Ceci est l'imeuble, relativement moderne de Royal Festival Hall, il y a toujours quelque chose nouveau à y voir, soit à l'intérieur soit à l'extérieur.
Mais aussi, on peut regarder dehors du balcon, sur la Tamise, le big Ben et le Parlement etc.
S'assoir et bavarder.
Nous y sommes allées jeudis avec Giselle et Pierre, Gelzy du blog Mots et Couleurs.
Cette fois, il y avait une construction faite a partir des poèmes sur la liberté, par ceux qui ont vécus dans des pays où la liberté d'écrire et de publier n'existe pas.
J'espère que cette note restera. Ne disparaitra pas.
Une de mes photos avec les lettres, vient d'être publié dans un journal anglais "The Londonist" a qui j'ai donné la droit, en mettant l'image dans son group flickr. C'est celle-ci.
Je ne pourrai jamais refaire la note perdu, exprimant tous les plaisirs que nous avions eu jeudi ensemble. Se promenant centre Londres un peu, admirant ce qu'on a trovué, s'asseyant et bavardant, au musée ensuite, et encore une fois, dans un café. Parlant de moi et parlant d'eux et de nos plaisirs de interagir avec le public.
Pierre m'a dit: une fois qu'il commencent à rire, ensuite, ils ris de n'importe quoi tu dis! Expérience et sagesse. Ils comprennent profondément ce que je fais et pourquoi. Tous les deux, de leur côté le font depuis fort longtemps, à leur façon.
Gelzy avec des contes et Pierre avec des émissions scientifiques, et ensemble, avec l'orgue de barbarie et en chantant.
Subitement, la distance entre la petite village au dessus de Grenoble et mon banlieu de Londres s'était réduit. Chacun de nous comprenant parfaitement et expliquand ses joies et ses activités et ses déboires à l'autre.
La vie n'est pas pleine que des joies, mais on peut en créer et s'en réjouir.
plaisir de voir les blogs, et surtout celui-ci, revivre
RépondreSupprimerElle est là ta note, je l'ai lue. C'est pénible, cela m'est déjà arrivé, d'écrire un texte spontanément, plein d'élans, et puis internet ne suit pas et avale nos mots. Mais, peut-être est-ce juste comme cela, ton texte d'aujourd'hui n'aurait pas existé autrement. En l'écrivant, je fais un lien, étonnant sans doute, parfois un enfant ne vit que parce que celui qui l'a précédé est mort, ce n'est pas pour autant qu'il n'a pas le droit de vivre. Je suis dans ce cas. Cette photo de poèmes sur la liberté volant au vent est magnifique, comme un manifeste contre des murs plus hauts. Je t'embrasse.
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