Parler dehors, ne pas se soucier de ce qui est autour, même les inviter a participer, des enfants autour, de la vie s'écoulant.
Nous avons un seule interrompant, offrant cette photo, une de mes préférées.
Toutes les photos en diaporama donnent un peu plus l'atmosphère.
Vers la fin, mes pieds me heurtaient: ce n'est pas bon d'utiliser des nouvelles chaussures trop longtemps au début.
Et, alas, ce matin, mon clavier saute de nouveau...
toujours important les chaussures !
RépondreSupprimerCoucou Julie
RépondreSupprimerJ'aurais aimé être dans ce parc !!!!
La fantaisie est pour moi une friandise de la vie !!!
"Vers la fin, mes pieds me heurtaient"
Belle expression !!!
Fallait-il improviser sur le thème : "Carotte et Pomme de Terre" ?
Bon dimanche
Claude
Amusant, j'ai relevé le même terme que Claude dans ton post : les pieds qui heurtent !
RépondreSupprimerC'est à ton avantage, tu utilises de façon imagée la langue française, ce que moi(de langue française maternelle) n'ose pas !
Et puis pour revenir sur un ancien de tes posts où tu t'étonnais de l'accueil si chaleureux de tes voisins, je dirais que tu as récolté ce que tu sèmes : la générosité et la chaleur !
Je t'ai écouté raconter une histoire ici sur une petite vidéo et ce qui fait le charme, pour moi, de ton récit, c'est d'abord ton accent !
Voilà, comme je ne fais pas souvent de commentaires, j'avais un peu de retard !!! :-)
Continue comme ça, ceux qui te rencontrent dans la vraie vie ont de la chance !!!
Carlotta
Bonjour Julie, je lis toujours avec plaisir tes posts.
RépondreSupprimerJe profite de l'occasion pour te dire un grand merci pour ton message chaleureux que tu m'a envoyé en mail.
MERCI JULIE ! Cela m'a fait du bien.
Encore de belles photos, la prochaine fois faudra mettre des bons souliers.
RépondreSupprimer