Pendant cet instant le soleil a bien voulu sortir et la pluie s'arrêter. Des instants de bonheur aussi valent tout.
Mais pendant ce temps là, dimanche, j'ai pu prendre le portrait de bycicliste, sur son visage tout sa vie dur et malgré tout bien supporté, était inscrit. J'ai pu aussi observer les bateau ou barges ammarés au bord et même la vie qui s'y déroulait.
Le temps de sortir mon appareil qui aggrandit assez, la femme ayant étandu le linge avait disparu, mais voilà le linge flottant dans le vent.
Et celle-ci maintenant du pont.
Des courageux jogger et cycliste traversant le pont.
Aujourd'hui encore j'ai la joie d'avoir mon petit fils.
Nous allons probablement, cette fois vraiment aller à un gare pour prendre "le chef de gare" (ou controleur) ma fille a encore besoin pour son chanson "bonjour, bonjour!"
Expérimenter, communiquer, tâcher de vivre pleinement. Prouver a soi et aux autres, depuis dix ans déjà
mardi 31 juillet 2007
lundi 30 juillet 2007
"Faites votre propre destiné"
Faites votre destiné, c'est écrit sur le tee-shirt que j'avais acheté au marché vendredi, et hier matin après l'avoir mis, je me suis sentie d'un coup comme à 23 ans et pleine d'énergie.
Je suis partie vers Paris et le T3 malgré la pluie qui commencait à tomber quand je traversé le jardin.
En voiture, je me suis garé à peu près à la moitié du parcours du tramway T3, près de la station Didot. J'ai pris sous plus de plus en plus fort le tramway jusque le pont Garigliano, un des bouts.
Le soleil est sorti juste assez pour que je puisse faire quelques images à partir et autour du pont sur la Seine, puis j'ai repris le tram dans l'autre direction jusque porte Issy.
Et de là, sous pluie de plus en plus forte retour vers Didot.
C'est moi qui aurait du remercier cet homme arrivant en poussant son bicycle sur le pont, mais encore une fois, c'était lui qui l'avait fait, après m'avoir mormoné "quelle sale temps!"
J'étais assez contante de ma récolte, près de deux cent images diverses, dans le T3 et sur les boulevards des Maréchaux traversés, les stations et les passagers qui attendaient, etc. J'aurais voulu avoir un sandwitch, comme c'était midi passé.
J'ai trouvé un café très sympa (plutôt pub) mais il ne servaient rien dimanche "bientôt on ferme", par contre, j'ai rencontré des gens sympa et j'ai fait quelques portrait dont je suis finalement plus contante que de toutes les autres, plus documentaires celle-là.
Voilà quelques uns, demain je mettrai les autres aussi sur ma site, aujourd'hui mon petit fils a décidé qu'il préfère passer la journée avec moi plutôt que d'aller au centre aéré.
Je vais le chercher maintenant et passer le journée avec mon petit fils.
Je suis partie vers Paris et le T3 malgré la pluie qui commencait à tomber quand je traversé le jardin.
En voiture, je me suis garé à peu près à la moitié du parcours du tramway T3, près de la station Didot. J'ai pris sous plus de plus en plus fort le tramway jusque le pont Garigliano, un des bouts.
Le soleil est sorti juste assez pour que je puisse faire quelques images à partir et autour du pont sur la Seine, puis j'ai repris le tram dans l'autre direction jusque porte Issy.
Et de là, sous pluie de plus en plus forte retour vers Didot.
C'est moi qui aurait du remercier cet homme arrivant en poussant son bicycle sur le pont, mais encore une fois, c'était lui qui l'avait fait, après m'avoir mormoné "quelle sale temps!"
J'étais assez contante de ma récolte, près de deux cent images diverses, dans le T3 et sur les boulevards des Maréchaux traversés, les stations et les passagers qui attendaient, etc. J'aurais voulu avoir un sandwitch, comme c'était midi passé.
J'ai trouvé un café très sympa (plutôt pub) mais il ne servaient rien dimanche "bientôt on ferme", par contre, j'ai rencontré des gens sympa et j'ai fait quelques portrait dont je suis finalement plus contante que de toutes les autres, plus documentaires celle-là.
Voilà quelques uns, demain je mettrai les autres aussi sur ma site, aujourd'hui mon petit fils a décidé qu'il préfère passer la journée avec moi plutôt que d'aller au centre aéré.
Je vais le chercher maintenant et passer le journée avec mon petit fils.
dimanche 29 juillet 2007
Il ya seulement une semaine
Comment j'aurais pu ne me sentir tout suite comme chez moi, en voyant Manu lire entouré de tous ces livres! Et ne pas dormir bien, tout près des mêmes livres! D'un coup, revenu chez moi, je n'ai plus l'impression d'en avoir trop autour de moi, chez moi.
Et dire que c'était seulement le weekend dernière!
Vous savez quoi? Ma visiteuse d'un mois a réagit, probablement en lisant mon blog, m'écrivant un email formel de 'merci' et en affirmant qu'elle a oublié des cartes mémoires chez moi. Ceci, en plus que ce n'est pas vrai, lui donne l'occasion d'être elle la demandeur. Elle allait partout faire des photos avec toutes ses cartes mémores qu'elle changaient dans son appareil, et en plus, elle avait eu trois jours à m'appeller, si entre temps elle ne les aurait pas eu!
J'ai nettoyé l'après-midi de son départ, réarangé le salon pour le faire de nouveau mon bureau, ma place à moi, après cinq semaines passés surtout dans ma chambre pour vivre et travailler. Non, je n'ai rien trouvé qu'elle aurait laissé là. J'ai lavé le lingerie, rearrangé les coussins, et mis mon ordinateur de nouveau sur mon bureau et je n'ai rien trouvé. Hier, non plus.
Probablement, après mon départ, Sophie et Manu ont dû faire la même chose, vu que j'ai dormis dans leur salon. Mais quelques jours n'est pas quelques semaines. Pourtant la différence la plus grande est que nous nous sommes entendus très bien et qu'ils nous sont restés que des bonnes souvenirs aux uns et aux autres.
Mais surtout, nous nous sommes admis, tel que nous étions, sans faire des critiques et déconsidérer comment l'autre vie sa vie et aime faire. C'était la plus dur à avaler.
Je n'ai pas sortie hier, c'est aujourd'hui que je dois, que je vais sortir!
samedi 28 juillet 2007
La vie est ainsi
Cette image vient du travail que j'ai effectué à partir d'une photo prise vendredi dernière, au restaurant que j'avais choisi. Il y avait un grand contraste entre la chaleur chaude orange du toit, chaises et tables et le ciel menaçant - il a commencé à pleuvoir d'ailleurs pendant que je prenais l'image.
C'est ainsi la vie, du bon et du mauvais: tout dépend ce qu'on voit et regard et retient. Comme on dit aussi "moitié pleine, moitié vide" d'un verre ou vase.
D'habitude, je regards le moitié pleine et je suis optimiste. Avec ma tête c'est sûr que j'essaye très fortement d'être courageuse et mettre derrière moi toutes les choses désagréables qui m'arrivent. Ne pas trop dramatiser. Ne pas leur donner trop d'importance.
Quelquefois, l'intérieur se rattrape, me mets à ma place.
Hier, je me suis réveillée d'un cauchemar que je ressens encore et dont je me souviens bien. En couleurs! L'homme qui est entré par ma fenêtre, j'avais fermé l'une et il est entré par l'autre avec un balai blanc et bleu comme ses vêtements, rayés, et avec un visage moqueur. Se moquant de mes efforts de ne pas le laisser entrer.
Arrivant au pied de mon lit, me laissant presque paniqué. Que vais-je faire maintenant? Même dans mon someil, j'ai eu assez de force de m'assoir, et le bonhomme et le cauchemar ont disparu d'un coup, me laissant seulement le coeur palpitant.
Hier, presque toute la journée, j'avais envie de me cacher.
Je me suis obligée à sortir.
D'abord au marché, j'ai trouvé deux des marchands dont j'avais fait la photo. L'un voulais m'offrir du café, l'autre aussi quelque chose: ils étaient très contentes de leur photos. Puis, je me suis acheté deux tee-shirts avec cinq euros les deux et des chaussures de plage avec deux euros, une chemise de nuit avec quatre. C'est vrai, ce n'est pas une marché cher. Au moins, quand on pense en euros, mais aussi en comparant avec ce qu'on trouve dans les boutiques.
Ensuite, j'ai acheté des fruits et fromages dans l'Intermarché ainsi que trois petits livres de poche. Cela m'a permis de me gâter davantage, en me plongeant à la maison dans un des romans tout en mangeant des fruits.
Le cauchemar s'éloigne lentement, si pas tout à fait dissipé.
J'ai trop vite minimalisé l'impact de l'homme commençant à entrer par ma fenêtre, le 13 juillet, un jour après que nous avons mangés dans le restaurant près de ma maison. Nous a-t-il suivis ou regardé où on entrait? J'espère qu'il n'osera plus revenir!
J'espère que mon cauchemar restera seulement un rêve désagréable et l'incident pourra être close. Eloigné de moi, sinon disparu, mise de nouveau dans un tiroir lointain de la cave. Même si je ne pourrais pas tout à fait l'oublier, même s'il restera dans mon inconscient et ressortira quand cela lui convient.
Aujourd'hui, je m'en vais chercher pour ma fille, et une chanson qu'elle veut illustrer, un chef de gare près d'un train. Quelque part, je dois trouver un contrôleur au départ des trains! Puis, cela m'éloignera aussi de ma maison où je n'ai qu'à regarder les fenêtres et me rappelle déjà sinon l'incident, mais mon cauchemar, dans lequel l'individu entré se moquait de ma tentative de le tenir dehors.
vendredi 27 juillet 2007
De tout mauvais quelque chose de bonne sorte
Les joueurs d'échec rencontrés à Rouen, ravis d'être photographiés, tourne vers moi en me souriant, alors que la femme qui avait habité chez moi un mois entier comme invitée, me regardait ainsi au déjeuné, pendant la journée quand nous avons été ensemble à Abesses.
Hier, j'ai dejeuné avec mon fils et j'ai rencontré tant mes déboires avec elle, et comment j'étais deçu de son comportement et que non seulement elle ne m'a pas remercié de mon acceuil mais ne m'a même dit "adieu" avant partir ou fait une signe après son retour chez elle, mais aussi la merveilleuse acceuil que j'ai eu en Normandie chez Sophie et Manu.
"Mais c'est grâce à elle qu'ils t'ont invité et que tu les a mieux connus et que vous êtes devenu amis! Donc cela valait la peine d'inviter l'autre, sinon tu n'aurais pas allée les voir!" me répond mon fils.
C'est vrai.
Tout mauvais mène a quelque chose de bien, comme disait ma grande mère, et quelquefois plus rapidement même, comme cette fois-ci. Depuis, j'ai fait la paix avec tout, qu'importe les heurts (passagers) et l'incompression de quelques semaines, grandissant de jour en jour, c'est derrière moi! Il n'a pas eu dans ma vie qu'un seul but: pour être invité par Sophie chez eux. Alors, il a fallu que je passe par là, et tout ce termine bien.
Mon fils a appris aussi heureusement, je vois, la sagesse de son arrière arrière grand-mère, quelle joie! Et moi, je ferais bien de ne jamais l'oublier.
jeudi 26 juillet 2007
Les poteries et les faiences
Je me suis rappelée seulement en me promenant samedi avec Manu et Sophie au centre ville de Rouen que c'était là que Jeanne d'Arc avait été condamnée et brulée. Il y a des belles fleurs sur la place avec l'inscription.
Comme aussi l'inscription de lieu où avait habité le Chevalier de la Salle, qui a voyagé aussi loin et a "donné" la Louisiane aux français (qui n'ont pas su l'apprécier).
En plus de ses cathédrales magnifiques, ces maisons aux colombages innombrables.
Ce qui m'a attiré peut être davantage, c'était les faïences fabriquées sur place. Comme disait Sophie dans son blog hier, non seulement j'ai regardé la vitrine, 56 rue Saint Romain, mais je suis entrée.
Aussitôt, j'ai demandé si je peux prendre des photos, enchanté par tout ce que je voyais. J'aime emporter des souvenirs avec moi, et ainsi elles ne me couterons pas le prix, mais en plus, même si je les aiment beaucoup, n'encombrerons pas ma maison déjà bien pleine.
Il faut un potier pour la façonner puis un peintre pour décorer, ce qu'on peut comprendre d'ailleurs par les deux enseignes qu'on trouve à l'extérieur de la petite boutique pleine des trésors divers.
"Chaque objet est unique" me dit madame Petit. Peinte à main levé, décoré chacun autrement. "Voulez-vous me montrer?"
Non, ce ne c'était passé tout à fait ainsi. Même si mon sourire et charme agissent de temps en temps, ou le plaisir d'être remarqué et photographié, j'avais dit en plus que j'en parlerai dans mon blog, sur l'Internet. Mais elle a été gracieuse et aimable déjà avant.
Elle s'est assise, choisie une des nombreuses pinceaux à disposition, et puis à fait semblant de peindre la vase qui était préparé pour cela.
J'aurais dû rester davantage et apprendre plus sur comment on procède. Mais dehors, Sophie et Manu m'attendaient pour continuer la visite. Avec patience, c'est vrai, mais je sentais que je ne peut pas m'attarder trop.
Déjà le livre que j'avais lu et qui m'a poussé d'aller en Irlande décrivait le travail d'une artiste potier, l'héroïne de mon roman, en plus la brochure que madame Petit m'a donné décrit le procédé. Elle parle aussi de la tradition de poterie Rouenais, datant environ des années 1750.
Ma fascination, à mon avis lisible sur moi, ne date pas d'aujourd'hui.
J'avais collectionné des pots peints hongrois (que j'ai offerte un à un ensuite pour faire de place).
Motifs d'un région hongrois.
Plus tard, j'avais visité une potière artiste près de Tel Aviv et j'ai encore les deux objets que j'ai acheté là bas, une tout ronde et l'autre ressemblant à la vase frotté par Ali baba. Deux objets, pas tout à fait vases, pas peints mais magnifiques, mais autant que je les aime, ils sont cachés derrière des tas des livres maintenant.
Motifs français de Rouen.
On ne peux pas tout avoir et tout étaler, mais on peux en être fascinée et intéressée. J'ai l'impression que mon intérêt réelle, tant pour les faïences que pour les gens qui les pousse surtout à me permettre à en prendre la photo.
Comme aussi l'inscription de lieu où avait habité le Chevalier de la Salle, qui a voyagé aussi loin et a "donné" la Louisiane aux français (qui n'ont pas su l'apprécier).
En plus de ses cathédrales magnifiques, ces maisons aux colombages innombrables.
Ce qui m'a attiré peut être davantage, c'était les faïences fabriquées sur place. Comme disait Sophie dans son blog hier, non seulement j'ai regardé la vitrine, 56 rue Saint Romain, mais je suis entrée.
Aussitôt, j'ai demandé si je peux prendre des photos, enchanté par tout ce que je voyais. J'aime emporter des souvenirs avec moi, et ainsi elles ne me couterons pas le prix, mais en plus, même si je les aiment beaucoup, n'encombrerons pas ma maison déjà bien pleine.
Il faut un potier pour la façonner puis un peintre pour décorer, ce qu'on peut comprendre d'ailleurs par les deux enseignes qu'on trouve à l'extérieur de la petite boutique pleine des trésors divers.
"Chaque objet est unique" me dit madame Petit. Peinte à main levé, décoré chacun autrement. "Voulez-vous me montrer?"
Non, ce ne c'était passé tout à fait ainsi. Même si mon sourire et charme agissent de temps en temps, ou le plaisir d'être remarqué et photographié, j'avais dit en plus que j'en parlerai dans mon blog, sur l'Internet. Mais elle a été gracieuse et aimable déjà avant.
Elle s'est assise, choisie une des nombreuses pinceaux à disposition, et puis à fait semblant de peindre la vase qui était préparé pour cela.
J'aurais dû rester davantage et apprendre plus sur comment on procède. Mais dehors, Sophie et Manu m'attendaient pour continuer la visite. Avec patience, c'est vrai, mais je sentais que je ne peut pas m'attarder trop.
Déjà le livre que j'avais lu et qui m'a poussé d'aller en Irlande décrivait le travail d'une artiste potier, l'héroïne de mon roman, en plus la brochure que madame Petit m'a donné décrit le procédé. Elle parle aussi de la tradition de poterie Rouenais, datant environ des années 1750.
Ma fascination, à mon avis lisible sur moi, ne date pas d'aujourd'hui.
J'avais collectionné des pots peints hongrois (que j'ai offerte un à un ensuite pour faire de place).
Motifs d'un région hongrois.
Plus tard, j'avais visité une potière artiste près de Tel Aviv et j'ai encore les deux objets que j'ai acheté là bas, une tout ronde et l'autre ressemblant à la vase frotté par Ali baba. Deux objets, pas tout à fait vases, pas peints mais magnifiques, mais autant que je les aime, ils sont cachés derrière des tas des livres maintenant.
Motifs français de Rouen.
On ne peux pas tout avoir et tout étaler, mais on peux en être fascinée et intéressée. J'ai l'impression que mon intérêt réelle, tant pour les faïences que pour les gens qui les pousse surtout à me permettre à en prendre la photo.
mercredi 25 juillet 2007
Vidéo diapo Paris 15e
2e note 1 minute et 45 secondes, parait-il. Près du parc Citroën, voilà quelques images retenues et mises en "vidéo".
Je suis en retard avec pleines des choses à faire, mais je commence à me rattraper petit à petit.
Je suis en retard avec pleines des choses à faire, mais je commence à me rattraper petit à petit.
Des souvenirs du weekend
J'ai décidé d'écrire d'autre chose ce matin, mais en voyant cette image, mise hier soir sur ma site, je ne puis résister à vous la remontrer: voilà Sophie avec un des bouquets des roses qu'elle venait d'acheter sur le marché.
Et non, elle n'a pas acheté un seul!
L'un était pour la maman de Manu, l'autre pour la grande-mère, la troisième pour un minuscule vase (en fait peut être verre) que j'avais apporté. Autant des bouquets des couleurs différents.
C'est son sourire rayonnante que je voulais "attraper" mais je n'ai pas aussi bien réussi que je l'aurais voulu, néanmoins, leurs sourire, à elle et à Manu aussi, m'ont resté dans mon coeur.
Le soleil est revenu de nouveau, il frappe sur la maison en face. Hier je me suis acheté de l'encre pour mon imprimante, aujourd'hui je pourrais imprimer des images. Voilà deux qui me plaisent spécialement que je voudrais vous montrer.
Une scène de vie "attrappée au vol" à l'insue des participants, rappelant aussi un déjeuner très agréable dans le jardin près de Rouen.
La pluie sur mon vitre au retour de Normandie m'a offerte cette image ci-dessous que j'adore (ensuite j'ai ouverte la vitre et par la fenêtre j'ai vite fait une "en direct" mais qui me parait plus banale comme image.
Dans celle-ci, les gouttes tombant à vers sur le parbrise m'ont aidé à peindre cette image sur la "pellicule" de mon appareil photo, pour une fois m'aidant à faire quelque chose de spéciale.
Moi aussi, après cette rencontre amicale de weekend, j'ai le soleil dans le coeur, qu'il y a de soleil dehors comme ce matin ou qu'il pleut à verse comme hier.
Et non, elle n'a pas acheté un seul!
L'un était pour la maman de Manu, l'autre pour la grande-mère, la troisième pour un minuscule vase (en fait peut être verre) que j'avais apporté. Autant des bouquets des couleurs différents.
C'est son sourire rayonnante que je voulais "attraper" mais je n'ai pas aussi bien réussi que je l'aurais voulu, néanmoins, leurs sourire, à elle et à Manu aussi, m'ont resté dans mon coeur.
Le soleil est revenu de nouveau, il frappe sur la maison en face. Hier je me suis acheté de l'encre pour mon imprimante, aujourd'hui je pourrais imprimer des images. Voilà deux qui me plaisent spécialement que je voudrais vous montrer.
Une scène de vie "attrappée au vol" à l'insue des participants, rappelant aussi un déjeuner très agréable dans le jardin près de Rouen.
La pluie sur mon vitre au retour de Normandie m'a offerte cette image ci-dessous que j'adore (ensuite j'ai ouverte la vitre et par la fenêtre j'ai vite fait une "en direct" mais qui me parait plus banale comme image.
Dans celle-ci, les gouttes tombant à vers sur le parbrise m'ont aidé à peindre cette image sur la "pellicule" de mon appareil photo, pour une fois m'aidant à faire quelque chose de spéciale.
Moi aussi, après cette rencontre amicale de weekend, j'ai le soleil dans le coeur, qu'il y a de soleil dehors comme ce matin ou qu'il pleut à verse comme hier.
mardi 24 juillet 2007
Sur la route de retour
C'est vrai qu'il a plu sans arrêt pendant mon route de retour, mais j'ai fait quand même plusieurs rencontres, importants pour moi.
Dans la pluie et brouillard, j'ai aperçu ces deux ouvriers travaillant sans s'arrêter. L'un vieux (de mon âge) et l'autre jeune.
J'ai vite regardé derrière moi et ensuite j'ai ouverte le vitre de ma voiture: "puis-je prendre une photo"?
Pourquoi faire? D'où êtes-vous? me demanda le plus âgé entre eux.
Argenteuil ne lui a suffit comme réponse, il a fallu lui ajouter que je suis originaire de Hongrie (pour ne pas compliquer) et ensuite il a dit "pourquoi pas". Finalement, nous avons décidé de mettre la voiture sur le petit chemin même si la circulation n'était pas grande.
De là, j'ai pu faire ces deux portraits pour chacun d'eux, qui les montrent chacun tellement plus sympa et intelligents que l'image seulement de loin! Les différents images complètent les unes les autres et vous donnent une meilleure idée du rencontre.
Le plus jeune a trouvé un stylo pour que le plus âgé m'écris l'adresse où envoyer les images. Même sans les photographier, j'aurais emporter le tableau des deux travaillant au bord de la route dans la pluie, mais ainsi j'aurais une souvenir encore plus forte. Mais aussi l'encouragement pour moi que faire aussi des photos près des gens, non seulement regarder la situation de loin, vaut vraiment la peine!
Un peu plus tard, en m'arrêtant pour manger à un petit restaurant sur la route, je rencontre quelqu'un d'autre me permettant à lui prendre le portrait et il m'a aussi promis de visiter ce blog (prenant son adresse).
Nos blogs sont de plus en plus connus et appréciés!
Mais en plus des rencontres humaines, j'ai eu une route intéressante sinon longue et pluvieux: une mare au canards dans la pluie, une église de 10e siècles, une petite ville fleurie avec ancien marché couvert, je n'ai pas regretté du tout de n'avoir pris l'autoroute et avoir pris le chemin plus direct mais plus lente.
Dans la pluie et brouillard, j'ai aperçu ces deux ouvriers travaillant sans s'arrêter. L'un vieux (de mon âge) et l'autre jeune.
J'ai vite regardé derrière moi et ensuite j'ai ouverte le vitre de ma voiture: "puis-je prendre une photo"?
Pourquoi faire? D'où êtes-vous? me demanda le plus âgé entre eux.
Argenteuil ne lui a suffit comme réponse, il a fallu lui ajouter que je suis originaire de Hongrie (pour ne pas compliquer) et ensuite il a dit "pourquoi pas". Finalement, nous avons décidé de mettre la voiture sur le petit chemin même si la circulation n'était pas grande.
De là, j'ai pu faire ces deux portraits pour chacun d'eux, qui les montrent chacun tellement plus sympa et intelligents que l'image seulement de loin! Les différents images complètent les unes les autres et vous donnent une meilleure idée du rencontre.
Le plus jeune a trouvé un stylo pour que le plus âgé m'écris l'adresse où envoyer les images. Même sans les photographier, j'aurais emporter le tableau des deux travaillant au bord de la route dans la pluie, mais ainsi j'aurais une souvenir encore plus forte. Mais aussi l'encouragement pour moi que faire aussi des photos près des gens, non seulement regarder la situation de loin, vaut vraiment la peine!
Un peu plus tard, en m'arrêtant pour manger à un petit restaurant sur la route, je rencontre quelqu'un d'autre me permettant à lui prendre le portrait et il m'a aussi promis de visiter ce blog (prenant son adresse).
Nos blogs sont de plus en plus connus et appréciés!
Mais en plus des rencontres humaines, j'ai eu une route intéressante sinon longue et pluvieux: une mare au canards dans la pluie, une église de 10e siècles, une petite ville fleurie avec ancien marché couvert, je n'ai pas regretté du tout de n'avoir pris l'autoroute et avoir pris le chemin plus direct mais plus lente.
lundi 23 juillet 2007
Je suis arrivée chez moi
Je suis arrivée chez moi, un peu fatigée de la route de découverte que j'ai prise, de la pluie et brouillard m'ayant accompagné les derniers kilomètres, mais voilà, le soleil est revenu dans le ciel comme le sourire dans mon coeur.
Sophie et Manu ont tout fait pour me rendre ce sourire et leur acceuil chaleureux, amical a fait des miracles. Oubliée les blessures, les regards inamicaux, les heurts. Presque comme s'il n'ont pas exités.
J'ai de nouveau confiance dans les gens, dans l'amitié - et les blogs. Les gens connus à travers l'Internet,fantastiques, comme Sophie et Manu (qui eux même se sont rencontrés ainsi).
J'ai découverte non seulement un coin de Normandie, le centre de Reines, la quétude d'un port de pêche normande, mais aussi les nuits sous la quête et les matin avec pain fait à la maison et café fantastique (oui, meilleur que le nesscafé, je reconnais), la bonne acceuille et paroles, des moules de coin, des expressions locaux et des histoires que je vais raconter petit à petit.
Et oui, le soleil brille de nouveau dehors et dans mon coeur, tout comme cette rose dans leur jardin.
Sophie et Manu ont tout fait pour me rendre ce sourire et leur acceuil chaleureux, amical a fait des miracles. Oubliée les blessures, les regards inamicaux, les heurts. Presque comme s'il n'ont pas exités.
J'ai de nouveau confiance dans les gens, dans l'amitié - et les blogs. Les gens connus à travers l'Internet,fantastiques, comme Sophie et Manu (qui eux même se sont rencontrés ainsi).
J'ai découverte non seulement un coin de Normandie, le centre de Reines, la quétude d'un port de pêche normande, mais aussi les nuits sous la quête et les matin avec pain fait à la maison et café fantastique (oui, meilleur que le nesscafé, je reconnais), la bonne acceuille et paroles, des moules de coin, des expressions locaux et des histoires que je vais raconter petit à petit.
Et oui, le soleil brille de nouveau dehors et dans mon coeur, tout comme cette rose dans leur jardin.
dimanche 22 juillet 2007
Chez Sophie et Manu
Je me suis sentie rapidement tout "chez moi" en arrivant chez Manu et Sophie, comme ils ont aussi vorace des livres que moi, et ils en ont (presque) autant, comme vous pouvez voir aussi dans cette photo.
A l'arrivée, Sophie m'attendait avec des lavandes sophistiquement embalés, pendant que j'apportais du lavande 'pas fraiche': il avait déjà quelques heures! Mais nous avons pensé toutes les deux similaire.
Hier, ils m'ont "offert" Rouen l'après-midi et la mer le soir, en plus d'un merveilleux coucher de soleil dans les champs.
A l'arrivée, Sophie m'attendait avec des lavandes sophistiquement embalés, pendant que j'apportais du lavande 'pas fraiche': il avait déjà quelques heures! Mais nous avons pensé toutes les deux similaire.
Hier, ils m'ont "offert" Rouen l'après-midi et la mer le soir, en plus d'un merveilleux coucher de soleil dans les champs.
samedi 21 juillet 2007
Sur le chemin
Sur le chemin vers Sophie et Manu, je me suis décidée, étant en avance, de faire un détour. A quatre kilomètres seulement de l'autoroute, pas tout à fait 100 km de Paris, se trouvait le château de Gournay en Bray.
J'ai surtout découverte, en plus du château, une centre ville charmante, d'ailleurs je suis décidée d'y retourner encore une fois, comme je n'avais pas eu le temps de tout découvrir.
Une réelle recherche d'embellir la ville!
Vous pouvez voir les autres images dans mon set au flickr, au moins celles que j'ai réussi à décharger jusque maintenant.
L'après-midi, arrivée chez les "Sophos", j'ai eu une grande plaisir de les voir face à face enfin, bavarder longtemps. Que c'est beau l'amitié, l'entente! La chaleur et la compréhension.
J'ai surtout découverte, en plus du château, une centre ville charmante, d'ailleurs je suis décidée d'y retourner encore une fois, comme je n'avais pas eu le temps de tout découvrir.
Une réelle recherche d'embellir la ville!
Vous pouvez voir les autres images dans mon set au flickr, au moins celles que j'ai réussi à décharger jusque maintenant.
L'après-midi, arrivée chez les "Sophos", j'ai eu une grande plaisir de les voir face à face enfin, bavarder longtemps. Que c'est beau l'amitié, l'entente! La chaleur et la compréhension.
vendredi 20 juillet 2007
Chat sur le toit
Ils sont montés et se sont aperçu qu'il y avait effectivement un sorte de nid douillet et un chaton qui s'est aussitôt enfuie. Où est-ce qu'il a pu passer?
Nous avions peur qu'il a réussi à passer au voisin par un trou, directement dans son armoire! Mais non. Une heure plus tard, nous découvrons le petit chat caché dans le gouttière!
Lilli a réussi à obturer la porte fenêtre du grenier avec des cartons, etc. les caler, fermer la voie de passage à partir du toit. Et maintenant?
Nous étions, deux heures plus tard en train de ramasser des lavandes quand la famille au grand complet est paru: le chat mère et trois autres petits de divers couleurs, ne comprenant plus ce qui se passait et pourquoi il ne pouvaient plus entrer.
Les chatons sur le toit de la maison: heureusement j'ai un caméra agrandissant 12 fois, sinon, je n'aurais pas pu les "attraper" ainsi.
Comme mon petit fils a hurlé de joie comme un indien en les apercevant en faisant aussi des grands mouvements des bras finalement ils sont partis, vers le toit de maison voisine, mais à la tombé de nuit je les ai vu revenir, quoique je ne crois qu'ils ont réussi à entrer. J'espère qu'ils trouveront rapidement un autre logement.
Je n'avais pas fermé mes fenêtres contre un voleur éventuel ces dernières nuits, mais j'ai fermé cette fois-ci pour m'assurer que les chats ne le prennent pas une fenêtre ouverte comme une invitation d'y entrer ici à la place de grenier.
En tout cas, la mère ayant enfanté à l'abri et les petits ayant eu le temps en trois semaines à grandir assez, maintenant elle peut s'en aller plus tranquillement. Ailleurs!
Et moi, bientôt, pour quelques jours en Normandie.
jeudi 19 juillet 2007
Dernières nouvelles
C'est toujours une grande plaisir quand quelqu'un découvre et aime une ancienne photo presque oubliée que j'avais fait, comme celle-ci.
C'était fait un jour pluvieux quand nous nous sommes réfugiés sous la terrasse du café place Saint Pierre sur la butte Montmartre. Mais trois petits enfants étaient avec moi en se délectant de la glace qu'ils ont mangé ensemble.
Pleines des joies ce matin: j'irai pour quelques jours en Normandie rencontrer les Sophos! Les voir enfin et bavarder face à face.
Autre nouvelle, amusante.
Cela fait des jours que mon invité disait "quelqu'un marche au dessus de ma tête", je répondais "personne qu'un chat peut y aller". Elle insistait "c'est des pas des gens!" alors je répondais "cela doit alors être nos voisins à côté mais pas au dessus".
Hier soir, en sortant la poubelle, ma voisine d'en face m'appelle: "vous saviez que vous avez six chatons dans votre grenier? une chatte a enfanté là-bas! Regardez, deux entre eux justement" ébahie, je regards, et les autres voisins par hasard là me disant: cela fait plusieurs semaines que nous les observons...
Ils ne m'ont rien dit jusque maintenant.
Non, je ne crois pas qu'elle soit la même, pourtant ce n'est pas impossible, c'était le chat se promenant au jardin de l'ancien boulanger.
Les petits chats ne sont plus tout bébé, j'espère que je trouverai un moyen de les déloger et fermer mieux mon grenier. Alors, c'était effectivement au-dessus de la tête, mais les pas étaient ceux des petits chatons apprenant à marcher et pas des gens! J'avais envie de l'appeler lui dire, mais si elle ne m'écrit pas, je ne vais pas la déranger, moi. Elle repart aujourd'hui, après cinq semaines de séjour à New York.
Et moi, je pars en Normandie demain!
C'était fait un jour pluvieux quand nous nous sommes réfugiés sous la terrasse du café place Saint Pierre sur la butte Montmartre. Mais trois petits enfants étaient avec moi en se délectant de la glace qu'ils ont mangé ensemble.
Pleines des joies ce matin: j'irai pour quelques jours en Normandie rencontrer les Sophos! Les voir enfin et bavarder face à face.
Autre nouvelle, amusante.
Cela fait des jours que mon invité disait "quelqu'un marche au dessus de ma tête", je répondais "personne qu'un chat peut y aller". Elle insistait "c'est des pas des gens!" alors je répondais "cela doit alors être nos voisins à côté mais pas au dessus".
Hier soir, en sortant la poubelle, ma voisine d'en face m'appelle: "vous saviez que vous avez six chatons dans votre grenier? une chatte a enfanté là-bas! Regardez, deux entre eux justement" ébahie, je regards, et les autres voisins par hasard là me disant: cela fait plusieurs semaines que nous les observons...
Ils ne m'ont rien dit jusque maintenant.
Non, je ne crois pas qu'elle soit la même, pourtant ce n'est pas impossible, c'était le chat se promenant au jardin de l'ancien boulanger.
Les petits chats ne sont plus tout bébé, j'espère que je trouverai un moyen de les déloger et fermer mieux mon grenier. Alors, c'était effectivement au-dessus de la tête, mais les pas étaient ceux des petits chatons apprenant à marcher et pas des gens! J'avais envie de l'appeler lui dire, mais si elle ne m'écrit pas, je ne vais pas la déranger, moi. Elle repart aujourd'hui, après cinq semaines de séjour à New York.
Et moi, je pars en Normandie demain!
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