J'avais tellement à réfléchir, comprendre, apprendre, après la journée si longue et pleine de Samedi.
Toutes les leçons ne sont pas encore tirées, il faut de temps.
Vous voyez dans cette note la différence entre mes photos et celle réalisée de moi, introduissant un atelier, par une autre. En tout cas, c'était sympa qu'elle a pensée d'en prendre de moi.
Tout parait "simple', mais obtenir un écran, trouver un podium et un microphone, déjà il fallait y travailler. Ceci, n'était pas fait par moi, mais j'y est participé, dans ces cas surtout disant que ceux qui tiennent l'atelier en ont besoin.
Tenir le microphone sans y penser, à la bonne distance pour que cela sonne bien, maintenant vient automatiquement. Quand on est dans une grande salle comme nous avons été, avec plus de 150 personnes, il faut penser à ceux qui sont tout derrière et qui doivent aussi entendre.
Certains, ont d'ailleurs préféré d'utiliser seulement leurs voix puissant et résonnant, demandant à ceux de loin de faire des signes si le son ne porte pas assez.
Je me suis habituée, à cause peut être de petit place souvent dans les cabarets et du micro qui enregistre dans le théatre près de canal, de ne pas bouger. Ou de bouger seulement avec raison spécial.
Maintenant, il faudrait experimenter a me déplacer un peu plus, de temps en temps.
Une fois, certains chose apprises et entrées dans nous, on n'y pense plus, mais il y en a toujours davantage à apprendre.
Des nouvelles défis m'attendent. On m'a donnée la possibilité de parler deux minutes à la conférence où je vais, convaincre les autres.
De quoi?
De mon message, probablement.
Je ne sais toujours pas bien que devrait être mon message principale.
"Jamais trop tard? "
"Il y a toujours plus à apprendre?"
"Osez, allez à la découverte des nouveaux experiences?"
Dis "oui" même quand tu n'es pas sure ne me parait pas une message assez important. Non plus à ce que je crois pourtant, la message de mon arrirèe grande mère "de tout mal quelque chose bonne sorte". Cela est vrai, mais passive. Attendre ne suffit pas.
Il faut saisir tout occasion à s'en sortir, à utiliser, à tester.
Freddie Danniels, disaait, que nous prenons une sagesse ancienne, et le présentons de notre manière nouvelle, ajoutant quelque chose personelle.
Trouver une "message" a raconter et une histoire avec, d'ici samedi, quelle souci!
En quoi je me suis mise de nouveau!
Pour le moment je me sens paniquée et je voudrais cacher ma tête dans le sable. Même ne pas aller à la conférence. Je vais quand même, y aller. Quelque chose en sortira. Probablement, quelque chose que je ne peux déviner du tout maintenant.
Fait un pas, vers ton but et l'aide arrivera. Oui, mais quel est mon but, maintenant?
Je vais tenir des ateliers "raconter des histoires" je voudrais que davantage comprennent leur importance mais surtout sachent mieux les raconter.
Comment puis-je la faire, quend souvent, je ne raconte pas si bien finalement, non plus?
Plus on apprend, plus on comprend combien il y encore.
Pour le moment, je me sens un peu perdue. Oui, je sais, je suis en bonne companie, cela doit arriver de temps en temps aussi à vous.
Coucou, chère Julie,
RépondreSupprimerJe passe te souhaiter une belle semaine et beaucoup de succès dans tes projets.
Doux bisous,
Sue
C'est compliqué tout ça Julie. Car en fait, le souci qui te tracasse te nourrit. Avoir toujours de nouvelles choses à apprendre, à partager, savoir comment mieux faire, progresser, tout ceci donne du sel à la vie. Un peu comme si la vie était un grand escalier et que chaque marche nous donne envie d'aller plus haut. Si nous nous arrêtons en disant "je suis fatiguée", "je n'ai plus envie", la marche suivante semble inaccessible et l'ennui s'installe, rester sur un palier n'a rien de passionnant. Je ne m’inquiète pas, tu vas trouver, je t'embrasse fort.
RépondreSupprimerMerci! Oui, je trouve toujours quelque chose, même si on ne voit toujours qui a-t-il autour du coin.
RépondreSupprimerEt c'est si vraie, ce qui me tracasse me nourit.