mercredi 6 mai 2015

Espoire, ne pas perdre l'espoire

Spring across my window
Je ne suis pas sortie depuis quelques jours, la nature est là devant ma fenêtre. Un jour de pluie, un matin des vents, une heure ou deux de soleil brillant dans les feuilles des arbres qui surplombent les garages et séparent notre cour de celui des voisins.

J'adore ce vert printemps, vert de l'espoire et de renouveau.

J'ai réussi à descendre des marches et remonter, oui, en me tenant des murs et de balustrade, mais sans utiliser une canne ou une béquille. Cela m'a donnée de l'espoire et m'a montrée que je peux quand je n'y pense pas et quand je n'ai pas le temps d'avoir peur.

Je pourrais marcher sans m'appuyer! Je marche depuis à la maison sans cane. Même la nuit. Peut-être vacilant un peu, mais ça marche. Heureusement, je n'ai pas pu encore essayer dehors, ils ont refait le betton devant ma porte et je n'ai pas sortie. Il faut du temps au beton se renforcer et à mes genoux aussi.

3 commentaires:

  1. Merci Julie pour ce billet à la fois bucolique et plein d’espoir. la nature est belle et marcher au milieu d'elle est un grand moment toujours bénéfique.

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  2. Avec le printemps l'espoir renait, bonne chance.

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  3. Avec le printemps l'espoir renait, bonne chance.

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