Hier, j'ai eu une des productrices aa 9 arrive le matin a 9. Décisions: quelle jupe mettre? Quelle jacquet ou non?
Prends aussi ton manteaux chaude, me dit-elle, combien elle a eu raison! C'était un jour ensoleillé avec dents et vent froid.
Demi heure plus tard, un limousine arrive nous prendre au point de rendez-vous. Taxi spécial entreprises. Chez Paul, un café et chausson au pomme pour me renforcer.
Aller dans le parc de tournage, centre Londres. Tout autour des magnifique immeubles, à visiter une autre fois.
Le soleil est là, hélas aussi un fort vent très froid. Et pleine des gens pour un petit tournage.
Le directeur du filmage anglais et l'opérateur de vidéo, camera Canon, hongrois. Ma copine, productrice de Canal Cafe Theatre, trois jeunes femmes travaillant pour la compagnie de Whisky, en divers capacités.
Et moi. La "vedette" de ce jour. Plutôt, celle qui doit travailler le plus... de temps.
Pendant que les deux plus responsable de tournage testaient la place, le banc, le camera et la lumière, vis a vis, sur une
autre banc on me maquille. MMM, c'était agréable.
Au naturelle, mais avec un fond de teint bien couvrant...
Pour finir, une petite branche tombe sur moi, et un oiseau me baptise...
Nous commençons. Première prise, deuxième prise, troisième prise... cinquième prise, ensuite je n'ai même plus écouté.
Encore une, encore une. Ainsi de suite.
Divers versions, le récit en partie, le récit ensemble, le récit écourté, le récit sans mentionner ceci ou en ajoutant cela.
Vers une heure pause déjeuner chez Paul, avec discussions préparant encore d'autres versions. Je ressens soudain la fatigue. Tel énergie dépensé pour raconter encore... en regardant là et pas la, et tout cela surtout au camera et pas au gens.
Vers deux heures, presque a la fin du tournage, un gardien gros arrive: "avez vous le droit de tourner ici?
Oui, le papier était avec la productrice. C'est pour tout le quartier, pas seulement ce parc. Le parc est dans le quartier.
Il faut la déposer chez nous!
Voilà, vous pouvez prendre celle-ci.
"Nous sommes fermés maintenant!"
C'était la partie la plus comique de la journée!
Nous avons pu finir quand même, et a la fin, enfin, on m'a filmé, mais sans son, en marchant, en discutant, les yeux, de près, de loin, en gesticulant, que vont-ils fait avec tout cela?
Finalement, mon récit est environ 8 minutes, en trois partis et ils doivent réduire le tout a exactement cinq!
On m'a renvoyé chez moi, dans un taxi élégante, avec un chauffeur original de Kossovo, une agréable discussion sur la route. Mais très très déprimée.
Pas du tout contente de comment j'ai fait, je n'ai pas réussi d'être assez chaude et naturelle comme avec de l'audience.
Chez moi, j'ouvre l'ordinateur et je trouve une lettre chaleureuse et charmante d'une jeune fille de 18 ans ayant tombé par hasard sur ce que j'ai écrite en Retro blog quand j'étais jeune fille. Elle a trouvé un écho avec sa propre vie. Quelle joie!
Ensuite, j'ai eu la joie de dialogue avec ma copine et lectrice de blog de France, a travers le web, et même mon fils qui est passé dans un coup de vent m'apportant de nourriture!
La vie est belle!
On peut toujours faire mieux, mais on fait ce qu'on peut. Je viens avoir une lettre me remerciant de la patience, concentration et travaille déposé. Le plus important est de continuer le contact et peut être, même réussir a faire des séminaires enseignant "storytelling" comment préparer, apprendre et raconter des histoires. Si cela se fait, grâce a une discussion dans le taxi qui nous a emporté vers le centre Londres, ma journée est un net victoire.
Et, oui, je dois m'exercer a parler davantage seulement au caméra... et à me "mettre dans le moment" oubliant le froid, les gens, tout le reste.
Souvent on pense ne pas avoir été à la hauteur, mais le résultat est très bon. Aurez-vous l'occasion de voir ce film?
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