Expérimenter, communiquer, tâcher de vivre pleinement. Prouver a soi et aux autres, depuis dix ans déjà
jeudi 31 octobre 2013
Halloween ?
Cela fait mal quand j'écris et a la fin le iMac me dit: une erreur est survenu, essayer de nouveau. Pratiquement impossible de recréer ce que j'avais écrit.
Aussi dur que se souvenir bien des années passées.
Je parlais de 2005, d'après les photographies prises, comme celle-ci, dans une marchée des puces, et les gosses de la rue a Halloween, pleines d'autres, une année très pleine. Mais je ne m'en rappelle pas.
Notre mémoires ont des trous et sont curieux. Après la vie très 'sociale' vécu a. Londres, depuis 5 ans, la vie d'avant me parait 'grise' pourtant j'étais déjà si active!
mercredi 30 octobre 2013
Fleur de cactus, Los Angeles
Sinon autre chose, pour prouver que je suis encore assez alerte à presque 80 a voyager, apprendre, parler devant un public étranger.
Je continue à me prouver à moi même non seulement aux autres qu'il y a de la vie quand on devient "senior".
Chacun choisie la sienne, mais continuer à étudier et utiliser ce qu'on a appris et une bonne voie pour touos.
mardi 29 octobre 2013
j'ai osé
Comme j'ai osé de raconter des histoires, pendant mes deux minutes, au lieu d'obéir aux cadres proposées pendant la conférence.
Le résultot?
Je suis bien arrivée a Londres. Hier, trop fatiguée pour écrire, j'ai dormie toute l'après-midi et puis de nouveau la nuit.
Le résultat?
Le public a adoré, applaudi et rit à mon discours, interompu ainsi plusieurs fois. Certains m'ont dit je suis charismatique, j'étais très bien. D'autres, m'ont écrit: que c'était ton message? C'était que de toi. Qu'y a-t-il pour moi? Elle n'a rien compris ou était decu que je n'ai pas suivie le canvas la route proposée.
Pourtant, les autres ont si bien compris!
Jamais trop tard!
lundi 28 octobre 2013
2' grand succès
Je me suis préparée mais pas mot a mot. La dernière minute, j'ai modifiée en commençant comme j'avais projetée tout au début.
Je n'ai pas pu finir, dire 'tout' comme de début a la fin, l'audience a interrompu plusieurs fois applaudissant, criant 'oui', ce qui a écourtée bien sûre mes deux minutes. Je ne vais pas m'en plaindre. J'étais davantage applaudi que tous devant moi. Mais bien sûre, d'autres si drôles m'ont suivie!
Le plus important, l'une des femme est venu me dire: tu m'as inspirée, je n'ai plus peur de mes 48 ans.
dimanche 27 octobre 2013
Je parlerai seulement demain
Aujourd'hui, 18 ont raconte leurs projets 2' chacun. Demain viendra seulement mon tour, avec dix autres.
Que sera sera, mais je dois en couper encore. Il est trop long.
Ce matin la première fois je l'ai raconte a une copine en quartes minutes, puis en trois. Encore une minute a couper.
Deux minutes passent si rapidement.
En tout cas cela ne m'inquiète pas. J'ai tellement appris et comprise aujourd'hui.
Et je n'en ferai pas une problème, n'importe comment cela ira.
Que c'est dure des fois les huit heures de différences.
samedi 26 octobre 2013
Longue journée
Commencée 8h temps 'pacific' et fini a 11h du soir, je crois que en France est déjà matin.
J'ai appris pleine des choses, plus que je le croyais, même si tout n'est pas encore claire.
Quelle audience et qu'elle gens intéressants venus surtout de Amérique, amis aussi de l'Autralie, Suède et Canada. Plus des femmes que des hommes mais tous très intéressants et motivées.
Je suis trop fatigué d'écrire des détails ce soir (demain matin pour vous), mais demain je dois parler deux minutes.
Dur, dur. Et je ne suis pas encore décidée de quoi, même si je sais comment commencer. Et finir. Demain matin je vais me réveiller tôt pour y travailler.
Ils disent, Judy Carter a dit encore et encore, l'important n'est pas de avoir la confieNce mais le courage de le faire malgré les craints. Alors, je qualifie.
Quoi qu'il arrive, je ne vais pas en mourir, après tout. A demain.
vendredi 25 octobre 2013
Las Vegas airport
Palmiers, piscine regardée de la fenêtre de mon hôtel, tout près de parking de l'aéroport.
20° ou plus a l'arrivée.
Et ma liaison wifi marche.
Mon iPad n'a plus de jus, j'ai oubliée apporter le changeur pour prise.
J'espère en trouver.
2h métro, 2h attente, 12h vol, mais je suis bien arrivée et je vais tâcher de dormir.
Demain les trois jours des conférences commencent.
jeudi 24 octobre 2013
En route vers Holliwood
Je ne me suis pas laissée cette fois assez de temps d'aller nul part et tant mon hotel bonne marché que la réunion à laquelle j'assiste ce trouvent dans le périphérie de l'aéroport.
Arrivéé après 12 heures de voyage, plus si considére les deux heures jusque l'aéroport à Londres et deux heures dans l'aéroport, le lendemain les conférences commencent.
Trous jours de conférlences.
J'epsère, utilies.
Le lendemain, lundi, déjà départ et arrivée chez moi mardi après midi, longue voyage, rapide aller venir aussi.
Je ne sais si je pourrais me lier à l'internet, si possible, je vous écrirai, sionon, à mardi. Comme d'habitude, je ferais tout possible pour me connecter quand même!
mercredi 23 octobre 2013
Sortir, c'est mieux
J'étais recompensée par des photos que j'ai prise surtout à retour, tout près des trois l'immeubles où j'habite.
L'arbre, comme j'avais en France à Argenteuil, mais plus belle, plus développée. Il se trouve au coin de la rue presque mais déjà dans le cour près de mur du premier immeuble.
C'était au plus belle!
J'ai prise une dizaines de photos et je suis revenue "mieux" en oubliant un peu ma rhume. Bien sûre, la rhume n'était pas contante et un peu plus tard, il me la fait savoir, malgré tous les médicaments achetés hier et en plus ce matin.
Quand elle voudrait, elle partirai.
Demain c'est moi qui parte, peut-être, je réussirai de la laisser à Londres?
mardi 22 octobre 2013
Maintenant? J'ai attrappée une grippe
Mon nez coule sans arrêt, mon gorge heurte et je respire pas très facilement. Et je tousse.
Pas grave. J'espère. Cela passera.
La question est "quand"?
On peye pour tout. La Gouverneur de la Division voulait que je m'assoit à côté d'elle, au premier rang. Elle ne m'a pas dit que sa rhume n'était aps encore passée! Tu va m'aider, me conseiller, me dit-elle.
J'ai aussi attrapée sa rhume.
C'est ainsi que va la vie. Et dehors, il continue de pleuvoir doucement, juste un peu des éclaircies de temps en temps.
lundi 21 octobre 2013
Et maintenant?
J'avais tellement à réfléchir, comprendre, apprendre, après la journée si longue et pleine de Samedi.
Toutes les leçons ne sont pas encore tirées, il faut de temps.
Vous voyez dans cette note la différence entre mes photos et celle réalisée de moi, introduissant un atelier, par une autre. En tout cas, c'était sympa qu'elle a pensée d'en prendre de moi.
Tout parait "simple', mais obtenir un écran, trouver un podium et un microphone, déjà il fallait y travailler. Ceci, n'était pas fait par moi, mais j'y est participé, dans ces cas surtout disant que ceux qui tiennent l'atelier en ont besoin.
Tenir le microphone sans y penser, à la bonne distance pour que cela sonne bien, maintenant vient automatiquement. Quand on est dans une grande salle comme nous avons été, avec plus de 150 personnes, il faut penser à ceux qui sont tout derrière et qui doivent aussi entendre.
Certains, ont d'ailleurs préféré d'utiliser seulement leurs voix puissant et résonnant, demandant à ceux de loin de faire des signes si le son ne porte pas assez.
Je me suis habituée, à cause peut être de petit place souvent dans les cabarets et du micro qui enregistre dans le théatre près de canal, de ne pas bouger. Ou de bouger seulement avec raison spécial.
Maintenant, il faudrait experimenter a me déplacer un peu plus, de temps en temps.
Une fois, certains chose apprises et entrées dans nous, on n'y pense plus, mais il y en a toujours davantage à apprendre.
Des nouvelles défis m'attendent. On m'a donnée la possibilité de parler deux minutes à la conférence où je vais, convaincre les autres.
De quoi?
De mon message, probablement.
Je ne sais toujours pas bien que devrait être mon message principale.
"Jamais trop tard? "
"Il y a toujours plus à apprendre?"
"Osez, allez à la découverte des nouveaux experiences?"
Dis "oui" même quand tu n'es pas sure ne me parait pas une message assez important. Non plus à ce que je crois pourtant, la message de mon arrirèe grande mère "de tout mal quelque chose bonne sorte". Cela est vrai, mais passive. Attendre ne suffit pas.
Il faut saisir tout occasion à s'en sortir, à utiliser, à tester.
Freddie Danniels, disaait, que nous prenons une sagesse ancienne, et le présentons de notre manière nouvelle, ajoutant quelque chose personelle.
Trouver une "message" a raconter et une histoire avec, d'ici samedi, quelle souci!
En quoi je me suis mise de nouveau!
Pour le moment je me sens paniquée et je voudrais cacher ma tête dans le sable. Même ne pas aller à la conférence. Je vais quand même, y aller. Quelque chose en sortira. Probablement, quelque chose que je ne peux déviner du tout maintenant.
Fait un pas, vers ton but et l'aide arrivera. Oui, mais quel est mon but, maintenant?
Je vais tenir des ateliers "raconter des histoires" je voudrais que davantage comprennent leur importance mais surtout sachent mieux les raconter.
Comment puis-je la faire, quend souvent, je ne raconte pas si bien finalement, non plus?
Plus on apprend, plus on comprend combien il y encore.
Pour le moment, je me sens un peu perdue. Oui, je sais, je suis en bonne companie, cela doit arriver de temps en temps aussi à vous.
dimanche 20 octobre 2013
Le message de Freddie
La salle était bondée, notre publicité jour a jour, celui de David Marks et moi, a porté ses fruit.
L'après midi, je me suis distraite bien, des discours humoristiques et réponse ad hoc ensuite à: Si l'amour est le réponse, quelle est la question selon vous?
Amour, (aimons les uns les autres?) (amour pour ceux autour?) amour pour se réproduire, je suis un biologiste, a dit, celui qui a gagné. Non pas pour sa franchise et parler franc, mais quelle énergie et humour aussi!
Les deux qui ont gagné, photographiés par moi. Oui, j'ai aussi fait plusieurs dizaines des photos.
Le matin, avec les deux discours de ceux de television et 4 lectures ateliers, j'ai appris que faire et que pas faire.
Montrer ce qu'on ne doit pas faire à la télé, amusant et on va s'en souvenir. Le directeur de télé était le premier a parler, et il nous a montré et expliqué les consequences de sortir le bras du cadre...
J'avais entendu souvent dire que l'audience peut ressentir quand quelqu'un parle de soi longtemps sans l'apporter dans son histoire, "et alors? en quoi cela me concerne"? Cette fois, avec une reportère TV parlant plus de deux fois qu'elle aurait due et seulement de ses réussites, j'ai compris que ne jamais faire. Elle a réussi rendre, un sujet intéressant, ennuyeuse. Dans nos pensés "quand finirait-elle enfin?"
Actrice d'abord, ses mouvements étaient gracieuse, mais "et alors" ?
Ensuite, nous avons eu deux vrais atelier en paralel, un sur comment se préparer son corps avant paraitre en public, faire taire des anciens peurs de notre corps et entrer en contact avec soi d'abord, faire une pause pour se rappeller ce qu'on veut passer, puis entrer en contact avec les autres avant parler déjà L'aute, aussi sur la voix et corps à préparer avant parler et en commencant, je n'ai pas pu assister,
Après cela, c'était moi qui a introduit, Joanna, qui nous a parlé des récits. Elle nous a démontré, en nous faisant raconter les uns aux autres, que nous avons tous un récit en nous. J'aurais préféré qu'elle nous explique ce que le récit de celui qu'elle avait invité raconter avait du bon ou qu'on pouvait changer et que celui-ci raconte plus courte, pour nous donner la possibilité de plus apprendre et participer. Néamoins, j'espère, que elle aura plus des raconteurs et audience et nous davantage aller dehors raconter.
Le matinée s'était terminée avec un seminaire brillante de notre Freddie Daniels sur les 7 sugestions tirés d'avoir regardé les champions de discours a plusieurs occasions.
Et une photographie du fin, vers 4 heures et demie. Je suis partie de chez moi a 7 heures pour arranger et aider. Déjà certains de l'équipe était là! Revenant, je me suis occupée des photos, il était minuit quand je me suis arrétée.
J'avais déjà écouté Freddie parler, tenir des lectures, mais il s'est dépassée lui même. Nous en sommes sorties avec pleines appris, a reflechir, et, tout à fait selon "spirit of Smedley" le message final. Plus important que les trophés et de toucher la vie de quelqu'un. Faire une différence par ce que votre récit dit, ce que votre experience enseigne.
Combien c'est vraie! Si on réussi à aider quelqu'un en passant notre experience à travers un récit et message qu'il contient, tout vaut la peine.
samedi 19 octobre 2013
Steven a gagné le concours Humouristique
Steven avait été deux fois chez moi et nous avons travaillé ensemble, après qu'il a gagné dans le club le concours.
Il est drole et inventive et sérieux.
En plus, il m'a écouté et il a ajouté de message à son discours, et il a coupé des parties qui ne marchaient pas.
Il a gagné le Area, avec 5 clubs et contestants, puis cette semaine, le Division, avec 5 areas.
Je sans comme si c'était un peu moi qui aurais gagné. Je ne suis pas bien dans les concours et je ne les aimes pas, mais j'ai le talent ou experience de conseiller. C'est une grande joie quand cela marche bien.
Aujourd'hui, une longue journée des concours et ateliers, ces dernières organisés par moi. Et en plus, je dois introduire l'un d'entre eux.
vendredi 18 octobre 2013
Souvenirs reviennent
Une façon de rendre plus saine est bouger, dancer.
A Glasgow, le troupe Regeneration, par classes de ballet, et j'ai prise des images quand j'étais à Ayr, ils sont venus tenir un atelier là.
Ce matin, soudain, je les vois sur les nouvelles de télévision. Je me souviens quelle plaisir elles prennent à danser. Je me souviens, quelle plaisir je prenais à 15 ans de danser dans le salon pendant que maman jouait au piano le bleu danube.
Danser, non seulement bouge le corps et aide a se tenir moins courbaturée, mais élève l'esprit.
Pour moi, déjà avoir sortie hier, faire des courses avec mon fils, le temps dehors était idéale, tiède, était une plaisir spéciale que je dois répéter davantage.
jeudi 17 octobre 2013
Réunion fantastique
pas mal d'entre nous n'a pas assisté à la réunion de "contest" et venu dans le club, en plus avec 5 ou 6 visiteurs, dont certains été assez enthousiaste aussi et devenus memberes de notre club
tous ont pu parler er participer, c'était aussi en bonne atmoshpère, je suis contante comment ce club de Lewisham se développe!
Je suis revenue pleine d'étnergie!
mercredi 16 octobre 2013
Mes 7 vies
J'ai contemplée et écrite de mes sept vies.
La vie qui était bouleversée d'abord a mes 10 ans en Hongrie, quand après s'était cachée une année et survécue avec papa et maman, je reviens et me rends compte que Judith, ma copine et cousin et meilleure amie, ne reviendra jamais de Auschwitz. Je reste seule, en plus ma ville devenue Roumain, je dois refarie une nouvelle vie.
J'ai appris combien la vie était précieause.
J'ai appris qu'il faut s'enfuire avec presque rien. J'appris de survivre.
Il a fallu longtemps à ne pas me sentir coupable et me rendre compte que pendant que nous étions ensemble, j'ai fait tout ce que j'avais pu. Mais j'ai compté ma vie, comme "une année plus que Judith a vécu" ou "dix année de plus qu'elle" depuis.
Malgré qu'on ne m'a pas laissée suivre l'université, je travail dès l'âge de 18 ans et en même temps continue d'étudier des livres, dédiant les prochaines six années a travailler et étudier. Examen après examen, année après année. Puis, a 25 ans, ma vie est bouleversé tout en tout de nouveau. Ma rencontre, avant obtenir mon diplome d'ingineurs chimiste, avec Elena Ceusescu, en trois minute détruit encore une fois ma vie. Interdit de tout travail et tout études, comme ennemie de peuple...
Je deviens femme, j'étudie français, puis anglais. Ensuite, je me marie et une année plus tard, sort de la Roumanie Communiste, avec un bébé caché dans mon ventre.
J'ai appris que on peut survivre de voir sa vie détruit et en construire une nouvelle. Meilleure.
Nouvelle vie dans des pays libres. Hélas, a 33 je découvre la violence domestique, tyranie a la maison. Ce n'est que passée 40 que je me libère tout a fait, mais entre temps, j'ai étudiée et comme j'ai voulu restée avec mes deux fantastiques enfants qui m'ont apportés tant des jois dans ma vie.
J'ai appris que dès qu'on fait le premier pas, de aide peut arriver. On ne reste pas a terre infiniment. J'ai aussi appris que les études peuvent m'aider à m'en sortir.
Je ne me séparte que a 41 ans, puis deux ans plus tard, 15 ans après avoir été interdit de finir mes études, j'obtiens un doctorat a Paris et, pour m'éloigner de mon ex, je pars en Amérique avec les deux enfants. Une nouvelle vie, nouvelles chances, nouvelles réussites et rencontres. Pas si facile que parait de loin mais j'étais concient que c'est fantastique. Je n'ai pu rester là, non plus. Après trois ans seulement, je dois recontruire une nouvelle vie de nouveau.
Paris, changer de métirer. Fonder une entreprise. Tomber amoureuse. Ecrire un livre, puis un deuxième devenu bestseller.
Ayant courage, disant oui, à ce qui venait, j'ai eu une vie nouvelle encore, un métier différent aussi.
Rencontrer "lui" - je le croyais. 15 ans plus tard, a 70 ans je me trouve seule, et je commence à flaner Paris avec mon camera et publier mon blog matin après matin.
J'ai vécu chaque "vie" nouvelle en pleine, sans jamais oublier à compter mes années de survie.
La dernière, 7e (pour le moment) vie commence à mon arrivée à Londres. Raconter des récits de ma vie, faire de comédie dans mon 4e langue.
J'ai eu une "vie interessante", de quoi raconter, même si a chaque fois que c'était détruit et j'ai du recontruire, ce n'était pas facile. Maintenant, je dois trouver s'il y a un point commun ou je dois tirer une lecon différent de chaque fois que j'ai rebondis.
J'ai encore dix jours de déterminer aussi ce que je vais raconter pendant 2 minutes...
mardi 15 octobre 2013
Longue journée
Ce n'était pas vraiment "enterrement" puisque c'était une crémation et ce n'était pas raiment un "crémation" puisque nous avons dû partir avec que cela a vraiment lieu, allant à la place se ressembler, pour encore une fois, dans l'église de coin de rue.
Surtout des vieux hommes et femmes, peu des jeunes, c'était un jour de travail.
A l'église de coin, des petit "amouse geule" nous attendaient et des biscuits gateaux et café ou thé. Et discussions.
Entre temps, mes photos (Margo avec divers chapeaux) étaient projetés sur écran. Margo souriant, tel qu'on veut se la rappeller.
Je suis revenu vers midi chez moi, triste et prenant photo des fleurs et des feuilles remplis des gouttes d'eau, autant des larmes qui n'étaient que l'intérieur de moi.
J'ai prise tellement des photos dans le jardin qu'elle aimait et soignait tellement! (Et eu presque 7000 visites hier).
Après-midi, j'ai mise les photos sur Flickr. Je ne suis pas allée à l'hopital pour controle, comme c'était prévu. Ca va, merci.
Le soir, tôt, centre Londres, dans le club français pour raconter mon récit de Nez. Je me suis rendu compte que ce n'est pas aussi français que cela. Certains, n'ont pas comprise un seul mot, d'autres peu, ce n'est que moitié ou moins qui ont comprise mon récit.
La prochaine fois, je doit dire peu, lentement, et la "jouer" beaucoup plus, comme pour une groupe qui apprend seulement. Dommage
Et bien sure, dans son appréciation, la vraie française a remarqué que mon français n'est pas 100% correct. Mais aussi, que je n'ai pas changé la voix assez dans les dialogues: je la ferais mieux la prochaine fois.
J'étais un peu triste: pas des rires là ou je l'espérais, était-ce parce que c'était pas très bien comprise? toutefois, un bon début en français, à suivre.
Sans attendre la fin, je me précipite dans le club de comédie, une soirée spéciale où on interromp les comédiens. Je voulais savoir comment je vais réussir en face des intérruptions.
J'étais quand même avantagée, la plupart des présents me connaissaient et ont été relativement sympa dans leurs intérruption, mais en plus "très bien julie" j'ai réussi à trouver des bonnes réponses instantanées.
Je suis revenue chez moi, tard le soir, en bonne humeur. Finalement, la journée c'est bien terminée.
Pour moi. Margo entre temps brulée, en poussière, non! Elle va rester en nous..
Et moi, continuer mon chemin. Apprendre des nouvelles choses, experimenter, tant que je peux.
lundi 14 octobre 2013
Un moment dans la vie
Photo superb, ajoutee il y a 8 minutes par Claudio Tizzani de flickr.
Noir et blanc, parait simple. Mais non seulement intéressante mais prise 'au moment décisive'.
Longue journée en perspective pour moi.
Il commence par un enterrement. Même si Margo ma voisine? va être brûlée et pas enterrée. Je ne peut pas encore l'imaginer autrement que vivant et me souriant.
Le soir, raconter l'histoire de mon nez, écouter les autres. Pour finir, dans un club de comédie avec des gens incitées ce soir spécialement a interrompre. Probablement, même si symboliquement, un autre enterrement. Mais j'avais décidée depuis longtemps a me tester: comment je résiste dans des occasions pareilles.
Bien sur, je ne savais pas que cela va coïncider avec discours et en plus, enterrement.
Vivement, demain!
D'ici la, longue journée et, en plus, il pleut. Mais la plus importante: moi, je suis encore la. Presque 70 ans après que ma chère cousine a été brûlée a Auschwitz.
Oui, je compte encore des années avec lesquelles j'ai survécu a elle, toujours pas en paix du fait qu'on ne la pas laissée vivre et même arriver avoir dix ans.
Ma force de vivre pleinement, souvent viennent d'elle. De profiter, ce que moi, j'ai. Grace a mes parents prévoyants. Et notre fuit a temps. Nos papiers venant d'une autre famille.
Et même de l'instinct de maman, refusant avec obstination un soir de partir de sa cousine vers un pension, avent retrouver sa bague de fiançailles. Le lendemain, la bague retrouvée mais mes parents ont lu dans le journal de l'arrestations effectuées cette nuit-lá dans le même pension vers où on s'apprêtait de déménager.
Que des moments, pas encore racontées de l'année entière de nos tribulations, a mes dix a onze ans!
dimanche 13 octobre 2013
Il pleut
Cela passera aussi, un jour.
Ce matin, écoutant des suggestions des 'champions' et ceux qui donnent des discours professionnelles, dans entreprises et associations, j'ai eu le plaisir de constater, que certains de leurs formules je les utilise déjà.
Appris des livres ou instinctivement, ressentant ce qui marchera mieux.
Au début, je commençais mon numéro comique disant mon âge puis me demandant, ce que je fais ici, moi qui a peine peut me tenir sur les jambes.
Maintenant, j'avais transformé déjà plusieurs fois, disant 'je sais ce que vous vous dites: que' est-ce qu'elle fait ici'. En fait cela est plutôt, traduit en français polie: que diable fait-elle a son âge dans ce merde?
Enfin...
Une autre moyen est de commencer une histoire ancienne et la finir devant l'audience, l'actualiser. Je la réalisais depuis deux ans, disant de ma fille: 'mais elle n'est pas ici!' Mais aussi dans mon récit de guerre, finissant avec mon petit fils tenant ma main revenant de l'école ensemble.
Il y a encore beaucoup a apprendre!
A chaque fois, on monte vers une autre niveau. Demain soir, je vais non seulement raconter mon premier récit en français, mais ensuite aller devant une audience qui est supposée de m'interrompre, pour voir comment je réussi a leur répondre, sur le moment.
Pluie ou non, un jour bien rempli demain.
samedi 12 octobre 2013
Créer un livre 'ebook' ?
Il faut seulement...
Apprendre comment. Peut être même, réaliser, quoi acheter pour s'aider. Où et comment la publier.
L'idée, semble tout simple. Attractive. Au lieu de imprimer et payer pour chaque livre, créer des livres qu'on peut lire - gratuit ou payant - a travers le web.
Tout simple, ils vous disent.
Aie! Ce n'est pas si simple qu'on le disent.
Vous pouvez même ajouter des sons et des video, avec bien sure vos images et textes, ils disent.
Aie! Ce n'est pas si simple qu'on le disent.
D'abord, apprendre les formats, et comment convertir au format acceptée. Vous n'avez qu'á... Mais il ne marche que sur mac pas sur ipad. Et pour le rendre plus 'facile' faut appendre (et acheter) un logiciel complexe et cher.
Aie! Ce n'est pas si simple qu'on le disent.
Mais c'est si attractive!
Pour le moment, on peut lire des livres crées ainsi, même des livres sur comment les créer. Magnifiques exemples, me faisant rêver.
Un jour, moi aussi...
vendredi 11 octobre 2013
Eugen, n'est plus
On va enterrer ma voisine, Margo (en fait incinerrer) Lundi, et loin d'ici, à Bucarest, on va enterrer Eugen, l'academicien.
Pour moi, ce n'est pas ce vieux sombre et maladive, mais un beau jeune garçon, violoniste et chimiste, avec des cheuveux noirs épais, et des mains marodeurs.
Nous étions amis, et discutions des pleines des choses, nous avions 20 puis 23 ans.
Un jour, nous discutions sur le veranda et il me caraissait, pas si mal! Maman nous a vu et nous avons du sortir. Avant partir, sur le pas de porte pas encore ouverte, près de ma chambre, il m'a soudain embrassé.
C'était mon tout premier baiser. J'avais 23 ans.
Il ne le savait pas et il n'avait pas été tendre. J'ai n'ai ressentie que mauvais odeur de cigarette et intrusion soudain de sa langue.
Non!
Malgré cela, "oublié" par tous les deux, nous avons restés amis, rien d'autre. Et quelques semaine après, j'ai trouvé un garçon qui a su me préparer lentement, doucement, pour ensuite échanger des baiser passionés. Rien d'autre, avec lui non plus, parce que finalement, il s'est embrassé aussi avec une de mes "amies". Il voulait davantage et moi, j'aurais voulu permanent.
Eugen a resté copain à travers ceci et ce qui a suivie, le "grand amour" avec mon prochaine, le premier amoureux, le futur mari. Plus tard.
J'ai rencontré Eugen, à Gif sur Yvette, à Paris, il y a 20 ans peut être, nous avons discuté d'une chose ou autre, toujours avec affection et respect l'un vers l'autre.
Il s'était toujours resté avec respect et bonnes souvenirs envers de la jeune fille sérieuse et studieuse que j'avais été.
On va l'enterrer la semaine prochaine. Encore une partie de ma jeunesse partie.
jeudi 10 octobre 2013
Mardi soir, ce soir
Ce soir, un peu moins des gens et le plaisir de voir l'un que j'ai aidé à se préparer, gagner!
Il m'a écouté et modifié, en y mettant bien sûre beaucuop de ses propres idées.
L'autre, que j'ai aussi aidée, ne m'a pas écoutée et n'a meme était placé entre les premières trois. Je ne peux faire autre que conseiller.
Dans la photo, le groupe ayant contribué hier, pas aujourd'hui pour que la réunion a lieu. Maintenant, plein feu à préparer mon premier discours récit pour lundi soir.
mercredi 9 octobre 2013
Ne raconte pas: montre
Au lieu d'une longue description, narration, introduction, saute au milieu de ce qui arrive et montre-le. Apportant le lecteur ou auditeur, l'audience, avec toi, au milieu.
Ne dis pas tout, laisse ajouter sa façon de l'imaginer, compléter: il va se sentir davantage dedans.
Un dialogue, rend plus vivant.
Utilise divers sens, pas seulement laisser 'voir' et 'entendre', mais aussi sentir, et bouger avec. On en sortira, comme une expérience vécu.
Comment transformer mon récit de lundi pour apporter davantage l'audience dedans?
La réunion de hier était un succès. Ouf. Peut-être même quelque chose intéressante en sortira. Des nouvelles connections, un pas en avant!
mardi 8 octobre 2013
Darren Lecture Freddie introduit
Oui, j'ai aidé beaucoup à organiser l'évenement, trouvé le lieux, aider établiir le sujet et trouvé le club qui va s'en occuper, conseillée son président.
Ensuite, à ma place, j'ai invité Freddie, le Gouverneur de Toastmasters de Rayome Unis et Ireland, de l'année dernière, de l'introduire.
Deux homme avec "stature" l'un aidant l'autre.
J'espère que tous les deux seront contents. J'eu l'impression jeudi, que Darren voulait de moi des choses que je ne pouvais lui offrir. Vendre ses produits, l'inviter a diner.
Chacun de nous, peut offrir ou faire que "tant" et ceci ou cela mais pas autre chose.
Je suis convaincue que nous avons tous appris et allons apprendre de ce soir, partir avec quelque chose de positive. Des fois d'ailleurs, une idée, une impression suffit.
Pour moi, c'était déjà une experience, et aussi pour ceux qui l'organisent. Le reste, je pourrais en écrire un peu demain.
lundi 7 octobre 2013
L'automne est arrivéé près de moi
L'automne est arrivée avec son temps changeant, d'un jour à autre, d'une heure à l'autre.
Je ne suis pas encore allée au forêt, mais ce matin je vais à l'hopital faire changer mon pansement.
Cela parait aller beaucoup mieux que la dernière fois, je crois que de nouveau j'ai fait une montagne d'un... comment va la fin? Toutefois, c'est assez frais pour mettre un pull ou quelque chose similaire.
J'ai encore une heure avant partir. Je prendrais l'appareil photo avec moi, prendre quelques autres images.
Et voilà, une des images prise ce matin dans le cour de l'hôpital.
D'après moi, en tout cas, une feille mulitcolorée par terre dit autant que des forêts remplis des arbres jaunis. Et surtout, disons-le franchement, plus facile a photographier avec mon petit appareil.
Mais les feuilles pas tombées encore, s'accrochant, parlent aussi. Peut-être, même davantage.
dimanche 6 octobre 2013
Les français (et anglais)
"Les français ne voient pas la monde toujours comme nous. Hélas. Apprenez leurs opinion, en anglais.
Venez écouter ce qu'ils pensent à France 24".
Ecrit sur ce taxi de Londres!
Une journée plaine, de quoi apprendre, regarder et écouter. Je suis même allée sur la stage pour illustrer "comment surprendre et faire rire" et oui, ils ont ris plusieurs fois. Rencontré pleine des gens déjà connus, c'est bien de les avoir tous ensemble. J'ai prise des bonne contacts.
C'est en sortant que j'ai prise plusieurs images sur les environs, très tranquille le Samedi après-midi.
Des imeubles modernes, curieux mais beau.
Voilà une entrée des bureaux modernes. Et l'un truc qui je crois ne sert à rien spécial autre que regarder.
Inclinée, comme le tour de Pisa, mais pas si haute.
Aujourd'hui, à la maison. Peut-être je sortirai un peu: il fait très beau.
samedi 5 octobre 2013
Darren LaCroix et Katja van Koten
Réunion centre Londres et visite de Darren, venant directement de Las Vegas, au club que je lui avais trouvée. Très bonne accueil par le club, et son présidente Katja.
Je suis revenue pourtant bouche amère : l'impression que lui, attendait en plus qu'on l'invite diner, qu'on achète des produits qu'il vende. Assez chers, pour la plupart de nous.
Vendredi, j'ai eu la visite de mon fils!
Le soir, je vais dans un club pas si loin, mais les bus tardent a arriver. Ensuite, je me rende compte: j'ai oubliée prendre avec moi l'adresse, le nom de pub, et les rues qui mènent vers lui.
Heureusement, je me suis rappelée le nom de la station où je devais descendre. Et ensuite, le nom du pub. Je demande une jeune femme sur la rue.
— Moi aussi, j'y vais ! Me dit-elle.
C'était de bon augure.
Sur la route nous avons discutées et j'avais déjà l'impression: j'ai déjà une amie dans l'audience. Elle est venue étudier de loin, de Amérique ! Et oui, elle savait le chemin.
Je suis arrivée entre les première et on m'a mise la troisième a paraître. Pas trop de audience, une vingtaine ou trentaine, mais sympathique, de tous les âges.
Ils ont rit, même avant que j'entre sur la scène, mais ils ont rit dix minutes solide, fort, sans s'arrêter presque à mes récits, lignes, grimaces.
Que de plaisir!
Je me suis rendu compte de nouveau, a cette 75e parution sur stage de comédie pourquoi je le fais. Faire rire fort, faire rire longtemps, faire rire souvent, quelle joie!
Tu es si bonne! Tu es tellement drôle! J'ai vraiment aimé. Plusieurs m'ont arrêtée dans le pause pour me le dire.
Je suis revenue chez moi, pleine de courage.
jeudi 3 octobre 2013
L'artisan
Premièrement, je me suis achetée une barquette des framboise. Miam! Hélas, trop vite consomé par la suite.
Ensuite, je suis entrée dans une boutique de charité: je voulais m'offrir encore quelque chose. En regardât, je vois, chaque livre ne coûte que 50 cents. Je regards, me choisie quatre.
La première, une romance léger vite consolée, m'aidant de passer les premières heures sans médicaments, oubliant l'hôpital, infirmières, suites.
La deuxième, pris par hasard une grande magnifique surprise. Richard Sennet, the Craftsman, l'artisan. J'avais vite regardée avant l'acheter, feuilletée des la première jour, mais ce n'est que tôt ce matin que j'ai commencée a m'y identifier, retrouver et justifier comment je travaille.
Je suis, moi aussi, un Artisan!
La plupart entre nous en est, d'après son définition.
Travaillant avec persistance et passion. S'améliorant avec temps, non seulement par pratique mais en pensant de ce qu'on fait, comment et en ajoutant des nouvelles défis au fur et a la mesure de nos progrès. Le faisant sans un plan établie d'abord par une comité, en tâtonnât souvent, en l'améliorant sans cesse.
Beaucoup d'autre de ce qu'il écrit, résonne en moi. Et ce n'est que une 50ene des pages lus encore!
Des réflexions de profondeurs, sur ancien artisans et métiers, des nouvelles aussi, aussi divers que le tisseuses que les musiciens, les programmeurs ou les docteurs. La plaisir de bon travail accomplie dans laquelle l'initiative se ajoute a collaboration, en ouverture aussi.
Sennet fait des analyse de profondeur pour justifier, l'importance de permettre a travail comme l'artisan le faisait, fière du produit et de sa qualité, sans perfectionnisme pour autant, sachant qu'il doit s'améliorer sans cesse.
mercredi 2 octobre 2013
Hospital corridor
Aller à l'hôpital n'est jamais aussi mauvais qu'on pensait, enfin jusque cela ne devienne trop sérieux.
Hier, j'étais la première en ligne et relativement vite fini avec l'intervention. C'était juste les trois picqures de début que j'ai sentie, de toute façon.
Ce n'est que après j'ai eu le choc, quand la doctoresse m'expliquand dans la cabine, ou était-t-elle infirmière après l'intervention, m'a dit: Vous êtes chanceuse!
- Pourquoi, j'ai de la chance?
- Il y en a tellement qui attendent leur tour...
Je n'ai pas répondu, trop choquée, que avoir un cancer de peau depuis des années n'est pas une grande chance, et être soingnée à temps pour que cela ne se généralise pas, est plutôt normal qu'une chance.
Heureusement, pas tous de l'hôpital pensent ainsi et heureusement, elle n"est pas mon docteur principale.
J'ai eu une nuit bonne, même si j'ai rêvé beaucoup plus que d'habitude et je sens, mais juste légèrement la place qu'on a traitée.
J'avais 33 ans la première fois quand on me l'a dit, et j'ai dû aller régulièrement la faire voir, j'étais exposée au soleil et rayons ulitraviotes trop dans mon adolescence et jeunesse et j'ai le peau sensible des ceux avec des tâches de rousseur.
Le soleil et bronzer et excellent, avec attantion néamoins. Je suis prête ce matin de continuer organizer les réunions.
Ce jeudi, le mardi suivante, nous aurons deux que j'avais inspirée et aidée à se réaliser, dites moi "merde"...
mardi 1 octobre 2013
70 Things To Do After 70
Le livre est arrivée, paru il y a quelques jours.
70 choses a faire après 70 ans.
J'avais été demandée d'y contribuer vers janvier, je suppose, a cause du titre de ce blog, ou de l'article de deux page dans un journal anglais. Mon essai de trois pages a passée par divers version. J'y figure en 27e, vers la fin de première partie, vivre pleinement. Titre: jamais trop tard. Never too late, en anglais.
Après moi, une écrivaine poète noir, citée et puis.. MarkTwain. Le reste, bien sur sont des personnes vivants.
J'avais peur que le livre deviendra une lecture difficile, 'essaie' mais en fait je suis ravie. C'est captivante, dans les plupart de cas, et je suis aussi ravie combien entre nous conclu que vivre après 70 ans est rendu plus facile par le fait qu'on ne se soucie plus des ce qu'on en dira, qu'on agit davantage avec esprit courageuse et curieuse d'un enfant.
En fait, après 70 ans, disent pas mal, on devient plus creative!
Créativité nécessite de temps. Nous en avons. Créativité nécessite courage d'opinion. Nous en avons. Créativité necessite regarder plus en profondeur, au delà de surface. Nous avons expérience et en plus, davantage de courage de s'ouvrir, se dévoiler.
Je suis heureuse d'avoir pu contribuer a ce livre, écrit par beaucoup, chacun avec son expérience et opinion, et assez fière de façon que mon article a tournée et figure dedans. En fait, montrant: il y a de la vie après 70 ans.
Photo, livre, avec images des temps passées: moi a 3 ans, a 14 ans, a 27 ans, et a 70, des temps importants de ma vie. Non, je n'écris pas de tout cela dans les quelques lignes, mais je commence par: a 40 ans on m'a dit je suis trop vieille aller danser, a 50 ans je dansait de nouveau. A 60 ans, j'étais la plus jeune retraitée dans le club, a 70 ans, j'ai du reconnaître: dorénavant je suis 'senior'. De la troisième âge.
Je vais tâcher, plus tard, a traduire le reste et raconter ce que j'ai apprise des autres aussi. Le plus important, me rendre compte que je ne suis pas seule a vivre en pleinement ces années.