La nuit près de London Bridge

Cette fois, c'est vis-a-vis de Tower, où je suis allée les dernière fois, et je ne suis pas sortie jusque la rivière.

J'étais fatiguée.

En huit minutes je n'ai que effleuré tout ce que j'avais envie de dire sur Dracula, même si j'ai réussie à les faire rire et s'amuser.

Quand on sait trop, il faut s'éloigner du matériel et trouver un récit cohérente a raconter. Ce travail, je ne l'ai pas fait. Choisir. Oublier le reste, au moins, pour cette fois, ce récit-là.

Heureusement, c'était une bonne audience même si petite.

La cape de Dracula voletant a mon entrée les a épatée. Tant mieux. J'ai encore un projet coché, mais tant a apprendre encore! Je vais en faire un vrai récit, un jour. Quelle sera "mon" Dracula? A voir.

Et oui, bien sûr, on y croit.

Et oui, bien sûr, ce n'est pas vrai dans le sens de l'existence réelle.

Et oui, cela ne doit pas empêcher d'aller découvrir ce qu'il a fait! Ce qu'il a vécu! Comment il s'est levé de nouveau de ces cendres, quand tous qui croyaient l'avoir tué sont partis satisfait.

On ne peut pas tuer un légende!

Je vais donc probablement l'apporter de nouveau de Transylvanie, a travers Paris, à Londres. Séduire. Vaincre. S'amuser de ceux qui le croit disparu a jamais. Faire peur peut être, et apprendre a la fin, qui sait, à vivre avec et pas contre?
Quelques images de hier soir, prises sur la route de retour surtout.

Tellement à découvrir encore dans cette ville!