec grande gestes. Cette petite fille, parait renaître en moi ces jours-ci, peut être elle n'était que caché sous des tonnes des cendres, peut être, elle n'attendait qu'à en sortir.
Tout est possible, tous m'écoutent, semble-t-elle dire, à travers soixante-dix ans, figé mais toujours pleine de vie, sur le papier photo grise.
La rose de Klara ne reste plus que dans mes souvenirs, le lendemain était déjà fanée, mais la plaisir de la regarder, la chaleur du geste, de l'offre, reste dans mon cœur.
Je crois que c'est bien de s'en souvenir, de chercher dans nos mémoires, retrouver non pas l'enfant qui ne tenait pas compte des autre que soi, mais celle qui osait, non celle qui réclamait l'attention constante de sa maman, mais celle qui osait faire les premiers pas seuls, même après avoir tombé.
vendredi 2 octobre 2009
Inattendu
Hier après-midi, je suis sortie pour attraper des images "minimalistes" quoique, je ne comprends encore ce que cela veut dire. Pour moi, en tout cas, le focus ici est sur le centre des fleurs, le Canon, fait disparaître, quand on s'y approche, tout qui est derrière la fleur.
J'ai pris d'autres images aussi, pas du tout "minimalistes" comme la lumière entrant dans l'église de voisinage sur les bancs ou un petit arbuste illuminé et tremblante sous la lumière de soleil.
Ensuite, presque a la fin de mon promenade (après presque deux cent photos) j'aperçois une jeune maman arrivant dans la rue vers moi, son bébé tout près d'elle et son visage rayonnante de la joie.
Je peux? Bien sûr! La joie se voit tellement sur votre visage, quelle plaisir de serrer un bébé dans ses bras! Elle rayonnait encore plus.
Les photos résultant de notre encontre, ne sont pas artistiquement les meilleurs, je ne lui ai dit "tourner pour que le soleil soit bien, ni attendez que je règle l'appareil, mais quelle plaisir, tant pour elle que pour moi!
D'après ce que vous voyez, ce n'est que le bébé qui n'était pas trop contant: pour quelques seconds, sa maman s'occupait moins de lui (ou elle). Pour moi, ce petit visage morose, (ce n'était pas auparavant) parle encore plus de la "vérité de la vie tel quel, et pas comme nous croyons qu'elle devrait être".
Finalement, c'est cette photo, une seule des 222 prise, qui pour moi, reste la plus chère de la journée.
J'ai pris d'autres images aussi, pas du tout "minimalistes" comme la lumière entrant dans l'église de voisinage sur les bancs ou un petit arbuste illuminé et tremblante sous la lumière de soleil.
Ensuite, presque a la fin de mon promenade (après presque deux cent photos) j'aperçois une jeune maman arrivant dans la rue vers moi, son bébé tout près d'elle et son visage rayonnante de la joie.
Je peux? Bien sûr! La joie se voit tellement sur votre visage, quelle plaisir de serrer un bébé dans ses bras! Elle rayonnait encore plus.
Les photos résultant de notre encontre, ne sont pas artistiquement les meilleurs, je ne lui ai dit "tourner pour que le soleil soit bien, ni attendez que je règle l'appareil, mais quelle plaisir, tant pour elle que pour moi!
D'après ce que vous voyez, ce n'est que le bébé qui n'était pas trop contant: pour quelques seconds, sa maman s'occupait moins de lui (ou elle). Pour moi, ce petit visage morose, (ce n'était pas auparavant) parle encore plus de la "vérité de la vie tel quel, et pas comme nous croyons qu'elle devrait être".
Finalement, c'est cette photo, une seule des 222 prise, qui pour moi, reste la plus chère de la journée.
jeudi 1 octobre 2009
Moins, c'est plus
Moins c'est plus, au moins, c'est ce que je croient les "minimalistes"
Cette mois, dans le groupe d'apprentissage de la photographie, nous arrivons aux photos "Minimaliste" - je ne comprends pas encore grande chose, je laisse les professeurs nous l'expliquer.
Sans essayer de montrer un objet ou symboliser un sentiment, elle dit dans l'introduction. Comment on peut, prendre une photographie, ou peindre même, ou écrire, à l'abstraction de sentiment ressentie?
Mes images le plus "simples" soit représentent un objet, une tasse ou un petit chien perdue au milieu d'un énorme tapis ou verdure, soit un corridor interminable, effrayant, pour moi au moins au moment que je l'ai prise.
L'art pour l'art, ne m'as jamais parlé, dit rien. Ne m'a pas touché en aucune façon.
Toute fois, je suis prête à apprendre, comprendre, écouter. Les années de conduire Afterclass group, m'ont ouverte les yeux à des nombreuses différentes façons de faire, ils m'ont fait comprendre des choses qui sont là, mais que je n'avais pas vu auparavant.
Cette mois, dans le groupe d'apprentissage de la photographie, nous arrivons aux photos "Minimaliste" - je ne comprends pas encore grande chose, je laisse les professeurs nous l'expliquer.
Sans essayer de montrer un objet ou symboliser un sentiment, elle dit dans l'introduction. Comment on peut, prendre une photographie, ou peindre même, ou écrire, à l'abstraction de sentiment ressentie?
Mes images le plus "simples" soit représentent un objet, une tasse ou un petit chien perdue au milieu d'un énorme tapis ou verdure, soit un corridor interminable, effrayant, pour moi au moins au moment que je l'ai prise.
L'art pour l'art, ne m'as jamais parlé, dit rien. Ne m'a pas touché en aucune façon.
Toute fois, je suis prête à apprendre, comprendre, écouter. Les années de conduire Afterclass group, m'ont ouverte les yeux à des nombreuses différentes façons de faire, ils m'ont fait comprendre des choses qui sont là, mais que je n'avais pas vu auparavant.
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