Alina et moi, juste avant mon depart

Nous étions 27, et j'étais son seule amie. Partant de la Roumanie. Pour toujours.

Nous avons formée notre amitié a 16 ans et cela existe toujours.

Nos jours de naissances ne différent que d'une semaine: elle est la plus 'âgée' de quelques jours. Elle vient de m'écrire.

'J'ai demandée pour mon anniversaire, entrée vers le 80e année á ne pas devoir faire la cuisine pour trois jours. Mon mari et fils, ont mangée a la cantine de l'institut!' Elle m'écrit.

Ils n'ont pas décidée a la place d'elle cuisiner. Préparer des plats spéciaux. Son fils, de presque 60 ans mange toujours chez sa mère le plus souvent, et son mari scientiste aussi, quand il n'est pas a l'étranger.

Alina était celle qui c'était la mieux débrouillée a nos 18 ans. Toutes les deux, malgré nos bonnes notes, nous avons été refusées le droit d'entrer a l'université, de continuer nos études. Elle s'est débrouillée d'y entrer, se marier tôt, d'avoir son fils tôt. Ensuite, faire de recherches, se remarier le deuxième fois et rester mariée. Rester en Roumanie aussi.

Je n'oublierai jamais la douleur ressentie le jour quand les cours d'université ont commencée, et moi, je tâchais lire un livre a la bibliothèque nationale, pleurant. Je voulais continuer a étudier, moi aussi.

Finalement, je suis allée travailler. Inscrit pour études par correspondance. Appris d'étudier sans prof. Et de nouveau, six ans plus tard, j'avais été exclus de mes études et interdit de dernier examen. De nouveau, j'ai du attendre jusque 43 ans, pour avoir un diplôme.

Mais en fait, malgré les difficultés de immigration, des deux enfants, d'un mari ressentant mes études, je ne me suis pas arrêtée: étudier, continuer, a chaque fois que possible.

Cette année, je n'ai pas de mari et je n'aurais pas mes deux enfants autour de moi pour mon anniversaire, la semaine prochaine, mais je la passerai prenant deux cours divers a Las Vegas avec des meilleurs, entourées d'autres adultes qui veulent apprendre.

Je ne regrette pas mes difficultés qui continuent a me mener vers nouvelles aventures, en m'approchant le 80.