C'est curieux, à écrire à l'envers. Ceci est la troisième entrée sur un même thème. Mais c'est aussi étrange combien on ne sait pas juger sur le champs, et tout ce qui a suivi ces quelques baisiers premiers de 25 août, il y a beaucoup des années.
J'avais 24 ans, lui 25. Je me croyais plus intéligente qu'il était et je me disais "avant trouver mon mari, autant tester des baisers divers, sinon autre chose". Finalement, c'est lui qui a mieux vu dans le futur "je vois la mère en toi, pas la femme". A 25 août le matin, il y a quelques jours, tous étaient ensemble: nos deux enfants, nos cinq petits enfants et, bien sûr les femmes et maris de nos enfants. Ajoutons à cela, que j'habite depuis quatre ans dans la maison acheté par lui et hérité par nos enfants.
Je suis allée ce matin me promener à Carrières sur Seines et fait plusieurs photos des saules pleureurs, du banc et de l'eau, même si à deux mille kilomètres de Bucarest, où nous habitions, ces saules au bord de l'eau rappellent toujours, à lui tant qu'il vivait et à moi tant que je vivrais, nos premiers baisiers dans le parc au bord de lac.
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