Une porte se ferme, des fenêtres s'ouvrent

A l'occasion d'apprendre comment mieux raconter sa vie personnelle, comment transformer nos expériences en récits intéressantes - pour nous même d'abord, puis des autres, une des chapitres de livre "Power of Personal Storytelling" nous demande de créer une page.

Une page avec nos années quand quelque chose a été décidé, par nous, ou autres, qui a altéré la voie de notre vie, l'a lancé sur une autre chemin et y mettre d'un côté la décision prise, de l'autre l'alternative.

Commencer à réfléchir, comment aurait été notre vie, si on aurait pris l'autre décision, ou, des fois je dirais, on n'aurait pas prise la décision que nous avons finalement choisi, si nous (ou des fois le sort, des autres) ne nous auraient pas lancé sur ce trajet-là.

J'y ai travaillé hier, puis j'étais épuisée.

Que des carrefours, que des moments décisifs dans ma vie!

Ah oui, je vois en regardant en arrière que j'aurais ne plus être en vie si mes parents n'auraient pas été vite à décider et agir, changer de lieu et même de nom, quand j'avais pas encore dix ans!

Je comprends comment certaines coups de sort (des gens) m'ont énormément profité à la longue. J'ai appris à apprendre tout seule, je suis partie d'un pays totalitaire vivre dans pays libres, tout cela à cause des décisions qui ont changés à l'époque douloureusement le cours de ma vie, tel que je le souhaitais, tel que je l'imaginais.

D'autre fois, c'était moi qui devait prendre des décisions altérant ma voie choisi, même si à l'époque je ne voyais que la porte fermé, aucune fenêtre ouverte, aucune trace à suivre. Je devrais changer, survivre, vivre. Que des nouvelles aventures passionnantes cela m'a apporté à chaque fois... même si beaucoup moins vite que je pensais.

Pleine des événements de ma vie, sur lesquelles je dois encore réfléchir, "revivre, recréer, revoir" avant d'en faire un récit intéressant pour d'autres à lire ou à écouter.

Déjeuner dans le jardin

Une porte ouverte m'attendait, chaleureuse sourire et un repas spécialement préparé pour me faire plaisir. Une discussion dans notre langue maternelle, la langue hongroise, malgré que toutes les deux cherchions souvent les mots.

Quelles heures exquises!

Et voilà quelques images de jardin, encore un peu humide et d'odeur fantastique, après la pluie de hier soir. Son petit chien, Pipa, était aussi là m'accueillir, j'ai presque marché sur elle au début. Elle (ou il) nous a tenu compagnie pendant toutes les heures. Et les fleurs tout autour de nous.

C'est la première fois que j'ai vu des cerises servis dans l'eau: très belles! Et avec plein de goût.

Sans sortir de chez moi

Depuis deux jours, je n'ai pas mis mon nez dehors, mais aujourd'hui, je vais de nouveau chez Klara et j'attends pour demain tout le nouveau comité des TM, que j'ai invité à tenir la réunion chez moi au lieu d'un pub pleine de bruit.

J'arrange et réarrange mon salon.

On peut faire pleines des choses chez soi! Entre autre des photographie de ce pot de fleurs que j'ai reçu pour presque rien au thé des grand parents. J'adore ses couleurs fragiles.

Hélas, je ne suis pas convaincu de pouvoir le faire vivre autant que je désirerai, mais je vais essayer. Pour le moment, j'ai l'impression qu'elle illumine mon salon. J'ai pris des images avec mes deux appareils, chacun m'a donné quelque chose intéressante, différente.

Nous sommes aussi différentes, chacun de nous, d'autant plus intéressantes par nos spécificités, que par nos désirs profonds fondamentales.

J'apprends beaucoup, en relisant la deuxième fois maintenant, mon livre sur le Pouvoir des Raconter des Histoires Personnelles, en parcourant les chapitres, des nouvelles souvenirs ont surgit, dont j'ai écrit certains et réfléchis aux autres. Encore il faudrait ensuite les mettre en forme.

Les heures ont passées rapidement.

J'aime jouer

Je ne crois pas que l'envie de jouer passe après une certaine âge, ni même après une âge certaine.

Ce matin, je me suis réveillée, décidée à prendre quelques images chez moi avec le Canon, expérimenter. Ensuite, en prenant une des images, j'ai décidé de la changer, encore et encore un peu.

Finalement, même si je n'ai pas la main ou les yeux artistiques, j'ai l'envie de essayer de créer quelque chose. Expérimenter.

Jouer.

Travailler aussi, bien sûr, persévérer, mais tout commence par le plaisir qu'on y tire qui nous pousse plus loin.

Voilà, quelques unes de mes résultats de ce matin.

Bonne week-end!
Ce matin

La soirée festive

Fêter la création du nouveau club, officiellement, nous sommes allée au restaurant de l'Université de Lewisham.

C'était intéressant à assister à une festivité bien anglais, nous avons même fait un toast à l'honneur de la Reine!

Comme je suis arrivée tôt comme l'habitude, j'ai trouvé cette homme déjà là - il n'était pas encore habillé ainsi mais en chemise blanc au manches courtes comme il faisait bien chaud ce soir-là. Plus tard, il est venu me parler à ma table pendant la pause, un homme très sympathique, il est le responsable de tous les clubs Toastmasters en Angleterre. Presque 400 clubs avec environ 350 000 membres.

Il a raconté qu'il travail de 9 heures du matin à neuves heures du soir, depuis presque dix ans, le plupart de temps à son ordinateur. Encore une année, je me retire, il me disait. Tout comme moi, souvent il oublie manger à midi, m'a-t-il aussi dit. Mais jusque le soir, pas comme moi, juste une ou deux heures après midi! "Mais nous sommes arrivés à être le 8e position mondialement," me dit-il fièrement. "Et tous nos clubs ont au moins 20 membres, des fois davantage."

Il nous a donné à la fin nos Certificats de Membres, et nous étions photographiés avec lui et le Certificat par un photographe professionnel, d'origine brésilien.

J'aurais dû porter montrer mon Certificat de membre, retrouvé, datant de 1978.

J'aime bien son portrait pris du bas vers haut et son visage si expressive et sympa.

Une autre photographie dont je suis bien contante est celle-ci.

Il est le plus jeune dans notre club et en quelques mois il a fait déjà d'énormes progrès, il est ambitieux sans le cacher et va surement bien utiliser ce qu'il apprend dans le club. Derrière, sa mère, fier de son fils qui a participé activement dans la réunion festive, bien organisé. J'ai peut être réussi à la convaincre à venir, elle aussi.

"Moi???"

Elle était heureuse quand j'ai dit qu'on peut apprendre à n'importe quelle âge et que je suis convaincue qu'elle fera rapidement de mieux en mieux!

Tisser lentement des liens avec des gens très divers, quelle plaisir!

Il y a toujours plus âgé que soi

Cette dame devant moi, écoutant le concert donné par Oklahoma, avait au moins 15 ans de plus!

Et on me dit, peut-être c'est vrai, que je devrais changer le nom à "Il y a de la vie après 75 ans" - bien sûr, je ne les aura pas encore pour deux semaines, mais cela s'approche rapidement!

Toute fois, je ne crois pas que je changerai, puisque le blog a bien commencé après que j'avais juste passé le 70. Tout qui est "après" reste après, n'est-ce pas?

A Londres, très "British"!

Je viens de créer un album avec des images que j'ai l'impression qu'elles caractérisent d'une certaine façon Londres et la façon "British" (on dit plutôt par ici au lieu d'Anglais) de vivre.

Je vais plus tard en y ajouter encore, mais déjà voilà les premières (prises les dernières mois), ainsi vous aurez aussi un "taste of London" au moins ce que nous, venant d'ailleurs observent.

Cela commence par les bus à l'étage rouges, les cabines téléphoniques rouges, les boites postaux rouges. Ensuite, j'ai ajouté d'autres événements vécus par ici, depuis mi-janvier.

J'espère qu'elle vous donneront une "impression" même sans (ou avant) d'y venir.

Musées dimanche: dedans, dehors

J'avais entendu du musée Victoria & Albert, (pas loin de South Kensington Station du métro), mais dimanche c'était la première fois que j'y suis allée.

Pas la dernière!

Merveilleuse musée a voir et à revoir. J'ai vu juste une salle principale du bas avec des Rodins et autres sculptures, une salle d'art Islamique et l'art Français de 17 et 18e en bas. Et un chanteur de musique anglais avec un petit instrument inconnu mais très intéressante.

Voir et revoir, tellement encore à découvrir!

A la sortie, deux bancs, sur l'un deux gens d'aspect clochard, avec du boisson devant eux. Sur l'autre une jeune femme avec blouse et chaussures bleus.

Qui qu'elle soit, après la merveilleuse nue (sans tête et sans bras) du salle principale du musée, m'a donné des idées.

Si l'idée serait vraie, elle sera la première que j'ai aperçu a Londres, mais en tout cas rien n'est sûr avec la mode nouvelle d'ici!

Et voilà l'instrument anglais "populaire". Des sons intéressantes!

Dommage que j'étais déjà fatiguée. Hier, je me suis reposée la journée et ma cheville s'est dégonflée enfin. Mais en tout cas, toutes mes aventures de dimanche, valaient la peine d'un peu de fatigue.

Et ce n'est pas fini encore!

Je suis entrée, près du métro, dans une librairie (oui, ouverte le dimanche) qui vendait des livres au bas prix. 3 pour le prix de deux. Entre les trois choisie, une fantastique: j'ai eu quoi lire hier pendant que je me reposais.

En revenant, j'ai pris l'image d'un père couché sur une couverture au milieu de la plaine (Heath) se reposant, pendant que sa petite fille de neuve ans lisait et un peu plus loin, la mère prenait des photos de brins d'herbe. Une famille sympa, les dernières avec qui j'ai parlé avant d'arriver chez moi.

Voilà le chemin vers ma collection des images pris dimanche.

Music aux Musées

Pour la première journée de l'été, belle dimanche ensoleilllé à Londres, j'avais décidé d'aller à South Kensington, "Exhibition Road festival."

Ma petite Sony m'avait laissé en panne, son iris ne s'ouvre plus depuis que j'ai prise l'autoportrait décolletée! Blague a part, c'est une des dernières images, mais probablement je n'aurais pas dû la mettre dans mon sac avec d'autres choses à côté.

J'étais donc obligée prendre ma nouvelle Canon: c'est la deuxième fois que je la prends avec moi. Je le sors moins vite que la petite appareil, et probablement rate quelques images intéressantes, mais je m'habitue, lentement. Mon bras ne me heurte plus a la fin de la session, cette fois, c'est mon pieds qui est gonflée: peut être je dois m'habituer à la position nouvelle?

Mais c'est peut être dû aussi au soudain chaleur de hier. En plus, pris par la passion de la photographie, je n'ai pas regardé le temps, et je ne me suis arrêtée jusque je n'étais pas vraiment fatiguée.

J'ai pris le bus, pour aller à la gare. Le train jusque Charing Cross, près du Trafalgar Square (une sorte de Concorde où on se trouve la Gallerie Nationale aussi.) Après une courte visite là, et une merveilleux rencontre avec un jeune d'origine Hindous nettoyeur de rue pour MacDo: "Je vais aller mieux et pouvoir admirer l'Arc de Triomphe à Paris, mais pas encore maintenant"

Un homme arrivant juste de Slovaquie, "c'est notre première journée ici!", j'ai pris le métro pour aller au Jour de la Musique des Musées, un autre arrivant de Cap de l'Afrique de Sud avec son épouse, lui aussi "nous avons en tout cinq semaines en Europe." Des gens allant vers l'église près de ma rue. J'ai parlé avec pas mal encore!.

Il y a pleines des musées une après l'autre, a South Kensington, près du Consulat et Ambassade et Ecole Français, ouvertes pour tous, gratuits (au moins toutes que j'ai vu hier.)

La première où je suis entrée était le Musée de Histoire Naturelle. Squelettes d'animaux, etc. Un guitariste jouait dans un coin du Hall. Une petite fille s'est mise a danser. C'était le point culminant de ma journée.

D'autres musiciens, d'autres danses (près de la rivière même un grand orchestre arrivé de Oklahoma et un vieux monsieur (oui, plus vieux que moi!) qui dansait à la musique, lui aussi, dans un coin, mais rien n'a dépassé la petite fille s'amusant dans le musée!

420 images, pleines des gens avec qui j'ai parlé, du matériel à montrer (vchoix) au groupe "première jour de..." dans flickr, c'était une magnifique sortie.

La nouvelle mode

La nouvelle mode, très décoltée, m'a incité à m'acheter une chemisette "à la mode de chez nous" (à Londres, au moins).

Rêver de la jeunesse perdue, c'est une chose, mais avec pleines de rides, partout! je viens seulement de découvrir, c'est un peu ridicule.

Toute fois, hier, je suis allée faire des courses, en pantalon noir et la petite chemisette décolleté me sentant très très bien dans ma peau. Sauf quand je me suis approchée de la maison: je n'avais pas envie qu'on me voit ainsi!

On s'amuse comme on peut...

L'après-midi, j'ai assisté au spectacle de fin d'année de l'école de mes petits enfants: "Le nouveau habit de l'empereur" (en original, le conteur danois Andersen, il y a 150 ans lui avait donné au Grand Duc). J'étais étonnée en parlant avec des français qu'ils n'avaient connu cette conte dans leur enfance, comme moi.

S'était un de mes préféré quand j'avais 7 ou 8 ans. Amusante histoire dans lequel tout le monde est hypocrite ayant peur qu'on le croit bête, sauf un petit enfant qui ose dire la vérité et par là, ouvrir les yeux des autres.

Comme mon petit-fils, qui critique dorénavant, gentillement, mon accent, non seulement en français comme avant, mais même en anglais.

En regardant l'image prise hier matin, je constate qu'il a resté, heureusement, quelque chose de l'enfant espilège en moi, malgré mes (presque) 75 ans.

Une image avec texte

Et lumière fut

Je ne suis pas allée pour la sortie "toute la nuit", mais hier soir j'ai pris quelques images du soleil couchant rendant rose les nuages et des nuages bougeant rapidement, à partir de ma fenêtre, et ce matin, j'ai prise, entre autre cette image avant 6 heures du main.

Au début, il n'y avait rien.

Dois-je avouer? Je me suis dit "ah, que c'est bien que je ne suis pas allée centre Londres pour voir le soleil se lever!" Mais ensuite, j'ai eu honte de moi même. En plus, même si brièvement, il y eu une ciel intéressante. Sûrement aussi pour ceux qui sont restés toute la nuit, prendre des photos et attendre ensuite le levé du jour.

Mais j'ai l'impression que le jour se lève partout, finalement, non seulement au dessus du parlement! Si je prends des photos des gens "ordinaires" et je m'intéresse à eux davantage qu'au gens célèbres, alors, pourquoi la nature et le ciel ne serait pas aussi intéressante autour de moi?

J'aurais bien sûr, aussi pu me déplacer quelques minutes et le regarder du haut de la colline du Greenwich...Mais de la maison, à chaud (dehors c'est frais ce matin) pas si mal, en fin de compte!

Et ceci était le ciel de hier soir, de l'autre fenêtre, que donne vers lOuest.

Tout à fait autre couleur et autre sensation. Quelques nuages menaçants s'approchant rapidement des petits nuages tranquilles. Les nuages se déplaçaient très rapidement, je les ai aussi observé comme reflets sur les voitures parquées sous ma fenêtre.

Ainsi, à cause de la sortie des autres, j'ai regardé davantage, le soir et le matin le ciel et ses merveilles!

Au pleine milieu de la ville

Au pleine milieu de la ville de Londres coule la Tamise: j'étais stupéfait lors de ma dernière promenade de voir des péniches chargés de marchandise passer, tôt le matin.

Non seulement, au bord de la rivière des gens allant vers leur travail, mais même du travail déjà sur la rivière.

Il y a deux gares au Sud, Waterloo et London Bridge, et un au Nord de la rivière Charing Cross, en plus des Embarcadères des bateau de passagères. Imaginez une petite station de train, tout près de la Concorde! Charing Cross et tout près de Trafalgar Square, et Waterloo juste à l'autre bout en passant un pont.

Le pont tout suite après, et pas très loin, non plus, et le pont du parlement, Westminster. Je me suis promené plus côté Sud 'dehors' puisqu'on peut le faire tout près de la rivière, plus près que de l'autre côté où il y a un trottoir, mais au centre, il y a aussi des voitures qui passent pas loin polluant l'air.

Je dois découvrir pas mal sur la ville si diverse, mais même le centre, si on peut dire qu'il y en a un, n'a pas encore rendu tout le mystères et magies.

Hier soir, nuit et ce matin, il y avait presque une centaine des photographes qui ont fait la "nuit blanche" par là, pendant que moi je dormais. Chacun ce qu'il peut. J'irai voir la lumière se lever une fois, comme eux l'ont vu ce matin par là. Cette fois, comme la lumière se lève vers 4 heures maintenant, j'aurais dû partir avant trois, au milieu de la nuit, ou alors, faire comme eux, y aller le soir, avant le coucher de soleil et me promener (ou entrer dans un pub) tout la nuit.

Je laisse au plus jeunes ou plus courageuses, la "nuit blanche", je me suis contenté à lire sur la manière de raconter des histoires personnelles et ensuite découverte pourquoi ma fruit préféré était "cerises". Deux cerises rouge liés ensemble, de temps de ma maternelle. Je vous promets le raconter demain.

Les jeudis, chaque semaine!

C'est la troisième jeudi, rendez-vous avec Klari, 87, pour parler en Hongrois de tout, passé, présent et futur.

Cette fois, c'est elle qui me prépare un déjeuner, et probablement me montre aussi le nouveau catalogue du Collègue où elle va plusieurs fois par semaines pour étudier et pour joga. Je pourrais lui montrer ma nouvelle voiture, mais j'irai à pieds, c'est mieux pour moi!

Beaucoup de plaisir, pour cette rencontre.

Autant que la rencontre chaleureuse et amusante a Toastmaster Lewisham hier soir m'a rapproché de plusieurs participants, ce n'est pas la même chose, quand même! Sinon, mon speech bien réussi, cette fois je n'ai rien oublié et j'ai réussi aussi à finir à temps. Un bon début et fin, et au milieu, je me suis assez bien débrouillé. Cela passe si vite les six minutes - et on s'y prépare si longtemps!

Sur l'importance du communication non verbal

Voilà la traduction de mon discours de ce soir, de l'anglais en français.
Bien sûr, je ne l'ai pas appris par coeur, autre que le début et la fin.

Quand j'étais jeune, j'ai tué.

Pas avec un couteau - mais avec mes yeux.

Et longtemps, je n'étais même pas au courant d'être agressive. Je n'ai pas réagi quand on m'insultais, je me suis dit. Blessée par les mots et mépris des autres enfants, je les regardais avec des lèvres et les poings serrés et les yeux leur disait tout le reste.
__
Comme une jeune femme, j'avais peur de les rides à venir. Comme je l'avais lu dans un magazine, la façon dont nous regardons le plus souvent ce qui détermine les rides sur notre visage, jai pris un miroir et n'a pas aimé ce qu'il me disait. Ensuite, j'ai souri. Oui! Ce sont les rides que je voulais!

La sourire n'est pas moi. J'ai eu souris et me souvenais de sourire davantage.. J'ai souris et souris de plus en plus souvent, de plus en plus naturellement, jusqu'à ce que le sourire est devenu moi.


Il ya deux semaines, j'ai assisté à une réunion où Toastmaster Chris, qui a fondé le club Toastmasters Lewisham, il a prononcé un discours: "J'ai fait un rêve". Sans même l'écouter, par la dignité de sa position, ses mouvements et sa voix, on pouvait déjà dire qu'il a réussi. S'il n'est pas aussi facilement comme il l'espèrait au début, il avait atteint son rêve. Notre club a été créé et son enfant a fait ses premiers pas, à elle seule. Nous avons pu voir ce qu'il nous disait dans notre esprit de nos yeux aussi.
__
La semaine dernière, nous avons eu des élections dans un autre club Toastmasters. Pour le président de l'année prochaine, il y avait deux candidats. Ils ont eu chacun trois minutes pour nous convaincre de voter pour eux.

Qui pensez-vous qu'a gagné?

Celui dont le mouvement du corps, la voix et la position déclarait: Je suis président, celui qui se sentait déjà comme s'il y était.
__

La manière dont nous nous sentons peut aussi être influencée par la façon dont nous bougeons et regardons. La prochaine fois que vous vous préparez à parler, tenez vous droit, prenez une profonde respiration, maintenez votre tête en haut et souriez. Vous aurez plus de confiance. Commencez ensuite nous enchanter avec votre discours.

Si vous vous sentez confiant, nous aurons aussi plus de confiance en croire en vous.
--

Répétez après moi et montrez-moi que vous avez compris aussi avec votre corps:

Comment nous tenons latête,
la manière que nos yeux regardent,
ce que nous faisons avec nos mains et nos bras,
La distance tenu des autres,
la façon que nous nous déplaçons,

tout doit aller de pair avec ce que nous disons
et renforcer le message que nous transmettons.

"Art" à la Julie70

J'ai toujours été convaincue ne pas avoir de talent artistique, après que mes dessins des gens filiformes, pourtant parlants, ont étaient reçus avec "tu écris bien, mais tu n'as aucun talent à dessiner."

J'avais douze ans.

La photographie ne nécessite pas un main droit ou gauche et des doigts qui suivent ce qu'on veut montrer. Des fois, l'image ne donne pas ce que je voulais, ce que je ressentais, ce que je percevais au moment du clic, et alors, de plus en plus, je le reprend dans ma "chambre noir numérique" et joue avec jusque quelque chose en sorte.

Comme pour l'image ci-dessus, le milieu d'une fleur intéressante, trouvé au coin de rue, pas loin de chez moi, dans un jardin.

Prendre des photos m'ouvre les yeux plus grandes vers ce qui m'entoure. Préparer des discours de quelques minutes, m'ouvre au passé. En cherchant quelles exemples de ma vie prendre, approfondissant pourquoi ceci ou cela, je comprends d'un coup nettement mieux qu'avant ce qui c'était passé et pourquoi.

Prenons par exemple mon texte sur l'importance de langage corporelle, qui commence par "Quand j'étais jeune, j'ai tué des gens."

Je tuais des gens non pas avec un couteau, mais avec mon regard, dis-je après une pause.

Ce matin, je voulais comprendre ou approfondir cette dernière phrase. Pourquoi je parlais du couteau (autre que le journal lu qui parlait d'un adolescent tué a 11 blessures de couteau pour soi disant un mauvais regard)? Pourquoi je tuais avec mes yeux?

Quand j'avais six ans, au première pause dans le jardin d'école, des garçons plus grands (huit ou neuf ans) m'ont arraché mon goûter. Je me suis plainte a la maison. Que faire?

Mon père est venu m'offrir le lendemain un couteau de poche. Quand il était petit, ce que les enfants portaient dans les montagnes. Comme ma mère protestait, et ne me laissait prendre le couteau à l'école, il m'a ensuite appris à lutter, jour après jour. C'était très amusant, mais maman m'a dit "non": il suffit que tu les regards menaçant, ils n'oseront plus s'approcher.

Peut-être, c'est alors que j'ai commencé à regarder, tuant avec mes yeux, au début consciente de ce que je fais, ensuite sans plus me rendre compte. Ce n'est que nettement plus tard, peut être dix ans ou plus, qu'une fille m'a dit: mais tu était très agressive à l'école!

- Moi, agressive?
- Tu nous tuais avec tes yeux!

Je serais la bouche, je ne disais rien quand on se moquait de moi, et j'étais convaincue que je ne répondais pas aux attaques: mais voilà, mes yeux et mon visage, probablement tout mon corps, même immobile, le faisait à ma place.

Tout cela est ressortie, à cause d'une phrase, qui est venu "de je ne sais pas où" pendant que je préparais ce que je dirais demain soir.

Bientôt 75: et alors?

Dans un mois, je vais entrer dans ma 75e année, loin déjà de 70, et alors?

J'avais très peur d'approcher la soixante-dix, il y a cinq ans, et il y a quelques semaines je me disais que je suis trop vieille pour conduire une voiture.

Paraît alors Klara: elle a 87 et conduit sans problème!

Je me suis demandée alors: si elle le peut, pourquoi pas moi?

Ce matin, je suis partie, nager (de nouveau) avec ma nouvelle Citroen ZX a sept heures. Hélas, elle n'est pas automatique, mais je vais m'habituer. Les vitesses passent bien, quand je me rappelle de débrailler quand même.

Bleu foncé, pas ma couleur préférée non plus, un peu trop grande aussi à mon goût, mais c'était disponible et pas cher. Alors, j'ai sauté sur l'occasion et en recommençant à conduire, d'un coup, je me sens plus jeune.

Preuve: j'ai recommencé à nager aussi!

Il reste à m'habiller plus jeune... peut être même plus qu'à 50 ans! Montrer que je me sens encore "femme" et pas "vieille dame"! Oserais-je?

Odeurs et couleurs: fin printemps

Hier, rencontre avec d'autres grand-parents à l'école.

Jeudi, j'ai eu Klari en visite: elle m'a apporté des roses de son jardin. Chaque fleur, non seulement avec sa beauté mais aussi son odeurs suave et différente! J'ai réussi à trouver quelques fraises qui ont vraiment du goût et odeur, eux aussi, en plus de leur couleur.

Voilà quelques images prises ensemble avec d'autres fleurs prises après la pluie allant vers l'école.

Thé des grand parents à l'école

Hier, thé a l'anglaise pour les grand parents à l'école de mes petits enfants.

Grand mères, grand pères, mais nous avons eu aussi une arrière grand mère près vivace, près plus près de 100 ans que de 75!

Les voilà: mère et fille. La fille déjà grand mère, elle même.

En les regardant, en leur parlant, je me suis sentie plus confiante, soixante quinze ans que j'aurais dans une mois, n'est pas si énorme finalement!

Une autre paire, épouse et mari, ont montré déjà par leur vêtements qu'ils n'abandonnent pas. Je ne sais pas s'ils sont artistes ou non, mais il était avec une veste vert coloré et elle, décoltée à la manière des jeune filles d'aujourd'hui.

"C'est mon mari qui m'offre ces vêtements!" me dit-elle.

J'ai répondis: peut être, avant de trouver un mari, je devrais m'en offrir des semblables. Grandes rires.

La directrice de l'école, elle même, vient de devenir grand mère! Sévère et chaleureuse, elle obtient des bonnes résultats de ses élèves, réussissant les faire entrer dans bonne écoles.

Les gens ne sont pas venus vers moi, sauf les enfants, très sympa, mais quand je suis allée vers eux, ils étaient très chaleureux. Ils m'ont même donné des bons conseils!

Les vidéos les plus populaires

Ceci sont les videos qu'on a regardé le plus de ma site "julie70" sur dailymotion.com. Probablement, parce qu'ils ont de musique avec, au moins la pluspart entre elles.

En fait, la majorité est surtout composé des images, pas des vidéos tournés, mais certaines, très vieilles d'ailleurs, sont "en direct" une courte sequence des musiciens du métro de Paris par exemple.



En laissant juste le souris dessus, elles dévoilent leur titres, et en un clic, on peut y aller les voir sur la site et décider en quelle grandeur la regarder. J'ai choisi l'option de ne pas démarrer tout seule puisque je n'aime pas en allant dans un blog que la musique me saute sur la gorge, moi même. J'aime choisir, quand et quoi je veux voir et écouter.

Amusez-vous!

La plupart entre elles, j'ai déjà publié une à une, dans ce blog, ou au moins un lien vers elles quand publier des vidéos dans un note n'était encore pas possible. Mais je trouve l'idée d'un vidéo-box, amusante.

Il y a des plus en plus des trucs, la seule problème que cela prend notre temps. A regarder, mais bien sûr, aussi les préparer. Les réfléchir et réaliser. Puis, prendre du temps à regarder et modifier. Entre toutes les possibilités ouvertes, possible, comment choisir à quoi s'y dédier, à quoi passer son temps?

Un câlin

J'ai passé hier quelques heures très agréable avec mes petits enfants, et vers le soir, juste avant mon départ, mon petit fils, il a huit ans maintenant, vient et se jette contre moi, pour un grand câlin, réciproque.

Je suis encore sous son influence.

Convaincue, qu'il en avait besoin, j'ai commencé à lui proposer il y a peut être deux ans. Tout fois, de plus en plus, je me rends compte que le prétexte utilisé alors est en fait une vérité: j'en ai besoin de ces câlins! Son chaleur, comme il m'embrasse en me tenant tout près de lui pour quelques instantes, avant mon départ.

Oh, combien c'est important, à n'importe quelle âge la chaleur humaine. Une caresse, un regard. Contact avec l'autre. Montrer et ressentir cette tendresse.

Que des souvenirs!

Une seule promenade, 500 images - a regarder, à corriger si besoin, à décider que faire avec. En trois heures, j'ai pris des images pour des semaines à traiter.

C'est ainsi, qu'on peut croire que je coure sur les rues tous les jours, que je vais aux vacances sans cesse. Quelques heures, ou quelques jours, qui sont riches en aventures et images.

Voilà encore quelques images de mon promenade lundi tôt le matin sur les bords de la Tamise. Cette petite maison et l'entrée tout près du théâtre Shakespearien Globe, avec sa porte très "rouge anglais".



Le même que les boite postaux "royales" et les bus, les cabines téléphoniques. Il doit être chouette d'y habiter, aussi centrale!


Tout fois, j'adore habiter dans un lieu tranquille.

Les scènes de rue pas loin du même lieu, de ce matin-là, donnent un peu l'atmosphère des gens très divers, se dépêchant aller travailler (ou travaillant déjà)..

Après la pluie

Il pleut depuis quelques jours et mes os le sentent.

Mais c'est l'âge. En plus, il y a des éclaircis, comme on peut voir sur cette image, pas depuis longtemps d'ailleurs, puisque les gouttes d'eau ne se sont pas encore évaporés.

Oui, je devienne plus britannique: parlant du temps qu'il fait.

Hier, je n'ai pas bougé de la maison, même pas loin de mon lit d'ailleurs, heureusement j'ai plein des livres divers à lire ou étudier. Sur le langage de corps (pour le raconter dans une semaine), sur comment dire (pas écrire) un récit, des roman policiers (je viens de terminer un) ainsi de suite.

Une des librairies de Greenwich, apporte a la maison des livres pour les personnes âgés: douze livres chaque 5 semaines. Ainsi, souvent je découvre des auteurs que je ne connaissais pas, et avec le temps, ils m'apportent des livres que j'aime davantage. Ils tiennent compte de mes goûts autant qu'ils le comprennent.

En général, ce sont des livres lourds, heureusement, je ne dois pas les porter deux étages!

Photos par ma petite fille

Je suis en train de préparer mon prochaine discours a Toastmasters de Lewisham. Cette fois-ci, je dois être spécialement attentive a ce que mon corps et visage dit, à côté de mes paroles.

Ma première, peut être meilleure aide pendant les préparations est ma petite fille de dix ans, hier matin, elle a prise des vidéos de différentes parties de mon discours, me montrant à moi, que pendant que les mouvements étaient pas mal, le discours est loin d'être bien préparé.

Après le vidéos, elle me dit: "je voudrais aussi prendre quelques photographies maintenant."

Qu'elle est bien, déjà!

J'avais commencé à prendre des photos à presque 70 ans, mais à dix ans elle a déjà des années d'expérience derrière elle. Je lui donne mon caméra et ne dois lui dire rien d'autre. En plus, sa main ne tremble pas comme la mienne des fois.

Quelle plaisir, nos interactions ce dimanche matin, et encore maintenant à regarder les divers expressions qu'elle a prise!

Atelier d'Urban Tourisme photographie

On peut apprendre de chaque réunion quelque chose, dans le cas de hier, des idées différentes sur la photographie.

J'étais encore très déçue le soir, en retournant à la maison, mais en y pensant ce matin, je n'ai pas perdue tout à fait la journée. Voilà, entre autre, un portrait prise en direct en gris, dont je suis bien contente.

Je devrais essayer plus souvent le gris, me permettant "voir" mieux les nuances (gris) et certaines formes aussi.

Gens très divers et des origines venant de Portugal, Suisse, Brésil, Danemark, et un de nous, même née à Londres! C'était finalement, une réunion pleine des enseignements, même si différente de ce que j'attendais.

ps.
Quelqu'un sait, comment interdire des anonymes injurieux qui ne commentent que pour décharger leur fiel sur des choses qui n'ont rien à voir avec mes notes ou ce que je dis dedans?

Klari, 86 seulement

En parlant avec Klari, en hongrois, notre langues maternelles, mais que nous n'avons pas utilisé depuis fort longtemps, ni l'un ni l'autre, j'ai raconté de ce blog et son titre.

"Il y a de la vie" me dit-elle, "aussi après 80 ans!"

J'ai maintenant, quatre-vingt-six, mais j'ai commencé à m'intéresser à l'ordinateur seulement il y a cinq ans. Avant, je ne voulais même pas y entendre! Je même pris mon pension trois mois avant 65 pour l'éviter à mon travail.

Maintenant, je vais plusieurs fois par semaine a l'université de Greenwich, et apprends comment utiliser divers programmes. Aussi pour le joga, bien sûr.

Comme je voyage moins, depuis cinq ans...

Mais elle me raconte ensuite de l'année dernière et me montre les images tirées, avec son nouvel caméra digital, lors son croisière de Leningrad à Moscou à travers les canaux, ensuite, ce qu'elle a acheté des petits souvenirs cette année à l'Afrique de Sud.

Une preuve vivant pleinement, que oui, il y a de la vie après 85 ans même! Si j'aurais seulement moitié de son énergie, encore à son âge...

Il y a toujours de l'espérance, je me dis, en la regardant.